Effet Papillon Part two
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Effet Papillon - Part 5 free porn video
Effet Papillon.
5e partie.
9.
L'introduction de petites culottes toutes plus f?minines les unes que
les autres ne fit qu'intensifier notre vie sexuelle.
Maintenant que je portais des strings de ? salope ?, qualificatif qui
revenait de plus en plus souvent au cours de nos d?bats sexuels, Franck
n'h?sitait plus ? me traiter comme telle.
Tout se fit progressivement, un ?l?ment ? la fois. Mais aux caresses,
sodomies et fellations de nos premi?res semaines, vinrent s'ajouter de
nouvelles pratiques que j'appr?ciais tout autant.
Pour commencer, mon homme se mit ? varier les endroits o? nous ?tions
amen?s ? baiser. La cuisine succ?da au lit, la voiture ? la cuisine, la
for?t ? la voiture et la ville ? la for?t.
Que ce soit une porte coch?re, une cabine d'essayage ou les toilettes
d'un bar, nul endroit n'?tait tabou. Nous nous ?tions fait prendre en
flagrant d?lit ? plus d'une occasion. Se faire surprendre en train de
sucer dans une cage d'escalier est un vrai moment de solitude, et ce
n'est pas le suc? qui est le plus honteux ? cet instant l?!
Franck aimait m'honorer partout et ? n'importe quel moment ce qui
n'allait pas sans causer de petits soucis en termes ? d'ouverture ?.
Apr?s tout, nous n'?tions pas forc?ment aussi excit?s en m?me temps.
G?n?ralement, nos galipettes en ext?rieurs se passaient de
pr?liminaires. Pas le temps de mettre un lubrifiant ou quelques doigts
pour pr?parer le temps quand quelqu'un peut surgir d'un instant ?
l'autre.
Franck avait sa petite id?e sur ce probl?me. Il m'offrit un petit gode
pour que je me d?tende comme il disait. Puis ce fut un plus gros, puis
un vibromasseur et ainsi de suite?
En l'espace de quelques mois, l'ex h?t?ro que j'?tais en ?tait donc
arriv? ? se faire offrir des vibros entour?s de petits strings en
dentelle rose, tout un symbole!
Apr?s les godes, vinrent ? les plugs ?. Pour ceux qui ne conna?traient
pas cette merveille de l'ing?niosit? humaine, il s'agit en quelque
sorte de godes portables, ? ins?rer dans son intimit? pour rester
? ouvert ? en toutes circonstances.
S'il faut reconna?tre que le port d'un de ces ustensiles rendait les
p?n?trations sauvages de mon bel amant moins douloureuses, c'?tait loin
d'?tre confortable. Quand j'en portais, il m'?tait impossible de ne pas
le sentir, surtout dans les escaliers. Ma d?marche en ?tait un peu
diff?rente, plus coul?e, plus douce. D?s que je m'asseyais ou que le
terrain devenait plus escarp?, j'?tais dans un ?tat pas possible. Une
vraie petite folle qui tortillait du cul!
Franck m'initia aussi aux liens. Tout doucement, en me mettant en
confiance. Avec un bandeau sur les yeux alors qu'il me caressait.
C'?tait tr?s excitant car tous mes autres sens s'en trouvaient
d?cupl?s.
Puis il m'attacha les mains sur les bords du lit, avec des morceaux de
tissus, puis des cordelettes jusqu'? finir par des menottes. L'id?e
d'?tre sans d?fense, enti?rement ? la merci de l'ardeur de mon m?le
avait un effet sur moi que je n'aurais jamais pu soup?onner. Ca
m'?moustillait ?norm?ment, et Franck le fit de plus en plus souvent.
Lorsque j'?tais attach?, il n'h?sitait pas non plus ? me claquer les
fesses et ? multiplier les mots crus. Il insistait sur le fait que
j'?tais sa salope, son esclave sexuel, que j'?tais fait pour prendre
des bites, bref, il utilisait un langage fleuri qui finalement
d?crivait assez bien ce que j'?tais en train de devenir, pour lui.
Si notre vie sexuelle ?tait au beau fixe, il en allait de m?me pour le
reste. Nous affichions une complicit? sans failles, de chaque instant.
Elle se manifesta au moment de nos anniversaires. Hasard du calendrier,
nous ?tions n?s ? deux jours d'intervalles, ? des ann?es diff?rentes.
Pour mes vingt ans, il me demanda ce que je voulais. Ma premi?re
r?ponse fut bien sur qu'il continue ? m'aimer. Mais vous savez comme
sont les gens, ils se rattachent plus facilement ? des choses
mat?rielles. Mon cadeau fut une montre, une tr?s belle montre
d'ailleurs, tout en argent! Elle ?tait tr?s fine, tr?s discr?te. Pour
un peu, c'?tait presque une montre de femme, en tout cas c'est un peu
l'impression qu'elle donnait sur mes poignets rachitiques.
Apr?s un tel cadeau, je ne voyais pas trop comment rendre la pareille ?
Franck. J'?tais toujours fauch? comme les bl?s, et il ?tait exclu de me
ruiner.
? Tu sais mon ch?ri, je ne pourrais jamais te faire un cadeau aussi
beau. En fait, je ne sais m?me pas quoi t'offrir ?.
? Tu n'as pas besoin de me faire de cadeau. Continue d'?tre un tel
amour et cela me conviendra ?.
? Demande-moi ce que tu veux, si je peux le faire, je le ferai m?me,
et surtout si c'est en nature , j'insiste ?.
? A bien y r?fl?chir, il y a quelque chose que tu pourrais faire qui me
plairait ?norm?ment. Mais tu n'es pas oblig? de dire oui ?.
? Quoi ? Vas-y je veux te faire plaisir! ?
Je n'aurais peut-?tre pas du insister autant. La demande de Franck
?tait assez inattendue, et bien loin de ce que j'?tais pr?t ? faire
pour lui. Il voulait que je me fasse poser un piercing sur la langue!
Les applications ?taient ?videntes. Cela rendrait nos baisers plus
int?ressants, et surtout pimenterait mes fellations. En soi, me faire
charcuter la langue n'?tait pas forc?ment effrayant. Mais un piercing
n'?tait pas forc?ment quelque chose de discret.
Toutefois beaucoup de gar?ons en portaient, et j'avais toujours la
possibilit? de l'enlever en cas de visite chez mes parents.
J'ai donc accept?, et quelques heures plus tard, j'?tais la bouche
ouverte en train de me faire poser une petite boule dor?e au milieu de
la langue.
Je vous passe sur les quarante huit heures qui suivirent, o? ma langue
avait tripl? de volume. Je n'osais m?me plus sortir!
C'est ? ce moment que Franck me fit une proposition pour le moins
surprenante.
Il devait se rendre ? Rome pour un s?minaire o? tous les dirigeants ce
sa multinationale seraient pr?sents. Trois jours dans un palace dans
l'une des plus belles villes du monde.
Il pouvait venir accompagn? et avait pens? ? moi, sachant que visiter
la capitale italienne ?tait l'un de mes r?ves.
Il y avait cependant un hic, et s?rieux : il ne pouvait pas venir
accompagn? d'un gar?on.
10.
La firme qui employait Franck ?tait une multinationale bas?e quelque
part aux Etats Unis. Le genre de soci?t? qui avait des bureaux partout
dans le monde et qui vendait je ne sais quels produits financiers
inconnus du quidam de base.
En fait pour en b?n?ficier, il fallait d?j? ?tre plein aux as.
Evidemment, les tarifs pratiqu?s ?taient exorbitants mais c'?tait le
prix ? payer pour la s?curit?, la rentabilit? et la l?galit?.
Tout ?a pour dire que malgr? des heures pass?es ? essayer de comprendre
la nature exacte des activit?s de Franck je n'avais pas retenu grand
choses hormis qu'il ?tait question de gros sous, d'avocats et de fonds
de pension.
Mon homme s'occupait du bureau parisien. Une activit? somme toute assez
reposante et r?mun?ratrice qui ne lui prenait finalement pas un temps
fou. Il fallait juste qu'il re?oive quelques gens fortun?s de temps ?
autre et s'occupe de faire fructifier leur capital. Deux assistants, un
juriste et une secr?taire sous ses ordres assuraient un titre ronflant
sur sa carte visite.
Dans cet univers financier, et dirig? par quelques vieux retrait?s
am?ricains soucieux d'une certaine moralit?, tant qu'elle ?tait
rentable, les apparences jouaient beaucoup. La r?union de Rome
concernait tous les directeurs r?gionaux et responsables de bureaux du
monde entier. S'il ?tait question de travailler autour de nouvelles
prestations, l'important ?tait surtout de montrer la puissance de la
firme : un super h?tel, des badges impeccables et des sourires de
convenance pour d?montrer au monde entier qu'il ne s'agissait que d'une
grande famille.
Il ?tait ainsi important de para?tre plut?t qu'?tre. D?montrer ? son
confr?re anglais que ses costumes ?taient mieux taill?s, ? son
homologue allemand que ses enfants allaient dans une meilleure ?cole, ?
son patron que sa femme ?tait la plus belle.
Mais que fallait-il faire quand on ?tait avec quelqu'un du m?me sexe ?
Franck pouvait difficilement se pr?senter seul. Cela ferait tache. Bien
sur il aurait pu utiliser l'assistance d'Elodie, elle en aurait
s?rement ?t? enchant?e. Mais il me fit comprendre qu'il voulait y aller
avec moi et personne d'autre.
Je ne voyais pas trop comment faire, ce qui me d?solait tant pour mon
amour que pour ma propre envie de visiter Rome. En fait, il existait
bien une solution, mais elle me semblait impossible et irr?alisable. Il
aurait fallu que je ressemble ? une fille.
? Tu sais que ce n'est pas une si mauvaise id?e, je suis sur que, bien
arrang?, tu pourrais tout ? fait te faire passer pour une fille ?.
? Tu plaisantes ? Je serais ridicule. Tout le monde se moquerait de
moi, je ne serais jamais assez cr?dible. Et puis franchement, j'ai
vraiment pas envie de me fringuer en nana! ?
? Tu portes d?j? des culottes. ?
? Oui, mais l? c'est compl?tement autre chose. J'aurais trop honte. ?
? Tu aurais juste besoin de donner le change ? l'arriv?e ? l'h?tel,
apr?s tu pourrais faire ce que tu veux dans Rome et revenir en
gar?on. ?
? C'est n'importe quoi. Ca marchera jamais ?
? Comme tu veux. Tu as peut-?tre raison, tant pis. ?
Je sentais bien la d?ception de Franck. Mais ce qu'il me demandait
?tait au dessus de mes forces. J'avais d?j? du mal ? accepter d'?tre
devenu une vraie femelle avec un mec, de porter des strings ind?cents
et m?me de me faire poser un piercing. L? c'?tait au-del? de ce que je
pouvais faire pour lui.
Le week-end qui suivit fut assez glauque. M?me s'il s'en d?fendait, je
sentais bien que Franck me faisait la t?te. J'avais beau me d?mener
pour lui ?tre agr?able, je savais qu'il me reprochait de ne pas avoir
accept? son invitation.
Un peu g?n? par cette bouderie, et ne sachant plus trop comment
arranger les choses, je rendis visite ? Elodie pour prendre quelques
conseils.
Je lui expliquais mon probl?me et le pourquoi de mon refus.
? Tu as eu tort. Je suis s?re que ?a aurait march?. ?
? Mais non c'est impossible. Et puis j'ai pas envie de m'habiller en
nana! Non mais tu me vois en robe en train de jouer les poup?es ?
N'importe quoi ?.
? A vrai dire oui je te vois bien. Mais tu n'as pas besoin de mettre
une robe pour te faire passer pour une fille. Tu caricatures la!. Si
tu regardais un peu plus les filles au lieu de n'avoir d'yeux que pour
Franck tu saurais qu'elles ne sont pas si diff?rentes de toi dans leur
habillement et dans leur apparence ?.
? Merci mais je connais la diff?rence. ?
? Pas tant que ?a. Je suis sure que je pourrais te le prouver. ?
? Je crois pas. ?
? On parie ? ?
? Comment ?a ? ?
? Sans te passer de robe ou t'habiller comme une p?tasse, je suis
convaincue que je peux te transformer en une fille cr?dible. On descend
prendre un caf? en bas. Si personne ne s'est moqu? de toi, j'ai gagn?,
dans le cas contraire c'est toi ?.
? Et quelle est la mise ? ?
? Si je gagne, tu pars ? Rome avec Franck. Si je perds je passe l'?t? ?
pr?tendre que je suis ta copine en vacances avec tes parents ?.
? M?.j'esp?re que tu aimes la Corr?ze, parce que c'est couru
d'avance ?.
? C'est ce qu'on verra, viens je vais m'occuper de toi ?.
Elodie me fit me d?shabiller, ce qui fut assez cocasse ?tant donn? la
nature de mes sous v?tements.
? Je vois que tu t'es mis aux strings, tu as raison, cela te va
vraiment bien. On a de la chance tu fais un peu pr?s ma taille, t'es
juste un poil plus grand. Commence par enfiler ?a ?
Elle me tendit un soutien gorge ? balconnets de couleur rose. Je me
rendis compte ? ce moment l? que c'?tait plus facile ? d?faire qu'?
mettre sur soi. Heureusement, elle m'indiqua comment proc?der.
Elle me demanda ensuite de placer mon sexe de telle fa?on qu'aucune
bosse n'apparaisse sur mon cot? face.
? Tu sais, tu as vraiment du potentiel. Il faudrait juste qu'on te
fasse un peu de poitrine. Attends moi l?, j'ai une id?e ?.
Elle revint quelques minutes plus tard avec deux petits sacs. On aurait
dit des bas remplis de riz ou bien de semoule.
? Cela devrait faire l'affaire ?.
Effectivement, une fois plac? dans mon soutien-gorge, on aurait dit que
j'avais une sacr?e poitrine. Un bon bonnet C, ce qui finalement
correspondait ? la taille des seins d'Elodie.
J'eus ensuite ? enfiler une paire de bas auto opaques. Elodie n'avait
pas de collants, il faudrait donc que je m'en contente.
Vint ensuite un jean tout simple mais ? la coupe r?solument f?minine et
un d?bardeur blanc.
? On a de la chance tu n'es pas tr?s poilu, surtout sur le torse ?.
Le plus difficile fut de me glisser dans une paire de bottes. Elle
n'avaient qu'un petit centim?tre de talons mais leur bout en pointe
comprimait suffisamment mon pied pour le rendre douloureux.
? Fais pas ta chochotte. C'est ?a ou des escarpins. Je ne crois pas
que tu sois pr?t ? marcher avec des talons! ?
Je dois bien reconna?tre que malgr? le grotesque de la situation et la
pression exerc?e sur mes pauvres pieds, je ne me sentais pas aussi mal
? l'aise que je m'y attendais.
? Bon maintenant passons au visage ?.
Elle me maquilla l?g?rement. Un peu de fond de teint, du mascara, un
rouge ? l?vres tr?s discret.
La touche finale consista ? m'onduler les cheveux ? l'aide d'un fer
pr?vu ? cet effet.
Je pus enfin admirer le r?sultat dans une glace. C'?tait stup?fiant!
Je voyais vraiment une fille dans le miroir. Mis ? part mes cheveux mi-
longs, je me trouvais m?me des airs de ressemblances avec Emmanuelle
B?art.
? Tu vois je te l'avais dit, bon on va le boire ce caf? ? ?
Elodie paracheva son ?uvre en me pr?tant une petite veste en cuir et un
sac besace.
Je pris une grande bouff?e d'air et franchis la porte de son
appartement. Le sort en ?tait jet?.
A suivre...
Bree
- 25.03.2020
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