Dominique
- 2 years ago
- 8
- 0
L'?ducation De Dominique free porn video
Aujourd'hui, c'est un grand jour pour moi car je vais rencontrer ma
ma?tresse et entrer en fonction comme secr?taire-esclave. J'en suis
fier mais laiss? moi vous contez comment tout cela est arriv?.
Je m'appelle Dominique, j'ai 22 ans et je suis le cadet d'une famille de
4 enfants. Je n'ai que des s?urs et nous avons ?t? ?lev?s par notre
m?re, notre p?re ?tant d?c?d? 1 an apr?s ma naissance. Nous n'avons
jamais manqu? de rien car notre famille est ais?e.
Mes s?urs se pr?nomment, Anne, Lise et Beth.
J'ai toujours ?t? depuis ma plus tendre enfance ?t? hyper prot?g? par ma
m?re et mes s?urs.
Quand j'?tais petit, elles jouaient ? la poup?e avec moi, me pouponnait
comme une fille et en grandissant, ne voulant pas que je devienne un
homme macho, viril, elles ont toutes particip?s ? mon ?ducation et ? mon
apparence.
C'est simple, je suis glabre, sans poils et j'ai des cheveux mi-longs.
Ma silhouette est plus proche d'un mannequin que d'un d?m?nageur.
Je ne suis pas devenu homosexuel car je vais bient?t me marier mais il
est vrai que je suis encore puceau. D'ailleurs comment pourrait-il en
?tre autrement puisque je porte une ceinture de chastet? depuis mes 15
ans. En effet, je fus surpris par ma s?ur a?n?e en train de me
masturber devant une revue ?rotique.
Je m'en souviendrai toute ma vie, elle me sortit de ma chambre et
m'emmena dans le salon ou tout le monde appris la nouvelle. Durant une
semaine, je ne suis pas all? ? l'?cole car ne voulant pas que cela se
reproduise, en attendant la ceinture de chastet? command?e sur internet,
je passais mes journ?es, avec les mains menott?es dans le dos, sous la
surveillance implacable de mes s?urs.
J'avais droit entre une et deux fois par mois ? ce que ma m?re, me
masturbe afin de veiller ? ma sant?.
Cela se passait ainsi, je devais mettre un plastique sur mon lit, me
bander les yeux, m'?tendre sur le lit et elle venait alors me passer des
menottes qu'elles fixaient ? la t?te de lit.
Elle enfilait des gants de latex et l?, commen?ait la s?ance plus ou
moins longue, cela d?pendait car m?me si cela ressemblait ? une corv?e,
? une traite, elle souhaitait que je prenne du plaisir aussi car elle
esp?rait qu'un jour, je lui donnerais une descendance.
Ensuite, j'avais droit ? aller prendre une douche sans ma ceinture
pendant que maman rangeait mais d?s ma sortie de la salle de bain, elle
m'?tait replac?e.
La cl? ?tait d?tenue par ma m?re et mes s?urs, elle la portait en
collier.
Toute mon ?ducation fut donc ax?e sur le respect des femmes et ? ma
soumission vis-?-vis d'elles.
J'?tais dans une ?cole catholique priv?e o? les cours ?taient dispens?s
par des s?urs.
Il y avait tr?s peu de gar?ons dans celle-ci et j'?tais m?me le seul
homme de ma classe.
Un jour, ? la sortie des cours (j'avais 13 ans), je me disputais avec
une fille de ma classe (une peste), je l'injuriai, ma m?re assista ? la
sc?ne et fut interloqu?e par la violence de mes propos.
Choqu?e par les ?v?nements, elle me fit monter promptement dans la
voiture, pris une feuille de journal, la froissa, me l'enfourna dans la
bouche, retira son foulard, fit un n?ud au milieu et s'en servit pour me
baillonner s?v?rement. Elle prit les menottes qui se trouvaient dans la
bo?te ? gants et me les passa.
Pendant le trajet du retour, elle me sermonna et me pr?vint que c'?tait
la derni?re fois qu'une telle chose pouvait se produire. D?s demain, je
devais faire des excuses publiques ? la fille que j'ai invectiv? et que,
comme punition, durant les 15 prochains jours, je serais b?illonn? en
dehors des cours en permanence.
Arriv? ? la maison, le conseil de famille fut r?uni afin d'?tre mis au
courant de la situation, je n'eus ?videmment pas droit ? la parole.
Elles d?cid?rent de commander des baillons boules afin de m'inculquer le
silence. Les ba?llons-boules auraient des couleurs diff?rentes pour
signifier des choses diff?rentes. Le rouge c'est la punition, le noir
c'est la remise ? l'ordre et le blanc, pour que j'apprenne le silence.
Pour les trajets et sorties, une double feuille de journal emplissant ma
bouche suffirait car cela restait discret, ?conomique mais efficace et
donc, depuis ce jour, chacune d'elle a toujours eu un journal ainsi que
du tape transparent dans son sac.
Elles en us?rent et en abus?rent ? maintes reprises car, il est vrai,
que je parle normalement beaucoup.
A mes 16 ans, en pleine adolescence, je voulus me rebeller et je
m'enfuis donc de la maison.
Ce n'est que 72 heures plus tard, que la police me d?couvrit dans une
maison abandonn?e et me reconduisit ? la maison. Aussit?t que la police
fut repartie, ma m?re et mes s?urs heureuses de me retrouver sain et
sauf, d?cid?rent qu'? situation extraordinaire, il fallait des mesures
extraordinaires. Dor?navant, hors enceinte de l'?cole, je serais
entrav? en permanence, de mani?re ? m'?viter toute nouvelle m?saventure.
Il fut command? tout le mat?riel n?cessaire afin de me pr?server de
toutes nouvelles tentations.
D?s ce jour, je dus porter d?s que j'?tais hors de l'?cole des fers aux
chevilles avec une longueur de cha?ne entre chevilles d'environ 25 ? 30
cm, des menottes aux poignets avec une cha?ne reli? ? une ceinture qui
enserre ma taille.
J'?tais ?galement tr?s souvent b?illonn? et surtout hors de la maison.
Je ne pouvais plus sortir sans ?tre accompagn? de quelqu'un.
Contrairement, ? ce que j'avais craint, tout cela me plaisait car
j'?tais pris en charge tout le temps et n'avait plus ? me soucier de
rien.
Le nouveau changement survint ? la fin de mes ?tudes secondaires.
Cela se produisit lorsqu'un jour, accompagnant ma m?re et ma s?ur a?n?e
Anne, dans des magasins de v?tements. Elles virent une cape qui, ?
leurs yeux, offrait quelques avantages lors de nos sorties. Elles
demand?rent pour que je puisse l'essayer et toutes enchant?es de leur
trouvaille, d?cid?rent de l'acheter. Pendant que ma m?re, allait r?gler
les achats, ma s?ur me rejoignit et dans l'intimit? de la cabine me
passa les menottes avec les mains dans le dos, prit une double feuille
de journal qu'elle m'enfourna promptement dans la bouche, m'enfila la
cape et sortit de la cabine. Tout penaud, je la suivis et quand les
vendeuses me dirent au revoir, je ne pus leur r?pondre que par un
hochement de la t?te. Elles continu?rent ? faire leurs emplettes et je
ne pus que les suivirent silencieusement, elles se f?licit?rent de ma
discr?tion et se promirent de refaire cela prochainement.
Tous les magazines masculins disparurent et furent remplac?s par des
f?minins.
Quelques jours plus tard alors que nous faisions les courses dans un
supermarch?, je m'?clipsai pour aller feuilleter des revues masculines
et c'est ma s?ur Beth qui me retrouva, elle ne dit rien, prit un journal
et je dus me r?soudre ? la suivre vers les caisses.
Dans la voiture, apr?s m'avoir b?illonn? avec le journal et du tape,
elle utilisa son foulard pour me placer un bandeau sur les yeux. Elle
informa, ? ma m?re intrigu?e, qu'elle m'avait surpris en train de lire
des revues non autoris?es et que, de ce fait, elle trouvait normal ce
traitement. Ma m?re ne put qu'approuver et, donc, j'allais rester
aveugl? jusqu'au lendemain matin.
Durant les vacances de cet ?t? l?, les journ?es ?taient rythm?es par
l'apprentissage des diff?rentes t?ches m?nag?res de la maison et,
l'essayage de nouvelles tenues qui ?taient de plus en plus f?minines que
masculines.
Par ailleurs, j'avais remarqu? que toute forme de toison disparaissait
de mon corps et que mon corps ?voluait aussi sans parler du cot?
?motionnel qui s'insinuait de plus en plus dans mes attitudes.
Un jour, voulant aborder le sujet avec ma m?re, celle-ci m'annon?a que
justement le sujet allait ?tre ?voqu? lors du repas familial.
A la fin du souper, ma m?re m'annon?a qu'? la rentr?e prochaine,
j'allais int?grer une ?cole priv?e afin de suivre des ?tudes de
secr?tariat. Cette ?cole avait juste une particularit?, c'?tait une
?cole r?serv?e aux femmes. Je voulus r?agir mais elle ne m'en laissa
pas l'opportunit? et continua, depuis 2 mois, nous te faisons suivre un
traitement hormonal afin que tes attributs f?minins se d?veloppent en
lieu et place des masculins.
Je commen?ais ? mieux comprendre certaines choses. Elle ajouta que je
garderais mes attributs masculins uniquement au niveau du sexe. Mon
pr?nom les aidaient beaucoup dans toutes les formalit?s administratives
car il se pr?tait bien au deux sexes. Durant le mois, qu'il reste avant
la rentr?e, nous allons finir de te pr?parer afin que tu sois pr?te ?
entrer dans mes nouvelles ?tudes.
Elle termina en me demandant si j'avais des questions.
Je demandai en premier, si j'allais avoir un kot durant la dur?e de mes
?tudes. Unanimement, elles me r?pondirent que non et que je ferais tous
les jours le trajet avec une de mes s?urs car elles passent toutes ?
proximit? de l'?tablissement.
Si maintenant, que mes ?tudes secondaires ?taient termin?es les r?gles
allaient s'assouplir pour moi. A nouveau, elles m'annonc?rent que non
et qu'au contraire, elles allaient encore ?voluer. Elles me dirent
aussi que c'?tait pour mon bien, que je n'avais qu'? me soucier de mes
?tudes et que le reste, elles s'en occupaient.
Je compris, ? ce moment l?, que mon avenir ?tait entre leurs mains et
naturellement, je ne pus m'emp?cher d'esquisser un sourire.
Cela ne leurs ?chappa pas et, se r?jouirent de leurs choix.
Ma m?re m'indiqua que chacune d'elles allait m'apprendre tout ce qu'il
faut pour devenir une femme.
Anne et elle, allaient s'occuper de ma garde-robe.
Lise du maquillage, coiffure et des soins.
Beth du maintien, vocabulaire et attitudes.
D?s le lendemain, Lise me pris en charge pour une premi?re explication
et mise en pratique des soins que je devais suivre tous les jours.
Beth prit le relais l'apr?s-midi afin de m'inculquer le ba ba des
mani?res ? savoir.
En fin de journ?e, j'?tais fatigu? et voulant me d?tendre, j'allumai la
t?l?vision et me vautrai dans le fauteuil. Beth entendit l'?mission et
apparut comme une furie dans le salon en me disant que je n'avais donc
rien appris aujourd'hui. Elle d?fit mes menottes des poignets pour me
les rattacher dans le dos, prit un ba?llon boule rouge et me b?illonna
tr?s s?v?rement mais non contente, elle revint quelques minutes plus
tard avec un bandeau en cuir tr?s ?pais qui m'aveugla de mani?re tr?s
efficace. Pour terminer, elle me pla?a des bouchons anti-bruits afin,
comme elle dit, que je puisse m?diter efficacement sur la le?on du jour.
Je restai ainsi jusqu'au souper ou ma m?re instaura le fait que chaque
jour, je devais faire un compte rendu ?crit de mes le?ons dans un petit
cahier. Elle me dit que je pouvais faire court mais pr?cis et que je
devais lui pr?senter chaque jour ? la fin du repas afin qu'elle puisse
suivre mon ?volution.
Je voulus objecter mais elle me fit comprendre que ce n'?tait nullement
discutable.
Le lendemain, je partis avec elle pour aller choisir quelques v?tements
et sous-v?tements.
Notre premier arr?t concernait les sous-v?tements, elle choisit
diff?rentes culottes gainantes, des bas et des porte-jarretelles de
diff?rentes mais le tout ?tait toujours bien assortit.
Elle interrogea la vendeuse sur les corsets car elle dit regarder ma
fille, elle n'a pas les hanches d'une fille, on dirait un gar?on. Un
comble pensai-je mais je n'aurais jamais os? la contredire. La vendeuse
lui conseilla alors les corsets dits ??victorien?? car c'est eux qui
offrent le plus de maintien et de soutien mais qu'en plus avec leurs
syst?mes de la?age, on pouvait faire ?voluer la taille au gr?s des
progr?s de la femme. La vendeuse prit ma taille, elle dit alors,
actuellement elle fait un 36 mais je pense que vous pourriez lui faire
retrouver, avec un peu de discipline, une taille 32 dans un avenir
proche. Satisfaite des explications, ma m?re m'en acheta un noir
imm?diatement et en commanda plusieurs autres de diff?rentes couleurs.
Nous pass?mes ensuite aux v?tements, elle choisit une boutique qui ?tait
sp?cialis?e dans les tailleurs et tenues assez sobres. Directement,
elle donna le ton ? la vendeuse en lui disant, qu'elle en avait assez
que je ne porte que des jeans et des baskets, il ?tait temps que je
passe ? autre chose. Elle choisit diff?rentes jupes et tailleurs que je
dus aller essayer. Il fallait effectuer quelques retouches mais dans
l'ensemble cela allait bien.
Vint les diff?rents chemisiers de coton et de satin en harmonie avec les
tailleurs choisit.
Et finalement, ce fut le magasin de chaussures qui cl?turait la matin?e.
Voulant me plaindre, ma m?re me fit remarquer que je n'?tais qu'une
ingrate et que les ingrates seront justement sanctionn?es. Je n'osai
plus rien ajouter et je la laissai choisir les escarpins, bottillons et
bottes.
Ce n'est qu'en fin d'apr?s-midi que nous regagn?mes la maison. Je
montai les v?tements dans ma chambre et en voulant les ranger, je
constatai que tous mes v?tements masculins avaient disparus. J'allais
appeler quand ma s?ur Anne entra dans la chambre pour pouvoir voir mes
emplettes. Je la questionnai sur la disparition de mes v?tements. Elle
me r?pondit que d'un, je n'en avais plus besoin et que par ailleurs, je
posais beaucoup trop de questions.
Sur ce fait, elle prit un ba?llon boule noir et me le pla?a en prenant
soin de bien serrer la lani?re, le ??clic?? du cadenas m'?ta toute
illusion de lib?ration.
Les jours qui suivirent, je re?us d'autres v?tements f?minins que mes
s?urs avaient command?s via des commandes internet cela allait jusqu'?
tabliers.
Les jours qui suivirent les le?ons s'intensifi?rent et les r?primandes
aussi, si bien qu'en dehors de leurs le?ons, j'?tais tr?s souvent
entrav?s, priv? de la vue, de la parole et m?me r?guli?rement de l'ou?e.
Chaque soir, apr?s le repas, ma m?re consultait mon journal et demandait
? mes s?urs de commenter un peu sur mon suivi.
Le jour de la rentr?e tant attendu et redout? arriva.
J'?tais inquiet mais aussi impatient de pouvoir entrer en cours afin de
pouvoir m'?chapper du cocon oppressant que repr?sentait ma sph?re
familiale.
Pour le premier jour de cours, ce f?t ma m?re qui me conduisit ?
l'?cole, je re?us encore et toujours ses recommandations. Elle
m'accompagna jusqu'au bureau de la direction ou nous f?mes accueillies
par la Directrice de l'Etablissement. Apr?s m'avoir fait part des
r?gles tr?s strictes en mati?re de discipline, de comportement, je fus
conduite dans ma classe par une secr?taire.
Les classes ?taient compos?es de 10 ?l?ves au maximum et je dus
m'installer seule sur une table comme les autres ?l?ves de la classe.
Durant, les moments de pause de la journ?e, timide et g?n?, je restai ?
l'?cart des autres.
Quelques groupes se form?rent mais je n'osai me m?l? ? l'un deux.
Ce fut ma s?ur Anne qui vint me chercher ? la sortie et qui,
inhabituellement, pour le trajet de retour, m'entrava s?v?rement et me
b?illonna comme si, elle voulait me faire comprendre que j'?tais bien
toujours sous leurs contr?les.
Ma m?re lors du souper me fit remarquer que la rentr?e des classes ne me
dispensait nullement de mon compte rendu hebdomadaire. Elle me dit que
je devais aussi le compl?t? par la liste des ?l?ves de ma classe mais
aussi des filles que je fr?quente.
Vu le ton ainsi que les questions que me pos?rent mes s?urs, je ne pus
que m'y r?soudre.
Le lendemain, lors de la journ?e, une fille sortit d'un groupe et
s'approcha de moi. C'est ainsi que je fis la connaissance de Marie et
bien vite nous avons commenc? ? sympathiser.
Marie est une belle fille de mon ?ge, qui d?gage naturellement de
l'autorit? mais qui plus est, ? beaucoup de charme. Bref, pour la
premi?re fois de ma vie, ? sa pr?sence, j'eus un d?but d'?rection mais
ma ceinture de chastet? me rappela cruellement ? l'ordre.
Au bout de quelques jours, nous devenions ins?parables comme attir? par
un aimant.
Elle posait beaucoup de questions sur moi, ma famille mais je restais
?vasif car je souhaitais pr?server notre intimit? toute relative. Je ne
fis d'ailleurs nullement mention de Marie dans mes comptes rendu
journaliers.
Je m'arrangeais, le soir, de m'?clipser afin qu'elle ne rencontre pas
une de mes s?urs.
Cependant, l'intuition f?minine surement, mes s?urs se doutaient de
quelque chose car leurs questions ?taient de plus en plus pr?cises mais
je tenais bon.
Au bout d'un mois de ce petit jeu, ? la sortie de l'?cole en allant
rejoindre ma s?ur Anne ? sa voiture, Marie me rattrape car j'avais
oubli? mon foulard en classe. C'est spontan?ment alors qu'elle s'est
dirig?e vers ma s?ur afin de se pr?senter. Anne bien que surprise par
les ?v?nements, n'en ?tait pas moins satisfaite de d?couvrir la v?rit?.
Elles ?chang?rent quelques mots et subtilement, Anne, question par
question, finit par apprendre tout ce que j'avais dissimul?. En se
quittant, elles se firent la bise et dans la voiture, Anne me pla?a mes
entraves et me b?illonna avec un ba?llon boule rouge qu'elle dissimula
avec mon foulard. Elle me dit juste qu'elle n'aimait pas les
cachotteries que je leurs avaient faites mais que nous en discuterions
plus tard en famille. Elle ajouta juste qu'elle trouvait tr?s
sympathique Marie mais d?s notre retour, j'avais int?r?t ? compl?ter
convenablement mon cahier car, de son contenu, d?pendait les sanctions
qui me serait appliqu?e.
Je commen?ais ? craindre les r?actions du conseil de famille car je ne
voulais pas perdre Marie.
Vint la fin du souper et ma m?re, s'?tonna de la grandeur inhabituelle
de mon rapport. Elle le lut ? voix haute. Lise et Beth ?cout?rent
attentivement tout en me montrant leurs m?contentements. Ma m?re
souhaita, en premier lieu, d'avoir des pr?cisions sur Marie et sa
famille. Ne pouvant r?pondre correctement aux questions, elles se
mirent d'accord pour inviter Marie ? venir un week-end prochain afin de
faire connaissance.
Lise prit la parole et demanda quelles sanctions allaient-elles prendre
au vu des manquements dont j'avais fait preuve. Je fus priv? durant les
15 prochains jours de sortie, de t?l?vision et que j'allais, chaque
soir, devoir effectu? une corv?e pour l'une ou l'autre. Egalement,
elles convinrent que mes entraves devaient ?tre renforc?es.
Elles d?nich?rent via internet, un syst?me de sangle qui se fixe juste
avant le genou qui entrave la marche. Un judicieux syst?me les relient
? mon porte-jarretelles l'emp?che de glisser durant la marche. Le
syst?me est invisible car la jupe le dissimule mais est tr?s efficace
comme entrave. Dor?navant, lors de toute sortie, je devais en ?tre
pourvu.
Plus les jours passaient, plus je me rapprochais de Marie et la
r?ciproque ?tait de mise.
Mais ce rapprochement me montra aussi une nouvelle facette de Marie, la
jalousie.
En effet, elle supportait assez mal que d'autres condisciples aient des
conversations trop longues et, un jour, je la surpris m?me ? me faire
une remarque car je faisais trop de sourire ? une autre fille.
Mes s?urs la jouaient finement et sans que je ne rende compte
r?ellement, chacune d'elles avaient fait connaissance avec Marie et
c'est donc naturellement, qu'un jour, Lise convint avec Marie qu'elle
vienne nous rendre visite le dimanche du premier cong? qui arrivait.
Lise en fit part aux autres lors du souper et, comme il restait une
petite dizaine de jours, elles se mirent d'accord pour transformer ma
chambre, ou subsistait quelques objets masculins de mon enfance ainsi
que des photos ou posters, en une d'?tudiante.
En une semaine tout fut r?gl? et ? ce moment l?, je pris conscience que
plus rien ne subsistait du Dominique masculin.
Ce vendredi ?tait aussi le jour du bulletin. Il ?tait assez bon mais
une remarque de la titulaire venait g?cher l'ensemble. Il ?tait not?
que je parlais trop et, que cela perturbait le bon d?roulement de cours.
Blaze
- 14.01.2023
- 19
- 0
