Famil 2
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Famille Vendue By chaba
La vie r?elle et nos fantasmes constituent deux mondes distincts et qui doivent toujours le rester.
Texte tr?s cru et histoire tr?s hard (violence / inceste). Merci de passer ? autre chose si vous n’?tes pas certain d’avoir envie de lire ce genre de r?cit.
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Part 1 - La capture.
Le monde d’Evelyne s’?tait effondr? il y a deux semaines. Deux semaines depuis leur enl?vement et le d?but de l’ignoble dressage. Et demain, on leur annon?ait la venue d’un premier acheteur potentiel?
Elle ?tait arriv?e en Tanzanie pour dix jours de vacances avec ses deux enfants, Charlene 20 ans et John Junior 19 ans. Une tradition, respect?e tous les ans?: dix jours de vacances au soleil au moment des cong?s scolaires de f?vrier. Se retrouver tous les trois, soud?s et heureux, et profiter de la vie ensemble dans le cadre luxueux d’un h?tel de haut de gamme. Elle en avait les moyens? Et le droit se disait-elle.
Evelyne ?tait fi?re de son parcours. La vie n’avait pas toujours ?t? tendre avec elle?: une grossesse survenue bien trop t?t – elle ?tait encore lyc?enne – et puis plus tard la mort de John, son mari. Cette nuit terrible ou elle re?ut la nouvelle de l’accident, alors qu’il venait les retrouver tard le vendredi soir d’une (une de plus?) trop longue semaine de travail. Tu? net dans les t?les de la voiture sortie de la route seule en pleine ligne droite. S’?tait-il endormi au volant?? On ne le saurait jamais. Evelyne avait fait face, veuve avec deux jeunes enfants. Son ?poux avait bien fait les choses?: une tr?s solide assurance-vie, g?n?reusement compl?t?e par le cabinet d’avocat qui les employait tous les deux et qui ne devait pas se sentir trop ? l’aise face aux circonstances de la mort d’un collaborateur si visiblement surcharg? de travail, avait permis de passer le cap sans r?elle difficult?. John avait d’ailleurs toujours bien fait les choses. P?re ??par accident?? mais homme d’honneur, il avait soutenu Evelyne, seulement 17 ans et lyc?enne ? l’?poque, proposant de l’?pouser imm?diatement et offrant m?me de venir vivre ? Paris avec elle, lui le jeune avocat fra?chement dipl?m? de Boston, Massachusetts. Il avait trouv? sur le champ une bonne place dans l’antenne fran?aise d’un tr?s r?put? cabinet d’avocats d’affaires am?ricain. A 18 et 27 ans respectivement, Evelyne et John, jeunes mari?s pleins d’optimisme et d’?nergie avaient su tout mener de front avec succ?s?: le d?collage de la carri?re de John, un deuxi?me b?b? (John junior) mis en route sans attendre (car tant que l’on est dans couches et les biberons?), et enfin les ?tudes de droit d’Evelyne, qui, sept ans plus tard, rejoignait son mari au cabinet d’avocat, o? il ?tait devenu un collaborateur senior et l’un des principaux ??money makers??.
Aujourd’hui, ? 37 ans, Evelyne avait conserv? toute la s?duction de la lyc?enne qui faisait chavirer les c?urs. Elle y avait ajout? le charme si profond de la femme qui a v?cu, pour composer un bouquet absolument irr?sistible?: elle ?tait belle, brune, grande, bien faite, soign?e d’apparence, tonique gr?ce aux deux fois deux heures de club de sport hebdomadaires sans compter des soins esth?tiques r?guliers. La maturit? avait dot? son corps ?lanc? de belles formes. De g?n?reux seins en poire et des hanches marqu?es lui faisaient une silhouette ? propos de laquelle elle s’amusait int?rieurement de voir le regard de tous les hommes s’attarder syst?matiquement.
Elle avait su oublier John, son mari mort, qui avait ?t? certes un ?poux irr?prochable, mais impos? quelque peu par les circonstances. Ses parents ? elle, tr?s traditionnels, ne lui auraient pas pardonn? un avortement, ne lui laissant d’autre choix que de se marier. Surtout que le jeune homme avait ?t? un parfait gentleman, qu’il avait tout accept?, la prenant en charge et venant s’installer en France. Qu’aurait-elle pu oser demander de plus?? En fait, au fond de son c?ur, elle aurait voulu aussi trouver en lui un amant pr?sent et romantique. Mais elle avait du apprendre ? faire sa vie aux cot?s d’un gestionnaire certes irr?prochable mais donnant 80 heures et plus par semaine ? son travail? Elle s’y ?tait r?sign?e difficilement, m?me si elle lui avait toujours gard? un profond et sinc?re respect au regard de ce qu’il faisait pour elle et les enfants. Mais le respect et l’amour sont deux choses assez distinctes. Tout cela explique que, lui parti, elle n’avait pas eu de difficult?s ? revivre sentimentalement, s’accordant de temps ? autre des aventures, que sa libert? financi?re assur?e et son charme d?vastateur, lui permettaient de choisir et de contr?ler suivant son seul bon plaisir.
Fi?re de son parcours, Evelyne ?tait fi?re aussi de ses deux enfants. John et Charlene ?taient magnifiques. La fille avait la beaut? de sa m?re, le corps ?lanc?, ferme, sportif, m?me si sa poitrine et ses hanches attendaient encore de futures maternit?s pour atteindre leur plein d?veloppement. Ses seins ?taient deux fermes pyramides triangulaires tendues sur son buste. De son p?re, elle portait les cheveux blonds et les yeux clairs venus du sang irlandais. Bonne danseuse classique, enjou?e et vivante, elle croquait la vie (et les gar?ons depuis deux-trois ans?) ? pleines dents. John, les cheveux clairs lui aussi, grand comme ses deux parents, ?tait un bel adolescent, r?serv? mais affectueux. Sa fine corpulence, souple et ?quilibr?e, et un beau visage bronz? avec une m?che sur les yeux lui assuraient de nombreuses attentions f?minines et sa m?re avait souri quand il avait commenc? ? d?coucher de temps en temps.
C’?tait en fait leur second passage en Tanzanie. Trois ans auparavant en effet, Evelyne et les enfants ?taient revenus enchant?s d’un premier s?jour gardant en m?moire en particulier une journ?e formidable pass?e en excursion sur les plages de Pemba. Pemba, une grande ?le ? une centaine de kilom?tres au nord-est de Dar-Es-Salam, pouvait ?tre rejointe par un petit avion mis ? leur disposition par l’h?tel. Le petit monomoteur Cessna, ?quip? de flotteurs, d?collait depuis la marina le matin et les y re-d?posait le soir ? temps pour le d?ner.
Cette fois, ils ?taient partis seuls avec le pilote vers Pemba. A peine descendus l?-bas, quatre hommes s’?taient dress?s et s’?taient jet?s sur eux. Charlene avait tent? de fuir, mais pour ?tre reprise presque tout de suite. Ligot?s, quelques coups de poings re?us dans les cotes pour les faire se tenir tranquilles, un sac de toile sur la t?te pour les aveugler, ils avaient ?t? hiss?s tous les trois ? nouveau dans le petit hydravion. D?collage, amerrissage (o???), transfert ? terre sur la plate-forme d’un camion, puis un interminable voyage dans les chaos d’une route d?fonc?e, la chaleur, les mouches et la poussi?re. Enfin, l’arriv?e la nuit tomb?e et l’enfermement, les mains toujours li?es, dans une cellule ? trois.
Part 2 - Mise en condition.
Depuis combien de temps ?taient-ils l??? La femme rude arabe, qui ?tait d?j? venu plusieurs fois les faire boire, ?tait revenue et, nouveaut?, deux hommes massifs et muscl?s gardaient derri?re elle la porte les bras crois?s.
??Ecoutez moi?! Je suis Fatou et je vais vous apprendre deux ou trois choses sur votre nouvelle vie?? commen?a la femme en fran?ais.
??Lib?rez mes enfa???
Une magistrale paire de gifles s’abattit sur Evelyne et la r?duisit aussit?t au silence.
??Toi la bourgeoise, ta gueule?! J’ai fait suffisamment d’ann?es de m?nage dans votre pays de merde pour savoir votre langue et maintenant que les r?les ont chang?, je vous crache ? la gueule?!??
Joignant le geste ? la parole, elle exp?dia adroitement un crachat directement sur le front de la fran?aise.
?? Ici, c’est moi qui parle. Et moi seule. Compris????
Une seconde paire de gifles, aussi forte, tomba sur Evelyne, qui hocha la t?te en signe d’acquiescement.
??OK. Vous avez ?t? enlev?s pour de l’argent. Pas pour une ranson. C’est vous la marchandise?: vous serez vendus comme esclaves ? des gens riches. Pour le monde, vous avez disparus avec l’avion, qui n’est pas rentr? ? l’h?tel avant-hier soir. Le pilote et l’avion sont en fait pass?s tranquillement au Kenya et y voleront avec une nouvelle identification. Des recherches actives ont ?t? entreprises en mer entre Pemba et Dar-Es-Salam et l’ambassade de France a ?t? inform?e de l’accident probable. Ses repr?sentants ?taient d’ailleurs ? l’h?tel hier toute la journ?e. Vous serez d?clar?s morts et disparus en mer d’ici quelques semaines et cela ne fera pas plus de vagues que cela???
L’univers ?tait en train de s’effondrer autour d’Evelyne?
??Vous ?tes socialement morts, volatilis?s. Bien avant ce temps l?, on vous aura trouv? des propri?taires et vous leur aurez ?t? livr?s. On ne va pas trop vous ?duquer en attendant, puisque les acheteurs payent plus cher une mati?re brute qu’ils peuvent transformer et ajuster en fonction de ce qu’ils ont comme projet ou fantasmes? On va juste vous ??assouplir?? un peu? Contentez vous d’ob?ir. D’ob?ir ? tout et ? tous Vous ?tes d?sormais des objets. De la chair faite pour le plaisir. C’est notre industrie locale. Zanzibar, comptoir d’esclaves, cela ne vous rappelle rien?? Des si?cles d’une r?putation commerciale sans tache au profit d’une client?le exigeante?: marins de passage, grands commer?ants arabes, et aujourd’hui gr?ce au web, litt?ralement le monde entier... G?n?ralement on travaille ? partir de belles campagnardes pauvres, masa? ou autres, saisies dans l’arri?re pays. Mais il y a d’autres possibilit?s?: les jeunes pomm?s d’Europe qui ??font la route?? avec un sac sur le dos par exemple. En tous cas, merci ? vous d’?tre venus de si loin pour nous?! On vous avait d?j? rep?r?s il y a trois ans, mais l?, en vous voyant de retour dans le hall de l’h?tel, l’occasion ?tait trop belle. Quoique la premi?re fois, on aurait eu plus de chance d’avoir une vierge ? vendre avec la petite???
Evelyne aurait voulu pouvoir pleurer?
??Vous allez vivre ? partir d’aujourd’hui pour donner du plaisir. C’est d?sormais la seule raison pour que l’on vous garde en vie. Rien d’autre. Et on va vous en faire la d?monstration imm?diatement???
Sur un geste de sa main, les deux hommes s’avanc?rent dans la pi?ce r?v?lant chacun un fouet dans leur main droite. CLAC?! Un premier coup z?bra le dos de Charlene qui se roula par terre en hurlant.
CLAC, CLAC, CLAC? L’un apr?s l’autre, Evelyne, John, Charlene ? nouveau, furent la cible de nouveaux coups.
CLAC, CLAC, CLAC, CLAC? Les fouets s’abattaient sur les trois captifs dont les bras li?s faisaient des cibles sans d?fense ni protection. Hurlements, convulsions,?
CLAC, CLAC,?
??Arr?tez?! Arr?tez?! Je ferai tout ce que vous voulez?! Tout?! Arr?tez par piti??!?? Hurla Evelyne en larmes en se jetant aux pieds de la femme. ??Arr?tez cela je vous en prie?! Je ferai tout?!? Tout?! Absolument tout?!?.
D’une main lev?e, Fatou interrompit les hommes. Un sale sourire aux l?vres, elle commen?a ? soulever sa longue robe sombre, d?couvrant ses jambes, puis ses cuisses et enfin la fente de son sexe noy?e dans une ?paisse toison noire.
??L?che-moi?! Suce-moi esclave d’occident?! Fais moi jouir?! Prouve moi que tu veux profond?ment te rendre utile?!??
Apres un court regard en arri?re vers ses deux enfants, Evelyne accepta de se sacrifier. Elle avan?a lentement la t?te vers l’entrejambe de la ge?li?re, ouvrit la bouche et tendit la langue vers la fente humide.
Jamais elle n’avait encore prodigu? cette caresse ? aucune une autre femme. Bien sur elle n’ignorait pas le plaisir entre femmes?: au salon d’esth?tique parisien qu’elle fr?quentait, avec la Edith une femme de son ?ge, qui s’occupait habituellement d’elle, elle avait fini par partager ? chaque s?ance baisers et caresses dans l’intimit? de la loge des soins. Et les derni?res fois, bien au-del? d’un simple flirt, elle avait laiss? la main d’Edith descendre vers son entrejambe pour lui caresser les grandes l?vres, puis les petites. Par un doux mouvement autour de son bouton d’amour, Edith lui avait donn? alors ? plusieurs reprises de merveilleux orgasmes. Edith, tr?s amoureuse de sa si belle cliente, l’avait suppli?e tendrement d’accepter de la revoir en dehors du salon, un soir ou un week-end. Evelyne ?tait bien tent?e, mais n’avait jusqu’? pr?sent pas voulu donner suite ? cette pressante invitation. Aujourd’hui, c’est contrainte et forc?e, qu’elle allait se livrer au plus sordide lesbianisme. Elle anticipait d?j? tr?s clairement que ce n’?tait l? que le d?but d’un tr?s long chemin?
Ecartant de la langue les l?vres de ce sexe f?minin, elle commen?a ? l?cher, s’enfon?ant chaque fois plus profond?ment, voulant satisfaire la ge?li?re pour qu’? aucun prix les coups ne recommencent ? tomber sur ses enfants.
??Bien?! Enfonce toi encore?! Oui, c’est bien... C’est ?a? Au fond? Remonte maintenant sur mon clito?! Bien l’esclave, continue, applique toi? Bien? Tourne encore?! Bien???
Evelyne ob?issait ? tout malgr? son ?coeurement. Maladroite avec ses bras entrav?s, elle se donnait ? fond, l?chant bruyamment et sans retenue, la t?te enfouie entre les cuisses grasses, ne pensant qu’? faire jouir celle qui avait provisoirement tout pouvoir sur sa famille. Elle le savait?: c’?tait de la prostitution. Elle se prostituait. Il n’y avait pas d’autre mot pour ce qu’elle ?tait en train de faire. Et ? la vue de ses deux enfants?
A cot? d’elle, l’un des gardes l?chant son fouet avait saisi une poign?e de cheveux de Charlene et ouvrant son pantalon de l’autre main, d?gagea une queue ?paisse ? l’odeur forte. Attirant la jeune femme ? lui, il lui fit comprendre sans peine ce qu’il allait exiger d’elle. Terroris?e, le dos encore en feu, les yeux remplis du sacrifice de sa m?re en cours ? cot? d’elle entre les cuisses de l’arabe, Charlene accepta ? son tour d’ouvrir la bouche et de commencer ? sucer le membre d?j? ? demi rigide. Prenant la t?te blonde entre ses deux mains, le colosse fit comprendre que non seulement la bouche, mais aussi le fond de la gorge ?tait ? lui, et Charlene dut engloutir la totalit? de cette queue maintenant bien dress?e. Le viol se poursuivit longtemps sans piti? malgr? les hoquets et les ?touffements de la jeune femme. Seul comptait d?sormais le plaisir des ma?tres?
Une minute plus tard, John lui aussi s’effor?ait maladroitement de reproduire sur le dernier gardien cette caresse divine que certaines de ses girlfriends lui avaient parfois prodigu?e.
Dans le bruit des sussions, le triple viol durait. Les langues s’enroulaient autour des testicules des gardiens avant que les bouches soumises n’engloutissent ? nouveau leurs membres luisants. Evelyne lapait et avalait les fluides de l’arabe, sa t?te allant et venant entre les cuisses ouvertes. Rien ne fut ?pargn? et John et Charlene durent vidanger le sperme ?mis jusqu’? la derni?re goutte, nettoyant m?me par de derniers coups de langues les queues de leurs violeurs. L’arabe finit elle aussi par jouir dans un grand tremblement longtemps apr?s les deux hommes, emprisonnant de ses cuisses t?tanis?es la t?te de la m?re, maintenue ainsi prisonni?re de longues secondes le nez dans son intimit? chaude...
??Bien?! Apparemment vous ?tes intelligents,?? leur dit Fatou, le sourire aux l?vres, ?? Sachez continuer ainsi et vous vous ?viterez le plus gros des ennuis???
Evelyne baissa la t?te, d?sesp?r?e de penser qu’ils ne pouvaient en fait que s’?viter le retour du fouet, mais pas celui des viols et du reste?
Lib?r?s de leurs liens, ils furent nourris et douch?s. Laiss?s nus, ils purent dormir sous de sommaires couvertures.
Part 3 – Apprentissage de la soumission.
Le lendemain Fatou revint et, entra?nant tour ? tour Evelyne puis Charlene, elle proc?da au rasage int?gral de leurs deux toisons pubiennes.
Plus tard le m?me jour, les trois furent conduits, toujours int?gralement nus, dans une plus grande pi?ce aux murs blancs, vide hormis un tapis central. Fatou ordonna ? John et Charlene de s’accroupir le long d’un des murs, alors qu’Evelyne dut se placer sur le tapis. Les deux gardes de la veille ?taient l? eux aussi et l’un des deux s’avan?a vers Evelyne.
??Donne-toi ? lui. Excite-le?! Putain, fais lui l’amour?!?? Ordonna Fatou.
Evelyne eut un instant d’h?sitation, paralys?e ? l’?coute de cet ordre sordide.
CLAC?! John hurla de douleur, la marque rouge du fouet ayant travers? son ?paule et son dos.
CLAC?! Une deuxi?me striure lacera le gar?on.
Message re?u, Evelyne se colla imm?diatement contre l’homme auquel elle ?tait tenue de s’offrir. Elle se frotta ? lui le plus lascivement qu’elle pouvait, faisant aller et venir ses seins sur la poitrine de l’homme, l’enla?ant de ses bras, lui flattant la nuque. Puis elle tendit ses l?vres et rechercha un baiser. L’homme se pencha vers elle mais il lui laissa l’initiative. Il n’?tait pas fra?chement ras? et son haleine gardait les traces lourdes d’un r?cent repas, mais la fran?aise dut s’avancer encore, joindre ses l?vres aux siennes, l’embrasser, le flatter de ses mains. Feignant la plus parfaite lubricit?, elle glissa ses doigts ? l’int?rieur du pantalon ? la recherche de la queue qu’elle allait faire bander pour accomplir ce que ses ge?liers avaient pr?vu pour elle. Mais tout valait mieux que des coups suppl?mentaires sur ses enfants?
Ayant d?gag? le membre, Evelyne s’agenouilla et le prit en bouche. De ses deux mains elle ajoutait une caresse douce de l’int?rieur de cuisses de l’homme dans l’espoir d’accro?tre son plaisir afin qu’il soit le plus rapidement possible en ?tat de la prendre. La t?te docile allait et venait sur la queue circoncise, les joues et la langue jouant alternativement pour une meilleure simulation. Pendant qu’elle le su?ait ainsi, l’homme fit passer son T-shirt par-dessus ses ?paules et elle l’aida ? se d?barrasser du pantalon.
Etant parvenue ? l’exciter suffisamment, Evelyne se coucha sur le tapis, et, ?cartant de ses doigts les l?vres de son sexe en une pose volontairement ultra provocante, les cuisses largement ouvertes, elle fit ? l’homme une invitation irr?sistible. Tout, tout plut?t que des coups suppl?mentaires sur ses enfants?
L’homme s’agenouilla, posa son gland sur les l?vres intimes qu’on lui offrait et ??En avant?!??. D’un puissant coup de reins, il fit glisser en elle son membre rigide. Le corps d?licat et raffin? d’Evelyne se cabra souplement sous la pouss?e. Sans aucune lubrification intime - pas encore? - elle soufrait fortement mais elle sut garder un contr?le suffisant d’elle-m?me pour maintenir un semblant de sourire auquel elle tenta de donner une expression lubrique. A mesure que le va-et-vient de l’homme s’?tablissait, elle ne parvenait plus ? donner le change, aussi elle choisit, pour dissimuler sa d?tresse, d’enfouir son visage dans le cou de son violeur en un geste qui ext?rieurement pouvait passer pour un tendre c?lin?
??On est d?cid?ment bien tomb?s?: notre bourgeoise est sur une v?ritable pro?!?? commenta Fatou ??C’est bien?! Continue ma belle?! Vidange le ? fond?!??
Ces mots l? lui firent plus mal encore que le viol. Allong?e sur le dos, elle se faisait d?sormais proprement ??labourer?? par son puissant amant, qui ne semblait pas le moins du monde press? d’en finir. Il prenait tout son temps et faisait durer son plaisir. En lui ?cartant les fesses de ses deux mains, il plongeait en elle avec vigueur et lui imposait simultan?ment un baiser sur la bouche qu’elle ?tait dans l’obligation de lui rendre.
Du coin de l’?il, elle ne pouvait manquer de voir Charlene et John, qui regardaient comme hypnotis?s le viol public de leur m?re. La forcer ? se donner ainsi sous leurs yeux permettait ? leurs ravisseurs d’atteindre deux objectifs ? la fois?: la briser elle directement et eux indirectement.
Elle ?tait sans illusion sur la force du spectacle qu’elle leur donnait l??: ouverte, couch?e sous le male, poss?d?e. Les l?vres de son vagin entourant et glissant le long du pieu luisant qui la for?ait, ?taient visibles de tous du fait de ses jambes relev?es au tour de la taille de l’amant qu’on lui imposait. Evelyne s’exhibait comme jamais. Elle devait y ajouter le spectacle du baiser fougueux auquel elle ?tait contrainte. M?re, elle ?tait oblig?e de donner l’exemple de la prostitution ? ses enfants.
Le salaud?! Elle lui en donnait et se donnait comme jamais elle n’avait de sa vie ??g?t頻 aucun autre homme, que ce soit son mari ou ses amants. Et elle faisait sous la contrainte, avec la seule force de sa volont?, sans le soutien d’aucun sentiment amoureux pour son partenaire, regrettant alors am?rement de s’?tre tant r?serv?e dans sa vie ant?rieure avec des hommes qu’elle appr?ciait alors qu’aujourd’hui (et demain?) c’est pour des violeurs qu’il lui faudrait avoir et renouveler toujours de telles faveurs?
Le deuxi?me gardien s’?tait approch? de Charlene et la malheureuse jeune femme dut, comme la veille, lui offrir longuement sa bouche jusqu'? la plus compl?te satisfaction?
Pendant ce temps, le supplice de la m?re se terminait. Le male en rut avait entam? une sorte de galop final, martelant litt?ralement le somptueux corps offert. Elle faisait face du mieux qu’elle pouvait en attendant impatiemment qu’il ?jacule enfin au plus profond d’elle-m?me. La d?charge lib?ratrice finit par venir, copieuse et grasse. Elle laissa l’homme s’apaiser, toujours plant? en elle, avant qu’il ne se retire avec un ?Ssouppss?? sonore quand sa queue se libera. Un trop-plein de sperme commen?a ? sourdre doucement hors du vagin rose encore ouvert ? la vue de tous.
??C’est bien?!?? Lui dit Fatou. ??C’est comme si tu connaissais d?j? tout du m?tier?!??
Le lendemain matin Fatou accompagn?e d’un garde vint extraire Evelyne seulement de la cellule. Elle fut pouss?e dans une chambre o? pas moins de cinq autres gardes les attendaient. Ils la firent s’allonger sur un lit et les hommes lui saisirent bras et jambes, les ?cart?rent largement et l’immobilis?rent ainsi fermement sur le lit de toutes leurs forces conjugu?es. La malheureuse s’attendait ? subir un viol multiple quand une vieille femme asiatique, habill?e avec soin et au maquillage raffin? fut introduite dans la pi?ce par Fatou. Elle posa un vanity-case au pied du lit, en sortit d?licatement une fine seringue couronn?e d’une aiguille et elle vint se poster entre les cuisses ouvertes d’Evelyne.
??Ne bouge pas?! Ce n’est que du silicone injectable?: On va t’am?liorer un peu pour te mettre plus au go?t des clients. Madame Li n’a pas son pareil pour mettre en valeur nos marchandises???
Evelyne, terroris?e, entreprit au contraire de tenter de se lib?rer de l’emprise de ses ravisseurs. Fatou d?masqua alors une main prolong?e d’une sorte de longue t?l?commande noire et Evelyne fut instantan?ment foudroy?e par une terrible d?charge ?lectrique.
??Un petit coup de jus, juste pour t’avertir. Je recommence en doublant la dose au moindre nouveau mouvement de ta part. C’est mon dernier avertissement?: Tiens toi tranquille?!??
Evelyne, le souffle coup?, se tint d?sormais parfaitement immobile, le regard fix? vers le plafond, la br?lure ? son cot? encore cuisamment sensible. Madame Li, concentr?e, commen?a son patient travail. Evelyne sentait parfaitement les doigts pr?cis qui, en bas, ?cartaient ses l?vres intimes et les morsures r?guli?res de l’aiguille en de multiples endroits successifs.
Tout l’entrejambe d’Evelyne lui fit l’impression de s’?chauffer au fur et ? mesure que le corps ?tranger ?tait introduit dans ses chairs, les distendait, les remodelait. Madame Li s’interrompit plusieurs fois pour recharger sa seringue au grand d?sespoir de sa victime ?pouvant?e par les cons?quences ? long terme de cette irr?versible chirurgie. Soudain l’aiguille p?n?tra le clitoris lui-m?me, le si sensible bouton d’amour. Evelyne trembla de tout son corps ? la fois de douleur et de r?vulsion, mais parvint ? rester immobile. L? encore, la mati?re ?trang?re fut introduite, ?tirant douloureusement les chairs si intimes et si pleines des plus fines terminaisons nerveuses.
Le calvaire prit fin. Madame Li et Fatou se souriaient et semblaient pleinement satisfaites. Evelyne put se redresser et fut imm?diatement reconduite vers la cellule, qu’elle rejoignit d’une d?marche difficile, avan?ant comiquement les jambes largement ?cart?es du fait de la br?lure cuisante qui lui d?vorait l’entrejambe.
Revenue aupr?s des siens, elle put enfin constater par elle-m?me les d?g?ts. Ses deux jeunes ne d?tachaient pas leurs yeux de son bas ventre et Charlene ne faisait qu’ouvrir et fermer la bouche comme un poisson cherchant de l’air tant l’horreur qu’elle avait sous les yeux semblait l’?touffer. On avait fait ? sa m?re d’obsc?nes grandes l?vres vaginales couronn?es d’un clitoris protub?rant de la grosseur de la phalange d’un doigt?! La douleur ?tait intense et dura tout le reste de la journ?e. La honte ?tait plus immense encore et ne finirait jamais?
Le soir et le lendemain de l’op?ration, elle fut ?pargn?e, afin de laisser ? ses chairs meurtries le r?pit n?cessaire. C’est la fine Charlene seule qui, allong?e sur le tapis, dut satisfaire les deux gardes sous les yeux impuissants et r?sign?s de sa m?re et de son fr?re. Les deux colosses se vid?rent en elle l’un apr?s l’autre avec des grognements satisfaits.
Le jour d’apr?s, Evelyne reprit sa place sur le tapis aux cotes de sa fille. Elle ?tait en un sens heureuse de pouvoir ainsi ?viter ? son enfant un double viol en prenant pour elle m?me une des deux parts de foutre ? faire jaillir. D?risoire consolation? John, ? genoux, finissait pour sa part de faire jouir ? coups de langue la rude ge?li?re arabe.
Cette s?ance dite d’??assouplissement?? se r?p?tera chacun des jours suivants. Obtenir des deux jeunes un peu plus qu’une participation passive aux s?ances de viol n?cessita bien quelques coups de fouet ou de teaser ?lectrique suppl?mentaires, mais on pouvait leur en fournir autant que n?cessaire? Au bout de dix jours, Fatou ?tait satisfaite?: tous les trois, sur simple commande, se prostituaient d?sormais avec ardeur. Ils ?taient pr?ts pour ?tre pr?sent?s aux acheteurs potentiels que l’Internet avait d?j? alert?s.
Part 4 - La vente
Nue, maquill?e, juch?e sur de longs talons aiguilles, une fine cha?ne dor?e autour de la taille et une autre ? la cheville, Evelyne attendait immobile sous la lumi?re crue. Ouverte, les jambes ?cart?es, les seins dress?s, les deux mains pos?es sur le cr?ne, elle se laissait fouiller, palper, ?valuer. L’acheteur ?tait derri?re elle maintenant et ses mains descendaient le long de son dos, puis sur ses fesses, testant la fermet? des chairs comme la douceur du grain de la peau. Il avait commenc? pr?c?demment par son ventre, soupesant les seins et jouant d’un doigt sur son clitoris d?sormais obsc?nement protub?rant. Un doigt se posait maintenant sur l’anneau brun et muscl? de son anus et poussa pour y p?n?trer. Evelyne prit soin de n’offrir aucune r?sistance. Au contraire m?me, elle for?a l?g?rement ses sphincters pour lui faciliter l’introduction et tenta un maladroit mouvement du bassin, tendant ses fesses vers la main qui s’introduisait en elle en forme d’invitation lascive. Un deuxi?me doigt s’introduit ? son tour et commen?a ? lui ?largir le cul. Elle devait plaire, absolument et ? tout prix, pour garder ses petits avec elle, son seul et dernier tr?sor d?sormais.
??Very nice French whore indeed??? L?cha l’homme post? derri?re elle.
[Une tr?s belle putain fran?aise en effet?]
Elle n’avait encore jamais ?t? encul?e par personne. Elle ?tait parfaitement vierge de l’anus. Il ne lui avait pas ?chapp? que lors de tous les viols des jours pass?s, on lui avait ?pargn? ainsi qu’? ses enfants cette humiliation et cette douleur. Mais elle ?tait certaine aussi que ce jour l? viendrait t?t ou tard? S?rement avait-on pr?vu de mettre ? prix cette virginit? l? aussi? Elle continua de faire aller et venir son bassin d’avant en arri?re, for?ant l’entr?e en elle de cette main ?trang?re, s’enculant volontairement puisque c’est ce qu’apparemment on attendait d’elle. Son conduit anal lui faisait atrocement mal, forc? qu’il ?tait sans lubrification aucune, mais surtout, elle ?tait devenue rouge de honte, les joues en feu, ? cause du spectacle qu’elle donnait devant les yeux de ses propres enfants.
La honte avait commenc? avant d’entrer. Fatou s’?tait approch? des deux femmes avec ? la main un petit pot plein d’un onguent translucide. Elle l’avait appliqu? sur les t?tines de leurs seins, puis en avait enduit leurs vagins, avant de les diriger toutes les deux vers la salle d’exhibition d’une m?prisante tape sur les fesses. Imm?diatement Evelyne avait senti la chaleur montrer en elle. Ses seins s’?taient dress?s, comme anim?s d’une vie propre. En haut de ses cuisses, d’abondantes secr?tions intimes commen?aient ? l’embarrasser. Charlene avait ?t? mise dans le m?me ?tat que sa maman ? en juger par ses bouts de seins tendus et l’humidit? visible ? l’?il nu entre ses l?vres intimes.
Avant la m?re, l’homme - Etait-il l’acheteur r?el ou seulement son repr?sentant?? - s’?tait d’abord approch? de la sublime Charlene, lui touchant les seins, jaugeant ses dents, ses cheveux, puis descendant le long de son ventre plat vers son sexe. Il y avait introduit des doigts, la fouillant profond?ment.
??Virgin no more? To be expected with these Western bitches??? Siffla-t-il.
[N’est plus vierge? Il fallait s’y attendre avec ses salopes d’Occident?]
La jeune fille elle aussi ne s’?tait pas d?rob?e ? l’immonde palpation, m?me si elle n’avait pas pu s’emp?cher de d?tourner son regard.
Charlene et elle-m?me, femmes et belles, pouvaient naturellement ?tre vendues sans difficult?. Mais John Junior?? Quel futur pour lui?? Bris?, hormon?, transform? en objet de plaisir sur mesure pour une client?le gay, qui le d?foncerait sans limite ? Ou bien ?limin? car inutile, d?pec? peut-?tre pour fournir de sinistres banques d’organes clandestines?? Mais surtout, s’ils venaient ? ?tre vendus s?par?ment dans ce monde souterrain de la traite d’esclaves, c’?tait la certitude absolue pour les trois de ne plus jamais jamais se revoir. La certitude aussi de ne plus avoir jamais le r?confort, m?me tr?s minime, d’?tre au moins ensemble pour affronter les inimaginables horreurs que le futur leur r?serverait.
Elle en avait parl? avec John et Charlene la veille. Elle les avait convaincus facilement et elle leur avait fait jurer avec elle de tout faire, de tout accepter, de tout promettre en vue de ne pas ?tre s?par?s. Il fallait absolument qu’ils soient vendus ensemble. S?duire ? trois un acheteur. Qu’il prenne le lot. Qu’il trouve en eux suffisamment d’int?r?t pour accepter de payer le prix plus ?lev? d’un lot d’esclaves.
Evelyne savait au fond d’elle-m?me que ceci signifiait la certitude ? terme d’un surcro?t d’horreurs ? endurer. Vendues s?par?ment, Charlene et elle pouvaient en effet encore esp?rer finir par servir comme prostitu?es dans un bordel quelconque. ??En ?tre descendue ? n’esp?rer plus que de faire une fin comme putain dans un claque? Quelle d?rision?!?? Pensait int?rieurement Evelyne. Quarante clients par jour ou plus. Peut ?tre un peu moins les premi?res ann?es, tant que leur beaut? leur ?viterait encore une mise ? l’abattage pure et simple. Horrible s?rement, mais classique et, consid?r? froidement, encore un type de futur concevable. Au moins pour elles deux?
Mais obtenir qu’un acheteur les d?sire suffisamment pour les prendre comme un lot, tous les trois, suppose que ce riche acheteur veuille assouvir sur eux des envies et des fantasmes si particuliers et si abjects que seule une telle configuration peut lui procurer. Evelyne, adulte, ?tait sans illusion aucune sur ce sujet. Rester ? trois et ?tre pr?ts ? tout pour cela, c’?tait d’abord garantir ? leur futur propri?taire une absolue servilit? de chacun ? ses moindres d?sirs, les possibilit?s de chantage de l’un sur l’autre ?tant absolument illimit?es. Tout, absolument tout, deviendra alors possible pour le propri?taire, qui pourra tout demander et tout obtenir d’eux trois, m?me l’inimaginable? Ensuite ?tre vendus en famille, acheter une famille, suppose logiquement un ou une propri?taire que le tabou de l’inceste fascine?
L’homme ?tait maintenant aupr?s de John, soupesant longuement son p?nis, ?tirant les testicules, comme ceux d’une b?te. L’adolescent lui aussi avait ?t? juch? sur des chaussures de femme ? talons aiguille, une fine cha?ne dor?e ornant aussi sa cheville, le vendeur tentant adroitement de sugg?rer par cette mise en sc?ne androgyne le potentiel ?rotique de la marchandise offerte ? la vente. Il se laissait faire, ?cartant les cuisses pour offrir le meilleur acc?s ? son intimit?. ??Brave petit?? pensa en elle-m?me Evelyne. Il lui fallut ensuite sucer et nettoyer avec sa bouche les doigts pr?c?demment souill?s dans le fondement de sa m?re. John le fit sans h?sitation marqu?e, montrant sa soumission en sachant maintenir un regard docile vis-?-vis de l’homme qui l’humiliait.
??Let them wank a little to see how hot they are?? Demanda l’homme.
[Faites les se branler un peu pour voir si ils sont bien ??chauds???]
Fatou, apr?s traduction, s’avan?a et leur ordonna : ??Masturbez-vous?! Allez, branlez vous?! Montrez que vous en voulez?!??
Ils ob?irent tous les trois, enlevant les mains de sur leurs t?tes pour les porter vers leurs entrejambes. Evelyne, au coeur de la honte, mais r?solue ? tout pour emporter le choix de l’acheteur, prit m?me sur elle de commencer ? onduler lascivement du bassin. Lib?res de leur propre culpabilit? par l’exemple venu de leur m?re, ses deux enfants firent bient?t de m?me. Quel show?! Trois corps magnifiques en pleine lumi?re, leurs longues jambes muscl?es mont?es sur talons aiguilles, largement ?cart?es et ondulant au gr? de l’exhibition obsc?ne des organes sexuels que les trois malheureux stimulaient avec une ?nergie si d?sesp?r?e qu’on aurait pu finir par la trouver touchante...
Part 5 – Dans le lit du ma?tre.
Cela avait march??: le lendemain Fatou ?tait venue les informer que l’acheteur de la veille avait accept? de les prendre comme un lot. Ils allaient rester ensemble. Soulagement.
Du long voyage qui suivit, Evelyne ne se rappelait presque rien. On leur avait fait boire quelque chose avant de partir et, apr?s, elle avait eu la t?te lourde et elle ne faisait plus que s’endormir? Il y a avait eu une voiture, puis elle se rappelait d’un avion, un jet priv? luxueux o? elle s’?tait endormie ? m?me le sol, le nez dans la moquette.
Tout les trois s’?taient retrouv?s en Asie du Sud, en Indon?sie devaient-ils apprendre plus tard de la bouche d’un serviteur qui savait quelques mots d’anglais. Une tr?s vaste maison dans un parc, un ensemble de maisons en fait, gard?es par des hommes et des chiens, servies par un personnel ? la peau sombre et parlant une langue incompr?hensible. Les rares vues possibles sur l’ext?rieur ne montraient au loin que des montagnes couvertes d’une dense for?t tropicale. Des h?licopt?res pouvaient ?tre entendus, allant et venant r?guli?rement, semblant ?tre le seul moyen de rejoindre le monde ext?rieur. Aucune cl?ture visible. Peut-?tre le parc ?tait-il immense?? Ou alors ?taient-ils dans une ?le priv?e, une de ces milliers d’?les dont est faite l’Indon?sie, pays refuge discret des fortunes colossales apport?es par la r?cente et fulgurante ascension ?conomique de l’Asie??
Arriv?e l?, Evelyne avait pens? ? se suicider. Mais, outre qu’elle n’?tait pas certaine d’en avoir le courage pour elle m?me, il lui aurait fallu aussi soit tuer ses enfants avec elle (?!) soit, pire peut-?tre, les abandonner seuls au d?sespoir de leur abject destin. De cette l?chet? l?, elle ?tait totalement incapable. Elle vivrait donc, elle se soumettrait ? tout pour, tant que cela serait en son pouvoir, les ?pargner et leur apporter le peu de soutien maternel qu’elle pourrait pour traverser les horreurs que le futur leur r?servait.
Ils furent pr?sent?s au ma?tre le surlendemain soir apr?s le d?ner. Nus, align?s, ils virent arriver un chinois ?g?, en peignoir, grand et un peu gros, fumant au moyen d’un long porte-cigarette de nacre. L’acheteur de la vente n’avait donc ?t? qu’un repr?sentant. Leur propri?taire tourna autour d’eux se concentrant sur les deux femmes en faisant tranquillement ses commentaires ? voix haute. Il glissa par derri?re une main r?che entre les cuisses d’Evelyne et la fit remonter vers son intimit?. La m?re se laissa faire, ?cartant m?me les jambes pour lui faciliter son intrusion. Placidement elle se laissa fouiller.
??An authentic ass-virgin, I have been told. And the daughter as well? Quite surprising for French women?? Commenta t-il.
[Une vraie vierge du cul m’a-t-on assur?. Et la fille de m?me? Vraiment surprenant pour des fran?aises?]
Apparemment satisfait, il fit signe ? Evelyne de le suivre tandis que les deux enfants ?taient conduits hors de la pi?ce par les serviteurs. Il la pr?c?da dans une vaste et luxueuse chambre o? tr?nait un lit immense couvert de cousins et aux draps de soie.
Le ma?tre se d?shabilla et alla s’allonger sur le lit. Evelyne dut regarder pour la premi?re fois le lourd sexe jaun?tre qui balan?ait sous la bedaine du chinois. Cette masse de chair qui avait le pouvoir de d?cider de son avenir et de celui de ses enfants. Cette masse de chair ? laquelle elle allait donner sa bouche, son sexe et, s?rement un jour aussi, la virginit? de son cul. Cette masse de chair qui demain souillera et violera ? son tour sa pr?cieuse Charlene?
??Come and suck me like you all do it so well in Paris!??
[Viens l? et suce-moi comme vous savez toutes si bien le faire ? Paris]
Evelyne s’approcha et se glissa entre les cuisses ?cart?es. Sa bouche fard?e s’approcha du membre assoupi, s’ouvrit et sa langue se mit ? donner de petits coups pr?cis, sur les bourses d’abord puis, remontant le long de la queue endormie, vers le gland. Rapidement, sous cette stimulation adroite, le p?nis grossit et la bouche soumise put entreprendre de l’avaler enti?rement. Il glissa simplement dans la chaude caverne qui l’aspirait. Le ma?tre, heureux, s’?tira lascivement. La connaissance du combat contre elle m?me que devait mener Evelyne pour lui offrir une telle caresse ne faisait que renforcer son plaisir. La belle t?te brune se mit ? aller et venir lentement absorbant enti?rement l’organe sexuel ? chaque plong?e, qu’Evelyne finissait le nez dans les poils pubiens de son bourreau. Au plus profond, c’?taient les contractions reflex de son arri?re gorge qui faisaient comme un massage autour du gland d?j? presque engag? dans son oesophage. Heureusement pour elle, un tel traitement ?tait tellement exquis qu’il ?tait impossible au ma?tre de l’endurer plus de quelques minutes sans jouir.
Comme il avait ce soir l? d’autres projets pour elle, il lui fit comprendre de cesser d’une pouss?e de la main sur son front et il lui dit?:
??You would prefer a fuck, wouldn’t you??? [Tu pr?f?res baiser, n’est ce pas??]
??Y... Yes, Master. Of course.?? Se for?a ? r?pondre Evelyne, essayant de deviner les d?sirs de son propri?taire.
??Then ride me and make it good! ?? [Alors chevauche-moi et fait en sorte que ce soit bon?!]
Elle avait compris. Elle se redressa, l’enjamba en pla?ant ses pieds aux cot?s des hanches de son ma?tre. S’accroupissant, elle saisit le membre rigide entre ses doigts d?licatement manucur?s et en guida le n?ud rougi vers l’entr?e entrouverte de sa caverne intime.
D’un tr?s lent mouvement continu vers le bas, elle s’empala alors sur lui jusqu’? venir sentir le contact de ses testicules contre la peau de ses fesses. On y ?tait?! Pour la premi?re fois - il y en aurait des centaines d’autres elle le savait - elle ?tait la femelle prise par cet homme dont elle ?tait devenu le jouet vivant. En tremblant, elle commen?a ? monter et descendre par le jeu de ses cuisses, lentement pour maximiser son plaisir ? lui, pour le faire durer, pour ?tre inoubliable pour lui, pour se rendre n?cessaire, indispensable m?me si cela ?tait possible. Ses seins lourds se balan?aient sur son buste en un fascinant ballet. Le ma?tre en saisit et en ?tira les extr?mit?s entre ses doigts crochus, la contraignant ? se torturer elle-m?me ? chaque empalement.
Animal ob?issant, elle ?tait tenue de soutenir le regard de celui qu’elle voyait peu ? peu sous elle monter vers le plaisir, chaque marche qu’il franchissait vers l’orgasme ?tant une marche de plus qu’elle descendait dans l’abjection? Enfin le regard du ma?tre se troubla et il arqua brutalement son corps vers le haut s’enfon?ant encore plus profond?ment en elle si c’?tait possible. Elle ressentit une nette sensation de chaleur au fond d’elle-m?me, preuve des br?lants jets de sperme que l’homme d?versait au fond de sa f?minit? profan?e.
Elle resta emmanch?e sur lui le temps qu’il ait fini de s’?pancher en elle, lui laissant vivre son plaisir jusqu’au bout.
??Kiss me?! Say me thank you, slave!??
??Thank you Master. Thank you.?? Dit doucement Evelyne en soutenant difficilement son regard.
Elle se pencha vers les l?vres de son ma?tre, y posa les siennes et laissa leurs deux langues se joindre dans un baiser profond qu’elle prit grand soin de lui laisser l’initiative d’interrompre.
Elle dut encore le nettoyer, toujours avec sa bouche, avant qu’il ne l’autorise ? partir. Evelyne quitta le c?ur lourd la chambre luxueuse pour aller retrouver ses enfants. En marchant, elle pouvait sentir le sperme chaud qui s’?coulait doucement hors d’elle le long de l’int?rieur de ses cuisses. Ce soir, pour la premi?re fois, elle avait fait son devoir, tout son devoir. Un devoir d’esclave.
Le lendemain matin, Evelyne fut men?e seule vers une pi?ce o? plusieurs serviteurs, hommes comme femmes, l’attendaient. On lui fit comprendre de s’asseoir sur une chaise situ?e au milieu de la pi?ce. Une fois assise, ? sa grande frayeur, plusieurs des pr?sents se saisirent d’elle et l’immobilis?rent fermement. Une jeune femme approcha alors une fine pince de son visage. Elle tenta de se d?rober, mais tenue fermement au torse, ? la t?te et par les bras, elle ne put bouger d’un pouce. Une douleur fulgurante la traversa quand, d’un geste sec et pr?cis, on lui per?a la paroi du nez. Trois minutes plus tard elle repartait vers sa cellule, un anneau d’or d?corant - ou d?figurant c’est selon - son visage. Sur le retour, elle croisa sa fille que l’on poussait vers m?me supplice. Evelyne baissa les yeux en gardant le silence...
John lui aussi fut muni d’un anneau nasal le m?me jour. On lui installa en plus autour du p?nis une sorte de cage ferm?e par une clef : s’il pouvait toujours uriner librement, toute ?rection lui devenait physiquement interdite. Il ?tait la plus part du temps gard? seul, ? part de sa m?re et de sa s?ur. Deux ou trois fois par semaine, les trois ?taient r?unis pour quelques heures, souvent le temps d’un repas, avant que le jeune homme ne soit reconduit vers sa solitude. Aucun mal ne lui ?tait fait?: parfois on l’utilisait pour des travaux de force sur le domaine, mais la plupart du temps il restait enferm? seul, comme en r?serve? Evelyne comprit bien vite qu’il s’agissait d’une forme de chantage?: on vous r?unit de temps en temps pour vous prouver que tout va bien, tout en vous maintenant constamment ? l’esprit qu’il pourrait facilement en ?tre tout autrement?
Les deux femmes de leur cot? ?taient enferm?es dans une sorte de studio dot?e d’une douche et du n?cessaire pour se maquiller, ainsi que de quelques bijoux de pacotille. Les seuls v?tements mis ? leur disposition ?taient des chaussures de soir?e ? talon. Rien d’autre, pas m?me des strings. La pi?ce ne comportait pour tout meuble qu’un large matelas, propre et assorti de quelques couvertures. Elles ?taient nourries deux fois par jour et, pour le reste du temps, elles s’ennuyaient, r?duites ? devoir attendre pour savoir si elles seraient viol?es ou non le soir suivant, en fonction de la fantaisie de leur propri?taire. Ces sorties nocturnes ?taient leur uniques ??distractions?? et elles en venaient m?me parfois ?, d’une certaine mani?re, les souhaiter?
Deux jours plus tard. Evelyne et sa fille furent appel?es ensemble dans la chambre du ma?tre. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d’?tre souill?e pour la premi?re fois par son propri?taire asiatique sous le regard de sa m?re.
Une routine s’installa. Les deux femmes servaient leur propri?taire quasi-quotidiennement. Esclaves sexuelles dociles, elles se donnaient ? lui et ? ses vices sans qu’il ait ? utiliser sur elles (ou sur leur fils et fr?re) la violence ou m?me seulement la menace de celle-ci. Evelyne restait en alerte esp?rant qu’un jour, quelqu’un ou quelque chose, lui permettrait de s’arracher et d’arracher ses enfants ? leur esclavage. Pour cela il ?tait primordial de tenir et surtout d’?viter tout ce qui pourrait amener le ma?tre ? les revendre, ? les s?parer ou ? commettre sur eux (ou l’un d’entre eux) quelque barbarie irr?parable. La docilit? d’Evelyne cachait un calcul tr?s rationnel d’o? il ressortait que maximiser le plaisir du ma?tre, qu’essayer de se rendre irrempla?able ? ses yeux ?tait le meilleur moyen de pr?server les chances ? long terme de sa famille. C’est donc en toute lucidit? et par un immense effort de volont? qu’elle donnait soir apr?s soir ? ce quasi-vieillard les plaisirs les plus extr?mes et qu’elle acceptait d’avoir pour lui les complaisances les plus sales. Elle lui prostituait son corps magnifique dont elle veillait soigneusement ? maintenir la beaut?, se frottant ? lui, l’embrassant le plus intimement, litt?ralement comme si sa vie en d?pendait, et elle veillait toujours ? son absolue satisfaction, l’invitant syst?matiquement ? un nouveau rapport sexuel ou une nouvelle fantaisie jusqu'? ce que, fatigu?, il d?cline et la faisait repartir dans ses quartiers.
Le risque du fouet ?tait naturellement aussi une autre tr?s tr?s bonne raison aux ardeurs qu’elle t?moignait dans le lit de son ma?tre Cela va sans dire?
R?unies apr?s les moments pass?s dans la chambre du ma?tre, les deux femmes tentaient de se r?conforter mutuellement comme elles le pouvaient. Maternelle, Evelyne prenait sa fille dans ses bras et l’aidait ainsi ? s’endormir. Un soir elle dut faire face ? une crise de d?sespoir, Charlene ne se pardonnant pas de s’?tre surprise ? avoir un orgasme ? l’issue d’une longue s?ance de prise en une profonde levrette par le ma?tre. Evelyne dut mentir et lui affirmer qu’il s’agissait l? d’une chose aussi naturelle et in?vitable que la faim ou la soif, et que, elle aussi, en ?tait d?j? pass?e par l?. Pieux mensonge, mais mensonge ? demi seulement, Evelyne le savait, car son corps avait d?j? ?t? ? deux doigts de la trahir, notamment du fait de la vicieuse modification apport?e ? son clitoris qui en ?tait devenu hypersensible. Elle redoutait qu’un jour l’in?vitable finisse par se produire effectivement. De toutes fa?ons se disait-elle, il doit bien y avoir dans les armoires des pharmacies de ces pervers, les drogues ou les hormones appropri?es pour que, si tel devenait le bon plaisir de leur propri?taire, plus rien ne puisse alors emp?cher qu’elles soient contraintes de jouir ? r?p?tition, m?me parfaitement ? leur corps d?fendant, et que le ma?tre se fasse alors un spectacle de cette nouvelle ?tape de leur avilissement?
Part 6 - Encul?es.
Chaque fois qu’elles se retrouvaient entre ses mains, le ma?tre jouait ? leur introduire un doigt dans l’anus. Rappel cruel de l’in?vitable premi?re sodomie dont lui seul d?ciderait du jour et de l’heure. Evelyne et Charlene y ?taient r?sign?es et en avaient parl? ensemble. Un sujet ? propos duquel la m?re ne pouvait, on l’a vu pr?c?demment, pas enseigner grand-chose ? sa fille...
Le ma?tre faisait durer l’attente. Sage, il savait progresser pas ? pas dans la gradation des ??jeux?? sexuels qu’il imposait ? ses deux acquisitions, les for?ant ? se prostituer dans une d?pravation sans cesse croissante, les d?pouillant soir apr?s soir de leur innocence comme on p?le soigneusement un oignon. Il savait tirer d’elles chaque soir un plaisir nouveau, g?rant habilement son capital pour en tirer pour lui-m?me une jouissance maximale. Lorsque arriva le soir du jour qu’il avait choisi, il fit venir m?re et fille ensemble dans sa chambre. Evelyne en entrant trouva au milieu de la pi?ce une sorte de banc courb? en fer ? cheval, un bel objet de bois brut recouvert de cousins de velours rouge. Pour la premi?re fois depuis que cette chambre ?tait le th??tre de leurs viols, quatre serviteurs ?taient pr?sents, deux ayant ? la main des cameras vid?o num?riques.
??Display yourself there?! Tonight you will give me your ass’s cherry??
[Place toi la dessus?! Ce soir, tu vas me donner la virginit? de ton cul?
??C’est donc pour ce soir??? Se dit-elle en baissant la t?te et, soumise, elle se mit en place de son plein gr?s ? quatre pattes sur le meuble, les genoux sur les branches du fer ? cheval, des branches dont l’?cartement calcul? la contraignait ? ?carter largement les cuisses et ? offrir ainsi un parfait acc?s ? son post?rieur. La hauteur du meuble ?tait telle que toute victime ainsi exhib?e pouvait ?tre prise par un homme debout, sans fatigue pour le violeur qui n’avait plus qu’? poser les mains de chaque cot? du fessier largement offert et ? l’attirer ? lui?
Les cameramen se mirent en place, un par derri?re et l’autre se concentrant sur son visage. ??Le vieux salaud veut garder des souvenirs ?ternels de ??ma premi?re??. ?? Pensa-t-elle am?rement.
Le ma?tre, moins par gentillesse, que pouss? par le souci de son propre bien-?tre, accorda n?anmoins une forme de douceur ? la malheureuse Evelyne, m?me si elle la paya cher en terme de honte. Charlene fut requise pour lubrifier l’anus de sa m?re puis, au moyen d’un phallus de plastique, dut ??ouvrir?? le fondement maternel et l’assouplir en anticipation du viol ? venir. Ce pr?-viol, de la m?re par la fille, fut douloureux malgr? toutes les pr?cautions que pouvait prendre par Charlene et la camera n’en perdait rien, enregistrant chaque contraction, chaque grimace sur le visage de la femme. Le spectacle de l’avilissement de la m?re par la fille, la vue des frissons (de douleur) qui parcourrait le somptueux corps de femme lorsque s’y enfon?ait le god de plastique noir, provoqua vite une belle ?rection chez le vieux chinois.
Se d?pouillant brusquement de son somptueux peignoir de soie, il fit signe ? Charlene de se retirer. Evelyne le sentit se mettre en place derri?re elle entre ses jambes ?cartel?es. Puis il y eut le contact des ses cuisses contre les siennes et, imm?diatement apr?s, elle se figea lorsque le gland de l’homme vint au contact de l’anneau de son anus dilat? et luisant de lubrifiant.
L’?il de la camera enregistra comment le gland repoussa les chairs du canal anal pour forcer son chemin dans les profondeurs de l’esclave, s’enfon?ant lentement mais contin?ment, centim?tre par centim?tre, ?largissant l’orifice souple, jusqu'? ce que les couilles du chinois viennent au contact les grandes l?vres du vagin de sa victime. Malgr? tout son immense contr?le sur elle-m?me, Evelyne ne put s’emp?cher de trahir sur son visage le d?go?t et l’horreur que lui inspirait ce qu’on la for?ait ? accepter. Avec le viol enregistr? sous tous les angles, le ma?tre pourrait se faire un beau montage de la perte de son pucelage anal. Encul?e. Une encul?e. Une encul?e jusqu'? la garde, voila ce qu’elle ?tait d?sormais. A la vue de tous et toutes.
D?sormais ? son aise en elle, les mains croch?es sur les lobes de ce beau fessier, dont il pouvait user ? volont?, il commen?a son travail de sape, pilonnant, pistonnant, l’enculant de toutes ses forces, avec toute la vigueur qu’il pouvait trouver en lui. Le fait d’enculer une blanche le stimulait supr?mement. A grands coups de reins, il l’empalait, jouant du pouvoir sexuel de sa queue enfouie en elle. Une fois au fond du ventre de son esclave, il ressortait presque totalement de l’anus dilat?, le gland au bord du crat?re brun, puis repartait au fond du boyau, qu’il ?largissait ainsi impitoyablement, pouss?e apr?s pouss?e.
La fran?aise vivait l’assaut bestial comme un cauchemar ?veill?. Elle ?tait ? deux doigts de pr?f?rer le fouet ? cette abjection. Et encore, et encore? Cela durait abominablement. Enfin, enfin il se l?cha et ?jacula dans le fin fond son cul profan?. Il grogna tel un fauve. Il resta un grand moment en elle, coll? contre elle, puis, sa queue perdant lentement du volume, il se retira. Evelyne resta en place, bris?e de douleur et de honte. Elle aurait aim? pouvoir refermer son fondement mais rien n’y faisait?: elle ne commandait provisoirement plus ? son propre corps. Le chinois lui avait litt?ralement ??cass? le cul??. Et la camera, qui vint enregistrer quand elle commen?a ? se vider du surplus de leurs secr?tions m?l?es, fit le pendant de celle qui immortalisait les larmes de honte qui glissaient silencieusement sur ses joues, emportant son maquillage?
Une semaine plus tard. Evelyne et sa fille furent ? nouveau appel?es ensemble dans la chambre du ma?tre. Et ce fut cette fois au tour de Charlene d’?tre d?fonc?e par derri?re pour la premi?re fois par son propri?taire asiatique sous le regard des cameras et de sa m?re, cette derni?re ayant eu ? pr?parer le vieil homme par d’une fellation savante avant qu’il ne soit en capacit? de poss?der sa fille.
Part 6 – Servir les invit?s.
Ce soir l?, Evelyne et sa fille furent amen?es nues au grand salon. Le ma?tre finissait d’y prendre un th? digestif avec deux ?trangers ? la maison, un homme d’affaire asiatique, malais ou peut ?tre tha?, la belle cinquantaine aux cheveux argent?es, et une femme chinoise assez grasse, d?j? s?rement largement dans ses soixante ans et dont le regard per?ant gla?a le sang d’Evelyne. Une lesbienne, elle en ?tait certaine ? 100%. Et une lesbienne vicieuse?
La conversation ?tait en mandarin, mais il n’?tait pas difficile pour les deux esclaves de comprendre que le ma?tre ne proposait rien de moins ? ses deux invit?s que de se choisir un jouet sexuel pour la nuit?! Evelyne pria alors Dieu (s’il y en avait un pour elles?) que l’homme choisisse sa fille et qu’il ?pargne ainsi ? son enfant l’horreur d’une nuit dans le lit d’une telle femme. M?re et fille durent s’exhiber, jambes ?cart?es, mains sur la t?te en ondulant du basin. Et le Ciel exhaussa ses v?ux?: c’est d’elle, Evelyne, dont la vieille chinoise avait envie ce soir.
Charlene partit ainsi vers une probable longue, mais sinon par ailleurs ??classique??, s?ance de fellation/p?n?tration/sodomie aux mains de cet homme non choisi certes, mais finalement assez physiquement acceptable. La m?re savait sa fille d?sormais suffisamment endurcie en ces mati?res pour que ceci puisse ?tre envisag? comme un moindre mal.
Pour elle, la nuit serait longue. Elle n’avait aucune illusion ? ce sujet et c’est le c?ur tr?s lourd qu’elle suivit comme un animal docile la vieille femme lorsque celle-ci choisit de se retirer dans la luxueuse chambre qui avait ?t? mise ? sa disposition pour la nuit. Le ma?tre avait cru bon de lui faire savoir au moment ou elle quittait la pi?ce?:
??Good night! And you, whore, make her happy or else your son???
[Bonne nuit?! Et toi, putain, rends la heureuse sinon?]
La premi?re menace jamais entendue dans sa bouche depuis son arriv?e sur le domaine. Evelyne se le tint pour dit?
La chinoise se d?shabilla, r?v?lant un corps ?g?, rid?, au ventre rond et aux seins tombant avec des bouts larges et extr?mement sombres. Elle tenait sa toison pubienne soigneusement ras?e, comme celle d’une petite fille, mais avec des l?vres intimes larges et un peu distendues. Elle posa enfin sur la coiffeuse sa perruque laissant voir un cr?ne presque d?garni couvert seulement de quelques m?ches blanch?tres.
Elle revint sur ses pas et, se collant contre Evelyne, entreprit le viol m?thodique du corps sain et sublime qui ?tait sa proie pour la nuit. La vieille savait tout, c'est-?-dire bien plus qu’Evelyne, sur le sexe entre femmes, et elle ne lui ?pargna rien ni aucune caresse ni aucun attouchement. Evelyne dut embrasser, l?cher et caresser l’enti?ret? de ce corps us?, aucune r?pulsion, aucune pudeur ne comptant plus. La chinoise s’?chauffait ? mesure que duraient ces jeux saphiques et maintenant elle fouillait litt?ralement le corps soumis de la fran?aise.
Evelyne dut consentir ? tout, absolument ? tout. C’?tait un viol total, qui allait infiniment plus loin dans l’intime que tout ce que les hommes dans leur furie sadique lui avaient fait subir jusque l??: ? la vieille, femme comme elle, elle ne pouvait rien dissimuler, rien cacher?
Puis l’anc?tre se leva et alla sortir d’une de ses valises un god double avec ceinture. Elle introduit d?licatement le plus petit bout ? l’int?rieur de son propre sexe et ajusta et ferma la ceinture de cuir autour de sa taille. Ainsi ?quip?e, elle allait pourvoir vivre ses fantasmes jusqu’au bout. Le faux p?nis flexible qui depuis l’entrecuisse de la chinoise pointait vers Evelyne, ?tait massif avec la repr?sentation des veines et du gland bien marqu?e. Evelyne, qui n’avait encore jamais eu quelque chose d’aussi imposant en elle, eut une derni?re pens?e pour remercier le ciel d’avoir au moins ?pargn? ce supplice ? sa fille si fine et longiligne. Et puisque elle-m?me avait su accoucher deux fois, il ne lui restait qu’? compter sur la souplesse naturelle de son corps?
La vieille lui fit l’aum?ne de lui permettre de sucer le god pour offrir quelque lubrification pr?liminaire. Les mouvements de la t?te et de la bouche de la fran?aise sur le god ext?rieur se transmirent au god int?rieur offrant a la vieille lesbienne un avant-go?t des plaisirs ? venir. Evelyne s’effor?ait de saliver le plus possible pour lubrifier au mieux le latex, ce qui la contraignait ? ?mettre les sons de succion disgracieux? D’un simple signe de t?te, la chinoise lui fit savoir que c’?tait assez. L’esclave fran?aise s’allongea sur le dos et s’exposa son intimit? en vue de son immolation imminente.
La vieille la d?fon?a.
Forc?e, ouverte, ?cartant ses cuisses autant qu’elle le pouvait, comme clou?e sur ce lit comme un papillon, elle ?tait convaincue que jamais son corps ne retrouverait sa forme initiale apr?s avoir laiss? s’introduire en elle un pareil mandrin... Et tout cela pour la simple transmission par le m?dia du double god de vibrations bienfaisantes au sein du sexe de la vieille? ??Qu’elle sinistre perversion?!?? pensa Evelyne, qui dut offrir sa bouche servile ? un long et imp?ratif baiser profond. La chose dura une ?ternit? avant que la chinoise, le feu dans les yeux, ne finisse par se faire jouir au travers de l’accouplement m?canique qui liait les deux femmes.
M?me repue, la vieille n’en avait pas encore fini avec son jouet d’un soir. Evelyne dut subir l’enlacement de la chinoise qui voulut s’endormir toujours fich?e dans son vagin, mais en la prenant par derri?re celle fois, les deux femmes couch?es en chien de fusil, la vieille dans le dos de l’esclave. Evelyne connut l? une longue nuit sans sommeil, son intimit? distendue, veillant ? ne pas troubler le repos de sa ma?tresse, dont elle sentait la respiration r?guli?re sur ses ?paules.
Au matin, la fran?aise dut s’acquitter d’une derni?re longue caresse buccale, la t?te profond?ment enfouie dans la moiteur des cuisses de l’anc?tre, r?veillant de la langue la sensualit? fatigu?e de la dominatrice lesbienne avant d’?tre autoris?e ? partir et ? dormir enfin.
Part 7 - Plong?e dans l’enfer de l’inceste.
Evelyne avait vu juste d?s la veille de la vente?: Acheter une famille, suppose un ou une propri?taire que le tabou de l’inceste fascine. D?s leur premi?re pr?sentation au ma?tre, elle en eut la sinistre confirmation ? l’?coute de ses commentaires sur sa r?cente acquisition et son insistance malsaine sur ??Family?? et ces ??Nice family??? Qu’il r?p?tait avec une ?vidente gourmandise. En jour ou l’autre Evelyne savait que l’ignoble moment viendrait?
Evelyne redoutait que le ma?tre, malgr? tout l’empressement dont elle faisait preuve ? son ?gard, ne finisse par se lasser un peu d’elles et qu’il ne veuille ranimer son d?sir par des spectacles ou des machinations ??plus cors?es???
La premi?re fois eut lieu une nuit qu’Evelyne et Charlene avaient ?t? appel?es ensemble pour servir le ma?tre en sa chambre. Allong? sur son lit, il se faisait administrer, comme plusieurs fois d?j? dans le pass?e, une fellation ? deux bouches par la fille et la m?re. Mais, alors que la fille l’avait en bouche et travaillait le gland d’un mouvement tournant de sa langue, et tandis qu’Evelyne, le nez dans la toison pubienne du vieux, l?chait les bourses poilues, le ma?tre se redressa et leur ordonna?:
??Kiss?! Kiss yourself?! Play with each other in front me?!??
[Embrassez-vous?! Faites l’amour devant moi?!]
Les deux femmes, qui comprenaient toutes les deux parfaitement l’anglais, surent instantan?ment qu’un nouvel instant de v?rit? ?tait arriv?. Se redressant lentement, elles se regard?rent l’une l’autre, d?sempar?es, perdues. Il n’y avait pas d’alternative. Il fallait ob?ir. Mais Charlene vit dans les yeux de sa m?re que celle-ci ne pouvait pas, que ce qu’on exigeait d’elle ?tait au-del? de la force de sa volont?. C’est alors la fille qui prit les choses en main et qui guida sa m?re ? la d?rive.
C’est elle qui approcha ses l?vres de celles de sa m?re, qui joignit leurs deux corps en un baiser d’abord tr?s doux, puis de plus en plus sexuellement charg?. Elle l’enla?a, mimant d’abord les caresses avant de rendre ses gestes plus pr?cis et plus appuy?s, glissant ses mains vers les lourds seins maternels et leurs t?tines qu’elle sut tendrement faire durcir, puis enfin vers l’entrejambe humide. Evelyne perdue se laissait dominer et conduire. L’habilet? de sa fille la surprit. L’excitation de ses l?vres par la fine langue agile puis la simulation de ses glandes mammaires provoqu?rent en elle une mont?e d’excitation sexuelle, d’autant plus qu’?tant inconsciemment si certaine, et depuis si longtemps, qu’une telle aventure incestueuse ?tait inscrite dans leur futur, cela avait en quelque sorte constitu? une pr?paration psychologique qui avait r?duit en elle l’horreur instinctive associ?e ? un tel ?v?nement. Charlene restait avec John la derni?re personne avec qui existaient des relations bas?es sur la tendresse, le respect et l’amour. Charlene qui l’enla?ait ?tait la derni?re personne qui ne lui voulait pas de mal. Lorsque les fins doigts de sa fille se pos?rent sur son clitoris pro?minent et hypersensible, ce fut comme si une digue se rompait dans le c?ur de cette femme qui avait assum?e tant de choses si lourdes et depuis tant de semaines?
Elle se mit ? rendre ses caresses ? sa fille, par la bouche d’abord, puis avec ses mains, caressant le corps magnifique de son enfant, de la chair de sa chair. En elle vivait d?sormais une envie irr?sistible de donner du plaisir, de faire le bien, de faire jouir encore et encore ce corps ami et pr?cieux et d’?puiser dans une extase sexuelle leur amour mutuel.
Les deux femmes se faisaient maintenant furieusement l’amour, se donnant absolument l’une ? l’autre et ignorant totalement le regard voyeur que leur ma?tre posait sur elles. Celui, redress? sur le lit, mangeait des yeux le spectacle de ces deux cr?atures somptueuses emport?es par un ouragan de passion sexuelle. Il en con?ut une excitation incroyable et d?veloppa une ?rection formidable qu’il n’avait nul besoin d’encourager par une quelconque masturbation.
Evelyne et Charlene s’?taient mises en position de ??69??, Charlene en dessous, et, les cuisses largement ouvertes l’une ? l’autre, ne vivaient plus que dans la fi?vre de se faire jouir r?ciproquement. Son clitoris boursoufl? faisait de la m?re une proie plus facile et elle parvint avant sa fille ? un premier et puissant orgasme, redressant sa t?te pour gueuler sans retenue son bonheur animal, ses l?vres luisant des secr?tions intimes de sa fille. Provisoirement assouvie, elle replongea la t?te entre les cuisses ouvertes et entreprit de plus belle d’amener ? son tour Charlene ? l’orgasme. Celle-ci sentit sa m?re pourchasser furieusement de la langue son bouton d’amour pendant que les doigts maternels introduis dans son fondement lui procuraient une excitation d?licieuse. Son ventre muscl? eut une s?rie de contractions de plus en plus puissantes et incontr?lables jusqu'? ce qu’elle expulse de son vagin jusque dans la bouche d’Evelyne une large quantit? de liquide intime et qu’un orgasme monstrueux la submerge et l’emporte. Elle aussi hurla ? son tour son plaisir ? s’en casser la voix...
Le ma?tre, transport? de d?sir, vint alors se placer derri?re Evelyne, ses cuisses poilues venant surplomber le visage de Charlene. Il introduisit son membre infiniment dur dans le vagin gluant de la m?re et ordonna parall?lement ? la fille?:
??Lick my balls, you whore?!?? [L?che moi les boules, toi la salope?!]
Le propri?taire reprenait ses droits. La jeune femme ob??t docilement et commen?a ? faire tourner sa langue agile autour des testicules du chinois. Celui-ci, ayant empoign? Evelyne par les hanches, la baisait de grands coups de reins. Son intimit? d?fonc?e et le contact r?gulier des testicules de l’asiatique contre son clitoris gorg? de sang conduisirent l’esclave fran?aise ? un deuxi?me orgasme, aussi puissant que le premier. Simultan?ment son ma?tre jouit lui aussi, le sexe mass? par les contractions internes du vagin de l’esclave jouissante, et il vida comme jamais ? l’int?rieur de son somptueux jouet vivant. Le foutre exc?dentaire coulant comme l’eau ? la fontaine ? l’ext?rieur du vagin maternel, Charlene eut ? le recueillir dans sa bouche et elle l’absorba en elle.
Vid?es de leurs forces, les deux femmes en sueur gisaient l’une sur l’autre. Avec le peu de lucidit? qui restait dans son cerveau ?puis?, Evelyne savait qu’??ils?? avaient gagn??: ils lui avaient fait, ainsi qu’? sa fille, franchir un cap d’au-del? duquel personne ne revient jamais. Ils avaient perverti son esprit ainsi que celui de Charlene, brisant leurs barri?res morales les plus sacr?es et avaient fait d’elles des monstres. Plus rien, plus aucun frein apr?s cela ne les arr?terait jamais sur le chemin de la perversion. Elles ne r?sisteraient plus, ne refuseraient rien quelque soit l’abjection des demandes. Elles ?taient condamn?es?
Ayant repris quelques forces, la m?re et la fille se redress?rent, se relev?rent, et, sans un mot de leur ma?tre ni sans un regard pour lui, elles quitt?rent la chambre, main dans la main.
Le lendemain matin, un profond changement se produisit dans l’organisation de leur vie quotidienne. Le chinois, homme fin et bon connaisseur de l’?me humaine, avait intuitivement compris la nature du bouleversement qui venait de se produire dans l’?me de ses deux esclaves femelles. Il ordonna en cons?quence qu’elles vivent d?sormais s?par?es dans deux studios distants. Ainsi sa chambre ? lui devenait le seul endroit ou elles se retrouvaient en pr?sence l’une de l’autre. Il attendait ainsi – et son stratag?me fonctionna ? merveille – que leurs ?treintes lesbiennes en sa pr?sence en deviennent encore plus ??chaudes??, intimes et passionn?es. Vivant d?sormais dans une solitude renforc?e, frustr?es de la pr?sence de l’?tre ami, frustr?es sexuellement, les deux femmes ne pouvaient s’emp?cher, remises en pr?sence l’une de l’autre, de laisser libre cours ? un sentiment ou l’amour humain, le besoin de fraternit? et l’envie sexuelle composaient un m?lange explosif. Par le spectacle de leur passion, le ma?tre avait trouv? le moyen d’accro?tre son propre plaisir ? la fois comme voyeur de leurs ?bats et par la d?monstration de sa dominance absolue sur l’esprit et l’?me de ses deux captives. Apres cette soir?e, elles durent r?p?ter leur duo sexuel ? chaque fois qu’elles furent demand?es par lui, celui-ci se finissant dans l’une ou l’autre, bouche, vagin ou cul suivant son bon plaisir.
Un autre changement fut que le vieux, fascin? par le surcro?t d’excitation que provoquait chez la m?re la modification apport?e ? sa zone clitoridienne, voulut disposer d’un pouvoir similaire sur la fille. Cela se fit au moyen de la pose d’un anneau d’or au travers de la base du clito de cette derni?re, un anneau dont le passage emp?chait m?caniquement la r?tractation du bouton au c?ur des chairs intimes. La chose fut si efficace, que la semaine suivante, Evelyne portait un ornement semblable. Ce qui avait autrefois ?t? la cause d’une crise de d?sespoir chez la fille devenait leur r?alit? quotidienne?: on les for?ait m?caniquement ? l’orgasme pendant les viols?
Enfin, pour briser plus encore le trio au plan psychologique et rendre la chose encore plus irr?versible, John fut contraint – une boule de caoutchouc engag?e dans sa bouche pour faire taire toute possible protestation – ? ?tre le fr?quent spectateur des furies saphiques de sa m?re et de sa s?ur. Il les vit faire et elles avaient vu qu’il les avait vu...
Part 8 – Plus loin encore?
Une grande f?te se pr?parait manifestement. Le domaine bruissait d’activit? et les deux esclaves avaient ?t? pr?venues individuellement de se pr?parer au mieux.
On vint chercher Evelyne alors que la nuit ?tait tomb?e et elle fut amen?e dans la salle pr?vue pour la f?te, nue comme toujours hormis les fines chaussures ? hauts talons. Les invit?s du ma?tre ?taient l?, assis en un large cercle autour d’une sc?ne centrale improvis?e. Un murmure d’admiration et d’envie marqua l’arriv?e de cette belle femme nue qui, ? 39 ans maintenant, r?v?lait une beaut? peut-?tre effectivement encore sup?rieure ? celle dont la jeunesse et les ann?es de danse classique gratifiaient sa fille.
Elle retrouva Charlene qui l’y attendait depuis quelques minutes immobilis?e milieu de la sc?ne par un dispositif aussi simple qu’efficace?: Une fine cha?ne de m?tal partait entre ses cuisses depuis l’anneau clitoridien, passait au travers d’un anneau fix? au sol au niveau du nombril pour allait rejoindre l’anneau nasal. La seule position tenable pour la jeune femme ?tait de se maintenir ? quatre pattes la t?te baiss?e et les fesses dress?es, son intimit? visible et accessible de tous.
Evelyne fut mise en place parall?lement ? sa fille ? environ deux m?tres de distance ? sa gauche. Comme elle aurait voulu ?tre autoris?e ? s’enlacer avec elle et laisser courir son br?lant amour, m?me au prix d’une obsc?ne exhibition suppl?mentaire sous les yeux de la trentaine de riches voyeurs que le ma?tre avait rassembl?s?! Mais elle avait compris que ce n’?tait pas cela qu’il avait pr?vu pour elles ce soir l?. Les deux cameras vid?o sur tr?pied install?es au bord de la sc?ne et le flot de lumi?re baignant le c?ur de l’ar?ne ne lui disaient rien de bon, mais, au terme de tant d’?preuves, Evelyne ?tait d?sormais bien au-del? d’une honte aussi mineure...
Un b?illon fait d’une large boule de caoutchouc tenue par une lani?re de cuir ferm?e derri?re la t?te fut appliqu?e aux deux femmes. Regardant autour d’elle, la fran?aise ne voyait que des regards luisants, excit?s par les alcools d’un bon repas et qui attendaient avec paillardise quelque surprise extraordinaire que leur h?te raffine avait imagin?e pour eux. Aux cot?s de l’asiatique, assise sur un fauteuil au premier rang, elle reconnut la vieille chinoise lesbienne, qui l’avait tant ??forc?e?? lors de la sinistre nuit.
Le ma?tre frappa deux coups brefs dans ses mains. Les deux femmes captives virent entrer John, leur John, nu, pouss? en avant vers elles par deux serviteurs. Son organe sexuel avait ?t? lib?r? de sa cage d’acier. Ses mains ?taient menott?es tr?s court derri?re son dos. Evelyne pouvait constater en se retournant que la vue des deux f?minit?s nues et offertes provoquait chez son fils une excitation grandissante et incontr?lable, cons?quence in?vitable de plus de deux ann?es de frustration sexuelle absolue impos?e ? un corps de vingt ans.
Les serviteurs le firent s’agenouiller derri?re elle. Immobilis?e comme elle l’?tait, elle ne pouvait en rien prot?ger l’acc?s ? ses parties intimes. Largement ouverte et exhib?e, elle sentait l’air s’?coulait le long de l’int?rieur de ses cuisses et sur les l?vres entrouvertes de son vagin. Elle ne pouvait qu’imaginer le spectacle qu’elle donnait ainsi?: un appel puissant aux pulsions les plus primitives d’accouplement. La boule enfonc?e dans sa bouche la r?duisait au silence. Elle sentit la chaleur du corps de son fils au contact des ses cuisses et de ses fesses. Elle trembla d’horreur ? l’anticipation de ce qu’on allait les forcer ? faire.
??Pardon maman. Pardon? Oh pardonne moi s’il te plait???
Il poussa ensuite un immense et si profond soupir de soulagement ? l’instant, o? elle sentit la virilit? de son fils qui s’enfon?ait au plus profond d’elle-m?me.
Imm?diatement John, comme emport? par son d?sir trop longtemps contenu, se mit ? la pilonner avec fr?n?sie, sa queue entrant et sortant ? toute vitesse de l’orifice maternel. Sa m?re, pour s’?viter d’?tre d?chir?e au nez ou au sexe, se devait de synchroniser pr?cis?ment les mouvements de son corps avec les pouss?es que lui imposait son fils, donnant ainsi involontairement un caract?re harmonieux ? leur accouplement bestial. En une dizaine d’allers-retours seulement John junior explosa en elle, poussant en une puissante contraction de ses cuisses et de ses fesses pour se vider au plus profond de cette caverne pour lui si bienheureuse.
??Pardon... Pardon maman?Pardon??? Se mit-il ? pleurer, ? la fois si soulag? et parfaitement d?sesp?r?.
Elle s’?tait faite prendre comme une jument au montoir, comme une chienne mont?e par le male dominant la meute?: vite, brutalement et sans soucis de son plaisir ? elle. Mais pour celle dont le corps ?tait livr? depuis deux ann?es exclusivement soit ? un amant de pr?s du double de son ?ge soit forc? au lesbianisme, ce rut animal, certes frustrant, avait r?veill? en elle le go?t trop longtemps oubli? d’autres ?treintes?
Des applaudissements et des sifflets enthousiastes virent saluer cette premi?re performance. Celle-ci avait ?t? naturellement bien trop rapide au go?t du public rassembl?, mais John, frustr? de tout soulagement sexuel depuis tant et tant de mois, avait encore de profondes r?serves en lui. Une minute seulement apr?s avoir sailli sa m?re, son ?rection avait repris et c’est cette fois derri?re Charlene que les assistants le firent s’agenouiller. La jeune femme ne put pas plus se soustraire ? l’envie de son fr?re, mais elle grogna et secoua la t?te furieusement pendant tout le temps leur accouplement contre nature, en t?moignage de sa rage et son d?sespoir.
A peine apais? dans les entrailles de sa s?ur a?n?e, John pouvait renouveler une fois de plus sa performance et c’est d’ailleurs bien ainsi que l’entendait le ma?tre Il monta derri?re sa m?re et en quelques minutes de copulation fi?vreuse, il injecta en elle encore plus de sa semence fertile.
Apr?s une quinzaine de minutes, il retrouva la force n?cessaire pour revenir labourer sa s?ur une seconde fois. Il la lima longtemps et Evelyne ne put qu’assister pendant de longues minutes au spectacle de leurs deux corps bougeant en cadence, le pieu luisant de son fils entrant et sortant de la croupe svelte de sa fille. Le ma?tre, peut ?tre agac? de la modeste r?bellion manifest?e par la jeune l’esclave femelle lors du premier accouplement, donna un ordre bref ? une toute jeune femme parmi les servantes pr?sentes. Celle-ci vint imm?diatement s’accroupir aupr?s de Charlene, et, passant une main menue sous le ventre de la jeune femme, elle entreprit de la masturber adroitement pendant le co?t en cours. Les yeux de Charlene commenc?rent ? se dilater et sa m?re ainsi que tous les voyeurs en cercle purent voir les t?tons de ses seins se tendre avant que, quelques minutes plus tard, l’enfi?vrement d’un puissant orgasme ne fassent trembler tout son corps et que de sa gorge sorte un long grognement. Un v?ritable hourra s’?leva alors du public et Charlene, vaincue, ne manifesta plus rien, se contentant d’accompagner le mouvement impos? ? son corps par les pouss?es orgasmiques de son fr?re.
La petite servante entrepris alors sur John une fellation en vue de le remettre en forme une fois de plus. Le jeune homme auquel un tel plaisir avait ?t? refus? depuis litt?ralement une ?ternit? retrouva tr?s vite sa vigueur. La jeune femme appliqua par ailleurs discr?tement un onguent le long de la hampe sexuelle du jeune homme pour garantir par des moyens chimiques la bonne fin du spectacle vicieux imagin? par le propri?taire des lieux.
John fut pour la troisi?me fois accoupl? ? sa m?re. Comme au profit de la fille quelques minutes plus t?t, la jeune servante la masturba impitoyablement mais avec une science consomm?e pendant que son fils cavalait derri?re sa croupe. Comme sa fille, Evelyne ne put ?viter de donner ? tous le spectacle d’un orgasme au c?ur de l’inceste. Et m?me d’un second orgasme avant que John ne se vide encore au c?ur de la matrice originelle.
La soir?e se conclut par la troisi?me ins?mination de Charlene, John ayant ?t? une fois encore ??remis en forme?? par la petite. Il lui fallut certes longtemps cette fois, bien naturellement, mais il parvint malgr? tout ? honorer sa s?ur et ? accomplir la fonction naturelle d?voy?e qui ?tait le c?ur de cette exhibition publique. C’est une Charlene bris?e qui se laissa branler encore une fois par la jeune servante habile et l’on obtient d’elle, une fois encore, le spectacle voulu.
L’esprit d’Evelyne ?tait ? la d?rive, choqu?e par la violence qui ?tait faite ? sa famille, par l’?normit? d’avoir eu un orgasme re?u de son propre fils. Tandis que John et Charlene finissaient leur copulation, elle tentait de comprendre, de trouver un sens. Tout cela ?tait terrifiant. Pourquoi leur ma?tre avait-il ordonn? une chose pareille?? N’?taient-elles plus – sa fille et elle – ses favorites?? Pour la premi?re fois depuis les viols avant la vente, un autre homme que le ma?tre avait ?t? autoris?, et ? plusieurs reprises, ? jouir en elles-m?mes. En effet, m?me lorsque Charlene avait du passer la nuit avec cet invite du ma?tre, elle avait confi? ? sa m?re le lendemain que celui-ci ne l’avait prise, certes ? plusieurs reprises, mais que par la bouche ou le cul. Apparemment, son sexe ?tait ??off-limit?? pour l’invit? cette nuit l?.
Le tonnerre des applaudissements et des hurlements de joie des spectateurs marqua la fin du ??show??, tout ce monde se leva a grand bruit et repartit joyeusement vers la grande salle ? manger, laissant derri?re les deux femmes fix?es au sol comme deux animaux, la t?te baiss?e et les fess?es toujours dress?es, contraintes de garder en elles le sperme issus du rut. John fut ?vacu? d’un autre cot?. La vieille asiatique les regarda longtemps avant de quitter en dernier les abords de la sc?ne d?sert?e. Evelyne fit alors dans sa t?te la derni?re connexion?: les deux visites d’une sorte de gyn?cologue dans les derni?res semaines, visites humiliantes auxquelles Charlene et elle avaient ?t? soumises?! Etait-il possible aujourd’hui le ma?tre les ait forc?es ????
On les maintint ainsi plus de deux heures, seules face ? leur d?ch?ance, les matrices humides du liquide s?minal dont elles avaient ?t? remplies. Au loin, les bruits de la f?te parlaient de joie et le bonheur de vivre. Avec le dernier d?sespoir Evelyne tenta au moyen de contractions de ses parois intimes d’expulser d’elle-m?me le fluide f?condant, dans parvenir ? rien. Rendues muettes par les boules de caoutchouc enfonc?es dans leurs bouches, les deux femmes ne pouvaient rien communiquer et, tandis que Charlene suivait des yeux le corps de sa m?re qu’elle voyait anim? de convulsions auxquelles elle ne comprenait rien, Evelyne elle ne pouvait d?tacher son regard du ventre si plat de sa fille ch?rie?
Part 9 – Ton ma?tre partout tu serviras?
Le lendemain, Evelyne fut convoqu?e en pleine journ?e devant le ma?tre Charlene et John, chacun la bouche pleine d’un gag, y avaient ?t? men?s eux aussi sous bonne garde. Aux cotes du ma?tre, la vieille chinoise ?tait assise dans un second fauteuil. Tr?s calmement, un sourire ironique sur les l?vres, il leur fit part de sa d?cision?:
??Slave, you will be trusted to my beloved sister for the coming year. I expect you will serve her like you would for me if not better. And your offspring, if any, will belong to her.?
[Esclave, je te confie ? ma ch?re s?ur. J’attends que tu lui rendes les m?mes services qu’? moi-m?me, sinon mieux. Et le fruit de ton ventre, s’il y en a un, lui appartiendra ? elle.]
Le sans d’Evelyne se gla?a. Cette salope l? ?tait donc sa s?ur?! Et le ??fruit de mon ventre???: c’?tait donc vrai qu’il l’avait fait?! Il l’avait fait?
??In twelve months from now, you have my word that you will be reunited with your son and daughter.??
[Dans douze mois d’ici, tu as ma parole que tu seras r?unie avec ton fils et ta fille]
Charlene s’effondra au sol en pleurant – venait-elle seulement ? l’instant de comprendre la raison des accouplements incestueux de la veille?? – tandis que John tanguait sur ses jambes, visiblement choqu?. Les serviteurs firent un pas vers lui pour pr?venir toute folie de sa part.
??Now, you go. And remember: behave or else???
[Allez maintenant et n’oublie pas : soit soumise ou sinon?]
Des pens?es terrifiantes tournaient dans l’esprit d’Evelyne?: Douze mois durant, enceinte, livr?e ? la vieille lesbienne perverse? Et ses enfants gard?s en otages ici?
Cinq minutes plus tard, un h?licopt?re s’?levait dans le bleu ciel de l’?le.
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My name’s Jennifer and I’m an eighteen year old virgin. My boobs are C cups and I’m physically fit. I have curly, blonde hair and brown eyes. My best friend is Katherine, who has virtually nothing for breasts. She seriously is as flat as a newly paved road. Anyway getting back to me, I’ve never had a loving boyfriend. That is, until Katherine called me. If it wasn’t for that one call, I’d never have found someone. ‘Hello?’ I answered my phone and set down the nail polish I was using to paint...
Work really sucked and seeing my sexy English boss was the only fun thing in store for me in that hell hole. We continued our occasional soirees going out to lunch alone together but now with a stop at the local park to have him for dessert or staying late at work so I could devour that perfect cock but always being very careful not to draw attention to ourselves. I loved making him cum so much I would suck that delicious cock anytime and anywhere he wanted but time and privacy were always...
December 4, 1988, Chicago, Illinois “Hi,” I said when Jolene came into the dojo on Sunday morning. “Good morning!” she said happily. “You seem very chipper this morning,” I said. “I interviewed for a new job on Thursday. I think I’ll get it.” “Oh?” “A much bigger medical practice. About a 25% raise and more authority. They don’t use your software. They still do everything on paper.” “Will you get to make the decision?” I asked. “Perhaps a quid pro quo is in order,” she said. “I’m...
We’ve been chatting online for a while. We’ve teased each other. We’ve shared the naughty things we want to do to each other. And, now, we finally have a chance to meet up. It’s nothing extreme, just a simple meet up at a coffee shop not too far from you. I’ve thought a lot about what could happen The more I think about it, the faster my heart races and the harder my dick gets, but the more I second guess myself. You see, I want to fuck you. Senselessly. I know how long it’s been for you. I...
Straight SexAngelina Castro was born as Francys Delia Valdez in Havana, Cuba, on September 6th, 1982. That means Angelina just turned forty a couple of months ago. Angelina was born the middle child, which I only mention because porn stars are often middle children. They just want some attention.College is Expensive if You Don't Fuck on CameraWhen Angelina was ten, her family moved to Santo Domingo, Dominican Republic. Two years later, they made a final leap over to Miami, Florida. Miami is the capital of...
Twitter Porn AccountsThe Best Way to Die?, by MaxDeathI succumbed to a bizarre neurological illness while in Atlanta on church business. After a fine presentation to a large congregation, I was eating lunch when I felt food fall out of my mouth; it felt like some dentist shot me with Novocaine! And right in the middle of my afternoon presentation, I lost control of all of the muscles in my face, followed shortly thereafter in my hotel lobby, with an inability to use my right arm while signing out. Concerned, of...
Kim and I got home by supper time and Judy prepared an exquisite meal. Knowing how I like Mexican food she had fixed beef tortillas, refried beans and rice. We all liked that combination so our plates were empty in short order. We all settled down in the living room where Kim and I told all about our week at camp. She left out the part about her nocturnal visit to me but included all the juicy tidbits about everything else that went on. Judy was perfectly all right with the idea that I had...
Buddy was a very unhappy young man. He had gotten caught driving with an open bottle and the judge hadn't been very understanding. He sentenced Buddy to community service - six months of community service. And Buddy was on his way to the court clerk's office to find out how he was going to have to spend those six months. The clerk was a dried up older woman whose name tag said "Fran". She wasn't impressed with Buddy and made no attempt to convince him otherwise. "Julian Elementary...
The next morning I woke up and looked over at my brother. He was up, leaning against the headboard and reading one of my novels. When he saw me watching him, he blushed and put the book down. I was going to say something, but I didn't. I got out of bed to go to the head.Glen and I met our parents for breakfast. We talked about our plans for the day while we ate. I enjoyed the fresh fruit and warm Danish roll I selected. We drank coffee while Dad told Glen and me about the spa and the...
IncestHi all, This is Shashank from Chennai. I am north Indian basically from Pune working in MNC here. Today I am sharing one of my experiences with you guys. Talking about myself I am 5’8, fair, average built. Always like to meet new people specially girls and exploring new places. Coming to the story, this incident happened couple of years back. My College was just over and I was searching for a job. I was staying at my friend’s place who was working in some other company. As I had no work those...
When I awoke, it was dark. I looked at my alarm clock it was almost midnight. I got out of bed, switched on the light and decided to take a shower. After cleaning up and properly getting ready for bed, I returned to my room. I had not forgotten what I saw; somehow, I had seen an image of the future, or possible future. I was not sure, but things were different now, I had changed the outcome, but how? When I moved towards the window, it was instinct. I did not know why at the time, but...
It was Friday and the first thing I wanted when I got home was a nice warm bath to clean off the day's hard work. I filled the tub with hot water and added some bubble bath. I shaved my legs and underarms. As I slid under the hot water I looked at my toes peeking through the bubbles, and realized I needed to reapply some polish.After a long soak I got out, dried myself off and went to my bedroom. I looked for a nice pair of sexy panties to wear, but was not happy with what I had, so decided it...
CrossdressingThe next afternoon, she asks me, "Do you masturbate every day?" "Well, Lys, probably most guys do. And, yes, I do." "Gonna do it this afternoon?" "Can I get any volunteers to help?" "Oh, you're cute. Yeah, maybe, would you kiss my breasts again?" "As pretty as they are, it's a privilege, sure." She pulled her top off and took her bra off and said, "Well, you're slow today," so I stripped off all my clothes and laid down. She already had the lotion and was applying it...
Introduction: Jessica after comeing of age for the Dolcett lotto decides to volunteer for the Dolcett Game reserves anual game and try to win exemption status, will she win?. Dolcett Game Reserve Story: #33 Copyright 2005 Written: July 16 2005 A story By: KaosAngel Proofed by: piasa_troll Please send any comments about this story to ([email protected]) ********************************************************************** The girls in line had volunteered for the game and knew that many of...
Borsha kaler vepsha gorome ami o pasher barir Sumi,amader maza pukure satar katchilam.Amra eke oporer dike pani chitiye dichchilam,kokhonoba kochuripana churchilam porosporke.Ami chele,boyshe or dubochorer boro,tachara ami or cheye valo shatrate pari.Bolte gele ami oke satar shikhiyechi.Tai Sumi amar shate parchilona.Sumi khub jedi meye,jokhon amar shathe parlona tokhon amake jhapte dhore kamre dilo. Ami take theshe dubiye diye pani khaiye dilam. She panir dhuk gile kashte kashte rag kore...
We are a married couple in Kerala, India. Married for eight years, I am thirty six years old and my wife is thirty two years. She is a very conservative catholic girl and a virgin at the time of our marriage. The internet opened up our marriage a little with me chatting and she joining a little; I taught her to chat and slowly we started having sex on webcam.We made friends with a couple but I was somehow more interested in watching my wife getting seduced and fucked by someone. To make it...
My hubby had arranged for a guy off a swinging site to come and meet us, what I didnt know was that the 2 of them had been talking for a few days before the meet. When he arrived, he was tall very good looking, and very very sexy, just the vibe he gave off was that he was relaxed and chilled out. he came in to the hallway and gave me a kiss on the cheek and handed me a bottle of wine, and said a gift for allowing me to meet you. I was a bit shocked to be given a bottle of wine but never the...
It wasn’t that she hated or disliked her husband, it was the complete opposite. She and James had met in college, senior year, they quickly fell in love after sharing so many common interests. They both entered with art degrees, Chelsea hoped to be an interior designer and fell in love with the industry. James graduated with a photography, but his career had already skyrocketed before school was even over. He flew around the world to hand high portfolio clients, yes, they had been a lot of...
I scanned the train station as my heart beat a fast rhythm in my chest. I had arrived five minutes ago and James should have been here by now. I surveyed my surroundings again looking for a familiar face. "Sophie!" I spun around at the sound of my name and smiled when I found the source. James looked just like his picture. We'd been talking for over a year and we finally arranged to meet today. When he reached me I hugged him and he pressed a kiss to my forehead. I looked towards the row of...
First TimeWe’re still travelling in the van, Gemma’s smoking another spliff.“Right, I've thought about what you have to do for me.” she says.“So what is it?”.“You have to be my submissive for the weekend”.“Ha ha...you sound like Madam Whiplash”.“Well I don’t have a whip, but you have to obey me. Anything I tell you to do, you have to do it”.“Sounds like a doddle, I'm your mothers dogsbody most weekends anyway”.“Aye, but don't think you’re getting away that easily mister”.I thought it was too good to be...
Four weeks since we last met --- four long weeks since my last hot creampie ( both holes )--- but tonight will put that all right again --- Mister is in town and we are going to party hard -- 2 nights we have together as i have "a girlies weekend away " I turn up at the Hotel with the "special" clothes that Mister wanted me to bring . As always we meet in the bar --Fantastic welcoming kiss -- and a bottle of cold crisp white wine to chat over -- fortunately our meetings are getting more...
Joe Price sat at his desk and for the third time in a row tried to lift his coffee mug without spilling. The shaking of his right hand was almost unnoticeable until he had to grip the mug’s handle, then it was as if his mug had a vibrator attached. The coffee started to slosh around in the mug and once again threatened to come over the rim. With a clatter and a sigh, he put the mug back onto the now wet surface of his desk and sat back into his chair. He closed his eyes and tried to relax. All...
Hi friend i belong to Mumbai this is my 1 st sexy story on iss platform its true story happen in my life at relative marriage place at Jaipur that change my life. If you want to share your emotions plz mail on; I am 25 normal body n true lover. Sexy bhabhi story start at village place in Jaipur in Dec month. I was on train from Mumbai to Jaipur. My relative marriage was there at Jaipur near village place. 3 cousin come at Jaipur to take me at village place. I reach by evening at 8 pm n had...
Plodding through the halls of stone, the shadow creature wondered if things could get any worse. All of his plans thwarted by a wisp of a girl, who seemed so powerless at first but now seemed so terrifying. Still, he would wait having all the time in the world. Eventually even the strongest made mistakes. For example, Aislin made her first of what most likely would be many, right after the ceremony. For centuries, Dubh Caisle?n had been the solid black stone fortress with no way to e...
Tiffany was considered one that could turn heads. Her brunette full-length hair and stunning hazel eyes were enough to catch any man’s attention (and occasionally women’s too) and her very toned body only complimented them. She wasn’t skinny nor was she curvy, she was just pretty damn good to look at. Of course she knew this and adored the attention. What she adored even more was tormenting others with her looks and humiliating them. All the college boys in her campus always chased after her...
Sunday November 13 I woke to the sound of kittens mewing. I rolled over and saw Precious was awake but ignoring them. All moms did that, I was sure. I got up and put on my running clothes. On the way out, Precious and I both checked, and the kittens seemed to be okay. They were growing like weeds. I’d dropped not-so-subtle hints that we should keep one, but my parents outvoted me two to one. It made no sense to press the issue because I would be off to make my movies and then on to college...
Hi mitrano mi sandy punha aplya samor shejaril kaku cha II part anto ahe Pathvalya vel laglya badal shama ashavi karan mazi exam hoti mhnun nahi pathau shaklo. Mala khup mails ale mazi story bahutekana avadli ahe .. Tyat mala dadar madhil khup mahilani rep kela tya badal tyanche ni jayani mazi story vacali tya sarvanche mana pasun abhar .. Mala asach pratisat det raha .. Chala mag apan story kade valuya .. Avadli tar pls mala mail kara jar konala mazashi friendship karayvhi ashelbtar specali...
I arrived back home shortly after Anna and Doris arrived there. Joan and Doris set up one of the guest bedrooms for Anna and they moved in together for the duration. Joan, Doris and I went into my study and began looking at possible new places to live. I suggested that a compound type of place with separate homes might be best. "You are thinking long term, Dad." Doris said. "You don't think Humpty Dumpty will ever go back together again." "That's correct," I said. "So many, many...
as i prepared to go over my lovers house to worship his BBC, my cock bulged in my pants and exploded... just the thought of his beautiful 11 inch cock down my throat was more than i could bare.... it was winter,cold and close to x-mas.... i arrived at his house,at around 8pm... when he answered his door,he had on a pair of sweat pants and a tee shirt....i was kind of disappointed... i was hoping he'd answer the door naked so i could immediately go to town on his huge member... he told me he...
It was a hard month for Michelle, but not because of Annie. Annie tortured her mercilessly, of course, but that was the part she enjoyed. The whole idea of the bet was to get Annie to touch her, to hurt her, to love her, and in that respect, she had succeeded. Michelle secretly loved getting dressed every day, finding the shortest skirt possible, and slipping it on, with no panties. She loved having to cross her legs tight at work, knowing that the useless piece of fabric she was wearing would...
My husband and I started innocently shopping for sexy clothes I could wear, shortly after we were married. We found this upscale adult shop in a nearby town and that was the birth place of our exhibitionism. One day, we went in search of some hot nasty bedroom lingerie that I could parade around in front of my man. We pulled into the parking lot at Lucys Exclusive Adult Shop, we were buzzed into the private two story shop and was amazed at what we saw and heard. The first floor was your...
The Visitor Monica's Diary Saturday, June 10 Since we didn't have to schedule an appointment to see Timothy, Nathan slept in till 8:00 o'clock. I got up at my usual hour and packed everyone's lunch. The plan was to leave around nine or so and get to Amarillo in plenty of time to find the sheriff's office/jail and learn what procedures we had to go through to see Timothy. We would have lunch in a park we liked after the first visit, do all our shopping, and then see him first thing...
Stunning Cherry Kiss says goodbye to her husband, Vince Karter, who’s leaving to take care of a few errands. He showers her pedicured feet with kisses and a few licks, knowing that his wife has a foot fetish. Jack Rippher, Vince’s handsome friend, has packed his bags after staying with the couple for a few days. He joins the blonde bombshell on the couch, making casual conversation before getting ready to depart. In the shower, Cherry takes a peek at Jack’s package and cannot help...
xmoviesforyouWhen I came around the bones in my face were set. I had a bandage that looked like a hockey mask. I felt like I was in the movie Friday the Thirteenth. I spend the day sleeping and felt some better when I woke that night. The next morning they released me. I had to promise to take it easy and skip work for a week. So for the week I rode the bike almost all day. I stopped by to visit Mary Ellen but she had nothing for me in monster mask. It was okay, since I didn't fell like playing yet...
Hi friends and I’m not a call girl but loves sex a lot and I’m Ashi patel Bdodra Gujrat now in Daman 32 Yr’ 5.3 ft.34B.30.36 color snavla, drunken, cherry brown eyes hard boobs and hips clean and guphi choot I like short dresses and flat sandals. I have attractive finger and regular reader of these stories. I’m marred but my husband divorced me because I involved my all in-laws in sex with me. Actually my casino brother first time do it sex with me and now I told you my first sex story on this...
Ryan went out the next week with his friends. They ended up at Melissa's house. Ryan wondered if Jen would show up. He knew they would run into each other sometime, it couldn't be avoided; they hung out with the same group. "Jen's coming over," Melissa told him. "Oh yeah?" he answered, trying to sound like he didn't care. But his heart was racing. They all sat around, watching TV. When Jen walked in the door she barely looked at him, only glanced at him like she did everyone else....
When they pulled around to the back of the barn Cora looked at the shed. How hadn’t she noticed that there was a sliding wooden door attached to it and a hook to place a lead line and halter? She was half glad she didn’t because this was an amazing surprise. Ronnie parked the truck and looked over to her. ‘What are you going to name him?’ he asked. ‘Well, he has this blaze down the front of his face and the way the top is irregularly shaped makes it look like a turkey head. So I was think Tom...
"Don't come in today," Tabb said over the phone.I was already dressed for work--or dressed in what I wore to work: Sweatpants, baggy T-shirt. All of it would come off in the ladies room when I arrived."It's my business," I said. "You can't do this.""You sold your business," he said. "I'm sorry. After what I've learned, I have no choice.""I thought we had an agreement, Steven," I said.He made a sort of choking gagging noise over the phone."What happened yesterday was unethical. It was a lapse in...
LesbianAlexandria and Lorianna were like summer sisters. Every year Alexandria's family would ship her down to Florida to stay with her aunt on the beach, right next door to Lorianna's house. As little girls, they had forged a bond of friendship that would keep them close regardless of time or distance. As budding teens, they shared stories of boys and their hopes and dreams. The girls were close enough in looks to be real sisters. They were short with long red hair and blue eyes and curvy bodies that...
First TimeWe arrived at the hotel I got the overnight bag out of the car and followed my wife into the reception area. She looked amazing long dark hair with blonde highlights a gorgeous dress of white with long swirls of colour all around it and some lovely red fuck me heels. She was only 5ft1 and a size 20 to 22 with gorgeous saggy 46f breasts a sexy belly that hung over a beautiful hairy fanny and a nice round shapely arse and thick thighs and little sexy legs and feet. My cock was getting hard just...
All these events, including the good and bad, have happened this wonderful year. The year is wonderful, because the characters tried many things for the first time in their lives. There were two young girls of 17 in India and everyone had a crush on them as they passed them anywhere: at high school, at malls, on streets or anywhere else. Something special was in those nymphets, but they never were too stuck-up. One of them was a striking beauty named Naina and she was 5’5?. At her young...
Ally heard the come into the room, but couldn't do anything about it. The bedroom smelled strongly of her musk and Ken could see there was a puddle under her cunt. Jane removed the gag and quickly sat in front of the girl, pushing her gooey sex into Ally's mouth. From the look on Jane's face, Ally was very vigorous with her attentions, and soon Jane was humping away, having had all their cum sucked from her tunnel. Ally was learning how to please Jane very quickly and it wasn't long...
The Glorification of Cock ? A ?The Guys and Me? Story (DISCLAIMER:? dear reader, it is the author?s most sincere hope that every sentence of the following work of fiction contains at least one small, disgusting gobbet of utter filth, in fact, each paragraph, if I have judged correctly, should be a sickening bucketful of revolting, turd-filled slime.? As a serial skim-reader himself ? fuck-this-for-a-laugh where?s the fucking dirt? ? who has, shamefully, left unread many opening...
The Adventures of Eric and Donna: Save the Last Dance For Me! =-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-= Eric's life-long friend Steve bounded down the outside cellar stairs towards Eric's basement, the default hang out for all of Eric's friends since elementary school. As was the custom, he walked in without bothering to knock, jumped over the back of the sofa, and landed on the cushion next to Eric. As was also their custom, he referred to Eric...
Copyright© 2003 Animals emit scents in mating season to attract the opposite sex. According to certain entrepreneurs, the bottled essence they sell has a similar effect on humans. MONES Most Powerful Scientific Sex Attractant!!! This is the ULTIMATE pheromone product available anywhere. It contains 50 times the androstestone of other brands. Our laboratory has developed other secret ingredients contained in this formula. This is the ULTIMATE SCIENTIFIC SEX ATTRACTANT! Max picked...
Frank knew nothing of love and had often wondered what hid behind it. That unknown thing that seemed to make him wonder in an impassioned way the reason behind young lover’s smiles and breathless looks of awe. He was struck with curiosity wherever he went, to find that rare sentiment flowering almost everybody around him. They all seemed happier that way. The days spent alone, he always thought to himself, were wasted days and deep inside his tortured mind he knew of the mysteries beyond his...
Hi my name is Jerry. I am a senior in high school, currently 18 years of age, I have this computer class that im always just messing around in, and there is this girl. Her name is Rendi. She is also a senior in high school and I have always had some sort of a crush slash fantasy about her. I always find myself looking at her breasts. There not big, but they are perfect. She sometimes catches me looking and she gives me a smile and says,†What are you looking at there Jerry". And that's when she...
EroticSome folks think xGames are just the regular old “extreme” sports your parents were into. You know, like snowboarding, skateboarding, waterboarding, boarding school and other assorted boardings. That’s all good and fun, but honestly, it’s a little hard to jack off to videos of dudes riding their bicycles over a ramp. Fortunately for all you perverts, today we’ll be talking about an entirely different type of X Games.xGames.zone may well have some entries that involve extreme downhill skiing or...
Free Sex GamesMera naam Sandeep hay aur meri age 21 years hay main Delhi main rehta hoon aur yeh jo qaqiya main aap ko batanay laga hoon bilkul sacha hay aur recently merey saath hua hay. Sab sey pehlay main aap ko apnay aur family keh baray main bata doon, Hum 2 bhen bhai hain total 4 person we live at home MOM DAD and me aur meri younger sister Depali, Depali muj say 2 saal chooti hay merey dad bank officer hain aur mom Delhi kay sachool main teacher. Main internet par bahut sari sex stories pardi hain aur...
1- I want you to blind fold me... Have the music on (the "dark" music;)... I want you to tease me with your mouth and hands until I can hardly stand it anymore... A touch here, squeeze there, pinch my nipples... Slide a finger inside me real quick... Suck my nipple... I never know where or what you're gonna be doing... Different positions... On my back, legs spread, leg cocked up, on my side, doggy style... Your mouth on my pussy, your fingers inside me... Your tongue in my ass... Mmmmmm.......
Present day... “It looks like you were right,” Fiodor said. The burly driver brought his team of draft horses to a halt, then signaled to the other wagon behind him. “How did you know? The sky was completely clear four hours ago, and I didn’t see any signals from the towers.” Sarette shrugged. The snowfall had been growing steadily heavier for the last hour. “I just knew,” she said, not wanting to discuss it with a stranger. “Let’s get the sleds and supplies unloaded so we can get on our...