Pleasures And Shame Of A Socialite (French) free porn video

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PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE

Viviane est une femme très distinguée, élégante,sûre d'elle et de son charme. Veuve à 33 ans, elle a de nombreuxprétendants, qu'elle tient éloignés avec une gentillesseun peu hautaine. Mais en même temps elle est incapable de s'opposer à celuiqui la traite avec autorité, voire avec une certaine brutalité.Celui-ci peut alors la prendre n'importe quand et n'importe où, se contentantd'ouvrir rapidement ou de baisser les vêtements qui couvrent son sexepour permettre une pénétration rapide, sans ménagementet sans tendresse. Malgré cela, Viviane est capable de jouir intensémentdans ces conditions, même, et on peut ajouter surtout, si elle les ressentcomme humiliantes. Cela l'a amenée plus d'une fois à accepterce qui pourtant, à son avis, est inacceptable pour une femme qui seveut vertueuse comme elle. Tony, un homme nettement plus âgé qu'elle,rencontré peu après la mort de son mari, s'en est vite renducompte et a pris sur elle une emprise totale, l'utilisant pour son plaisir à saguise, et la punissant par des fessées vigoureuses chaque fois qu'ellelui a déplu.

Il sera, je l'espère, intéressant de raconter, dans le désordre,quelques épisodes de sa vie.

UNE SOIREE MONDAINE

Il vaut la peine, pour commencer, de raconter la soirée qui a marqué une étapenouvelle dans la dégradation de Viviane. Elle et Tony étaientinvités chez des amis. Pendant le repas, elle avait été brillante à sonhabitude, sûre de sa beauté, de son charme et de son intelligence.Cela l'a amenée, comme souvent, à faire de l'ironie aux dépensde la plupart des présents, hommes ou femmes. Pendant le café,alors que tous étaient confortablement assis dans des fauteuils ou surle canapé, elle a décoché une flèche particulièrementdévastatrice vers un homme qui lui avait déplu dès ledébut, le trouvant très grossier et antipathique. Tony a immédiatementréagi : -Tu dépasses les bornes, tu dois être punie,et cette fois tu le seras ici même, devant tous ceux que tu as agressés.Viviane comprit qu'en insistant sur « cette fois », ilvoulait faire savoir à tous que ce ne serait pas la premièrefois que cette femme si hautaine serait physiquement châtiée.Elle a rougi, et a tenté de le fléchir : -Non, chéri,pas ici, je t'en prie…

Mais sa voix tremblante montrait qu'elle savait que sa plainte serait inutile,et que son humiliation était inévitable. Tony a repris :-Lève-toi et mets-toi en position devant la cheminée. Tu saiscomment.

Viviane a étouffé un sanglot devant cette nouvelle allusion à deschâtiments qui lui faisaient tellement honte, mais auxquels elle étaitincapable de s'opposer. Elle s'en voulait de sa passivité, mais a obéiquand même, très rouge, mais tentant de faire bonne figure, commesi cela ne pouvait pas l'atteindre. Arrivée devant la cheminée,elle s'est un peu penchée en avant et a posé les mains à platsur elle. Tous les présents ont pu apprécier à quel pointcette position lui était familière, ce qui a été commenté à hautevoix.

Tony l'a laissée dans cette position honteuse pendant un moment, puisa demandé à une des femmes présentes, une de celles queViviane avait le plus critiquées, si elle voulait bien se charger dela nécessaire fessée, en précisant : -Comme d'habitude,elle doit être fessée cul nu. La femme a souri, s'est levéeet s'est approchée de Viviane, qui n'avait pas bougé, mais donton voyait aux mouvements de ses épaules qu'elle pleurait.

La femme avait environ soixante ans, très élégante,encore belle. Tranquillement, elle a pris le bas de la robe de Viviane, l'alevé et l'a coincé dans sa ceinture. Tous ont pu voir qu'elleportait de fins collants et une culotte de dentelle. La femme les a baisséslentement, les amenant à mi-mollets. Les somptueuses fesses de Viviane étaiententièrement exposées ; La femme s'est écartéepour que tous puissent bien les voir, et a commencé la fessée,doucement d'abord, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort. Dansle miroir au dessus de la cheminée, on pouvait voir le beau visage quitentait d'abord de paraître impassible, puis grimaçait à chaquecoup et enfin, n'arrivant plus à se maîtriser, se couvrait delarmes pendant qu'on pouvait entendre ses gémissements, puis ses cris.Après quelques minutes, alors que ses fesses devenaient rouges, elles'est même laissée aller à supplier qu'on arrête,demandant pardon et promettant de ne plus recommencer. La femme a regardé Tonyd'un air interrogatif, mais il lui a fait signe de continuer. Viviane semblaitsouffrir de plus en plus, elle vacillait sur ses jambes, ses genoux fléchissaient.Tony enfin dit qu'elle pouvait arrêter La femme s'est retirée,visiblement à regret.

Viviane, croyant que son épreuve était terminée, s'estretournée et a commencé à remonter sa culotte, mais Tonyl'a immédiatement arrêtée. –Reste en position, cen'est pas fini !.

Avec de nouvelles larmes, Viviane a obéi. Tony s'est adressé à tousles présents : -Estimez-vous que cette charmante dame a été suffisammentpunie ? Presque tous ont dit que non : ils appréciaient tropcette scène exceptionnelle. Il a repris : -La suite de son châtimentsera d'une autre nature. Se tournant vers l'homme antipathique avec qui Vivianeavait été particulièrement méprisante : -Cherami, que diriez-vous de prendre cette belle femelle ? Je suis sûrque le spectacle auquel nous venons d'assister vous a donné quelquesdésirs. Elle est à vous pour les satisfaire. Quoi qu'elle pense,je suis certain que sa chatte aspirera goulûment votre membre.

Viviane a esquissé une timide protestation : -Non, s'il te plaît,pas lui, pas devant tout le monde… s'il te plaît, je serai sage,je t'obéirai toujours… pas ça… Protestation évidemmentinutile. Tony n'y a même pas réagi, et l'homme s'est avancé verscette croupe si bien présentée. Il a mis les mains à l'intérieurdes cuisses de Viviane pour les ouvrir, et a constaté que leur écartement étaitlimité par les dessous qui l'entravaient. Il s'est adressé à lafemme qui était restée à côté, lui disant -Voulez-vousretirer ces vêtements qui me gênent. Je veux pouvoir la pénétrercommodément. La femme s'est penchée pour le faire, et a dû retirerles chaussures pour ôter le collant. Elle s'est tournée vers Tony :-Je les lui remets ? –Non, une pénitente n'y a pas droit.

Pendant ce temps, l'homme avait ouvert sa braguette et sorti un membre énorme,long et épais, déjà complètement dressé.Il s'est approché de Viviane et s'est enfoncé d'un coup, commeTony l'avait prédit, ce qui a suscité des commentaires du genre :-La salope était déjà trempée ! elle aime êtrefessée ! La jeune femme a poussé un cri au moment de cetteinvasion de son intimité, mais très vite s'est reprise et a tenté derester digne, de ne pas donner à cet homme la satisfaction de la fairejouir, et aux autres le plaisir d'assister à sa défaite. L'hommea commencé à aller et venir lentement dans son vagin, puis deplus en plus vite, surveillant ses réactions, en amant habile et expérimenté.On voyait dans le miroir Viviane serrer les dents, mais bientôt ses gémissementsont montré qu'elle perdait le contrôle et que peu à peuelle ne pouvait que s'abandonner au plaisir qui montait ; C'est le momentque l'homme a choisi pour se retirer en partie et rester immobile. Croyantqu'il l'abandonnait, Viviane, perdant toute pudeur, a crié : -Non … non… finissez-moi… jeveux jouir…

Souriant de sa victoire, l'homme se retira complètement, provoquantchez Viviane un râle de déception. Il l'a alors pénétréed'un coup, et un long cri a fait savoir à tous qu'elle jouissait intensément.Il l'a amenée à un orgasme complet, et s'est retiré sansavoir lui-même joui, se réservant pour la suite. Viviane, épuiséepar ses sensations intenses, est tombée, ses jambes ne pouvaient plusla soutenir. Elle est restée ainsi recroquevillée à terre,demi nue, secouée de sanglots de honte de s'être donnéeainsi en spectacle. Elle oubliait son habituelle pudeur, et exposait son sexeluisant de ses sécrétions. Après quelques minutes, ellea repris ses esprits et a tenté de se relever. Mais Tony veillait.

-Je ne t'ai pas dit de te relever, tu es à ta place par terre. Monsieur,ajouta-t-il en s'adressant à celui qui avait si bien joué lerôle attendu de lui, ne voulez-vous pas profiter de la position de cettefemme pour l'utiliser d'une autre façon ? L'homme, évidemment,approuva, ravi. Tony se pencha et souleva Viviane pour la mettre à genoux,puis appuya sur sa nuque pour poser sa tête à terre. Dans cetteposition, sa croupe était encore mieux offerte que précédemment,et entre ses cuisses que Tony avait écartées fermement, on pouvaitvoir sa vulve. –Voilà, elle est à vous, cher ami, et à quid'autre en veut. Vous avez le choix entre deux conduits, tous deux aussi délectables,j'en ai l'expérience.

Quand ils rentrèrent, le sexe de Viviane et son anus dégoulinaientdu sperme de cinq hommes, elle avait les fesses rouges et brûlantes,et elle ne savait plus combien de fois elle avait joui. Elle en avait honteet, une fois de plus, elle se jura que cela ne lui arriverait plus…

QUELQUES ANNEES AUPARAVANT …

Il y avait beaucoup de monde à la Gare de Lyon quand Viviane y estarrivée. Le train de nuit pour la Côte, qu'elle voulait prendrepour rejoindre son mari, partait 20 minutes plus tard, et elle n'avait pasde billet. Elle se précipita vers le premier guichet qui vendait lesbillets pour les trains en partance, où attendant déjà unequeue assez longue Viviane y prit place juste au moment où un hommey arrivait aussi. Il lui déplut immédiatement, c'étaitun homme assez gros, au visage rouge, habillé de vêtements p)robablementchers, mais trop voyants. Deux bagues brillaient à ses doigts, ce qu'elletrouva vulgaire.

Viviane et lui arrivèrent en même temps et se heurtèrent.Elle, sûre de son bon droit, et habituée à voir les hommescéder devant son charme, le regarda froidement : -Monsieur, j'étaislà la première ! L'homme sourit, très calme :-Mais certainement, Madame, passez, je vous en prie. Viviane eut un instantd'embarras devant cette politesse à laquelle elle ne s'attendait pas,et pris sa place dans la queue sans plus s'inquiéter de l'homme.

On annonçait le départ du train quand elle y arriva, eut justele temps d'y monter et commença à chercher son compartiment dedeux couchettes, la seul qui fut encore disponible, bien qu'elle ait été habituée à voyageren single quand elle était seule. Elle prit place sur la banquette,en attendant que l'homme des Wagons-lits vienne déplier sa couchette.Elle vit avec soulagement que celle d'en face était inoccupée.

Viviane pensait à son mari qui l'attendrait en gare de Nice, à lafaçon dont il la serrerait dans ses bras et l'emmènerait à leurhôtel où, espérait-elle, il lui ferait l'amour comme toujoursavec tendresse, attentif à son plaisir à elle plus qu'au sien.Elle rêvait ainsi quand la porte s'ouvrit, et l'homme de la queue entra,posa bruyamment sa valise dans le filet et s'assit lourdement. Ce n'est qu'à cemoment qu'il sembla s'apercevoir de la présence de Viviane, et la saluacordialement, avec un sourire ironique. Elle répondit par un hochementde tête hautain, pour bien marquer qu'elle n'avait aucune intention d'avoirune relation quelconque avec lui. Il n'insista pas, sortit d'un sac en plastiqueun sandwich et une canette de bière, et commença à manger.Viviane, qui avait prit la précaution de dîner avant, supportaitmal l'odeur du saucisson et le bruit de l'homme qui mangeait.

Ce fut le contrôle des billets, puis la mise en place des couchettes.Viviane, gênée par la présence de cet homme si antipathique,se contenta de retirer ses chaussures et s'allongea. Après un moment,l'homme s'adressa à elle : -Vous allez en vacances, ma petite dame ?Viviane ne répondit pas. Elle fut un instant tentée de fermerles yeux et de faire semblant de dormir, mais finit à garder les yeuxouverts, sans répondre, pour bien faire comprendre qu'elle n'avait aucuneenvie d'entamer une conversation avec lui. Il fit deux autres tentatives, sansplus de résultat. Il se leva et s'approcha d'elle et se pencha, la surplombantde tout son volume : -Alors, ma petite dame, on n'a pas appris la politesse ?On méprise ceux qui ne sont pas de son monde ? Vous méritezune bonne fessée pour vous apprendre les bonnes manières !

Outrée, Viviane voulut le gifler, mais sa position la rendait maladroite,et l'homme n'eut pas de peine à saisir son poignet avant que la mainn'atteigne sa joue. –Pas de ça, ma petite dame, je ne suis pasvotre valet… et il faut que vous compreniez qu'on ne bat plus les valets.Vous avez vraiment besoin d'une leçon.

D'un geste brusque, il retira le drap dans lequel Viviane s'étaitenveloppée pour la nuit. Elle poussa un cri d'indignation et tenta dele lui arracher, inutilement. Ce fut lui qui le lança aussi loin quele permettait l'espace exigu de la cabine. Viviane tenta de le prendre de haut ;s'efforçant de garder son calme, elle lui dit : –Monsieur,je ne vous connais pas, et je n'ai aucune envie de connaître un goujatcomme vous. L'homme ricana : -Ça, je l'ai bien compris, mais tuvas quand même l'avoir, ta fessée !

Avec force, il la tira, la mit debout, la retourne et la fit courber en avantsur la couchette. Elle tenta de protester et de se débattre, mais ilne semblait pas entendre ses protestations, et il était suffisammentvigoureux pour qu'elle ne puisse pas lui résister. Il la plaqua surla couchette d'une main entre les épaules, et commença à claquerses fesses. Au premier coup, Viviane poussa un cri, plus de surprise que dedouleur, mais se reprit très vite, et s'efforça de rester stoïque,de ne rien manifester et de montrer que tout cela ne l'atteignait pas. Aprèsune douzaine de coups sur la jupe, il la releva et poussa un sifflement admiratif :-Quel beau cul ! Un cul fait pour le plaisir des hommes ! Mais pourle moment, je vais le faire rougir pour t'apprendre la politesse, ma belle !Je vois que tu n'as pas de culotte, et ce n'est pas ce mignon collant qui vate protéger !

Il frappa la croupe de Viviane de plus en plus fort. Elle ne pouvait plusgarder son attitude stoïque et hautaine et commençait à pleureret à crier. Mais au bout d'un moment l'homme se rendit compte d'un changement :les cris devenaient des gémissements, et il sentait que ses muscles étaientmoins contractés, et elle ne faisait plus d'efforts pour s'échapper.Il eut un sourire de victoire. Sans un mot, il mit la main entre les cuissesde Viviane, qui poussa un cri indigné, mais ne bougea pas. Il retirasa main et la renifla : -Tu mouilles, salope, tu aimes ça. Et bien,tu vas être servie !

Sans la laisser se redresser, il sortit de sa poche un petit canif, pinçale collant à l'endroit du sexe et le découpa, juste une fented'une dizaine de centimètres à peine, qu'il agrandit légèrementen déchirant le fin tissu, qui céda facilement. Il n'essaya pasde la dévêtir plus, comme si le corps de cette femme n'avait aucunintérêt, comme si elle était réduite à sonsexe. Viviane haletait, essayait vainement de reprendre sa dignité,mais en même temps s'ouvrant pour cet homme. Lui, calmement, ouvrit sabraguette pour en sortir un sexe déjà dur, à la têteviolacée. Sans se presser, il le dirigea vers le sexe de Viviane à traversla fente du collant et s'y enfonça lentement Elle réagit trèsvite, comme si elle n'attendait que cette pénétration.. Ses fessesondulèrent, son vagin absorba avidement cette queue inconnue. Elle cria,sa croupe se colla contre le ventre de cet inconnu comme si elle voulait êtresûre de l'absorber au maximum. Viviane, si réservée, sihautaine, jouissait en hurlant son plaisir. L'homme ne se retira pas, attenditun instant qu'elle se calme et recommença à aller et venir, lafaisant jouir encore deux fois.

Il se retira enfin, le sexe encore dressé, souleva la tête deViviane par les cheveux et présenta son sexe à sa bouche. Elleeut un mouvement de recul, mais très vite revint, ouvrant au maximumla bouche pour absorber complètement ce sexe énorme. L'hommeprit sa tête à deux mains, et la fit aller à son rythmejusqu'à ce qu'il jouisse à son tour et décharge son spermesur ce visage déjà maculé par les larmes qui avaient faitcouler le maquillage. IL la repoussa et retourna s'allonger sur sa couchettesans un mot.

Brusquement, Viviane se mit à pleurer : calmée aprèsses trois orgasmes, elle avait honte de ce qu'elle avait fait. Elle se penchapour reprendre le drap qu'il avait arraché, mais il réagit toutde suite : -Laisse ça ! Je ne t'ai pas dit de te couvrir ! Ôteplutôt ta jupe, et ton collant, tu es ridicule avec cette fente !

Essayant de reprendre quelque indépendance, elle continua son geste,prit le drap et commença à s'y enrouler. L'homme la regardaitavec un air ironique. Il attendit qu'elle soit bien couverte pour se leveret, sans effort visible, la mettre debout. Ignorant ses protestations et sestentatives pour lui échapper, il la gifla deux fois, et la retournaet claqua plusieurs fois ses fesses. –Apprends à obéir à ceuxqui te baisent. Tu étais bien contente, tout à l'heure d'avoirma queue dans ta chatte ! Dis-le, que tu étais contente !Nouvelles claques. Viviane serra les dents ; elle ne céderait pasune deuxième fois à cette brute. Mais la fessée continuait,sa volonté faiblissait. –Arrêtez, arrêtez, je vousen prie. Qu'est-ce que vous voulez ? –Dis que tu as aimé avoirma queue dans ta chatte, et que tu veux l'avoir encore !

Elle résista, serra les dents, mais finit par céder :-Oui… oui… j'aimais avoir votre queue dans ma chatte… voilà,je l'ai dit, arrêtez. L'homme sentit que comme durant la premièrefessée, Viviane commençait à s'abandonner. Il insista,maintenant sûr de sa victoire sur cette femme si distinguée :-… et tu la veux encore ? Dis-le ! –Oui…oui… -Ouiquoi ? nouvelle claque.

-Oui, mettez-moi de nouveau votre queue dans ma chatte. –Mieux que ça !demande à genoux !

Complètement matée, reprise par son désir de jouissance,Viviane se laissa tomber à genoux devant l'homme. –S'il vous plait,monsieur, prenez-moi de nouveau, mettez votre grosse queue dans ma chatte,enfilez-moi, je suis à vous… faites-moi jouir !

Elle s'agrippa aux genoux de l'homme, sa bouche cherchant le sexe à traversle pantalon. Sans avoir besoin d'un nouvel ordre, elle se débarrassadu drap et très vite dégrafa sa jupe et arracha son collant.Nue sous la ceinture, elle s'allongea par terre et ouvrit les cuisses, tendantles bras pour l'attirer sur elle, dans elle. Lui se contenta de la regarderavec toujours le même sourire ironique. Puis, lentement, il se plaçaentre les jambes ouvertes de Viviane et appuya la pointe de son soulier surle sexe offert. Elle se frotta contre le cuir, essayant de se faire jouir parce contact. Quand elle fut près d'y arriver, il retira brusquement sonpied. Elle poussa un cri de frustration et s'ouvrit encore plus : -S'ilvous plait, prenez-moi, enfilez-moi, bourrez-moi… je ferai tout ce quevous voulez… tout… tout ce que vous voulez.

Elle se remit à genoux tout en suppliant et baisa les chaussures del'homme qui restait impassible. Enfin, il parla : -A poil, et tout desuite ! Hâtivement, maladroitement tellement elle voulait fairevite, Viviane déboutonna son chemisier et l'ôta. Elle marqua unléger arrêt avant d'ôter son soutien-gorge, comme si tout à coupelle prenait conscience de l'insolite de la situation. Mais très vite,elle se trouva nue, debout devant lui, et instinctivement mit une main devantson pubis et un bras devant ses seins, bras que l'homme claqua légèrement.Elle comprit immédiatement et croisa les bras dans le dos, s'exposantcomplètement aux regards de l'homme. Mais il ne semblait pas satisfait :-J'ai dit à poil ! Enlève tes bijoux ! je te veux vraimentnue ! Les mains de Viviane tremblaient de plus en plus en enlevant collier,bracelet, bagues. Il les prit et les posa sur sa valise, loin d'elle. –L'alliance !Elle pâlit –Non, je ne l'enlève jamais… ce n'estpas bien… pas ça…

Toujours calme, il vint vers elle, la courba sur son bras et recommença à lafesser. Il ne fallut pas longtemps pour qu'elle cède. Baissant les yeux,elle retira son alliance et la tendit, tremblante à l'homme, qui laposa avec les autres, hors d'atteinte d'elle. Viviane avait perdu toute sasuperbe, elle ne s'était jamais sentie aussi nue, aussi vulnérable,incapable de résister à cet homme, à son besoin de cethomme qu'elle n'avait jamais vu quelques heures plus tôt et dont ellene savait même pas le nom. Négligemment, il effleura la pointed'un sein et le regarda durcir et se dresser encore plus. Viviane gémit,s'approcha de lui, essaya de se frotter à lui pendant que sa main cherchaitsa queue. –Prends-moi… prends-moi…PRENDS-MOI! Son impatience,son désir la faisait hurler sans s'inquiéter de ce qu'on pouvaitentendre à côté.

L'homme la souleva sans effort, la posa à terre à genoux etappuya sur ses épaules pour lui mettre la tête au sol. Vivianese laissait manipuler, complètement passive, abandonnée, sansautre volonté que celle de jouir encore. Il la regarda un moment, admirases hanches et ses fesses qui s'épanouissaient sous une taille trèsfine. Les pointes de ses seins frôlaient le sol, ses seins fermes n'étaientpas déformés par la position. Elle haletait. Il se mit à genouxderrière elle, plaqua les mains sur ses fesses et les écarta.Elle comprit ce qu'il voulait et esquissa une protestation : -Pas ça… çafait mal… je ne l'ai jamais fait… prends-moi comme tu veux…maispas ça…

L'homme l'ignora. Tenant les fesses écartées, il regarda l'anusexposé : -Quel mignon petit trou ! Il doit être bien étroit,ton cul, il va bien me serrer… ça va être jouissif. Ellegémit.

Il sortit son sexe et le dirigea vers l'anus de Viviane, qui instinctivementcontracta ses fesses. Il réagit immédiatement par une claquevigoureuse qui la fit crier. –Ouvre-toi, salope, ou… Il n'eutpas besoin de préciser sa menace, elle se détendit un peu, tremblante.Il mouilla de sa salive le bout de son sexe et le dirigea vers la petite ouverture,appuya le gland et commença à forcer l'entrée. Peu à peu,difficilement, l'énorme pieu distendait les délicates paroisdu rectum de Viviane. Elle hurla, tente de se dégager. Avec force, illa maintint et continua sa pénétration. Elle pleurait, criait,incapable de parler et de supplier. Il saisit un sein dans chaque main et s'yaccrocha, serra. Viviane ne savait plus pour quelle douleur elle criait, ousi c'était de honte d'être ainsi traitée. Elle pleurait,criait, hurlait, émettait des paroles incohérentes. Il réussitenfin à introduire la totalité de son sexe, et commença à alleret venir, avec peine d'abord, puis moins difficilement. Viviane gémissaitdoucement, épuisée par ses cris. L'homme continua plusieurs minutes,et jouit enfin. En même temps, il glissa la main entre ses cuisses etenfonça deux doigts dans le vagin qu'il trouva trempé, ce quile fit ricaner : -Tu vois, tu aimes ça… Elle tenta une protestation,interrompue par un orgasme intense.

Il se retira, nettoya sa queue et alla s'allonger sur sa couchette sans plusla regarder. Elle resta sur le sol. Elle était tombée sur lecôté et ne faisait aucun effort pour se relever. Ses fesses étaienttournées du côté de l'homme, qui pouvait voir des traînéesde sperme s'écouler de l'anus légèrement entr'ouvert.Quand elle eut repris un peu de forces, elle se leva et regarda l'homme quisemblait dormir. Elle s'allongea à côté de lui, se collacontre lui et chercha son sexe. Il ouvrit les yeux : -Tu n'en as pas assez ?Tu en veux encore ? Et bien, branle-toi !

Viviane poussa un gémissement de honte devant cette rebuffade, maisn'insista pas. L'homme s'était retourné, se désintéressantd'elle ostensiblement. Pleurant, se sentant méprisée, elle retournasur sa couchette où, épuisée, elle s'endormit immédiatement.

Elle n'eut pas le temps de dormir longtemps. La lumière du jour leréveilla. L'homme était entièrement habillé etlisait. Elle se leva, consciente de sa nudité devant cet homme qu'ellene pouvait pas considérer comme son amant, malgré tout ce quis'était passé, et qu'elle n'arrivait plus à comprendre.Il la regarda d'un œil froid. Elle balbutia, ne sachant pas comment secomporter : -Il faut que je fasse ma toilette. –oui, bien sûr.Et alors ? –Mais… mais… pas devant vous. Il ricana :-Tiens, madame a de la pudeur. C'est nouveau, ça. Tu ne t'en souciaispas tant, tout à l'heure. Vas-y, fais ta toilette, je ne vais pas sortirpour ton caprice. Je t'ai déjà bien vue, tu ne me montreras riende nouveau.

Cette réponse réveilla l'orgueil de Viviane, qui reprit sonair hautain, semblant dire : -Je suis au dessus de ça, pour moi,c'est comme si tu n'était pas là. Elle se lava tant bien quemal dans le minuscule lavabo et commença à s'habiller. Elle passason soutien-gorge et chercha son collant qui avait glissé sous la couchette.Elle préféra se rhabiller entièrement avant de s'accroupirpour le chercher, afin de ne pas s'exhiber devant l'homme. Quand elle l'eutentre les mains, elle s'aperçut qu'il était immettable, l'ouverturesur sa vulve s'était agrandie, et un bout de tissu pendant. L'hommela regardait avec l'air de s'amuser : -Et oui, tu devras aller cul nu… comme çatu seras prête à te faire enfiler rapidement. Je suis sûrque tu aimes ça.

Elle le regarda, furieuse, cherchant une réponse qui remettrait à saplace ce malotru. Mais en même temps une image s'imposait malgré elle :un inconnu la troussait découvrant la bas du corps nu, la courbait enavait et la pénétrait sans un mot. Cette brève scènela fit de nouveau mouiller. L'homme s'en aperçut-il ? Il se levaet s'approcha. Elle le regardait venir tout près, comme fascinée,incapable du moindre geste. Elle dit à peine non quand il la retourna,la fit pencher en avant, leva sa jupe et s'enfonça dans son vagin. Ellejouit très vite. Il se retira et se rajusta. Elle restait haletante,tentant avec peine de reprendre un peu de dignité.

L'homme lui tendit ses bijoux : -N'oublie pas ça. Quoique, aprèstout, je pourrais les garder pour services rendus. Mais je n'en ai pas besoin.Il les lança sur la couchette et sembla de nouveau se désintéresserd'elle. Elle les remit, et s'aperçut que l'alliance manquait. Elle auraitbien voulu n'avoir plus rien à faire avec lui, mais il fallait bienla lui réclamer. –C'est vrai, j'oubliais, tu es mariée… vraiment,cette nuit, on n'aurait pas dit. Tiens, la voilà ! Il la lui lança.Maladroite,, elle ne la rattrapa pas et dut de nouveau s'accroupir pour lachercher. Il ne fit pas un geste pour l'aider.

Le train ralentissait, s'arrêta en gare de Nice. Elle sortit du compartiment,il la suivit. La plupart des autres voyageurs étaient dans le couloir.Il sembla à Viviane que certains la regardaient avec attention. D'habitude,elle aurait trouvé normal qu'on la regarde, ce ne pouvait êtrequ'avec admiration. Mais cette fois… Qu'avaient-ils entendu ? Laporte sur le quai s'ouvrait, la file des voyageurs s'ébranlait. Ellese retourna un instant. L'homme regardait ailleurs. Sortant du wagon, ellevit son mari qui courait vers elle.

PREMIER ADULTERE

Pour une fois, Viviane se rendrait seule au dîner de gala de la Fondationd'Aide aux Jeunes Artistes. Son mari était en voyage d'affaires, etavait insisté pour qu'elle y aille quand même. Les invités étaientrépartis un peu au hasard par tables de six où alternaient lesfemmes et les hommes. Viviane était entre un industriel assez âgé à sadroite et un avocat d'une quarantaine d'années à sa gauche. Tousdeux, très mondains, avaient exprimé leur plaisir d'être à côté d'uneaussi jolie femme. La conversation avait mis du temps à s'installer,mais les hors d'œuvre n'étaient pas terminés que tous discutaientavec animation.

Tout à coup, Viviane sentit une main se poser sur son genou gauche.Ce ne pouvait être que celle de l'avocat. Elle se tourna vers lui pourlui jeter un regard indigné, mais il parlait avec enthousiasme d'uneexposition qu'il venait de visiter, et elle renonça à l'interrompre.Elle serra les genoux, mais, fermement la main les écarta. Viviane n'osapas mettre la main sous la table pour repousser cette main indiscrète,qui commençait à se glisser sous la jupe et remontait tout lelong de la cuisse, sans se presser, mais sans hésitation, sûred'elle. Viviane regretta d'avoir mis des bas tenant seuls au lieu de collantqui l'aurait mieux protégée. Justement, la main arrivait à lapeau nue qu'elle caressa légèrement, semblant en apprécierla douceur. Elle s'arrêta entre les cuisses, la où la peau estla plus douce, et reprit son mouvement. Viviane hésitait. Allait-ellefaire scandale ? Ça ne se fait pas, dans ce monde. Elle se décida à mettrela main sous la table et, à travers la jupe, tenta de déplacerla main. Inutilement, elle résistait efficacement à sa pression.L'avocat continuait à discuter. La main atteignait le haut de la cuisseet un doigt frôlait le sexe de Viviane à travers la dentelle dela culotte. Elle avait de la peine à suivre la conversation et encoreplus à y participer. Tout en essayant de faire bonne figure, toute sonattention, toute sa sensibilité étaient concentrées surce point si sensible entre ses cuisses et cette main dont elle étaitincapable de se débarrasser. Et d'ailleurs le voulait-elle vraiment ?

La main continuait sa progression avec assurance. Le doigt s'insinua tranquillement à l'intérieurde la culotte et- effleura le clitoris. Viviane faillit crier, se reprit à tempset se mordit les lèvres. Ce qui se passait autour d'elle restait dansun brouillard qui recouvrait les visages et étouffait les paroles. D'uncoup, le doigt s'enfonça dans le vagin sans rencontrer de résistance:il était trempé. L'homme se pencha vers Viviane et lui dit à mi-voix :-Donnez-moi votre culotte, d'une voix calme, sûre d'elle. Elle le regarda,suppliante, mais il regardait en face de lui et discutait comme avant. Ellefut tentée par une protestation vigoureuse. Mais avoir tous les regardsconcentrés sur elle ? Ne serait-elle pas ridicule ? Et puis… voulait-ellevraiment que cette main se retire ? Toute sa raison lui disait qu'il lefallait, mais son vagin aspirait le doigt, malgré elle, elle poussaitson ventre vers lui. Comme somnambule, elle mit les deux mains sous sa jupeet très vite baissa sa culotte et la mit dans la main qui s'en empara,se retira et très vite revint. Elle n'osait pas regarder cet homme quiarrivait à obtenir tellement d'elle.

Il se pencha de nouveau vers elle : -Relevez votre jupe et asseyez-vousdirectement sur vos fesses nues. Toujours le même ton d'évidence,qui n'envisageait même pas qu'on puisse lui désobéir. D'ailleursViviane pensait plus à résister. Rouge de honte, elle attendaitl'ordre suivant. .

Le repas se terminait, on commençait à servir le café.Le doigt, qui était retourné dans le vagin de Viviane, s'agitaitun peu plus, et un autre doigt effleurait le clitoris. Maintenant, l'hommela regardait avec un petit sourire. Tout à coup, elle sentit l'orgasmemonter. Elle tenta de résister, de penser à son mari, elle semordit les lèvres. Sans effet. La jouissance la saisit. Elle réussit à s'empêcherde crier, mais savait bien qu'on devait remarquer quelque chose. L'industriel à sadroite lui demanda, soucieux : -Ça va ? vous n'êtespas bien ? Elle réussit à balbutier : -Ce n'est rien,un étourdissement, c'est fini. Mais en face d'elle une femme la regardaitfixement. Elle avait probablement compris. Viviane rougit encore plus, baissales yeux, ne voulant plus rien savoir de son entourage.

On commençait à se lever, les conversations se terminaient,certains proposaient d'aller terminer la soirée ailleurs. Viviane déclinatoutes les offres. Elle voulait se retrouver seule, comprendre. C'étaitla première fois qu'un homme autre que son mari la faisait jouir et,elle devait le reconnaître, avec une force qu'elle avait rarement connue.Elle se dirigea vers le vestiaire, prit son manteau et se dirigeait vers lasortie quand on lui prit le bras. Elle se retourna : c'était l'avocat,qui, sans un mot, l'entraîna vers le parking, loin de sa voiture à elle.Elle se trouva de nouveau incapable de lui résister et le suivit dansune zone un peu à l'écart du parking. Une Safrane étaitisolée. Il mena Viviane vers elle et la poussa sur le capot. C'en étaittrop, elle résista : -Non… ça suffit comme ça !

Il ignora sa protestation et appuya sur sa nuque pour la courber sur le capot.Elle continuait à résister, et à protester de plus enplus fort. D'un geste brusque, il releva le bas de la robe, découvrantses fesses nues. Avec force, il appliqua une première claque, suivietrès vite de plusieurs autres. Viviane continuait à dire Non…Non,mais ne résistait plus. Il la plaqua sur le capot, la maintenant d'unemain entre les épaules, et ouvrit sa braguette et sortit son sexe dressé.Il n'eut aucune peine à s'enfoncer dans ce vagin qui, malgré tout,l'attendait. Les deux jouirent ensemble, vite, comme impatients. Il se retira,rabattit la robe, et la fit se redresser. Toujours sans un mot, il lui tenditune carte de visite et entra dans sa voiture qui démarra, la laissantseule dans le parking. Tremblante, elle chercha sa voiture. Elle déchirala carte en petits morceaux et les dispersa par terre, les piétinantrageusement. Elle partit en pleurant, perdue. Pour la première fois,Viviane avait trompé son mari.

Les jours suivants furent difficiles. Viviane avait des remords, elle s'envoulait d'avoir su peu résisté. Mais, par moments, le souvenirde ses jouissances l'ébranlait, elle mettait la main entre ses cuissescomme elle l'avait fait jeune fille, toujours avec honte et mauvaise conscience.Et son mari qui ne reviendrait que dans deux semaines… Ce délaila terrifiait.

Une semaine plus tard, son amie Muriel lui proposa de dîner ensemble.Elles se connaissaient depuis longtemps et Muriel, un peu plus âgée,avait souvent servi de confidente et de conseil à Viviane. Elles sevoyaient moins depuis son mariage, et elle accepta volontiers cette soiréequi la sortirait de sa solitude.

Elles avaient agréablement bavardé, quand Muriel lui demandacomment s'était passé le dîner de la Fondation. Vivianerougit : -Bien… très bien…. Et elle commença à parlerd'autre chose. Muriel comprit vite qua Viviane avait quelque chose à cacheret insista : -Ne détourne pas la conversation. Il s'est passé quelquechose, et tu vas me le dire.

La rougeur des joues de Viviane était un aveu suffisant, et Muriel étaitcurieuse. –Allons, parle ! ou est-ce qu'il faudra te fesser pourque tu t'y décides ? Au mot « fesser », Vivianese revit sur la capot de la voiture de l'avocat, les fesses nues et brûlantes… etla suite à laquelle elle ne voulait pas penser. Elle rougit encore plus,leva vers son amie un regard suppliant. Mais Muriel ne se laissa pas attendrir.Elle se leva et s'approcha d'un air décidé et menaçant.Viviane céda : -Non… ne me fesse pas… non… jevais tout te dire.

Muriel se rassit, gardant son visage sévère : -Dis-moivraiment tout, sinon…

Viviane commença par parler de ses voisins, des conversations, retardantle moment où elle devrait parler de cette main si sûre d'elle.Muriel ne se laissa pas détourner : -Tout ça, c'est du bavardage,ce n'est pas ça qui te fait tellement rougir. Alors, avoue… avouetout !

-Tout à coup, j'ai senti une main… sur mon genou, sur ma cuisse… Ellecontinua son récit, essayant d'éviter ce qui la gênaitle plus, reconnaître sa propre excitation. Muriel fut impitoyable, satisfaiteseulement quand Viviane, toute en larmes de honte, dut lui dire que, oui, ellemouillait, oui elle avait joui sous ce doigt.

Peu à peu, avec encore plus de peine, Muriel lui fit raconter ce quis'était dans le parking. Elle chercha d'abord à cacher qu'elleavait été fessée, mais Muriel sentit qu'il manquait quelquechose à son récit et dut la menacer à nouveau d'une fesséepour qu'elle en parle. A la fin, Viviane pleurait –Pourquoi tu me faisdire tout ça ? J'ai si honte de m'être laissée aller…

Muriel sourit : - C'était une expérience qui te manquait.Tu es trop sage, tu regardes trop les hommes de haut. Et maintenant, que vas-tufaire ?

-Comment, qu'est-ce que je vais faire ? Rien, bien sûr. Quoi d'autre ?

-Non, pas question ! Tu vas revoir cet homme !

–Le revoir ? tu es folle ! et mon mari ?

-Ton mari est très loin, et ce n'est pas lui qui va te faire jouiravant longtemps.

-Mais cet homme ne me plaît pas… et d'ailleurs je ne connaismême pas son nom.

Muriel sourit : -C'est maître André Fauve. Je le sais,c'est le seul avocat à la Fondation. Tu vas l'appeler demain matin,tu demanderas à lui parler personnellement, tu te présenteraset lui diras que tu veux le revoir.

-Jamais ! M'humilier ainsi ? Pas question !

-Lève-toi !

-Pourquoi ? qu'est-ce que tu veux ?

-Je t'ai dit de te lever ! Obéis sans discuter !

Le ton autoritaire de Muriel, à qui elle avait déjà tantcédé ce soir, affaiblit les défenses de Viviane et savolonté. Tête basse, elle se leva ; Muriel lui fit signed'approcher, lui prit le poignet et la fit basculer en travers de ses genoux.Viviane tenta de se débattre. –Qu'est-ce que tu fais ? qu'est-ceque tu veux ? Aïe… aïe… arrête…tues folle…

Muriel avait commencé à la fesser, sur sa jupe d'abord, puisl'avait troussée et frappait sur la fine culotte. –Tu vas m'obéir ?Tiens, prends ça ! Et ça encore… Demain je vérifieraisi tu as bien téléphoné, et sinon, gare à tes fesses !

Les coups avaient complètement aboli la volonté de Viviane-Oui, Muriel, oui, j'appellerai… promis… arrête…

Muriel s'arrêta à regret. Elle avait pris un grand plaisir à fesserson amie et à la sentir céder, s'abandonner. Elle se promit qu'à lapremière occasion…

Viviane restait debout, tête basse, très rouge, le visage couvertde larmes, se frottant les fesses. –Allons, assieds-toi et arrêtede te frotter les fesses comme une gamine, tu es ridicule.

Viviane poussa un petit cri de protestation, mais se rassit, obéissante.

-Tu l'appelleras demain ? –Oui, Muriel. -… tu iras à sonrendez-vous ? –Oui, Muriel.

-Et tu lui diras que tu veux qu'il te baise de nouveau ?

–Muriel, voyons, je ne pourrai jamais…

-C'est pourtant ce que tu veux ?

-Je ne sais pas… laisse-moi…

-Assez discuté. Tu iras, et n'oublie pas que j'aurai les moyens devérifier.

Cette nuit, Viviane dormit très mal. Elle était choquéede la façon dont son amie l'avait traitée, mais elle étaitexcitée, ses mains retournèrent entre ses cuisses et elle jouiten se revoyant fessée.

Le lendemain, elle se réveilla en se disant qu'elle avait été stupidede céder ainsi. Muriel s'était conduite de manière inadmissibleavec elle, et une promesse extorquée dans ces conditions n'avait aucunevaleur. Mais, à mesure que la matinée avançait, sa résolutionfaiblissait. Après tout, pourquoi pas ? Le souvenir des deux orgasmesque cet homme avait provoqués était vivant dans son esprit etdevenait parfois une obsession. Elle allait le revoir, ne serait-ce que pourle démystifier et s'en débarrasser. Elle appela donc. Comme prévu,elle tomba sur la secrétaire et dut donner son nom et insister que c'étaitbien personnel. Enfin, elle entendit sa voix : -Bonjour. Que voulez-vous ?Toujours le même ton froid et autoritaire. Lui parlerait-il un jour autrement,comme les hommes avaient coutume de s'adresser à elle ? Elle balbutia :

-Un… un rendez-vous. –Demain, 18 heures. Et il raccrocha.

L'après-midi et la journée du lendemain furent horribles pourViviane. Tantôt elle se disait qu'elle était folle, à d'autresmoments son ventre brûlait à l'idée de ce qui pourraitse passer. Enfin la soir arriva. Viviane hésita sur sa tenue, et optafinalement pour son tailleur le plus sérieux. Elle ne voulait pas avoirl'air de se jeter à sa tête. Donc un tailleur gris, un collantgris aussi, un chemisier blanc boutonné jusqu'au cou, des dessous sages.Elle se regarda dans le miroir de sa chambre : Comme elle le souhaitait,elle était élégante comme toujours, sans rien de provoquant.Elle se dit qu'elle faisait plutôt femme d'affaire, et espéraqu'il en serait impressionné. Un discret collier de perles, une baguepour faire pendant à son alliance complétèrent une tenuequi, pensait-elle, inspirerait le respect.

Enfin l'heure arriva, elle sonna, le coeur battant, mais cherchant à nemontrer qu'un visage parfaitement calme. C'est une jeune femme qui ouvrit,probablement une secrétaire.

-Vous désirez ?

-J'ai rendez-vous avec Maître Fauve.

Sa voix trembla. Ces deux mots la troublaient. Le mot Maître, d'abord.Devait-elle considérer cet homme comme son maître ? C'estainsi qu'il s'était conduit au dîner, et elle l'avait accepté.Mais maintenant ? Et puis Fauve ? Elle le ressentait bien comme unfauve prêt à se jeter sur elle. Son ventre se tordit à cetteidée, et elle entendit à peine la secrétaire lui disantde la suivre. Elle entra dans le bureau, dont la secrétaire ferma laporte en partant. L'homme la regardait froidement. Sans lui dire de s'asseoir,il demanda : -Que voulez-vous ?

Elle fut désarçonnée par cette entrée brutaleen matière. Il ne faisait rien pour lui faciliter ce qu'elle avait à faire.

-…je… je…

-Parlez, vous me faites perdre mon temps.

Elle ouvrit la bouche, la referma, incapable de parler, glacée parcet accueil. Il se leva, avançant lentement vers elle, sans cesser dela regarder

-Vous vous décidez, ou faudra-t-il vous contraindre ?

Viviane continuait à le regarder s'approcher, incapable de réagir.Il était maintenant tout près d'elle. –Non ? Vousne voulez rien dire ? Soit !

Avec force, il la retourna malgré sa résistance, et appliquaune claque retentissante sur les fesses à travers la jupe. Viviane poussaun cri et essaya de se dégager, mais son autre main la tenait fermement.Il continua un moment, ignorant ses cris. Il avait pris ses deux poignets dansune main et continuait la fessée de l'autre.

Viviane pleurait, suppliait qu'il arrête : -Je vais vous dire…arrêtez, çafait mal.

Il continua un moment, puis la redressa et la tourna face à lui :

-Qu'est-ce que vous avez à me dire ? Parlez !

Elle était toute rouge, baissait la tête pour éviterles yeux de l'homme.

-Au dîner, l'autre jour… vous avez…

-Oui, je sais très bien ce que j'ai fait. Et alors ?

Tout en parlant, il l'avait de nouveau retournée mais cette fois ill'avait courbée sur le bureau et troussée.

-Non… que faites-vous ?

-Vous êtes venue vous faire de nouveau enfiler, comme au dîner ?Dites-le !

Une série de claques s'abattirent sur les fesses qui n'étaientplus protégées que par un fin collant un une culotte encore plusfine.

-Oui… oui… arrêtez…

Nouvelles claques, le collant baissé aux genoux.

-Oui quoi ? Soyez claire, Madame.

-Oh ! ne soyez pas méchant. Vous savez très bien pourquoije suis venue.

Il baissa la culotte et d'un geste brusque la déchira et le collantaussi. Il rit :

-Tu n'en auras plus besoin.

Quelques claques directement sur les fesses maintenant nues :

-Dis-le que tu es venue te faire baiser !

-Oui…oui… baisez-moi

Elle avait à peine fini qu'elle sentit que son sexe étaitenvahi. Il n'eut pas à attendre longtemps. Après quelques alléeset venues dans ce vagin trempé, elle hurla son plaisir.

Il se retira, elle resta immobile, reprenant son souffle, et se redressantenfin se colla à celui qui l'avait fait jouir, attendant un geste etune parole de tendresse. Mais il la repoussa, montrant la culotte et le collantdéchirés : -Ôte ça, tu es ridicule.

Essayant de retrouver un peu de dignité, elle retira lentement seschaussures puis ce qui restait de ces deux vêtements qui l'avaient sipeu protégée, et les remit, lissa sa jupe et se tint debout devantlui, le regardant de haut, comme elle le faisait habituellement avec tous leshommes. Il ne sembla pas impressionné et lui dit simplement : -Tajupe !

Elle le regarda, ne comprenant pas. Il répéta : -Ta jupe,je ne veux plus la voir. Donne la moi ! Elle balbutia –Mais… mais… jene peux pas… non…

Il la gifla : -Tu ne me dis plus jamais non ! Apprends à obéir.

En larmes, la joue en feu, elle la dégrafa et la fit tomber, l'enjambaet la ramassa, la lui tendit, la tête baissée, honteuse de sadocilité, et plus encore d'être demi-nue sous son regard froid.

Il prit la jupe, les lambeaux de la culotte et du collant et les jeta dansune poubelle. Viviane le regardait, fascinée, ayant renoncé à toutevolonté. Au fond d'elle-même, elle savait qu'elle ne pourraitrien lui refuser.

Il mit la main entre ses cuisses et enfonça deux doigts dans son vagin,et ricana en constatant que l'humidité n'avait pas diminué. Ellecommença à s'agiter sur ces doigts, cherchant à jouirde nouveau. Mais il les retira d'un coup, riant encore plus quand elle poussaun cri de frustration. –C'est moi qui décide si et quand tu vasjouir, pas toi.

Elle s'approcha de nouveau de lui, tentant de le séduire, de l'exciter,frottant son ventre nu contre le sexe de l'homme à travers le pantalon.Il resta froid, elle pleurait de désir et de frustration.

-Nous partons ! -Nous partons ? Où ? Pas de réponse.Il se dirigea vers la porte.

-Mais… je ne peux pas sortir comme ça…

-Et bien, on verra tes fesses rouges et on saura que tu as été vilaineet qu'il a fallu te fesser comme une gamine.

Elle rougit, troublée et honteuse à l'évocation de cequ'elle avait subi. Il sortait, elle se colla contre lui, comme si elle seraitcachée par lui. Il marchait à grands pas, ne semblant pas s'occuperd'elle. Ils prirent l'ascenseur sans rencontrer personne, arrivèrentau parking. Le souvenir de ce qui s'était passé dans un autreparking, avec le même homme, la fit frissonner. Un couple les croisa,les regarda sans rien dire. La femme se retourna pour les regarder encore.Ils arrivèrent à la voiture, mais cette fois il se contenta delui ouvrir la portière, poliment, comme si elle était habilléenormalement et ne venait pas d' »être fessée et baiséepar lui.

Elle s'assit, il prit place à côté d'elle et avant dedémarrer, lui écarta les genoux qu'elle avait pudiquement serrés.Elle rougit, mais ne tenta pas de les refermer. Toutefois, quand la voiturearriva près d'un camion, il ralentit pour rester à la mêmevitesse que lui, et elle vit le chauffeur qui la regardait. Sans réfléchir,elle resserra les cuisses, ce qui lui valut une claque immédiate laissantsur sa cuisse une marque bien nette. Le camionneur sourit et fit un signe d'approbation.Viviane pleurait de honte, elle s'en voulait d'être incapable de s'opposer à ceshumiliations. Lui gardait son visage froid, ne la regardant apparemment pas.

Arrivés chez lui, il reprit son comportement poli et attentionné,lui tenant les portes, la faisant passer devant lui. Il la fit entrer au salonet asseoir dans un fauteuil, où il lui écarta de nouveau lescuisses. Il redevint mondain en lui demandant ce qu'elle voulait boire, maisquand elle lui demanda de l'eau, il hocha la tête et lui servit un cognac.Et garda les yeux sur elle jusqu'à ce qu'elle ait tout bu. Çan'allait certainement pas lui tourner la tête, mais elle sentit qu'unefois de plus il lui imposait sa volonté sans qu'elle puisse lui résister.

Il resta longtemps assis en face d'elle, le regard fixé sur sa vulvequ'elle ressentait comme une brûlure. Elle avait besoin qu'il la prenne,qu'il la pénètre, qu'il prenne possession de tout son corps,qu'il la brutalise s'il le voulait, pourvu qu'elle sente ses mains sur soncorps. Enfin, il parla, du même ton froid avec lequel il s'étaittoujours adressé à elle :

-Ouvre ta veste !

Elle s'empressa d'obéir, comme à ses ordres suivants. Il luidictait ses moindres gestes, comme si elle ne savait pas se déshabillerelle-même. Quand elle fut nue, il lui fit signe d'approcher, mais toutde suite précisa : -A genoux ! Viviane rougit et s'exécuta.Il recula un peu le fauteuil dans lequel il était assis pour allongerla distance. Elle arriva tout près de lui, resta à genoux etle regarda d'un air suppliant.

Il sourit : -Tu es vraiment à ta place là. Tu ne trouvespas ? Viviane rougit et ne dit rien, incapable de parler.

-Je t'ai posé une question. Réponds ! Ou faudra-t-il denouveau te fesser ?

Une fois de plus, le mot « fesser » la fit frémir,elle ne savait pas si c'était de crainte, de honte ou de désir.Il lui était impossible d'y résister. Elle balbutia :

-Oui, ma place est à genoux devant vous.

Il sourit, lui caressa les cheveux comme à un chien qui a bien rapporté.

-Caresse-toi !

Docile, elle mit la main entre ses cuisses, qu'il écarta une foisde plus. Elle esquissa une caresse, se reprit, chercha son clitoris… ettout à coup fondit en larmes :

-Je ne peux pas… pas devant vous… s'il vous plait… pas ça… jene peux pas.

Il saisit ses cheveux, la souleva, frappa trois fois ses seins et la laissaretomber sans un mot. Pleurant encore plus, Viviane remit la main entre sescuisses. Rouge de honte, d'embarras, elle finit par obéir et faire sousson regard ce qu'elle n'avait jamais fait que seule, bien cachée sousses draps. Elle finit par jouir sous les yeux de l'homme.

IL la retourna, toujours à genoux, pressa sur sa nuque pour lui mettrela tête au sol. Il la manipulait comme une poupée, souleva unpeu le bassin pour mieux exposer la croupe, appuya sur ses reins pour la fairecambrer, écarta ses jambes. Une fois de plus, Viviane se laissait faire,totalement abandonnée entre les mains de cet homme. Quand il l'eut biendisposée à son goût, il la pénétra d'un coup,et elle jouit très vite. Il se retira, se rajusta et sembla se désintéresserd'elle. Elle restait par terre, haletante.

-Tu as eu ce que tu voulais. Maintenant, rentre !

C'était comme s'il l'avait giflée, une fois de plus il l'humiliait,lui rappelait que c'était elle qui avait besoin de lui. Elle remit seschaussures, son soutien gorge, son chemisier et sa veste sous le regard distraitde cet homme qui venait de jouir en elle mais semblait maintenant s'en désintéresser.

-Je ne peux pas rentrer comme ça, et j'ai laissé mon sac dansvotre bureau. Il s'absenta un instant et revint avec un vieux manteau d'homme,qu'elle s'empressa de mettre. Il lui tendit un billet de 20€ -Çasuffira pour le taxi. Ton sac, tu peux venir le chercher à l'étude,tu le demanderas à ma secrétaire. Si un jour j'en ai envie, jet'appellerai.

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Mandys sickest stories Mandy reloaded

Mandy's sickest stories - Mandy reloadedAuthor: SickoChickMandyAuthor's email: mandydarkfantasies [at] gmail [dot] comTags: F/f, torture, snuff, feet, nc, cannibalismProofread by EmmaPNote, that English is not my native language, so my writing will surely have many grammatical and syntax errors just as improper usage of expressions. I can only hope someone will still find it exciting. Be aware, this is graphic, brutal and extreme. I read it after writing and scared of myself.DisclaimerThis...

3 years ago
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Andrew Running Part 1 of Andreas Stand

Andrew Running (part 1 of Andrea's Stand) Chapter 1: Running I called my Aunt Clara from the bus station. She didn't seem that surprised to hear from me and when I explained why I was there she told me to walk a couple of blocks to the local diner and get myself a cup of coffee. She'd pick me up in about half an hour. I sat and sipped chocolate milk and tried to eat a pastry while I glanced nervously out of the window waiting for my father to show up and force me into his...

1 year ago
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Candys Dandy

by Millie Dynamite Jaden and I meet a few weeks after he transferred to the Naval base just outside of town. I sat on a bar stool sipping my Pappy Van Winkle when this tall African-American man in full dress uniform sat next to me. He whore captain’s bars. He possessed an air of authority. I nodded to him when perched on the next stool. He returned my nod with his own acknowledgment, in a deep voice he said, “Yo.” He spoke without looking at me. “I’ll have bourbon, make it a shot of Evan...

1 year ago
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Sissy Outed Brandon to Brandy

This is a story about seduction and transformation that’s written about a real-life sissy named Brandon Hippel, Brandon’s a cute little limp-wristed sissy-faggot from Abington Pennsylvania that loves to be humiliated and exposed online. She loves feminization, crossdressing, being exposed online, humiliation, anal play, degradation, being captioned, taking pictures, and talking to new people, so feel free to contact her through these various social media; Her kik is; HumiliationSlut2Her email...

1 year ago
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Strange RelationshipsChapter 10 Armand Mixes in the Hernandezs Affairs

Armand Wilson sat in his home office/study sighing. From the office, things had looked pretty good; business was on track, and Sharon appeared to be handling her new situation well. But in the car on the way home, Armand began getting bad vibes, and when he arrived at his mansion, things were even worse. Everyone on staff was walking around as if on eggshells. It took Armand about twenty minutes' worth of snooping, but the situation resolved itself -- the Hernandez' quarters were an armed...

3 years ago
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CANDY FINDS HER SON HANDY AND DANDY

by Oediplex 8==3~ The sweetest mom discovers her boy is both convenient and delightful. [She also recounts when her dad fucked her at nineteen!] Like the name of Madame DeVille's moniker, Cruella, some names fit the personality they are bestowed upon. Disney came up with that evil woman's apropos handle. My mother's folks named their only child, a daughter, Candy. This was shortly before the infamous 1968 movie was out. Though there were aspects of mom that paralleled the...

3 years ago
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From Candace to CandyChapter 7

Well, now it's time for school. Candace and I go to a small high school, not private, but because we are so rich, it is not exactly public either. The students have been screened by my fathers' security teams; they are all exceptionally bright, well mannered, not prone to causing trouble, and to add ice cream to the pie, all are very good looking. There are 40 students, 20 boys and 20 girls. When the school was larger it had state champion quality teams in boys basketball, girls volleyball...

2 years ago
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Handyman Candys Cabana

This is a story about a sexual FANTASY written for consenting adults. If you're not both of those, don't read it. Characters in a FANTASY don't get sick or die unless I want them to. In real life, people who don't use condoms and other safe-sex techniques do get sick and die. You don't live in a FANTASY so be safe. The fictional characters in my stories are trained and experienced in acts of FANTASY - don't try to do what they do - someone could get hurt. If you think you know somebody...

2 years ago
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High Society Socialite

Before buying her house, I would spend time in the neighborhood watching her walk up the path to her door. She always came home for lunch at 12:30, no matter what,.I checked my watch. I liked that she had a routine; the rest of her life appeared to be a mess. She needed to sell her house so she could move closer to her business. The first time I seen her, I got very horny and a hard cock.She appeared to stay home on most weekends, and she liked to drink wine. Just like that I was spending...

1 year ago
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Sensual Seduction Secrets of a Socialite Extract

Kim knew Mila Brighton well. She was always pictured in the town's monthly digest standing next to some pompous dignitary with a giant cheque for one of her causes. It was either funding for the community centre or something for the arts. Kim could see through it all. It was just an excuse to gain favour with the residents in order to further her own pursuits. One of them being a chairwoman of the local council.Rumours spread across Salina's social group that she had performed certain 'favours'...

Lesbian
3 years ago
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Socialite Wife

The limousine drove slowly up Times Square until it merged with Broadway then it pulled to the curb at 1535 which was the Marriott Marquis Hotel in downtown New York City. The front door opened and a handsome chauffeur got out and walked around to the curbside and opened the rear door and the gaggle of paparazzi, cameras flashing, moved closer to see who was inside. Inside the rear of the vehicle sat Mrs. J. Burdock Williamson, or CeCe, as she was known to all of her friends, who slowly slid...

3 years ago
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The United Kingdom of Zoo A fake BBC documentary seriess3e14 Bronte 25 socialite from Hampstead

A train rattles along a raised section of track. Beneath it – a series of large Victorian era arches have been walled in to form garages and storage spaces. Grubby, messy and old. It’s the wrong end of town, very much working man’s territory. We close in on one of these arches and note a figure walking toward it. She’s immaculately dressed from top to toe in a tailored black jacket and knee length skirt combination, with a low-cut white top tucked in tight, the neckline revealing a healthy...

1 year ago
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Nandhini Chechi Breastfed And Got Fucked

Dear sexstory friends, this is Rajesh presently working in Bangalore in an MNC and I would like to share my past experiences with you people. I am a 38 years old horny man with a slightly big cock of 8 inches and satisfied many girls and Aunties from past 20 years. Any unsatisfied girls, Ladies and widows can feel free to chat with me on The incident happened when I was 18 years old and studying PUC in Bangalore, when a new Malayali neighbours occupied the vacant house next to our home. They...

1 year ago
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Andrea Andy and Me

(MMF, wife sharing) At the time I write this story Andrea, (My wife) is 36 years old, and quite a knockout. She's always been into bodybuilding and has been a runner since she was a k**. With all of the attention that she has given herself, it really shows. At her age she still has a hard body, and a deep rich "California Girl" tan. Her chestnut hair is beautiful. And her dark brown eyes seem to see right through me sometimes. My Andrea is a beautiful "self made" woman that any man would be...

2 years ago
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Gorgeous Indian Chechi Nandhini fed me her excess

Nandhini Chechi fed me her excess breast milk and surrendered her pussy to my 8” cock.Dear friends, this is Rajesh presently working in Bangalore in an MNC and I would like to share my past experiences with you people. I am a 38 years old horny man with a slightly big cock of 8 inches and satisfied many girls and Aunties from past 20 years. Any unsatisfied girls, Ladies and widows can feel free to chat with me on [email protected] The incident happened when I was 18...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter 14

Disclaimer: This chapter, like all chapters of the Brandee series is intended for adults only. Additionally, no part of this story may be reproduced without the permission of the author. Becoming Brandee Chapter Fourteen: It was almost a year since I had been transformed from smart independent CD girl, Jenni, into sweet dumb and adorable bimbo, Brandee. It was also Halloween and the final evening performance of my promotional tour being staged back where it all started, the...

3 years ago
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Andee Plays a New Version of Around the World

Andee felt a little reluctant as she stared at the calendar hanging on her kitchen wall. Scribbled in among her children’s sports and music lessons were the pending dates of her fall travel schedule again. At one time, she loved the idea of jetting off for a few days every month to another distant location for business, easily slipping into her professional role as a career woman on the move; but this time around, she felt a little hesitant.Of course, a big part of her reluctance was a direct...

Wife Lovers
3 years ago
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Andee Plays a New Version of Around the World

Andee felt a little reluctant as she stared at the calendar hanging on her kitchen wall. Scribbled in among her children’s sports and music lessons were the pending dates of her fall travel schedule again. At one time, she loved the idea of jetting off for a few days every month to another distant location for business, easily slipping into her professional role as a career woman on the move; but this time around, she felt a little hesitant.Of course, a big part of her reluctance was a direct...

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3 years ago
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Andee Poses For A College Art Class

There weren’t many people in Andee’s day-to-day life that knew about her naughty little secret. Even though she had been posing on an adult website for over twelve years, she had managed to keep it under wraps for the most part; and the people to whom she did disclose the information fell into two categories: intimate friends and persons of seductive interest.Her good friend Bella – a wild one in her own right – was someone Andee had entrusted with the knowledge. In fact, Bella had often played...

Wife Lovers
2 years ago
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Andee Poses For A College Art Class

There weren’t many people in Andee’s day-to-day life that knew about her naughty little secret. Even though she had been posing on an adult website for over twelve years, she had managed to keep it under wraps for the most part; and the people to whom she did disclose the information fell into two categories: intimate friends and persons of seductive interest.Her good friend Bella – a wild one in her own right – was someone Andee had entrusted with the knowledge. In fact, Bella had often played...

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4 years ago
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Andee Learns Just What Stays in Vegas

Andee carefully removed the letter from the envelope. She had just come home from work to find it placed on her pillow, plainly marked "Just For You." She knew it was from her husband, as he had departed on his business trip earlier that day. And, as he often did, he had some scheme cooked up to add a little excitement to her life. This time the plan was for her to travel to meet him at the end of his trip in Las Vegas. He was attending a trade show and managed to get an extra flight. What she...

Wife Lovers
3 years ago
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Fernanda Teenage Lust

I had just finished my first year of college and my mom and dad insisted that I go with them on a quick summer trip to visit one of mom’s old college buddies in Austin, Texas. Normally, I don’t mind such gatherings, but for some reason or another, Austin just didn’t appeal to me. I had been there many years before and didn’t find the city attractive. When we arrived, there were the customary hugs and greetings- since our family is Hispanic. (You have to love a culture that embraces hugging!) I...

First Time
3 years ago
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Andee Returns to Las Vegas

Andee settled in for another flight. Her new job had been taking her all over the place the past few months, but the light was almost at the end of the tunnel. This trip to Las Vegas would be the last for the year. The other bonus is that she only had to spend a couple days on her own, as her husband had managed to make some changes to his own plans and would meet her for a bit of an extended weekend. The last time they had been together in Sin City, things had been … interesting. It was a...

2 years ago
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Andee Returns to Las Vegas Chapter 2

Andee smiled as she read the text message on her phone. Before breakfast, she had sent a somewhat vague note to her friend from the night before about wanting to try Roulette again, wondering if he might interpret the suggested sexual undertones – especially after the enthusiastic round of sex from the night before. She thought for a moment, wondering just how acquainted she wanted to get with Connor. It seemed her “one-night stands” in her sexual adventure were more like weekend-long affairs,...

Wife Lovers
3 years ago
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Andee Returns to Las Vegas

Andee settled in for another flight. Her new job had been taking her all over the place the past few months, but the light was almost at the end of the tunnel. This trip to Las Vegas would be the last for the year. The other bonus is that she only had to spend a couple days on her own, as her husband had managed to make some changes to his own plans and would meet her for a bit of an extended weekend. The last time they had been together in Sin City, things had been ... interesting. It was a...

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2 years ago
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Andee Returns to Las Vegas Chapter 3

Andee held her coffee in both hands as she sipped on it. Thecombination of her hangover, sexual exhaustion and lack of sleep, left her struggling to bring her mind around to some sort of clarity. Her hands were a little shaky as she stared blankly at the cup. “I’m not too sure about all the details,” she mumbled across the table at her smiling husband. He seemed to be enjoying the whole thing a bit too much and had been pressing her for some information about her encounter. She hadn’t yet...

2 years ago
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Andee Returns to Las Vegas Chapter 3

Andee held her coffee in both hands as she sipped on it. Thecombination of her hangover, sexual exhaustion and lack of sleep, left her struggling to bring her mind around to some sort of clarity. Her hands were a little shaky as she stared blankly at the cup. “I’m not too sure about all the details,” she mumbled across the table at her smiling husband. He seemed to be enjoying the whole thing a bit too much and had been pressing her for some information about her encounter. She hadn’t yet...

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2 years ago
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Ms Nandhini ndash My School Teacher Chapter 2 How

Ms Nandhini – My School TeacherBy KINGPHANTOMEmail: [email protected] 2Lesson – 1 – How to MasturbateThe morning after I Dry Humped our new class teacher’s ass on our school bus. I woke up hearing my older sister Nithya chechi (Starring “Nithya Menon”) calling out my name. “Shyam you idiot, come on get up. You are late for school. I am gonna tell mom, you better get up.” She shouted at me. It’s a curse to share a room with your older sister. She wants to decide on everything that’s...

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Andee Heats Up Houston Day 1

Andee edged her way through the crowd surrounding the luggage belt. She was happy to finally be off the plane after the three hour flight from Toronto, but still had some peculiar emotions about being in Houston. Ever since her encounter with Don back at the conference in Chicago she had been maintaining a casual connection with him, mostly on a professional level. When she received his invitation to come to Texas for a few days to explore first hand some of the research developments his...

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1 year ago
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Becoming Brandee Chapter Eight

Becoming Brandee Chapter Eight: Sitting at my vanity I carefully outlined my lips. Then I pulled out a tube of china pink lipstick and coated them. My refection pleased me so much. Finally, I coated my pretty colored lips with two coats of shiny sticky lip gloss. I winked at Richard reflected in my mirror who was watching me get ready for work. I then stood up to face him in my freshly ironed cocktail waitress uniform. Today I would be wearing my pink uniform. I loved wearing...

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Andee Heats Up Houston Day 2

Andee woke to the sound of the shower running. Looking at the digital clock beside the bed she saw that it was just after 6:00 a.m. As she sat up in the bed, she was trying to shake out the cobwebs and jetlag in her head when the realization of what had gone on the night before became obvious. She was naked but couldn’t exactly remember at what point during the night her lingerie had come off. She rolled out of the bed, made her way to the closet and pulled on a t-shirt from her suitcase. She...

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4 years ago
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Andee Loses a Bet and Her Panties

The whole matter began shortly after Andee’s 38th birthday. She had made one of the biggest decisions of her life and cropped her long brown hair into a cute “pixie” cut. It was a drastic change in her mind, and not long after she began to feel that she wasn’t being “noticed” as much as she had been when her hair was long. “Men prefer long hair,” she complained to her husband one night, not long after she made the dramatic transformation. But despite his constant reassurances, she still felt...

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1 year ago
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Andee Poses For A Friend

It had been a long time in coming. Andee wasn’t sure if having to “pay up” for losing a friendly bet with her co-worker was just a passing joke in the hallway, or if he was serious about collecting on it. As a thirty-eight year old mom of two very active boys and career woman, she enjoyed a bit of adventure in her life and this was the second time in a year she had found herself confronted with a sexual complication with her friend. Without question, Andee had been a shameless flirt with Paul,...

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1 year ago
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Becoming Brandee Chapter Seven

Becoming Brandee Chapter Seven Today may be one of the most important days of my new bimbo life. I go for my job interview today. I am so nervous. I so want to get this job. Lisa seems to think I am a shoe in. But I am nervous. I so want this job. It means a lot to me and I think it will mean a lot to Richard and I know it will help continue to rein....reinfer...re...make me more comfortable as a bimbo girl happy in her role.To support me, Lisa came over and we went through my...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter Eleven

Disclaimer: This chapter, like all chapters of the Becoming Brandee series are intended for adult readers only. Reproduction in any form may not be done without permission of the author. Becoming Brandee, Chapter Eleven: Julie and I crawled into bed together spent as Richard retired to his room. However, just before heading up to bed, Benjamin and I shared a private moment at the door before he headed back to his home. He kissed me tenderly and told me that he'd like to see me...

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From Candace to CandyChapter 5

We woke up mid morning the next day. I rang down to the servants house and asked that breakfast be served in about an hour. I hustled Candace into the shower, telling Candy that we couldn't play; I had a big day planned for us. And that of course set off a round of what? and why won't you tell me, and I don't care if it's a surprise, which finally ended with several swats to the ass cheeks and a gesture towards the shower. Point made, game, set, match; for now anyway. I went through...

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Becoming Brandee Chapter Twelve

Disclaimer: Like all chapters of the Brandee series, this one is inteded for adult readers only. Becoming Brandee, Chapter Twelve I am now in my fourth month of my tour of gentleman's clubs and adult bookstores and I am really enjoying myself. Julie came out a few weekends ago and had such a fun time watching me in my glory. She says she is going to finish up her Doctorial work sooner than expected and that we might get some more time together. I would really enjoy that as I...

4 years ago
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Grandpa and Grandma come for a visit and the entire family enjoys an incestuous orgy

“We’re here!” Grandma cried as she and Grandpa came through the front door with their suitcases. “Grandma!” the children shouted as quickly the five of them surrounded their Grandparents. Grandma and Grandpa hugged them all – letting their hands grab the firm young asses of their grandchildren. Grandma took special care to press her massive bosom against their chests feeling her nipples harden as she did. Grandpa’s large pecker had been hard since...

1 year ago
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State of ChaosChapter 6 Socialites

"Yes! That's exactly what I meant! You look amazing!" Tony said to Tina. Tina blushed. She had spent the last two hours preparing for her date with Riley to the Savannah Press Club gala. It was one of those events in Savannah society. Except for Rebecca she would almost certainly be the youngest person there. Tony had no idea at what point he had become part of Savannah society. The only explanation he could think of for his invitation was Tammy's Wheels and the charity's involvement...

2 years ago
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Chandigarh Ki Bhabhi Ko Bnaya Randi

Mera naam harman hai. Yeh meri pehli story hai indian sex stories pe. Yeh story meri bhabhi k baare me hai. Iss story mein m btaunga k kaise mene apni bhabhi ko apni randi bnaya. Apne baare me btata hoon. Mera lund 7 inch ka hai aur height 6 foot. M chandigarh ka rehne wala hoon. Mujhe ladkiyo ko randiyo ki tarah chodne meh bahut maaza aata hai. Chandigarh ki agar koi ladki, bhabhi ya aunty ko badeh aur motte lund ki talaash hai toh meri email pe msg kre: .Chlo story shuru krte hai. Meri...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter Thirteen

Disclaimer: Like all chapters in the Brandee series, this one is also intended for adults only. And, like all other chapters, no part of this story may be reproduced without permission of the author. Enjoy. Becoming Brandee Chapter Thirteen: I think I was telling you all about my publicity and promotional tour before getting side-tracked by hygiene issues in the last chapter. Let me fill you in on a few of my adventures with some fascinating audience members who've won the "Win...

3 years ago
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Andersonville 23 A Twinkle in her Fathers Eyes

Flashback - 11 months earlier (Author's notes - the intro takes place 'right after' Andersonville 6) There were fifteen men and women crowded into the small conference area. As Colonel Myers surveyed the room, he noticed most of them, the programmers anyway, were about half his age. Barry shook his head; he was getting old. His goal was to make general before he retired, and the Andersonville project had seemed like the best way to increase his chances. The problem was, he had...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter 10

Disclaimer. This chapter, like all chapters of the Becoming Brandee strory, are intended for adult readers only Becoming Brandee Chapter Ten: Now this was totally unexpected. I had initially thought that my wife Julie and I were both to be dates for Richard and suddenly I become very aware that only my wife is Richard's date for the evening. And, once I open the front door, I will be meeting my very own date. "You look divine, Brandee," said my wife encouragingly, "Now make...

3 years ago
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Andee Heats Up Houston Day 3

Andee folded down the top of her suitcase and zipped it shut. In a few hours she would be back in Canada, back with her husband – and after the past couple days – back on her back as she shared her experiences in Houston with the man waiting at home. She looked at Don propped up against the edge of the desk, hands stuffed into his jeans as her thoughts turned to the fun she had enjoyed on this trip. She could see the disappointment in his face as he knew their time together had come to an end....

2 years ago
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Andee Heats Up Houston Day 3

Andee folded down the top of her suitcase and zipped it shut. In a few hours she would be back in Canada, back with her husband – and after the past couple days – back on her back as she shared her experiences in Houston with the man waiting at home. She looked at Don propped up against the edge of the desk, hands stuffed into his jeans as her thoughts turned to the fun she had enjoyed on this trip. She could see the disappointment in his face as he knew their time together had come to an end....

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1 year ago
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From Candace to CandyChapter 4

When we returned home I took Candace to my bedroom, laid her on her back on my bed, and tied her hands and ankles to the head and foot boards of the bed. I kissed her lightly on her lips, then began to kiss and nibble on her cheeks, eyelids, forehead, around to her ears and her neck. Her body was stock still but her breathing was quick and shallow. When I got to the front of her neck I began to work my way down the front of her body. I grabbed the scissors I left on the bed table and cut her...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter One

Becoming Brandee Chapter one: My wife, Julie, peered into the office where I was sitting at one of computer desks typing an IM to a new friend I had recently met on the internet. "Is this the man you have been telling me about?" "It is him, honey. As I've told you he is very different than most of the others I have chatted with online and I find myself really liking him and the way he thinks." She smiled back, "A girl does need a good man to share some of...

3 years ago
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Becoming Brandee Chapter Two

Becoming Brandee Chapter Two: Pulling up to his condo I realized that Richard was very well off. He lived in a very exclusive part of the city and his home furnishings matched his stature and good grooming. Looking around I felt like I just had to become his maid as well as girlfriend and make sure this wonderful man had me to look after him as a sweet girl would desire to do for a man who took good care of her. I squealed with delight when he showed me my own room. It couldn't...

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