On A Train
- 4 years ago
- 29
- 0
Grêve De Train free porn video
Aujourd'hui, voyager s'annonçait compliqué. Je m'arme de patience et de zen attitude. Mon quai de départ s'affiche et comme d'autres voyageurs je suis le mouvement.
Devant moi se trouve une demoiselle en détresse avec une valise immense (et sûrement lourde) avec une poignée cassée. Je lui propose mon aide avec un grand sourire, elle accepté volontiers et je la monte (la valise !!! Pas la demoiselle ;p ).
Une fois sur le quai on bavarde un peu, je la mate discrètement : belle petite brunette avec un chignon, un joli sourire et un blouson léger qui cache ses seins, contrairement à son pantalon qui ne cache rien.
Une belle paire de fesses de dos et de face on devine les lèvres charnues de son sexe. Je commence à avoir une légère érection.
Nos regards se baladent et je me dis qu'elle est en train de faire la même chose que moi, sans en être sûr. Quand brusquement ses yeux font marchent arrière et scotchent sur mon pantalon. Je regarde vite fait : ma demi-érection est visible. C'est donc bien ma bite qu'elle mate, la coquine.
Le train arrive et on recommence avec sa valise. Elle s'assoit et comme la place à côté est libre, je me lance et m'assois à côté d'elle. Je sens la tension monter et ma bite devenir un peu plus dure. Je continue le jeu question-reponse banales dans un train, lorsque mon cerveau a parlé à ma place : je lui ai dit qu'elle avait un sourire magnifique et un cul du tonnerre.
Je vois instantanément que je viens de franchir la limite, et dans ma tête je suis déjà en train de sauter du train. Mais c'est le contraire qui se produit : ses joues deviennent rouges, elle me répond "merci" et baisse les yeux vers mon pantalon, qui laisse parfaitement voir que je lui ai dis la vérité....
Elle lève les yeux vers moi avec son sourire éclatant et elle me dit "je crois que je l'avais remarquée".
Je me penche vers elle puis nos lèvres se touchent. Je sens ses doigts qui s'égarent sur mon pantalon, je me demande si elle va me sucer en plein wagon (oui oui, c'est possible j'ai déjà entendu faire, on entendait un homme et une femme, mais on ne voyait pas la tête de la dame). En fait, non; elle me repousse un peu puis se lève, et s'en va. Je ne peut m'empêcher de la suivre du regard en me disant : " c'est raté", mais alors qu'elle arrive à la porte des toilettes, elle se retourne et me regarde en souriant, puis rentre et ferme la porte.
Je me lève à mon tour et arrive devant les WC, je toque à la porte, celle ci s'ouvre et je rentre. Pour ceux qui ont déjà pris un TGV c'est pas grand hein??
La demoiselle referme la porte, s'assoit sur le trône et ouvre ma braguette pour me prendre en bouche. Sa langue tournant autour de mon gland, je sais que je ne vais pas tenir longtemps, et qu'elle ne va pas être contente si a la première visite je lui lache tout au fond de la bouche...
Je l'att**** sous les bras et l'arrache à cette pipe magistrale, qu'elle est en train de réalisée, pour inverser les rôles, je baisse son pantalon et un magnifique string rouge apparaît, je le baisse pour découvrir un ticket de métro (celui ci date un peu : il a pas mal plû ces derniers jours et y a eu de la repousse) j'approche ma bouche de ce petit sexe velu et j'entame un cunni.
J'entends la respiration de la demoiselle s'accélèrer et le goût de son sexe m'arrive en bouche: légèrement sucré j'adore. Ses mains me carressent les cheveux, mais j'ai plutôt l'impression qu'elle ne veut pas que je m'éloigne d'elle.
J'entends qu'elle ouvre son blouson et prend une de mes main pour la glisser sous son t-shirt... Je découvre alors de tout petits seins nus dont les tétons sont sur le point d'exploser tellement ils sont durs.
Je suis toujours assis sur le trône, en plein cunni, lorsque elle m'arrête là: elle fini d'enlever son pantalon et son string, se retourne et me présente ses fesses. Je sais qu'il va falloir y aller, j'enfile une capote, et je tente la levrette face au miroir.
Pour ceux qui se souviennent, on est dans un TGV, c'est aussi grand que les toilettes d'un avion, donc je rentre doucement, mais à peine à la moitié du chemin, et sûrement parce qu'elle avait la tête collée contre le miroir, elle me demande de sortir de sa petite chatte toute humide, pour essayer dans l'autre sens : il y a une poignée pour se tenir souris-t-elle. Je suis un gentil et j'obéis ; je me retrouve alors les fesses dans le lavabo et elle la tête ou plutôt le nez au dessus des WC. Ce coup-ci je ne perd plus de temps : tout doucement je suis arrivée à la moitié elle doit donc être prête. Je la prend d'un coup et je sens qu'elle n'était pas prête : un petit cri s'échappe de sa bouche. Je ne bouge plus, je laisse son sexe prendre la mesure du mien, je lui caresse le dos, passe mes doigts sur son clitoris puis repart en direction de ses petits seins.
Quelques instants après, je sens mon sexe moins compressé et elle entame un léger ondulement du bassin, je prend le rythme et je commence mes va et vient, je sens que l'on se prendre un pied dingue.
Mais c'était sans prendre en compte l'impact de la configuration des lieux :\ elle me dit d'arrêté qu'elle n'est pas en position confortable et que ça ne va pas ( et moi donc avec les fesses dans le lavabo....), et nous voilà à nouveau interrompus, elle les fesses à l'air et moi la bite raide à nous tourner autour dans cette espace ridicule, lorsque le cocasse de la situation fait tilt, on se met à rigoler comme des débiles.
Je baisse complètement mon pantalon et m'assoit à nouveau, ma queue dressée vers elle, elle s'approche, la prend dans sa main, de l'autre écarte ses lèvres, puis s'assoit sur moi en me guidant à l'intérieur. C'est elle qui décide, quand elle est à nouveau prête, son bassin reprend ses ondulations, je la laisse faire, je soulève son t-shirt pour lui sucer les seins, ses ondulations se font plus fortes, elle m'embrasse puis me redonne ses seins, mes mains carressent ses cuisses, ses fesses, je sens sa mouille couler entre mes cuisses, ce liquide chaud ruisselle sur mes couilles, son sexe se ressère, et nos respirations sont difficiles.
Il fait maintenant une chaleur équatoriale dans ce petit local, et je sens la transpiration couler dans mon dos, ses derniers coups de reins sont violents et espacés, tellement brutaux que je sens mon gland sur le point d'exploser, et je jouis, mais c'est elle qui commande, d'un coup le rythme disparaît, ses coups de reins sont désordonnés, je comprends qu'elle aussi vient de jouir. Du fait du lieu, ni elle, ni moi n'avons criés, la peur d'être entendus peut-être.
Nous restons dans cette position, mon sexe dans le sien, mes mains sur ses fesses et sa tête dans mon cou pendant un temps qui parait extrêmement long, on ouvre les yeux, on se regarde et on s'embrasse. Elle se lève, nos sexe se quittent, et je retire ma capote tout en la regardant. Elle ramasse ses affaires et je lorgne avec insistance sur ce string rouge qu'elle a dans la main, elle s'en rend vite compte, et se contente de sourire en l'enfilant.
Après s'être assuré qu'il n'y avait personne dehors, j'ouvre la porte et on se faxe tout les deux à notre place, le voyage se terminera avec quelques blagues, un petit café, un peu de siestes. Alors que nous sommes presque arrivés, elle me dit qu'elle doit retourner aux WC, je lui demande si elle a besoin d'aide avec un grand sourire coquin, elle pouffe de rire et me dit qu'elle se débrouillera mieux toute seule.
Le train s'arrête, rebelote avec sa valise (mais dans le fond heureusement qu'elle était là :)) et sur le quai on s'embrasse, et elle me glisse un truc dans la poche avant de partir comme une fusée. Je ne connais ni son nom, ni son 06, mais le truc qu'elle m'a laissé c'est son petit string rouge...
Moralité : si tu fais l'amour dans le train, reste classique : pipe, cunni et chaise, le kama-sutra rentre pas ;)
Devant moi se trouve une demoiselle en détresse avec une valise immense (et sûrement lourde) avec une poignée cassée. Je lui propose mon aide avec un grand sourire, elle accepté volontiers et je la monte (la valise !!! Pas la demoiselle ;p ).
Une fois sur le quai on bavarde un peu, je la mate discrètement : belle petite brunette avec un chignon, un joli sourire et un blouson léger qui cache ses seins, contrairement à son pantalon qui ne cache rien.
Une belle paire de fesses de dos et de face on devine les lèvres charnues de son sexe. Je commence à avoir une légère érection.
Nos regards se baladent et je me dis qu'elle est en train de faire la même chose que moi, sans en être sûr. Quand brusquement ses yeux font marchent arrière et scotchent sur mon pantalon. Je regarde vite fait : ma demi-érection est visible. C'est donc bien ma bite qu'elle mate, la coquine.
Le train arrive et on recommence avec sa valise. Elle s'assoit et comme la place à côté est libre, je me lance et m'assois à côté d'elle. Je sens la tension monter et ma bite devenir un peu plus dure. Je continue le jeu question-reponse banales dans un train, lorsque mon cerveau a parlé à ma place : je lui ai dit qu'elle avait un sourire magnifique et un cul du tonnerre.
Je vois instantanément que je viens de franchir la limite, et dans ma tête je suis déjà en train de sauter du train. Mais c'est le contraire qui se produit : ses joues deviennent rouges, elle me répond "merci" et baisse les yeux vers mon pantalon, qui laisse parfaitement voir que je lui ai dis la vérité....
Elle lève les yeux vers moi avec son sourire éclatant et elle me dit "je crois que je l'avais remarquée".
Je me penche vers elle puis nos lèvres se touchent. Je sens ses doigts qui s'égarent sur mon pantalon, je me demande si elle va me sucer en plein wagon (oui oui, c'est possible j'ai déjà entendu faire, on entendait un homme et une femme, mais on ne voyait pas la tête de la dame). En fait, non; elle me repousse un peu puis se lève, et s'en va. Je ne peut m'empêcher de la suivre du regard en me disant : " c'est raté", mais alors qu'elle arrive à la porte des toilettes, elle se retourne et me regarde en souriant, puis rentre et ferme la porte.
Je me lève à mon tour et arrive devant les WC, je toque à la porte, celle ci s'ouvre et je rentre. Pour ceux qui ont déjà pris un TGV c'est pas grand hein??
La demoiselle referme la porte, s'assoit sur le trône et ouvre ma braguette pour me prendre en bouche. Sa langue tournant autour de mon gland, je sais que je ne vais pas tenir longtemps, et qu'elle ne va pas être contente si a la première visite je lui lache tout au fond de la bouche...
Je l'att**** sous les bras et l'arrache à cette pipe magistrale, qu'elle est en train de réalisée, pour inverser les rôles, je baisse son pantalon et un magnifique string rouge apparaît, je le baisse pour découvrir un ticket de métro (celui ci date un peu : il a pas mal plû ces derniers jours et y a eu de la repousse) j'approche ma bouche de ce petit sexe velu et j'entame un cunni.
J'entends la respiration de la demoiselle s'accélèrer et le goût de son sexe m'arrive en bouche: légèrement sucré j'adore. Ses mains me carressent les cheveux, mais j'ai plutôt l'impression qu'elle ne veut pas que je m'éloigne d'elle.
J'entends qu'elle ouvre son blouson et prend une de mes main pour la glisser sous son t-shirt... Je découvre alors de tout petits seins nus dont les tétons sont sur le point d'exploser tellement ils sont durs.
Je suis toujours assis sur le trône, en plein cunni, lorsque elle m'arrête là: elle fini d'enlever son pantalon et son string, se retourne et me présente ses fesses. Je sais qu'il va falloir y aller, j'enfile une capote, et je tente la levrette face au miroir.
Pour ceux qui se souviennent, on est dans un TGV, c'est aussi grand que les toilettes d'un avion, donc je rentre doucement, mais à peine à la moitié du chemin, et sûrement parce qu'elle avait la tête collée contre le miroir, elle me demande de sortir de sa petite chatte toute humide, pour essayer dans l'autre sens : il y a une poignée pour se tenir souris-t-elle. Je suis un gentil et j'obéis ; je me retrouve alors les fesses dans le lavabo et elle la tête ou plutôt le nez au dessus des WC. Ce coup-ci je ne perd plus de temps : tout doucement je suis arrivée à la moitié elle doit donc être prête. Je la prend d'un coup et je sens qu'elle n'était pas prête : un petit cri s'échappe de sa bouche. Je ne bouge plus, je laisse son sexe prendre la mesure du mien, je lui caresse le dos, passe mes doigts sur son clitoris puis repart en direction de ses petits seins.
Quelques instants après, je sens mon sexe moins compressé et elle entame un léger ondulement du bassin, je prend le rythme et je commence mes va et vient, je sens que l'on se prendre un pied dingue.
Mais c'était sans prendre en compte l'impact de la configuration des lieux :\ elle me dit d'arrêté qu'elle n'est pas en position confortable et que ça ne va pas ( et moi donc avec les fesses dans le lavabo....), et nous voilà à nouveau interrompus, elle les fesses à l'air et moi la bite raide à nous tourner autour dans cette espace ridicule, lorsque le cocasse de la situation fait tilt, on se met à rigoler comme des débiles.
Je baisse complètement mon pantalon et m'assoit à nouveau, ma queue dressée vers elle, elle s'approche, la prend dans sa main, de l'autre écarte ses lèvres, puis s'assoit sur moi en me guidant à l'intérieur. C'est elle qui décide, quand elle est à nouveau prête, son bassin reprend ses ondulations, je la laisse faire, je soulève son t-shirt pour lui sucer les seins, ses ondulations se font plus fortes, elle m'embrasse puis me redonne ses seins, mes mains carressent ses cuisses, ses fesses, je sens sa mouille couler entre mes cuisses, ce liquide chaud ruisselle sur mes couilles, son sexe se ressère, et nos respirations sont difficiles.
Il fait maintenant une chaleur équatoriale dans ce petit local, et je sens la transpiration couler dans mon dos, ses derniers coups de reins sont violents et espacés, tellement brutaux que je sens mon gland sur le point d'exploser, et je jouis, mais c'est elle qui commande, d'un coup le rythme disparaît, ses coups de reins sont désordonnés, je comprends qu'elle aussi vient de jouir. Du fait du lieu, ni elle, ni moi n'avons criés, la peur d'être entendus peut-être.
Nous restons dans cette position, mon sexe dans le sien, mes mains sur ses fesses et sa tête dans mon cou pendant un temps qui parait extrêmement long, on ouvre les yeux, on se regarde et on s'embrasse. Elle se lève, nos sexe se quittent, et je retire ma capote tout en la regardant. Elle ramasse ses affaires et je lorgne avec insistance sur ce string rouge qu'elle a dans la main, elle s'en rend vite compte, et se contente de sourire en l'enfilant.
Après s'être assuré qu'il n'y avait personne dehors, j'ouvre la porte et on se faxe tout les deux à notre place, le voyage se terminera avec quelques blagues, un petit café, un peu de siestes. Alors que nous sommes presque arrivés, elle me dit qu'elle doit retourner aux WC, je lui demande si elle a besoin d'aide avec un grand sourire coquin, elle pouffe de rire et me dit qu'elle se débrouillera mieux toute seule.
Le train s'arrête, rebelote avec sa valise (mais dans le fond heureusement qu'elle était là :)) et sur le quai on s'embrasse, et elle me glisse un truc dans la poche avant de partir comme une fusée. Je ne connais ni son nom, ni son 06, mais le truc qu'elle m'a laissé c'est son petit string rouge...
Moralité : si tu fais l'amour dans le train, reste classique : pipe, cunni et chaise, le kama-sutra rentre pas ;)
Gert
- 25.05.2021
- 27
- 0
The Day I Left My Wedding Dress On A Train
- 2 years ago
- 29
- 0
Danielle on the Train
- 4 years ago
- 27
- 0
