Dominique
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L'?ducation De Dominique 2 free porn video
Le conseil de famille ?tait unanime, cela devait cesser et, je dus citer
les filles avec qui je parlais. Elles s'?tonn?rent du nombre ?lev? de
filles diff?rents que je c?toyais.
Elles allaient durant ce cong? veiller ? m'apprendre ? ne parler qu'? bon
escient ou quand cela m'?tait demand?. Je voulus parler et ma m?re se
leva, prit un ba?llon boule noir qu'elle me pla?a car mon avis n'?tant
pas requis, le silence ?tait de bon aloi.
Le dimanche tant attendu arriva, Marie venait nous rendre visite.
J'?tais tellement heureux que voulant profiter pleinement de tous les
moments, je fis le maximum pour ne contrarier personne.
A 14H pr?cise, la sonnette retentit, ce fut Anne qui alla ouvrir pour
accueillir notre invit?e.
Tout le monde se retrouva au salon et ces dames se mirent ? converser.
Mes s?urs avaient mille et une question mais habilement Anne r?pondait et
leurs montraient qu'elle avait du caract?re, de l'?ducation et de la
r?partie.
Profitant d'une pause, nous sort?mes toutes les deux pour profiter du
jardin et de lui faire d?couvrir la propri?t?. A notre retour, une
collation nous attendait. Les discussions reprirent sur l'?cole et l?,
Marie pensait que je travaillais bien mais que j'?tais un peu trop bavard
et dissip? par les autres. Donc, mes cotes pourraient ?tre meilleures si
je rem?diais ? cela. Tout le monde ?tait d'accord avec cela et, avec une
moue r?probatrice, Beth lui dit qu'elles veillaient ? ce que cela change.
La journ?e passait vite et en voyant ma chambre, elle me dit que j'avais
beaucoup de chances d'avoir des s?urs aussi pr?venantes et attentionn?es
pour moi car elle, fille unique, ne connaissait rien de tout cela. Vers
les 18h, Marie prit cong? et ma m?re lui dit, qu'elle ?tait la bienvenue,
qu'elle pouvait venir autant qu'elle le voulait. Marie la remercia
chaleureusement et partit en me faisant la bise.
La soir?e fut consacr?e ? ce qu'elles discutent de Marie. Elles ?taient
unanimes sur un point, c'?tait une fille parfaite pour moi voire m?me
peut ?tre trop bien.
J'eus du mal ? m'endormir ce soir l? tant mes pens?es n'allaient que vers
elle, mes ?rections furent p?nibles car ma ceinture de chastet?
comprimait s?v?rement mon p?nis.
La semaine de cong? fut longue sans Marie et comme pr?vu, je passais la
majeure partie du temps ba?llonn? et, quand je ne l'?tais pas, ce fut
pour r?viser mes cours.
C'est avec une joie non dissimul?e que je retrouvai Marie mais celle-ci
me par?t distante, r?serv?e, voire pr?occup?e. Je cherchais ? savoir
pourquoi mais rien ne venait.
Paradoxalement, sa jalousie avait elle aussi augment? et supportait de
moins en moins mais discussion avec les autres.
Une dizaine de jours apr?s la rentr?e, l'attirance ?tait toujours bien
pr?sence mais la distance continuait ? me perturber mais c'est ce jour l?
que tout bascula.
Par distraction car perturb?, je ne fermais pas la porte de la toilette
et au moment de me rhabiller, Marie entra et me vit ? moiti? nu portant
ma ceinture de chastet?. Elle fut tr?s surprise mais au lieu d'?tre
choqu?e, elle se mit ? sourire et sortit radieuse sans mot dire.
Tr?s inquiet par le fait qu'elle ait d?couvert mon secret, je voulus la
rejoindre pour lui parler mais elle ?tait d?j? de retour en classe.
Juste en partant, elle me susurra ? l'oreille, je t'aime.
Je n'osai, ?videmment, le mentionner dans mon cahier le soir?et c'est
avec une certaine appr?hension que je me rendis ? l'?cole le lendemain.
C'est une Marie rayonnante que je retrouvais, la distance qu'elle avait
install?e, ?tait disparue. Nous avons peu parl? mais elle me demanda
s'il y avait longtemps que j'en portais une et pourquoi. Je lui
expliquai et elle me dit qu'elle comprenait pourquoi ma m?re avait pris
cette d?cision, que c'?tait une bonne chose. Egalement, elle comprenait
maintenant l'attirance qu'elle avait pour moi car elle n'avait jamais ?t?
attir?e par une autre fille. Je lui demandai alors si cela la g?nait que
je sois habill? en fille. Elle me r?pondit, au contraire, que j'?tais
parfait, tellement diff?rent des autres hommes et qu'elle ne voulait
surtout pas que je change.
A la sortie, d?s qu'elle vit la voiture de ma s?ur Anne, elle se dirigea
vers elle afin de lui demander si elle pouvait venir ce week-end. Anne
voulut savoir pourquoi mais elle se contenta de r?pondre qu'elle voulait
juste s'entretenir avec nous.
Je restai muet et m?me si ma s?ur voulut en savoir plus, je ne savais pas
pourquoi.
Samedi, 14h, Marie arriva et s'installa parmi nous dans le salon. Elle
s'exprima directement en leur annon?ant qu'elle ?tait au courant que
j'?tais un gar?on. Devant l'?tonnement de toutes, elle se retourna vers
moi en me demandant pourquoi je ne les avais pas mises au courant. Elle
dit alors voil? bien ton probl?me, tu parles trop et trop souvent mais
fait des cachotteries importantes ? ta famille. Devant les regards
r?probateurs de ces 5 femmes, je bredouillai quelque chose
d'inintelligible. Elle dit alors pour dire cela, tu ferais mieux de te
taire. Ma m?re prit alors la parole en expliquant alors ? Marie,
l'?ducation qu'elle avec l'aide de ses filles, elle tentait de me donner.
Elle expliqua le pourquoi de la ceinture, les entraves et les
restrictions qu'elles m'imposaient afin de m'?duquer. Je voulus dire
quelque chose mais Marie se retournant vers moi, que l?, je n'avais pas
le droit ? la parole et demanda si elle pouvait s'entretenir avec nous
toutes mais sans que je puisse entendre ses propos. Sur ces paroles,
Beth se leva, me demanda de la suivre et me fit asseoir sur une chaise,
me menotta, m'enfourna un ba?llon-boule blanc et me mit des bouchons
anti-bruits.
J'assistai donc sourd et muet ? une tr?s longue conversation entre elles.
Je sus juste qu'elle leur avait avou? son amour pour moi et qu'elle
partageait totalement leurs visions de l'?ducation d'un homme.
A la fin, on me retira seulement mes bouchons anti-bruits et ma m?re
m'annon?a qu'elles encourageaient et soutenaient notre relation. Que
dor?navant, en pr?sence de Marie, en dehors de l'?cole, je continuerais
mon ?ducation, mes entraves et, que m?me si au d?but, c'?tait elle 4 qui
gardaient le contr?le, Marie pouvait m'en imposer d'autres.
Toujours entrav?, je raccompagnai Marie ? la porte, elle me donna un
bisou sur la boule de mon ba?llon et me dit ? l'oreille, je t'aime et toi
? Je ne pus qu'hocher affirmativement de la t?te et elle partit
radieuse.
De retour au salon, toutes me firent part de la chance que j'avais
d'avoir trouv? une fille comme elle mais que j'allais devoir la m?riter.
Le lundi ? l'?cole, Marie se montra tout ? la fois tendre et vindicative.
Tendre quand je lui parlais, vindicative quand je parlais ? d'autres
filles.
Nous ?tions maintenant en d?cembre et un jour, ? la sortie des cours, il
avait tellement neig? que Marie re?ut un appel de ma m?re sur son GSM.
Elle me dit qu'elle ?tait emb?t?e mais que personne ne savait venir
chercher Dominique pour le moment et si elle pouvait s'en occuper. Marie
?tait heureuse de la marque de confiance que ma m?re lui t?moignait.
Je voulus savoir ce qui se passait et Marie me dit juste que je devais
repartir avec elle.
Je vous lus en savoir plus mais elle sortit un journal de son sac et me
demanda de la suivre. Nous nous rend?mes aux toilettes et l?, elle prit
une double feuille du journal et me l'enfourna consciencieusement dans la
bouche, elle releva ma cape, pris mes mains dans le dos et je sentis des
menottes se refermer sur mes poignets.
Si je pensais avoir une soir?e de libert?, voil?, c'?tait illusoire mais
j'?tais heureux car j'?tais pr?s de celle que j'aime.
Elle me dit alors de la suivre car elle avait un bus ? prendre pour
rentrer ? son domicile.
Je la suivis alors docilement car j'allais enfin conna?tre son univers de
vie.
Arriv?s ? son domicile, une grande demeure bourgeoise de la p?riph?rie,
elle me fit entrer, me d?barrasse de ma cape, de mes bottes humides et
arriv? dans le salon, m'?te mon ba?llon et elle m'embrasse
langoureusement. Ce premier baiser dura longtemps et j'en savourai
pleinement toutes les secondes. Nous nous installons dans un divan et
l?, ses baisers reprennent et elle me caresse. Je grimace car la douleur
que me cause ma ceinture est assez forte. Cela fait rire Marie car,
comme elle le dit, au moins elle sait que je ne le suis pas insensible.
La sonnerie de son GSM, nous interrompis et, c'?tait ma m?re pour
m'annoncer qu'elle serait l? dans 15 minutes.
Marie me r?ajuste mes v?tements, attache une corde ? mes poignets afin de
r?cup?rer ses menottes et lie ?galement mes coudes, ce qui m'oblige ?
redresser le torse. Ensuite, elle reprend une double feuille de journal
mais avant de me l'enfourner, me donne un dernier baiser.
Chose faite, elle me colle plusieurs bandes de collant transparents sur
les l?vres.
Elle me dit alors que si elle le pouvait, elle me garderait comme cela
pr?s d'elle et qu'elle n'aimait pas quand je parlais avec d'autres
filles. Sur ces paroles, la sonnerie de la porte retentit, elle me
passa une ?charpe pour dissimuler le ba?llon et me raccompagna jusqu'? la
voiture. Ma m?re remercia Marie d'avoir pris soin de moi aussi bien en
voyant mes entraves.
Elle lui r?pondit que c'?tait bien normal mais que mon attitude ? l'?cole
laissait ? d?sirer et qu'il faudrait en parler car elle ne voudrait pas
que cela d?g?n?re.
Ma m?re et elle, convint que durant les f?tes de fin d'ann?e, elles se
verraient afin d'en discuter.
Sur le trajet du retour, je pensais que jamais je ne pourrais vivre
autrement mais que, maintenant, cela m'?tait ?gal si j'?tais pr?s de
celle que j'aime.
Les jours suivants, je discutai beaucoup avec Marie et, je lui avouai que
j'avais tr?s envie d'elle. Son regard changea et elle me dit, tr?s
s?rieusement, qu'elle ne l'envisageait que si on se mariait. Elle
souhaitait me pr?server et qu'elle trouvait cela terriblement romantique
d'?tre puceau jusqu'au mariage mais aussi que c'?tait une forme d'amour.
Comme nous ?tions ? la fin des cours, elle m'entra?na aux toilettes, pris
une double feuille de journal me l'enfourna sans autre forme de proc?s et
me dit, que c'?tait pour m'?viter de dire des b?tises.
Un peu vex? par sa r?ponse, je d?cidai de lui montrer mon m?contentement
en m'occupant d'autres filles de ma classe. Cela ne fit pas plaisir ?
Marie qui, dot?e d'un caract?re fort, n'abdiqua pas et vint me dire le
vendredi, avant de partir, que j'avais ? faire un choix entre elle et les
autres. Cette proposition, elle ne me la ferait qu'une fois et c'est ?
moi de d?cider. Soit je l'accepte elle comme elle est avec ses exigences
et sa fa?on de voir les choses mais avec tout son amour soit, cela
s'arr?te l? compl?tement. Elle m'annon?a aussi qu'elle annulait sa visite
du week-end ? la maison car dans de telles conditions, elle ne pouvait
venir et qu'elle me laissait le bonheur de l'annoncer ? ma famille.
Le soir, ma m?re lut avec stup?faction que Marie ne venait pas et elles
se retourn?rent vers moi pour m'en demander la raison. Je leur r?pondis
que c'?tait simplement par jalousie.
Elles ?taient r?ellement f?ch?es et ma m?re dit simplement, ce week-end
va te servir ? r?fl?chir et nous allons t'en laisser l'opportunit?. En
effet, hormis le temps de mon travail scolaire et des repas, je passai le
reste des deux jours entrav?s, ba?llonn?s, aveugl?s et priv?s de l'ou?e.
Sur le trajet de l'?cole, le lundi, Lise me dit simplement qu'elle
esp?rait que j'avais bien r?fl?chi et que j'avais pris une d?cision car
mon avenir ?tait cette fois en jeu.
En fait, j'avais effectivement pris une d?cision mais je ne voulais pas
le dire directement ? Marie car cela m'avait fait mal et donc, je voulais
la faire un peu patienter.
Voyant que je faisais l'indiff?rent, elle ne m'adressa pas la parole et
ne s'occupa pas du tout de moi.
Cela me fit plus mal que je ne l'aurais imagin? mais je finis la journ?e
comme cela.
Le lendemain, je voulais lui annoncer la d?cision mais elle ne vint pas,
nous appr?mes qu'elle ?tait malade jusqu'? la fin de la semaine. Je me
portai volontaire afin de maintenir ses cours en ordre mais, durant le
reste de la semaine, j'errai comme une ?me en peine car je craignais de
la perdre.
Le mercredi sachant que quelqu'un allait venir prendre ses devoirs,
j'aurais d? mettre un mot pour elle, mais je n'osais pas.
Durant, le week-end, j'ai beaucoup pleur? mais personne ne vint me
consoler car elles me dirent que cette situation ?tait de ma faute.
Le lundi arriva, j'avais le c?ur serr?, une boule dans le ventre et
enfin, je vis Marie mais elle passa pr?s de moi sans me jeter un regard.
A midi, je lui demandai si l'on pouvait se parler.
Elle me suivit dans un endroit un peu ? l'?cart des autres, je lui
demandai de ses nouvelles et elle me r?pondit, pourquoi cela t'int?resse
? Tu n'as pas pris la peine de t'en inqui?ter la semaine derni?re. Je
bafouillai, elle m'interrompit en demandant si je n'avais rien d'autre ?
me dire car si c'?tait le cas, elle avait d'autres occupations. Je lui
dis alors, tout doucement, que j'avais fait un choix. Elle me regardait
alors fixement dans les yeux, sans sourciller, elle ajouta et?? Ce choix
c'?tait elle. Elle ne fit qu'un petit sourire et elle dit, tu as mis
beaucoup de temps avant de te d?cider. M'aimes-tu r?ellement?? Sais-tu
la peine que m'as faite??
Je r?pondis oui plus que tout et non mais je m'en excuse. Elle ajouta,
il va falloir que tu prennes la pleine mesure de ce que cela entra?nera
comme choses, comportements et attitudes que je devrai changer car elle
ne voulait plus jamais vivre cela. Je lui annon?ai que j'?tais pr?t ?
faire ce qu'elle voulait. Elle termina par nous en reparlerons bien vite
et que je suis en p?riode probatoire, si je ne l'?coutais pas, elle
m'abandonnerait du jour au lendemain sans plus jamais ne m'adresse la
parole. Est-ce clair?? J'hochai affirmativement de la t?te et nous
rejoign?mes notre classe.
Ma famille ne put que lire avec attention et une certaine joie mon
journal.
Le lendemain, je ne pus m'emp?cher d'all? parler avec d'autres filles,
Marie vint me chercher dans le groupe et, ? l'?cart, me dit voil? une
premi?re chose ? laquelle tu dois rem?dier. Arr?ter d'aller faire du
charme aux autres, les ?changes pouvaient exister mais uniquement d'ordre
scolaire.
Je voulus objecter mais son regard me montra que je devais plut?t me
taire. Dor?navant, je veux qu'? la fin des cours, je puisse te ba?lloner
moi-m?me et que pour venir, tu ne retireras ton ba?llon qu'en ma
pr?sence. Est-ce clair?? Je pense que ta maman et tes s?urs n'y verront
aucune objection. C'est en vigueur d?s aujourd'hui.
A la fin de la journ?e, apr?s m'avoir plac? mon ba?llon journal, elle me
posa un petit baiser sur les l?vres comme pour me r?compenser.
Dans la voiture, Anne s'?tonna que j'?tais d?j? ba?llonn? mais ajouta
souriante, apparemment Marie a repris les choses en main. Ma m?re lut ?
voix haute, les recommandations que Marie m'avait faites et toutes ne
purent qu'approuver totalement. Elles ajout?rent, nous constatons que tu
as fait le bon choix et qu'elles esp?rent que je m'y tiendrai.
Le lendemain, pendant le trajet, Beth me faisait r?citer ma le?on,
arriv?, j'allais sortir qu'elle m'arr?te et me demande si je n'avais rien
oubli??? Je la vois prendre une double feuille de journal et me la place
dans la bouche. Je sors et vait rejoindre Marie. Je croise plusieurs
filles qui me disent bonjour mais je suis dans l'incapacit? de r?pondre
et donc je passe en les saluant du regard. Marie qui n'a rien perdu de
la sc?ne, me fait la bise et me dit, alors, c'est bien mon amour. Juste
avant de rentrer en classe, elle m'autorise ? ?ter mon ba?llon.
Ayant l'habitude de marcher vite, je suis toujours en avance sur Marie
dans les couloirs, les escaliers et, elle me dit que cela n'est pas tr?s
courtois, elle me sugg?re alors que dor?navant, je porte le syst?me ?
lani?re avec une sangle de 25 cm maximum. Je ne dis mot et n'ose la
contredire. Pendant la pause de midi, elle s'absente et d'autres filles
viennent alors pour me parler, j'en suis content mais pas Marie qui ne
manque pas ? son retour de me le faire remarquer.
Le lendemain, j'arrive sangl? et ba?llonn?. Nous sommes dans la derni?re
semaine avant la p?riode de fin d'ann?e et elle me dit, heureusement,
bient?t les cong?s, cela nous permettra de mettre certaines choses au
point. J'essaie d'en savoir plus mais elle ne dit rien et m'emm?ne vers
les toilettes, m'embrasse goulument et amoureusement. Ensuite, elle me
ba?llonne avec une triple feuille de journal car elle veille ? ce que ma
bouche soit totalement remplie. Ensuite elle soul?ve ma cape et me lie
mes poignets solidement ensemble. Je la suis vers la sortie et sur le
trajet, elle me dit qu'elle est heureuse et qu'il est bon d'avoir un
petit ami aussi bien ?duqu? que moi. Nous attendons ma m?re et vu
qu'aujourd'hui, il pleut beaucoup, elle lui propose de la d?poser ? son
domicile. Marie accepte volontiers et dans la voiture, elle demande si
elle peut me placer les entraves. Maman lui tend et Marie s'applique, me
retire mes liens des poignets pour les remplacer par les menottes et se
sert du lien pour mes coudes et demanda ? ma m?re si elle ne trouvait pas
que cela me permettait de mieux me tenir droite.
Elle prend du tape transparent et coupe plusieurs bandes, qu'elle
applique consciencieusement sur ma bouche.
Elles discutent alors durant le trajet sur la vision que Marie avait de
l'avenir et des relations qu'elle esp?rait avoir avec moi. Marie lui
r?pondit, ne vous inqui?tez pas, j'aime ?norm?ment Dominique et
j'aimerais faire ma vie avec lui. Je souhaite plus que tout poursuivre
la rigueur qu'elle avait inculqu? ? son fils et que pour elle, les
entraves et le reste lui paraissait normal. Elle trouvait juste que nous
?tions encore trop laxistes avec moi et qu'elle avait d? intervenir si
elle ne voulait qu'il devienne volage. Elle demande alors si ces
demandes des deux derni?res n'ont pas ?t? mal per?ues.
Au contraire, r?pondit ma m?re, elle trouve, ainsi que ses filles, que je
suis parfaite et que toute nouvelle suggestion sera appr?ci?e. Marie la
remercia beaucoup pour cette confiance et que justement, elle aimerait
que durant les f?tes pouvoir venir et parler un peu de tout cela avec
elle et mes s?urs.
Par ailleurs, elle aimerait aussi pr?senter Dominique ? sa m?re
maintenant que leur relation ?tait s?rieuse.
Fay
- 25.06.2021
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