Determinisme Naturel
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Marc eut une nuit agit?e, pleine de r?ves. Il se trouvait allong? sur une
plage, accompagn? de toutes les filles du bureau, y compris Amandine, qui
bronzaient ? ses c?t?s. Elles portaient toutes de jolis bikinis qui
mettaient en valeur les avantages de chacune.
Le superbe bikini noir d'Amandine lui correspondait totalement. Une pi?ce
? la fois ?l?gante et sexy, qui sublimait son magnifique corps et
soulignait son statut de femme de go?t appartenant ? un milieu
privil?gi?.
M?lanie, pas de surprise, avait un mini deux-pi?ces d'un rose fluo
particuli?rement girly qui seyait ? son corps de jeune femme ? peine
sortie de l'adolescence.
La belle italienne Cl?lia portait un magnifique maillot rouge vif qui
contrastait avec sa peau blanche et ses cheveux d'un noir de jais.
Hanane portait un bikini d'un blanc ?clatant qui lui contrastait ?
merveille avec la peau couleur miel de la marocaine au caract?re bien
ferme.
Les formes g?n?reuses d'Aur?lie s'?panouissaient dans un joli deux pi?ces
bleu turquoise tandis que la sportive et ?nergique ?milie portait un
bikini d'un vert et jaunes vifs qui faisait penser aux couleurs du
Br?sil.
Marc ?tait aux anges d'?tre en si bonne compagnie, et il percevait
nettement son excitation sexuelle faire palpiter son sexe d'envie. Son
p?nis battait douloureusement comme un c?ur, et quand il regarda son bas-
ventre il prit alors conscience que lui aussi portait un maillot de bain
de femme, mais d'une seule pi?ce, et d'un p?le et monotone gris. Enferm?
dans sa prison de tissu, son gland ?tait au supplice, humide et chaud,
compl?tement plaqu? contre sa peau par le tissu, ce qui le rendait
totalement invisible.
C'?tait comme si lui aussi avait un bas ventre de femme, d?nu? de toute
virilit?. Mais ce qui le troubla le plus, c'est cette poitrine qui lui
remplissait le haut du maillot de bain. Il avait la sensation de deux
seins ferme, gros comme des poires, qui se tendaient de d?sir sexuel.
Paniqu?, Marc ne comprenait pas quel ?tait son genre sexuel dans ce r?ve.
Il avait le sentiment d'?tre une cr?ature androgyne et ind?finissable,
marginale et honteuse de son corps.
M?lanie rompit l'angoissante interrogation du jeune homme.
-"Les filles, la seule chose qui nous manque, c'est des mecs! Excusez-moi
pour ma vulgarit?, mais c'est le d?sert complet niveau bites! Je suis
frustr?e, o? sont les mecs!"
Les rires des filles r?sonn?rent, et Amandine commenta la sortie de la
jeune secr?taire.
-"Ne t'excuses pas M?lanie, moi aussi je suis sur ma faim. ?a me rend
folle cette frustration, j'ai du mal ? tenir en place tellement ?a me
chatouille. Il va falloir appeler les pompiers j'ai bien peur."
Nouvel ?clat de rire, alors que Marc paniquait encore plus. Il voulait
dire que lui ?tait l?, que son sexe le mettait au supplice, qu'il en
perdait la t?te tellement il ?tait tortur? par son d?sir. Son r?ve
faisait ?cho ? sa torture quotidienne d'?tre en compagnie de jolies
jeunes femmes s?duisantes, d'?tre en permanence stimul? sexuellement sans
jamais pouvoir satisfaire sa libido.
Son r?ve sublimait la souffrance qui se r?p?tait jour apr?s jour, et il
aurait voulu crier pour ?vacuer sa tension et faire comprendre ? Amandine
et aux autres qu'elles avaient un homme ? leur disposition, l? ? leurs
c?t?s, qui n'attendait que ?a, de satisfaire leurs envies.
Mais Marc restait paralys? dans son r?ve, incapable de se manifester, de
se comporter un tant soi peu comme le "m?le" r?clam?. Finalement, ne
tenant plus, il se leva et, interpellant ses coll?gues d'une voie aigu?
et presque hyst?rique, cria presque:
-"Mais faut arr?ter de se plaindre et allez se les chercher ces mecs, moi
aussi j'ai envie de bites!"
La consternation fut telle que Marc se r?veilla aussit?t, traumatis? par
ses propres mots dans son r?ve. Il sentit les larmes couler sur ses
joues. Il ne parvenait ? aucun contr?le de soi et, comme lors de son
enfance, se retrouva ? pleurnicher sur son sort, impuissant et
vuln?rable.
Il se lamentait, et se r?p?tait que non, il n'aimait pas les hommes, ne
voulait pas d'affreux sexes masculins, et que tout son corps n'aspirait
qu'? une seule chose, faire l'amour ? une jolie femme.
Ces derni?res semaines avaient profond?ment ?rod? la masculinit? de Marc,
et sans en avoir conscience, il sentait croitre en lui le d?sir de plaire
? Amandine, mais d'une mani?re f?minine. Il se souvenait des mots de sa
patronne, qui lui avait avou? craquer pour lui, pour la "petite
secr?taire" qu'il repr?sentait.
En son for int?rieur sa position ?tait bien enracin?, et c'est tout
naturellement qu'il commen?a ? concevoir ce qu'une vraie secr?taire
aurait pu concevoir: tout faire pour s?duire son sup?rieur, user de ses
charmes pour capter totalement son attention et le faire succomber.
Marc pensait comme une vraie secr?taire ?namour?e de son patron l'aurait
fait. Il avait plus que tout besoin de plaire et d'obtenir les faveurs
d'Amandine, et son cerveau imaginait mille sc?narios pour profiter du
b?guin d'Amandine pour sa "petite employ?e" comme elle l'avait appel?...
La premi?re chose que dit ? Solange le matin c'?tait de lui demander si
celle-ci avait bien pens? ? pr?voir un rendez-vous avec son amie
coiffeuse pour lui. Solange, tr?s sensible, per?ut le changement
imperceptible chez Marc. La retrait?e eut une moue moqueuse.
-"Un peu de patience ma puce. Je prends rendez-vous pour ce soir, elle
viendra ici. Je sais que c'est compliqu? pour une bimbo mais tu vas
devoir attendre pour te faire belle..."
Marc releva ? peine la f?minisation de sa personne, et ignora le moqueur
?bimbo?. Il s'en moquait, ce n'?tait pas son souci. Sa priorit? ?tait de
charmer Amandine et de lui faire l'amour. Il ?tait pr?t ? tout, m?me ?
sacrifier le semblant de virilit? qui lui restait, pour enfin parvenir ?
concr?tiser ses r?ves les plus fous. C'?tait peut-?tre paradoxal, mais
s'il devait jouer ? la femme pour devenir un homme il ?tait pr?t ? payer
ce prix-l?
Ce matin-l? Marc fit encore plus attention que les autres jours ? sa
tenue. Il avait d?cid? d'assumer sa f?minit? avec un certain courage.
D'abord, il devait absolument tout faire pour plaire ? Amandine et ainsi
pouvoir la conqu?rir. Ensuite, le plus il paraitrait fille et le moins il
serait susceptible d'?tre moqu?, que ce soit au-dehors, dans la rue et le
m?tro, qu'au bureau si jamais des clients venaient ? pointer le bout de
leur nez.
Il choisit un seyant pull ? motif jacquard rose et bleu sur une petite
camisole blanche, un slim bleu marine, bien entendu sans poche, et une
veste tailleur bleu nuit. Un joli foulard turquoise compl?tait sa tenue.
Pour les chaussures il osa les seules paires avec talons que M?lanie
avait r?ussi ? lui faire acheter: des bottines avec un minuscule talon
pointu d'un seul centim?tre, mais qui claquait tr?s f?mininement quand il
marchait.
Il n'avait malheureusement pas de maquillage ad?quat, et se refusa ?
demander ? Solange de lui pr?ter des choses. Par contre, il prit son
temps pour se faire une queue de cheval bien en hauteur, d?voilant sa
mince nuque blanche.
D?s qu'il franchit la porte du bureau les filles remarqu?rent le subtil
changement. Aur?lie, qui n'avait plus aucun complexe ? traiter Marc comme
sa secr?taire personnelle, lui r?clama tr?s vite du travail.
-?Allez hop Cindy, une fois que tu auras fait le caf? tu as pas mal de
choses ? taper. Et tu vas aussi devoir me composer des dossiers, je n'ai
pas de temps ? perdre avec ces corv?es.?
Marc s'activa rapidement, ne voulant pas d?cevoir Aur?lie qui avait
tendance ? se montrer agac? par sa lenteur. M?lanie l'accompagna ? la
kitchenette, et ne faisant aucun geste pour aider Marc avec le caf?, se
mit ? le complimenter.
-?Chaque matin qui passe je te trouve de plus en plus appr?t?e Cindy. Si
j'?tais un homme je crois que je te draguerais!?
Marc ne put se retenir de rougir, pourtant contrari? par les mots de la
petite rousse. Il ?tait content que ses efforts soient remarqu?s, mais
c'est aux filles qu'il voulait plaire, pas aux hommes!
Une fois le caf? pr?t Marc se d?p?cha de le servir aux diff?rentes filles
puis enfin, el c?ur battant, il se dirigea vers le bureau d'Amandine.
Apr?s avoir frapp? et attendu l'autorisation pour rentrer il se dirigea
vers le bureau de sa patronne en essayant de paraitre le plus s?duisant
possible. Il roulait des fesses en marchant f?mininement et posa le caf?
sur le bureau d'Amandine en lui faisant un grand sourire charmeur.
Amandine lui rendit un sourire r?v?lant sa satisfaction.
-?Et bien Cindy, c'est un plaisir de se faire apporter son caf? par une
aussi jolie demoiselle que toi. Il y a encore beaucoup ? faire je pense,
niveau maquillage et coiffure surtout, mais je ne vais pas me plaindre.
J'esp?re que tu seras encore plus charmante que ?a pour servir le caf? ?
nos visiteurs.?
-?Mademoiselle Lacour, vous pouvez compter sur moi. Je suis l? pour
r?pondre aux besoins de l'entreprise, et aux v?tres bien s?r.?
Amandine sourit de surprise. Elle semblait rayonner comme si elle avait
obtenu une pr?cieuse victoire personnelle.
Elle se leva, ne dit pas un mot, se dirigea vers la porte qu'elle ferma
discr?tement ? clef.
Puis elle s'approcha dans le dos de Mac et l'enla?a de ses bras doux et
fermes, en lui chuchotant ? l'oreille.
-?Ma petite Cindy, ta patronne travaille trop et est vraiment trop tendue
en ce moment. Je n'ai pas le temps de m'occuper de moi correctement avec
tout ce travail. Tu sais ce qu'une petite secr?taire fait pour soulager
sa patronne??
Le c?ur de Marc battait la chamade. Il ne pensait pas que son changement
de comportement porterait aussi vite ses fruits.
-?Non mademoiselle Lacour, mais je suis pr?te ? tout pour me rendre
utile.?
Dans un souffle qui fit frissonner Marc Amadine lui mordillait l?g?rement
l'oreille pour lui parler.
-?Je vais aller m'asseoir ? mon bureau. Puis tu viendras te placer ?
quatre pattes sous mon bureau comme le fait une secr?taire bien
consciences. Et apr?s cela Cindy, j'attends que tu me montres ? quel
point tu es d?vou?e ? ta patronne.?
Amandine alla s'asseoir ? son fauteuil, en laissant un espace entre elle
et le bureau. Compl?tement fou de d?sir Marc ne se fit pas prier et sans
attendre se glissa sous la table. Rapidement Amandine rapprocha le
fauteuil du bureau, et Marc se retrouva ? l'?troit dans le petit espace,
admirant les magnifiques jambes d'Amadine. Celle-ci ne tarda pas ?
?carter les cuisses pour r?v?ler une petite culotte blanche en dentelle.
Marc rapprocha lentement sa t?te de l'intimit? tant r?v?e. Impatiente,
Amadine lui saisit la t?te ? deux mains pour la coller contre son sexe
chaud et aux parfums enivrant. Marc comprit qu'Amandine ne voulait pas
attendre, et il fit glisser la culotte pour commencer ? lui donner de
petits coups de langues sur les l?vres d?j? mouill?es.
Amandine l'encouragea en lui caressant les cheveux puis elle se mit en
place pour travailler. Marc l'entendait nettement taper sur son clavier
pendant qu'il continuait ? l?cher. C'?tait la premi?re fois qu'il goutait
? un sexe de femme, et il trouvait ?a encore meilleur que dans tous ses
fantasmes. Amandine mouillait de plus en plus et il la lapait et la
buvait. Marc, inexp?riment?, faisait de son mieux pour donner du plaisir
? sa patronne. Il se laissait guider par les petits g?missements
d'Amandine, et quand il trouva son clito il sut y concentrer sa langue
pour augmenter le plaisir.
Amandine r?ussit ? passer un coup de fil, et Marc ?tait terriblement
excit? par la situation, lui sous le bureau de sa patronne en train de la
l?cher, et elle qui essayait de poursuivre son travail.
Marc acc?l?ra ses coups de langue au fur et ? mesure que les g?missements
d'Amandine s'intensifiaient. Il la devina proche de l'orgasme et la l?cha
comme si sa vie en d?pendait. Subitement, Marc sentit le corps d'Amandine
?tait secou? par une puissante onde de plaisir. Elle recommen?a ? lui
caresser la t?te pendant les quelques minutes o? elle savourait et
r?cup?rait. Puis elle le fit enfin sortir de sous son bureau.
-?Et bien, je pourrais m'habituer ? une petite g?terie tous les matins
pour bien commencer la journ?e! Je comprends mieux maintenant pourquoi
certains patrons ne veulent pas se s?parer de certaines secr?taires pas
tr?s d?gourdies. Elles sont quand m?me dou?es pour quelque chose!?
Amandine pin?a alors les fesses de Marc.
-?C'est pas tout ?a Cindy, mais j'ai beaucoup de travail qui m'attend.
Alors tu remues cet adorable popotin qui est le tient, tu me rapportes un
caf? chaud parce que celui-ci a refroidi, et tu vas faire tes photocopies
ou je ne sais quoi.?
Encore aux anges Marc ne sut pas r?pondre autrement que par un ?Tout de
suite mademoiselle Lacour?, et se pr?cipita vers la kitchenette. La
cafeti?re l'attendait.
Stevie
- 10.06.2021
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