Roommating
- 4 years ago
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Un Dimanche Matin free porn video
Dimanche matin
Après une nuit inoubliable à chercher le summum, le plaisir sans fin, la jouissance éternelle, le bonheur incommensurable de deux âmes qui s’adorent qui ne veulent plus faire qu’une, quand les vagues de ton ventre poussées à l’excès de l’orgasme tel un océan en furie un soir de tempête nous emportent vers une île déserte…. nous nous sommes effondrés dans un sommeil réparateur et bénéfique. Lovés dans l’étreinte, soudés l’un à l’autre ……
Suis-je éveillé, suis-je en rêve, suis-je dans cette moiteur bien connue, dans ta douceur captivante enivrante, la tête dans la tiédeur de ton entre- jambe. La joue posée sur ta cuisse, les lèvres juste contre ton bouton qui s’émerveille dans la fraîcheur d’une rosée naissante.
Oh combien me pousse l’envie d’embrasser tes petits pétales à pleine bouche, de les prendre sur ma langue mais je n’ose. Je n’ose te réveiller, j’aime sentir ton souffle doux sur mon sexe, blotti contre ta joue, quand il commence à renaître de ses cendres. Oh combien tu l’as aimé cette nuit de folie furieuse, déchaînée, furibonde, où nous avons cherché les limites éternelles d’une volupté sans faille
Nous n’avons pas quitté notre dernier enlacement, les doigts plongés dans ton anus, croisés au plus profond, à le fouiller jusque qu’au sommeil. La tête prise dans l’étau de tes cuisses, juste contre ton intimité, je n’en peu plus, l’envie de happer ton bourgeon me ronge, de le prendre encore et encore, de l’enrouler dans ma langue de vipère, de l’étirer de le sucer de le serrer à l’étrangler. Je te sens revivre, j’imagine le sourire poindre sur tes lèvres que je ne vois pas, tu les écartes pour aspirer mon gland et faire grandir le mat du navire. Ta main se pose sur ma chevelure, tu me pousses le visage en toi, encore plus loin. Sous la surprise, ma langue glisse, pénètre ton antre, ta taverne de corsaires. Tu te cabres, t’ouvres, t’écartes, je sens la marée montante, tu commences à geindre gentiment…. Tu te réveilles, te couches sur le dos et remontes les jambes sur les épaules, tu t’offres, tu t’ouvres, mes doigts plongent en toi, caressent les parois de ton vagin, titillent la face avant, replongent aux confins.
Tu enserres mon poignet et pousses ma main entière, je plie les doigts et griffe légèrement les cloisons, tu adores………………………. Je serre le poing et commence de longs et lents mouvements. Tes avant-bras se posent sur le lit, tes mains sous ton bassin que tu relèves à la verticale, je vais et je viens en toi de plus en plus vite, de plus en plus fort, à genoux le sexe contre ton dos que tu as agrippé d’une main, tu le caresses, l’enserres. Il grandit de plus en plus et meurt d’envie de te pénétrer.
Mon bras toujours en toi ralenti pour te laisser reprendre ton souffle, ma main s’ouvre, mes doigts caressent ce tendre calice, reviennent sur la face avant de ta chatte, la pétrissent, je sens ton plaisir grandir, il devient furie, ta main m’a quitté pour te caresser la poitrine, tu amènes tes tétons dans la démence…… je me retire, tu éclates de plaisir comme une bouteille de champagne, ton jus envahi mon bras, coule sur ton ventre, dans le sillon de tes fesses. Je l’étale, tu l’étales, tu portes ta main à mes lèvres, je lape, je lèche. Je me penche pour m’abreuver à ta source, j’aspire ton bouton noyé de ton écume.
Tu te retournes, à genoux, le nez sur l’oreiller pour m’offrir ton …… mais que vois-je là? Un cyclope, ton corsaire barbu. Attend, viens, viens on descend.
Assise sur la petite table du salon, les cuisses largement écartées, tu m’offres sans pudeur ton sexe. Je commence par enduire tout le pourtour de ta vulve d’une fine couche de mousse à raser. Je saisi alors le manche du rasoir et commence mon travail sur ton pubis. Peu à peu la jolie forêt de poils noirs de ton sexe disparaît, sous les coups de lames sûrs et nets.
Très vite ton mont de Vénus devient totalement lisse, je m’applique à raser le pourtour des lèvres. L’opération pouvant se révéler délicate, le prend soin de bien dégager celles-ci en introduisant un doigt dans la fente, afin de tendre correctement sa petite lèvre. Là, passant délicatement le « sabre » le long de ta figue, je la rends aussi douce que ton pubis. Renouvelant l’opération de l’autre côté, il ne reste plus qu’à m’occuper de ton petit trou, ce borgne, ce flibustier barbu.
Pour ce faire, tu te places à quatre pattes sur la table basse, m’offrant tes fesses, calant ta tête entre tes avant-bras, ton anus bien visible, je suis bien disposé à rendre ton intimité anale aussi nette que le reste. Je plante mon doigt bien au centre et pousse tes fesses de chaque côté pour passer l’outil. Tu geins légèrement, mon doigt s’active en toi…..
Je termine en passant une serviette chaude sur ton arrière, et le vaporise légèrement de ton parfum préféré.
J’embrasse à pleine bouche ces fesses appétissantes, glisse à nouveau ma langue dans ton œillet, elle le cerne, le contourne, il s’ouvre se détend.
Tu descends de la table, tu viens m’étreindre, joues avec ma langue dans la tienne, tu glisses ta jambe entre les miennes, tu me prends le sexe, tu le fais grandir, grandir. Tu te baisses, t’agenouilles, l’agrippe entre tes lèvres, le suce, le gobe, l’aspire tout au fond de ta gorge le mouille de salive, le fait raidir comme l’acier…. Et tu t’allonges le ventre sur la table les jambes pendantes, tes mains s’agrippent au bord.
Je plonge en une fois dans ton rond si largement ouvert, je bande tellement que je te pistonne comme une bête en chaleur. Je n’en pouvais plus d’attendre ce moment, la table craque sous les coups, tu gémis….. tu cries
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vas y,, vas vas plus loin.
Tu lâches le bord de la table et tes mains agrippent mes fesses pour m’enfoncer jusqu’aux couilles. Je me recule, tu descends, t’agenouilles à nouveau me pomper jusqu’à limite du non retour.
Tu reprends ta place à genoux cette fois, ton anus est serrant, je force et tu cries, je ne t’entends pas, plus, j’ai envie de jouir en toi. Mes mains att****nt tes seins qui ballottent dans le vide,, les étirent pincent tes tétons à les arracher. Je viens contre ton dos et te bourre à n’en plus finir. Exciter comme un monstre, je te possède, t’empli au comble. Tes cris fendent et déchirent l’air de la pièce, comme une bête en furie. Tu jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
- Encore, encore, encore pompe baise déchire moi le cul, encule moi à fond, comme une chienne.
Je glisse ma main entre tes jambes, les écarte encore plus et l’enfonce dans ton vagin, je sens tes doigts occupés sur ton clito, il est au comble lui aussi
Je me retire, plante ma main dans ton cul brûlant, je cherche les bords, pour les attiser de bplus belle et replonge mon sexe de plus en plus grand entre tes fesses.
- Oui, oui, vient en moi, gicle, fais couler ta sève au fond de mon cul, je veux que tu m’inondes, vas y, je te sens venir, ta bite brûle, lâches-toi.
Je fais encore une trentaine de mouvements et me vide entièrement jusque la dernière goûte dans tes entrailles ouvertes.
Tu descends et viens me téter pour aspirer jusqu’au bout ce liquide que tu adores.
Tu es une nympho, tu n’en a jamais assez. Déjà ta main me soupèse les couilles, ta langue lèche mon mat et tu enroules à nouveau tes lèvres dessus……..
Bises
Après une nuit inoubliable à chercher le summum, le plaisir sans fin, la jouissance éternelle, le bonheur incommensurable de deux âmes qui s’adorent qui ne veulent plus faire qu’une, quand les vagues de ton ventre poussées à l’excès de l’orgasme tel un océan en furie un soir de tempête nous emportent vers une île déserte…. nous nous sommes effondrés dans un sommeil réparateur et bénéfique. Lovés dans l’étreinte, soudés l’un à l’autre ……
Suis-je éveillé, suis-je en rêve, suis-je dans cette moiteur bien connue, dans ta douceur captivante enivrante, la tête dans la tiédeur de ton entre- jambe. La joue posée sur ta cuisse, les lèvres juste contre ton bouton qui s’émerveille dans la fraîcheur d’une rosée naissante.
Oh combien me pousse l’envie d’embrasser tes petits pétales à pleine bouche, de les prendre sur ma langue mais je n’ose. Je n’ose te réveiller, j’aime sentir ton souffle doux sur mon sexe, blotti contre ta joue, quand il commence à renaître de ses cendres. Oh combien tu l’as aimé cette nuit de folie furieuse, déchaînée, furibonde, où nous avons cherché les limites éternelles d’une volupté sans faille
Nous n’avons pas quitté notre dernier enlacement, les doigts plongés dans ton anus, croisés au plus profond, à le fouiller jusque qu’au sommeil. La tête prise dans l’étau de tes cuisses, juste contre ton intimité, je n’en peu plus, l’envie de happer ton bourgeon me ronge, de le prendre encore et encore, de l’enrouler dans ma langue de vipère, de l’étirer de le sucer de le serrer à l’étrangler. Je te sens revivre, j’imagine le sourire poindre sur tes lèvres que je ne vois pas, tu les écartes pour aspirer mon gland et faire grandir le mat du navire. Ta main se pose sur ma chevelure, tu me pousses le visage en toi, encore plus loin. Sous la surprise, ma langue glisse, pénètre ton antre, ta taverne de corsaires. Tu te cabres, t’ouvres, t’écartes, je sens la marée montante, tu commences à geindre gentiment…. Tu te réveilles, te couches sur le dos et remontes les jambes sur les épaules, tu t’offres, tu t’ouvres, mes doigts plongent en toi, caressent les parois de ton vagin, titillent la face avant, replongent aux confins.
Tu enserres mon poignet et pousses ma main entière, je plie les doigts et griffe légèrement les cloisons, tu adores………………………. Je serre le poing et commence de longs et lents mouvements. Tes avant-bras se posent sur le lit, tes mains sous ton bassin que tu relèves à la verticale, je vais et je viens en toi de plus en plus vite, de plus en plus fort, à genoux le sexe contre ton dos que tu as agrippé d’une main, tu le caresses, l’enserres. Il grandit de plus en plus et meurt d’envie de te pénétrer.
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Tu te retournes, à genoux, le nez sur l’oreiller pour m’offrir ton …… mais que vois-je là? Un cyclope, ton corsaire barbu. Attend, viens, viens on descend.
Assise sur la petite table du salon, les cuisses largement écartées, tu m’offres sans pudeur ton sexe. Je commence par enduire tout le pourtour de ta vulve d’une fine couche de mousse à raser. Je saisi alors le manche du rasoir et commence mon travail sur ton pubis. Peu à peu la jolie forêt de poils noirs de ton sexe disparaît, sous les coups de lames sûrs et nets.
Très vite ton mont de Vénus devient totalement lisse, je m’applique à raser le pourtour des lèvres. L’opération pouvant se révéler délicate, le prend soin de bien dégager celles-ci en introduisant un doigt dans la fente, afin de tendre correctement sa petite lèvre. Là, passant délicatement le « sabre » le long de ta figue, je la rends aussi douce que ton pubis. Renouvelant l’opération de l’autre côté, il ne reste plus qu’à m’occuper de ton petit trou, ce borgne, ce flibustier barbu.
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Je termine en passant une serviette chaude sur ton arrière, et le vaporise légèrement de ton parfum préféré.
J’embrasse à pleine bouche ces fesses appétissantes, glisse à nouveau ma langue dans ton œillet, elle le cerne, le contourne, il s’ouvre se détend.
Tu descends de la table, tu viens m’étreindre, joues avec ma langue dans la tienne, tu glisses ta jambe entre les miennes, tu me prends le sexe, tu le fais grandir, grandir. Tu te baisses, t’agenouilles, l’agrippe entre tes lèvres, le suce, le gobe, l’aspire tout au fond de ta gorge le mouille de salive, le fait raidir comme l’acier…. Et tu t’allonges le ventre sur la table les jambes pendantes, tes mains s’agrippent au bord.
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Tu reprends ta place à genoux cette fois, ton anus est serrant, je force et tu cries, je ne t’entends pas, plus, j’ai envie de jouir en toi. Mes mains att****nt tes seins qui ballottent dans le vide,, les étirent pincent tes tétons à les arracher. Je viens contre ton dos et te bourre à n’en plus finir. Exciter comme un monstre, je te possède, t’empli au comble. Tes cris fendent et déchirent l’air de la pièce, comme une bête en furie. Tu jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
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Je glisse ma main entre tes jambes, les écarte encore plus et l’enfonce dans ton vagin, je sens tes doigts occupés sur ton clito, il est au comble lui aussi
Je me retire, plante ma main dans ton cul brûlant, je cherche les bords, pour les attiser de bplus belle et replonge mon sexe de plus en plus grand entre tes fesses.
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Je fais encore une trentaine de mouvements et me vide entièrement jusque la dernière goûte dans tes entrailles ouvertes.
Tu descends et viens me téter pour aspirer jusqu’au bout ce liquide que tu adores.
Tu es une nympho, tu n’en a jamais assez. Déjà ta main me soupèse les couilles, ta langue lèche mon mat et tu enroules à nouveau tes lèvres dessus……..
Bises
Louise
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