Dominique
- 2 years ago
- 8
- 0
L'?ducation De Dominique 4 free porn video
Le dimanche, ? 14 heures, je sonnais ? la porte de la demeure de Marie.
Quelques secondes plus tard, ce f?t sa maman qui m'ouvrit, troubl? voire
g?n?, je bredouillai un bonjour et je p?n?trai dans la maison. Elle
m'invita ? me d?barrasser et elle constata que je ne portais pas
d'entraves. Contrari?e en me voyant ainsi, elle m'indiqua que Marie
arrivait, elle finissait de se pr?parer, je la suivis au salon et elle
se dirigea vers un secr?taire, ouvrit un tiroir et revint vers moi avec
une paire de menottes. N'osant rien dire, je me retournai et mit mes
mains dans mon dos, elle me passa les menottes et ensuite, me montra le
canap? afin que je m'y assoie.
Estelle s'installa dans un fauteuil en face de moi et reprit sa lecture.
Que les minutes me parurent longues, je n'osai pas dire un mot et ce
n'est qu'au bout de 10 minutes que Marie arriva. Enjou?e, elle me donna
un bisou furtif, je vois que Maman t'a mis ? l'aise pour patienter.
Elle m'enjoignit de la suivre, je me levai donc et nous nous sommes
rendus dans sa chambre. Arriv?s dans celle-ci, elle m'embrasse
langoureusement et me jette sur le lit, me prodigue des caresses et des
baisers qui me mette dans un ?tat ou ? nouveau bonheur et frustration se
m?lange. Ces moments rares sont privil?gi?s et ? chaque fois, plus
profond, et finalement habilement, me mettent en ?tat de d?pendance vis-
?-vis d'elle.
Au bout d'un long moment, apr?s un long baiser, elle s'arr?te et vient
se lover dans le creux de mon ?paule, nous profitons de ces instants de
bonheur en silence.
Finalement, elle rompt le silence en me disant qu'elle m'aime.
Elle se redresse, me regarde dans les yeux et me demande si je souhaite
que son bonheur soit complet. Evidemment, lui r?pondis-je.
Alors dit-elle, sure de son fait, tu ne verras aucuns inconv?nients ?
suivre mes diff?rentes recommandations.
Comme convenu avec ta famille, tu vas porter un corset plus souvent, des
longs ou des courts, en fonction de tes activit?s. Je me suis
d'ailleurs permise de t'acheter un corset victorien que j'aimerais que
tu essaies. Joignant le geste ? la parole, elle m'aide ? me relever,
m'?te mes menottes, me demande d'?ter mon chemisier et ma jupe pendant
qu'elle sort de sa garde robe, ledit corset. Celui-ci est noir, long et
elle s'empresse de me l'enfiler, elle commence le la?age et elle me
demande de rentrer mon petit ventre et plus le serrage continue, plus je
sens la rigidit? du corset qui m'oblige ? avoir le tronc droit.
Elle termine enfin et elle me demande mon opinion, je lui avoue que je
trouve cela tr?s contraignant. Elle prend alors une mine d?faite pour
me dire que comme tous les hommes, je ne suis jamais satisfait alors que
l'on s'occupe de leurs personnes. Elle me regarde alors en me demandant
si je ne voulais pas faire un effort pour elle. Je n'osai, ?videmment,
pas dire non. Je me rhabille et elle vient alors avec un corset de
nuque m?dical et, en me le passant, me dit, cela t'aidera ? avoir une
tenue droite, alti?re. J'en ai command? de plus ?l?gant sur internet,
ils doivent arriver tr?s bient?t. Cela fait, elle me replace mes
menottes aux poignets et en profite, pour m'en placer aux chevilles et
la cha?ne qui les relient n'exc?de pas 20 cm.
Elle termine en pla?ant un ba?llon boule blanc et la boule de celui-ci
est la plus imposante que j'ai eu ? porter jusqu'? maintenant, elle le
place d'ailleurs avec une certaine difficult? et ferme la sangle de
mani?re tr?s ?troite. Voil? dit-elle, comme je souhaite ?voquer
certaines choses avec et que je ne souhaite pas que tu m'interrompes, je
pense que c'est mieux ainsi.
Elle me demanda si je me rendais compte du mal que je lui faisais quand
je m'int?ressais ? d'autres filles qu'elle. J'hochais la t?te
n?gativement, elle continua en disant qu'elle s'en doutait et que donc,
dor?navant, je ne devais plus parler ? une autre fille que pour une
n?cessit? scolaire et que donc, le ba?llon journal est toujours
d'application et qu'elle veillerait ? ne plus avoir d'?cart de ma part
sinon elle prendrait d'autres mesures.
Par ailleurs, pour les repas et autres boissons, vu que je n'aurai plus
d'argent du tout, cela s'effectuera avec elle sous sa supervision car
elle souhaitait que je retrouve une ligne.
Pour tes arriv?es et tes d?parts de l'?cole, tu dois les effectuer avec
moi, ta maman et tes s?urs y tiennent aussi.
Me suis-je bien faite comprendre?? J'hochais positivement la t?te. Son
visage s'illumina et elle me fit un bisou sur la joue.
Bien maintenant, dit-elle, nous allons rejoindre Maman au salon pour
parler du stage que nous devons effectuer en soci?t? durant le dernier
trimestre de l'ann?e. Je te prie de l'?couter sans l'interrompre car
elle n'aime pas l'?tre quand elle parle travail.
Je la suivis donc au salon tant bien que mal car mon corset et mes
entraves ne me facilitaient pas la t?che pour descendre les escaliers.
A notre arriv?e, elle leva la t?te, interrompit sa lecture et f?licita
sa fille tant pour ma tenue que pour mon allure. Je ne pus m'emp?cher
de rougir.
Nous nous install?mes dans le canap? face ? elle. Estelle reprit, Marie
m'a appris que vous deviez effectuer un stage de 15 jours en entreprise
cette ann?e. Tu n'es pas sans savoir que je suis la directrice d'une
soci?t? et que, donc ne pouvant prendre ma fille comme stagiaire,
j'accepte de te prendre pour ce stage. Tu l'effectueras dans mon
secr?tariat direct ce qui signifie que tu travailleras pour moi et tu
effectueras les t?ches que ma collaboratrice t'assignera. C'est elle
qui te supervisera et tu devras lui ob?ir comme si c'?tait moi qui te
donnais ton travail. Je l'ai mise au courant de certaines
particularit?s quant ? la mani?re de te g?rer. La connaissant depuis
plus de vingt ans, elle m'a assur? qu'elle veillerait sur toi et qu'elle
ferait le n?cessaire pour suivre mes recommandations et celles de Marie
comme de ta maman pour ton suivi.
Mais afin de respecter un certain protocole, tu feras parvenir au si?ge
de la soci?t? ta lettre de candidature dans les plus brefs d?lais.
Maintenant que nous en avons finis avec ceci, nous allons prendre une
collation.
Marie m'?ta mon ba?llon et mes menottes mais les refixa imm?diatement
avec mes mains devant. Le temps de faire travailler mes m?choires
douloureuses, je remerciai Estelle de me prendre dans sa soci?t? pour le
stage et que je m'efforcerai de faire du mieux possible.
Elle m'interrompit s?chement en me disant s'efforcer pour elle, n'?tait
pas suffisant.
Voyant sa r?action, je ne dis plus un mot. Nous sommes alors pass?s
dans la salle ? manger pour prendre le th? ainsi qu'un petit g?teau.
Marie dit alors, tu as de la chance que nous sommes dimanche car pour
ton r?gime, le g?teau est ? proscrire mais bon, pour une fois, ce
n'?tait pas trop grave.
Il allait ?tre temps de prendre cong?, Marie me retira mes menottes aux
chevilles. Je me levai, saluai Estelle et dans le hall Marie m'embrassa
longuement. Elle me mit ma cape et, juste apr?s, m'enfourna trois
double feuille du journal qui m'attendait dans le hall. A peine avait-
elle finit que la sonnerie retentit. Marie et Anne ?chang?rent quelques
mots et nous rentr?mes ? la maison.
Le lendemain, ? l'?cole, plus que jamais Marie ne me laissait aucun
r?pit hors des cours.
Rien ne lui ?chappait et finalement, au lieu d'en ?tre accabl?, je
ressentais de la fiert? car elle faisait tout cela pour moi.
La semaine qui suivit, le vendredi, il devait y avoir un travail de
groupe. Le professeur, au lieu de laisser les groupes se former
naturellement, les imposa. Je me retrouvai donc dans un groupe sans
Marie et cela ne lui plaisait pas du tout. Libre d'elle, je m'amusai
donc avec les autres filles de mon groupe et, nous avons beaucoup rit.
A la fin de la journ?e, au lieu de m'embrasser, elle me mit quatre
feuilles de journal, cela distendait mes joues et elle me raccompagna ?
la voiture de Beth. Quand je fus assis, elle retira son foulard, fit un
n?ud en son milieu et s'en servit pour me baillonner tr?s s?v?rement
par-dessus la boule de journal. Elle dit ? Beth, il a trop parl?
aujourd'hui et j'aimerais qu'il le garde jusqu'au souper si possible.
Pas de probl?mes, r?pondit-elle et si tu le souhaites, je peux le
baillonner ? nouveau apr?s. Oui, ce serait gentil, merci et de toute
fa?on, dimanche, je mettrai d?finitivement les choses au point. Elle
partit sans m?me se retourner sur moi. Beth se contenta de dire, tu as
d? certainement passer les bornes pour qu'elle soit aussi en col?re.
Le dimanche, ? peine entr?, Marie me menotta s?v?rement, me pla?a le
gros b?illon boule blanc et c'est avec difficult? que je la suivis
jusqu'? sa chambre.
Elle s'assit sur sa chaise de bureau et comme, il n'y avait pas d'autres
si?ges, je restai debout en face d'elle. Elle me demanda si je le
faisais expr?s pour l'?nerver car vendredi, j'avais r?ellement
outrepass? le code de bonne conduite que je m'?tais engag? ? respecter.
Ne sachant r?pondre, je ne pouvais que fuir son regard, ce qu'elle ne
manqua de me dire.
Elle se leva, me pla?a le corset de nuque ainsi que des ?ill?res.
Voil?, dit-elle et je t'interdis de baisser les paupi?res. Elle
continua en disant que je ne changerais jamais et que donc, elle allait
?tre encore plus s?v?re maintenant car finalement, c'est ce que je
cherche.
La prochaine fois, que je transgresserais les r?gles, elle me placerait,
une journ?e compl?te en isolation sensorielle afin que je puisse
m?diter. La regardant d'un air interrogateur, pour que tu comprennes
mieux, priv? de tous tes sens. J'ai commenc? a bien me documenter et ?
commander les accessoires pour y arriver donc, mena?a-t-elle, ne me mets
pas au d?fi car tu pourrais le regretter.
J'en ai parl? longuement hier au t?l?phone avec ta maman et ensuite,
avec ma maman, car on envisage pour les prochains cong?s que tu suives
un stage avec une pr?ceptrice th?rapeute afin de t'inculquer
correctement tout cela.
Cela se passerait ? une centaine de kilom?tre d'ici dans sa r?sidence
afin de t'immerger compl?tement dans ce stage et, elle aurait, toute
latitude afin d'arriver ? des r?sultats concrets.
Le stage devrait durer une dizaine de jours. Etant initiatrice du
projet et par amour, maman le financera int?gralement.
J'en ai assez que l'on se dispute pour les b?tises que tu fais,
j'aimerais que nous soyons heureux et que tu ?coutes. Tu n'es pas
d'accord?? Un peu abasourdi par ce que je venais d'entendre, mais dans
l'incapacit? de r?pondre ou de me rebeller et dans, je dois l'admettre,
l'envie de ne pas la perdre, j'acquies?ai de la t?te.
Elle en profita pour resserrer d'un cran le corset de nuque.
Vu que cela se d?roulera durant les cong?s de P?ques et donc, proche des
examens. Nous allons nous atteler, avant ceux-ci que tu aies revu tes
cours car, il faut que tu r?ussisses ton ann?e.
Elle m'enleva enfin mon ba?llon, m'assit sur le lit et m'embrassa
goulument.
A chaque fois, ces baisers me chamboulaient et j'oubliais tout le reste
car l'amour est plus fort que tout.
Pour une fois, elle m'enleva mes menottes aux poignets et je pus la
caresser mais, quand je devins trop entreprenant, elle me stoppa net.
Elle se leva, alla ? sa garde robe, et me dit, j'aimerais que tu essaies
ceci. C'?tait une camisole de force, je n'en avais jamais vue qu'en
photos. Je suis persuad?e que ce serait plus confortable pour toi que
de mettre tout le temps des menottes et t'?viterait de faire n'importe
quoi.
Elle me l'enfila, pla?a les lani?res et serra fortement les manches.
Quand elle eut fini de la placer, je ne pus que constater son efficacit?
mais le confort de la position rendait celle-ci agr?able.
Par ailleurs, le mod?le choisit ?tait ?l?gant malgr? le fait qu'il ?tait
en cuir noir.
Elle me demanda mon avis sur elle et je lui restituai mon opinion et je
la vis sourire de contentement, si bien qu'elle me sauta au cou pour
m'embrasser. Elle me dit alors qu'elle m'aimait et qu'elle voudrait
vivre avec moi. J'?tais heureux d'entendre de si gentilles choses m?me
si je me rendais compte que j'avais de moins en moins de libert?. Je
lui dis alors que j'avais peur. Surprise, elle fit un pas en arri?re et
me regarda interloqu?e. Je repris en lui disant mes inqui?tudes sur le
stage, sur la diminution de mes libert?s.
L?, sa r?action me prit au d?pourvu, elle se mit ? pleurer ? chaudes
larmes car elle ne comprenait pas pourquoi, j'avais toutes ces
inqui?tudes car tout ce qu'elle faisait, c'?tait par amour. Je ne
savais que dire car ces larmes ?tant si spontan?es et si sinc?res, que
je lui demandai alors de m'excuser. Elle continua en me disant que le
stage n'?tait l? que pour m'aider ? vaincre les derni?res barri?res
psychologiques, m?me inconscientes, qui pouvaient subsister dans
l'acceptation de tout cela et donc, que je puisse vivre heureux sans
arri?re-pens?es. Devant toutes ces explications, ?motions, je r?it?rai
mes excuses et lui demandai d'oublier ce que je venais de dire et que
j'acceptai tout car tout ?tait fait par amour.
Sur ce, elle me donna un bisou pris le ba?llon boule blanc, me le pla?a
et serra plus fort que d'habitude les lani?res. Elle me dit, je dois
passer un coup de t?l?phone important d'ordre priv? et donc, je vais te
placer un casque qui va te priver de l'ou?e pendant celui-ci, la seule
chose que j'ignore c'est son efficacit? donc avant, je vais te placer
des boules quies.
Elle prit un casque qui ressemblait ? un casque d'?coute st?r?o et me le
pla?a sur les oreilles.
Les deux ?l?ments mis ensemble, j'?tais devenu totalement sourd, plus
aucun son ne me parvenait. Je me rendis compte alors oh comment j'?tais
r?duit ? l'impuissance.
Si je faisais l'inventaire, je portais?: un corset, un corset de nuque,
une camisole de force, des ?ill?res, un ba?llon, des boules quies et des
menottes aux chevilles. En somme, ? part l'odorat et la vue
(partiellement), je n'avais plus le contr?le de rien. Pendant ce temps,
Marie ?tait en grande conversation et j'essayai d'imaginer avec qui elle
pouvait avoir cette conversation si anim?e.
Au bout d'une demi-heure, elle raccrocha et me sembla bien pensive,
assise derri?re son bureau. Elle fut sortie de ses pens?es par
l'arriv?e de sa maman. Elles discut?rent un peu, sans jamais se soucier
de ma pr?sence. Ce n'est qu'apr?s la sortie de sa maman, qu'elle vint
m'?ter mon casque, les boules quies et le ba?llon. Elle me dit, tu dois
comprendre que pour certaines choses, je doive faire cela car cela reste
priv? mais c'est aussi pour ton bien car je g?re aussi notre avenir. Je
n'osai pas poser de questions et elle m'emmena au salon pour retrouver
Estelle, sa maman.
Je la saluai et celle-ci me complimenta pour ma tenue qu'elle trouvait
?l?gante m?me avec une camisole.
Nous avons bien re?u ta candidature pour le stage et, vu que tu
travailleras directement avec elle, ma secr?taire te recevra pour une
entrevue d'ici une quinzaine de jours. Tout ceci rel?ve de la proc?dure
normale pour les stages. Je veux que tu donnes le meilleur de toi ce
jour l?.
Tu recevras un courrier en temps utile.
Nous nous retir?mes ensuite dans la chambre de Marie pour r?viser le
cours de fran?ais car le lendemain, il y avait une importante ?preuve.
Le temps passa si vite que nous en avions oubli? le go?ter et,
maintenant, qu'il ?tait temps de partir, Marie m'?ta la camisole, les
?ill?res et les menottes. Apr?s m'avoir rattach? solidement les mains
et les coudes dans le dos, elle me dit que je lui avais fait beaucoup de
peine aujourd'hui. Elle me donna un doux baiser et m'enfourna trois
feuilles de journal dans la bouche et elle scella mes l?vres avec une
bande de tape transparent.
Elle me reconduisit ? la voiture d'Anne et c'est le c?ur gros que je
repartis ce jour l?.
Durant la semaine, je fis le maximum pour ne pas d?roger au code Marie
et, j'esp?rais ainsi pouvoir ?chapper au stage de P?ques. Je ne la vis
du week-end et le lundi, Marie ?tait absente de l'?cole. J'?tais
inquiet mais durant la journ?e, apr?s avoir ?t? ? l'?cart des autres, je
ne pus m'emp?cher durant la pause de midi de me joindre ? un groupe.
Le soir, Anne m'attendait ? la sortie, elle constata que je ne portais
pas le ba?llon habituel et elle s'empressa de m'en placer un. Arriv? ?
la maison, je demandai si quelqu'un avait des nouvelles de Marie. Ma
maman me r?pondit oui et, tu devrais lui t?l?phoner de suite. Apr?s tu
viendras m'en parler. Intrigu?, le c?ur serr?, je t?l?phonai donc ?
Marie qui, je le compris directement au ton de sa voix, ?tait furieuse.
En effet, elle me dit que l'on ne pouvait me faire confiance car d?s
qu'elle n'?tait pas pr?sente, je reprenais mes travers et que donc,
j'avais ??fanfaronn頻 avec d'autres filles une bonne partie de la
journ?e. Je voulus protester, ouvre la messagerie de ton ordinateur, je
m'ex?cutai et elle m'avait envoy? des photos de moi tout au long de la
journ?e. Elle continua en me disant que je n'?tais qu'un menteur et que
ma fausse attitude de la semaine derni?re ne l'avait pas tromp?e.
Elle m'avait mis ? l'?preuve et j'avais ?chou?. Sa d?termination a
m'envoy? au stage ?tait maintenant primordiale et elle en faisait une
condition ? la suite de notre relation.
Evidemment, je ne pouvais nier l'?vidence et je mettais fait pi?ger en
beaut?, je n'avais plus qu'en assumer les cons?quences.
Charlize
- 25.07.2022
- 13
- 0
