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Omar ? Le premier jour de croisi?re

Cruise Ship ? Day 1

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire? se suffit en elle-m?me,

Cependant elle est aussi la suite logique de :

Omar - Viols lors de la croisi?re inaugurale (Cruise ship captives)

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Omar Shoron ne pouvait d?sirer meilleur poste que le sien, il ?tait ma?tre d'?quipage sur le navire de croisi?re "Isle of Pleasure".

Il avait fait son chemin sur ce bateau, il occupait d?sormais la meilleure place pour assouvir son bon plaisir ..... Celui de poss?der de ravissantes jeunes femmes ... Et plus pr?cis?ment de ravissantes jeunes femmes blanches !..... Des femmes blanches mari?es de pr?f?rence !....."

L'id?e de poss?der ces femmes qui appartenaient ? des petits cons arrogants de blancs s'av?rait le summum du plaisir pour Omar.

Il n'?tait pas question de s?duire ou de charmer ces somptueuses salopes qui retenaient son attention, ce n'?tait pas le style d'Omar, ce qu'il aimait le plus, c'?tait de les baiser alors qu'elles ?taient effray?es et qu'elles se d?battaient en le suppliant d'?pargner leur vertu.

Il avait eu l'id?e du "moment d'Omar" comme il aimait l'appeler en regardant une s?rie am?ricaine portant sur les crimes sexuels o? les victimes ?taient souvent des jeunes femmes insouciantes d?soeuvr?es, il adorait agresser ces somptueuses proies alors qu'elles rejoignaient seules leurs cabines.

Il empoignait ces jeunes femme insoucieuses et les entra?nait dans des cabines inoccup?es, les douces jeunes ?pouses se trouvaient alors enti?rement ? sa merci, il se r?jouissait alors d'entendre leurs supplications, leurs cris et leurs pleurs alors qu'elles l'imploraient :

-         "S'il vous plait ..... Je vous en prie, non ?.. Nonnnn ... Ne me violez pas ....."

Comme les cabines ?taient insonoris?es, Omar pouvait les laisser crier mis?ricorde tout leur saoul, puis les laisser pousser des plaintes, des cris de douleur alors qu'il les violait sauvagement, fourrant sa grosse bite ?paisse dans leurs petites chattes ?troites et s?ches.

Les cris, les pleurs et les plaintes de ses malheureuses victimes terrifi?es en comprenant leur triste sort sonnaient comme une douce musique dans sa t?te ... Cela l'encourageait ? les violer, ? d?vaster encore plus leur corps !

Et dans les t?n?bres des cabines il aurait aim? qu'elles se d?fendent encore plus, lorsqu'il leur annon?ait ? ces salopes de blanches qu'elles allaient servir de casse-cro?tes ? un africain bon teint.

Se faire violer par un inconnu ?tait une chose, mais pour ces victimes blanches, savoir que leur agresseur ?tait noir rendait la chose encore plus insoutenable, les amenant ? r?sister de toutes leurs forces pour ?chapper ? cet inf?me destin.

Il tenait fermement leurs mains jointes au dessus de leurs t?tes tant qu'elles se d?battaient, Omar prenait un ?norme plaisir ? labourer leurs ?troites fentes de son ?norme braquemart.

Et encore plus tard lorsqu'il les accablait en leur annon?ant son intention de gicler au fin fond de leur ut?rus, elles se d?battaient ? nouveau, cherchant ? le d?sar?onner pour ?chapper ? cette ignoble conclusion.

Omar atteignait l'extase alors qu'elles jetaient leurs derni?res forces dan la bataille, et que ses burnes se contractaient et expulsaient de longs jets de foutre br?lant dans leurs ut?rus fertiles.

Les ravissantes jeunes viol?es ?taient totalement d?faites ? cet instant, leur combat ?tait termin?, elles ?taient maintenant ruin?es, d?vast?es alors qu'elles sanglotaient folles de honte et d'humiliation.

Des informations r?centes concernant les crimes sur des navires de croisi?res, et plus particuli?rement sur l'un deux incluant la disparition d'un passager alors que des taches de sang avaient ?t? relev?es pr?s de?? sa cabine r?v?laient que les investigations qui s'ensuivaient ?taient minables, peu efficaces.

De ce fait, les individus concern?s avaient pris conscience que les crimes commis en haute mer ne relevaient en fait de la juridiction d'aucun pays.

C'?tait l'id?al pour Omar : au vu du pourcentage extr?mement bas de femmes se plaignant d'avoir ?t? viol?es au cours de croisi?res, il ?tait ?vident que la plupart des victimes, voire m?me la totalit?, ne rapportait pas leurs viols aux autorit?s.

Et m?me si le violeur ?tait pris, le bateau de croisi?re ne pourrait que d?barquer l'agresseur dans le port le plus proche en lui disant de tailler la route sans faire de publicit? nuisible au renom de la compagnie.

Comme les lignes de croisi?re s'effor?aient de contenter leurs passagers, et en particulier les c?l?brit?s, les clients, et en particulier ceux qui prenaient leurs billets sur internet ?taient tenus de r?v?ler les raisons de leurs voyages.

Et comme Omar avait la charge de l'?quipage, il pouvait se procurer facilement toutes ces infos qui ?taient transmises au service du personnel charg? de veiller au bien-?tre des voyageurs.

Certains de ces h?tes, dont ils s'attachaient ? satisfaire le moindre d?sir ?taient l? dans des circonstances m?morables, Omar se chargeait en particulier de leur bien-?tre.

Pour cette semaine de croisi?re aller retour ? Mexico, environ1.800 passagers s'?taient inscrits, Omar avait not? deux douzaines de couples qui ?taient l? pour f?ter quelque chose, qui r?clamaient donc une attention sp?ciale.

Il avait v?rifi? que le personnel ?tait bien en place, de ce fait, il pouvait surveiller l'embarquement des voyageurs.

Dans son agenda, Omar inscrivait le nom? et le num?ro des cabines des couples qui retenaient son attention.

En les voyant pr?sent? au capitaine, Omar d?cidait de les maintenir sur sa liste, ou de les rayer.

Une fois qu'il avait observ? les couples dont il avait not? le nom, c'?tait juste son instinct qui emportait sa d?cision.

Il jeta un oeil sur la composition de la table d'honneur o? seraient accueillis les couples ? choyer, ceux qui avaient indiqu?s qu'ils ?taient en voyage de noce ou qu'ils f?taient l'anniversaire de leurs ?pousailles.

Se pourl?chant les babines, il observait quelques ravissantes jeunes femmes ... De somptueuses jeunes beaut?s qui f?taient leurs noces ou son anniversaire ....... Omar devait alors d?cider, avec sa queue s'il les gardait sur sa liste ou s'il les en rayait.

Omar voulait ramener sa liste ? une petite douzaine de couples, il devait donc en ?liminer la moiti?, il gardait celles le plus ? son go?t, rayant celles qui ne correspondait pas ? ses propres standards.

De cette douzaine d'?lues, seule la chance et les opportunit?s d?cideraient du nombre de celles qu'il se ferait.

L'insouciance, l'impression de s?journer dans un paradis faisait chuter l'attention de? ses proies qui ne se tenaient plus sur leurs gardes et commettait alors l'erreur qui les pr?cipitait dans les bras d'Omar leur s?jour paradisiaque se transformait alors en ticket pour l'enfer.

La jeune et belle madame Lori Walker ?g?e de 25 ans ?tait tr?s ?l?gante dans sa longue robe noir orn?e d'un galon rose autour de la taille, la bite d'Omar avait tressaut? d'impatience ? sa vue.

Elle faisait cette croisi?re avec son mari pour f?ter leur premi?re ann?e de mariage, il avait gratifi? son nom de 5 ?toiles dans son agenda.

Elle ?tait si heureuse, si relax?e d'effectuer cette croisi?re loin du bruit et des nuisances de "Wall Street", elle se croyait totalement en s?curit?? ? bord de ce navire o? tout semblait clair et net.

Elle se promenait parmi une foule de joggers et de promeneurs qui allaient et venaient sur le pont, elle avait planifi? elle m?me leur croisi?re.

Cette premi?re matin?e, apr?s s'?tre adapt?e aux lentes oscillations du bateau et avoir pass? une bonne nuit Lori s'?tait lev?e t?t pour faire ses exercices parcourant environ deux kilom?tres sur le pont.

Le temps ?tant assez frais, elle avait enfil? son sweat-shirt et les ?couteurs sur les oreilles elle avait ?cout? de la musique tout au long de on jogging.

D?s qu'elle avait mis le pied sur le pont ext?rieur, elle avait attir? l'attention d'Omar alors qu'il surveillait la foule de son poste de commandement.

Elle devait peser une petite soixantaine de kilos pour 1,70 m, la proie id?ale pour un futur agresseur ne pesant pas moins de 120 kgs qui saurait ais?ment la ma?triser.

La bite vibrante d'envie Omar avait d?cid? de consommer cette premi?re proie d?s le premier jour de la travers?e.

Regardant la ravissante jeune femme v?tue d'un surv?tement blanc, il grommela :

-         "Bordel, elle semble bonne en tout ...... Et je parie qu'elle est encore meilleure dans certaines disciplines !... hey, hey, hey ...."

S'emparant de son agenda, Omar nota qu'elle ?tait au niveau bleu, dans une cabine ext?rieure situ?e ? b?bord ? l'arri?re du navire.

Il chercha alors le document de gestion du pont bleu, v?rifia la liste des cabines occup?es en esp?rant qu'une des? cabines int?rieures serait libre.

Il se demandait combien de temps elle s'accordait pour ses exercices matinaux, Omar appela un de ses assistants pour se faire remplacer arguant de v?rifications ? effectuer sur le pont inf?rieur, il le pr?vint qu'il en aurait pour un bon moment.

Arm? de son passe partout qui lui permettait de p?n?trer dans toutes les cabines du navire, Omar se dirigea lentement vers le pont situ? juste au dessus de celui o? la ravissante blonde se livrait ? ses exercices.

Il se trouva une place d'o? il pouvait confortablement ?pier la somptueuse jeune femme, il chercha alors une bonne raison pour envoyer ailleurs le marin de service qui parcourait le pont en tous sens ? la disposition des voyageurs.

Il se trouvait du cot? du pont o? la jeune ?pouse ?tait apparue pour se livrer ? sa promenade sportive, Omar croisait les doigts esp?rant qu'elle reviendrait par ici lorsqu'elle en aurait termin? avec son jogging et qu'elle ne partirait pas par l'autre cot? couvert d'une pergola.

Juste au moment o? cette pens?e lui traversa l'esprit, l'insouciante beaut? revint vers lui et soufflant avec force elle consulta la montre ? son poignet.

Elle ralentit alors son rythme, s'arr?ta et s'assit sur un transatlantique en bois pour se reposer un instant sous la caresse du soleil levant.

Descendu sur le pont inf?rieur, il vit que la jeune femme avait tendu les bras au dessus du fauteuil, derri?re sa t?te. Sa bite fr?mit dans son pantalon ? la vue du diamant ?tincelant ? son index

-         "Tu seras bient?t ? moi !.... " se promit-il puis il bouscula le marin de service dans sa? h?te de descendre? au niveau bleu.

Rencontrant Raheed un des hommes d'?quipage charg? de ce pont qui amenait de nouvelles serviettes dans une cabine, Omar l'envoya aider Musad, un jeune effectuant sa premi?re croisi?re, en retour, Musad le seconderait ensuite pour g?rer le pont bleu.

A peine Raheed disparu, Omar entendit s'ouvrir le loquet de la porte utilis?e par les passagers.

Il se cacha prestement dans la cabine inoccup?e situ?e juste en face de celle occup?e par monsieur et madame Walker, il tenait la porte entrouverte pour surveiller ais?ment l'insouciante jeune beaut?.

Un peu essouffl?e au retour de son jogging, Lori avait quitt? son transat pour gagner sa cabine, baissant la fermeture ?claire la banane qui lui ceignait la taille.

Bien que son mari lui ait conseill?, la nuit derni?re, de d?jeuner sans lui car il avait programm? de dormir jusqu'? midi, Lori voulait le r?veiller pour qu'il prenne son petit d?jeuner avec elle.

Et, m?me si elle n'y parvenait pas, elle voulait se rafra?chir un peu et enfiler une tenue plus appropri?e pour d?jeuner en compagnie d'autres passagers.

Cette croisi?re pour c?l?brer leur premier anniversaire de mariage concluait une ann?e pleine de f?licit?s pour Lori et son mari.

Et maintenant, elle br?lait d'envie de recevoir le cadeau d'anniversaire que lui avait promis son ?poux ...... Ils voulaient fonder une famille.

Elle avait momentan?ment arr?t? de prendre la pilule comme sur les conseils avis?s de son m?decin, elle se trouvait maintenant en pleine p?riode de fertilit?, pr?te ? ?tre f?cond?e par son mari.

-         "Hummmmm, si je ne parviens pas ? le faire lever ..... Peut ?tre qu'on pourrais-je le d?cider ? me faire l'amour avant d'aller d?jeuner !......" se sourit-elle ? elle m?me, ressentant des fourmillements entre les cuisses ? cette id?e et ce aujourd'hui m?me le 14, le jour anniversaire de leur mariage.

-         "Ce serait dr?lement appropri? .... De faire l'amour ..... De me faire engrosser juste le jour de notre premier anniversaire de mariage !..... Ce serait le cadeau que je pr?f?rerai recevoir ....."

-         "Je sais comment je vais m'y prendre !...... Oh oui ..... C'est ?a ..... Je vais me glisser dans la cabine, prendre une bonne douche chaude, puis j'enfilerai ma chemise de nuit rose qui excite toujours John ... je vais le s?duire ..... Et je suppose que nous n'aurons qu'? penser ? ce qui se passera ensuite ..."

Lori gloussait en son fort int?rieur sachant tr?s bien ce qui se passerait d?s qu'elle se glisserait sous la couette.

T?tonnant dans sa banane, Lori cherchait la cl? de sa cabine lorsque soudain une main ferme fut press?e contre sa bouche tandis qu'on l'entra?nait en arri?re dans la cabine faisant face ? la leur.

-         "Aieeeeeeeeeee ..... A l'aideeeeeeeeee ..... Aieeeeeeeeeeee .... Arr?tez ...... Arr?tzzzzzzzzzzzzz .... Nonnnnnnnnnnn .... Au secourssssssss ..... Arr?tezzzzzzzzzzz !....." aurait-elle aim? hurler si la main la? b?illonnant fermement ne l'en avait emp?ch?e.

Envelopp? par les t?n?bres de l'int?rieur de la cabine, Lori recula alors que l'homme enlevait la main la b?illonnant une fois la porte de la cabine verrouill?e.

Elle hurlait alors que les grosses mains s'attaquaient ? ses v?tements la d?pouillant de son pantalon de jogging et de sa petite culotte.

Comme elle cherchait ? d?cocher des coups de pied ? son agresseur, il les lui empoigna lui arrachant des pieds tennis et socquettes.

Ses cris qui r?sonnaient dans la cabine ne formaient qu'une douce musique aux oreilles d'Omar qui ma?trisait? bien la ravissante jeune femme paniqu?e, lui tenant les mains au dessus de la t?te.

Il r?unit ses deux poignets dans une seule de ses grosses mains, lib?rant l'autre qu'il put glisser dans son dos.

Il ?tait ravi de la sentir trembler sous ses caresses alors qu'elle se d?battait cherchant ? le repousser.

Il empoigna son soutien-gorge, d?grafa le clip au creux de ses omoplates et tira, lui arrachant son soutien-gorge d?chir?.

-         " Oh mon Dieu ..... Mon Dieu ..... Mon Dieu ...... " balbutiait-elle sourdement alors qu'il lui palpait le nibard gauche, puis le droit.

-         "Nonnnnnnnnnn ... Nonnnnnnnnnnnnnnnnnn ...." sanglotait-elle alors qu'il la d?pouillait? de sa veste de gym, il pouvait maintenant lui mignoter les deux mamelons, les prenant voluptueusement en bouche.

Elle pantelait alors qu'il manipulait lascivement les deux jumeaux, le su?ant tout ? tour.

-         "Owwwwwwwwwww ...... Ow ..... Arr?tez ....... Ne faites pas ?a ......" l'implorait-elle alors qu'il mordillait la chair tendre de ses t?tins dard?s.

Il se guida lui m?me entre ses cuisses tremblantes, faisant bien attention de ne pas se prendre un coup de genoux dans les joyeuses, Omar se disposa correctement, frottant son ?pais bourgeon sur la face interne de ses cuisses pour lui faire ?valuer la taille de la bite qui allait bient?t s'enfouir au plus profond de son sexe.

Ses t?tons raidissaient entre ses l?vres sous ses caresses in d?sir?es, Omar sut alors que la jeune beaut? ?tait s'obligeait ? refr?ner ses envies de r?pondre ? ses assauts.

Et maintenant, alors qu'il s'engouffrait jusqu'au col de son ut?rus, elle se d?battait de plus belle cherchant ? s'?pargner un sort que bien des femmes consid?rent comme pire que la mort.

Elev?e dans la chaude atmosph?re d'une famille de la haute bourgeoisie conservative, allant ? l'?glise chaque semaine, Laurie ne pouvait m?me pas concevoir qu'une chose aussi d?gradante, aussi inf?me, puisse lui arriver.

En fait, elle avait d?j? lu dans les journaux et vu des reportages ? la t?l? relatant des arrestations de violeurs noirs identifi?s par leurs victimes, comme ce violeur en s?rie qui avait terrifi? une des petites villes c?ti?res proche de l'endroit o? elle demeurait,? Laurie avait fr?mi en voyant des photos de cet ignoble individu, elle avait pens? au fond d'elle m?me :

-         "Mon Dieu .... J'aurai pr?f?r? mourir que de sentir ses mains se poser sur moi !..."

Et maintenant alors qu'elle essayait d?sesp?r?ment d'?chapper ? cet assaillant surpuissant, allong?e sur le lit, Laurie se tordait sous l'homme qui lui clouait les mains au dessus de la t?te.

Elle sentait la dure colonne de chair vibrer entre ses cuisses, se braquant sur sa petite chatte affol?e, Laurie ?tait affol?e en sentant quelque chose de la taille du bras d'un enfant se positionner ? l'entr?e de sa f?minit?, ce n'?tait s?rement pas le bras d'un b?b? !....

-         "Mon Dieu .... Mon Dieu ..... Personne ... personne ne peut avoir .... Ne peut avoir un membre aussi d?mesur? ...... " frissonnait-elle totalement paniqu?e.

-         "S'il vous plait ..... Je vous en prie ...... Je vous en prie, ne me violez pas ...... S'il vous plait ..... Votre ..... Votre p?nis? ..... Est trop gros ...... beaucoup trop groooooooooos ...... Il ne rentrera jamais ....... Je vous en prieeeeeeeeeee ....... " se lamentait Laurie, suppliant son assaillant de ne pas la violer de sa monstrueuse mentule qui frappait ? l' instant m?me ? l'entr?e de sa f?minit?.

-         "Owwwwwwwwww ...... Nonnnnnnnnnnnnnn !...." glapit-elle alors que l'?paisse bite s'engouffrait d'une seule et violente pouss?e jusqu'au col de son ut?rus, il se mit ensuite ? la labourer sauvagement.

-        

?Omar se d?lectait de son nouveau jouet sexuel, il adorait la douce peau soyeuse de cette blonde beaut? dont il savourait les charmes, d'autant plus qu'il savait que son mari ?tait endormi dans une cabine ? moins de 10 m?tres d'eux.

Il aimait tout chez elle, sa fa?on de crier, sa fa?on de se d?battre, la fa?on dont elle avait lutt?, ses sanglots, mais le meilleur restait ? venir.

-         "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee .......

Cette douce musique retentit ? nouveau dans ses oreilles alors qu'il s'engouffrait avec succ?s dans son fourreau ?troit, s'enfouissant du premier coup au fond de son ut?rus si resserr?.

Une bite bien plus grosse que celle de son mari s'enfon?ait brutalement dans sa chatte ?triqu?e, la distendant aux limites de la rupture.

Il se retira lentement et d'un violent coup de boutoir s'enfon?a encore plus profond?ment dans son ut?rus meurtri, visitant des zones jusqu'ici inexplor?es, elle comprit alors qu'elle n'oublierait la taille d?mesur?e de cette bite qui forait son trou en elle.

-         "Arr?tez .... Arr?tez ..... S'il vous plait .... Arr?tez je vous en prie ..... J'ai, mal ..... Si maaaaaaaaaal ....." hurlait elle t?tanis?e de douleur.

Elle comparait ce qu'elle subissait ? ce qui se passait normalement entre amants ordinaires, d'apr?s ce qu'elle avait v?cu jusqu'ici,? n'ayant connu que le p?nis de son mari qui s'av?rait au moins deux moins ?pais et moins large que celle de cet ignoble individu.

Omar railleur ironisait :

-         "Alors ma gentille petite beaut? am?ricaine ... A la peau si douce, si soyeuse ..... A la chatte si ?troite .... Appr?cies- tu la bite de l'africain !....."

Comme il s'y attendait, elle s'?tait d?battue deux fois plus vigoureusement ? cette information, elle savait maintenant que son violeur ?tait noir, ce pourquoi il se fondait si bien dans l'obscurit? les environnant.

Dans les t?n?bres, Omar sourit il adorait voir sa victime redoubler d'efforts pour se lib?rer.

De ce fait,il s'enfouissait de plus en plus profond?ment dans sa ravissante proie ... La bourrant jusqu'? la garde alors qu'elle laissait ?chapper de d?chirants cris de d?tresse.

Soudain sa r?sistance s'amollit, Omar savait que le combat ?tait termin?, la somptueuse pute ?tait d?finitivement mat?e. Il rel?cha ses poignets et lui saisissant les hanches il commen?a ? coulisser lascivement en elle.

Ravag?e par la douleur, Laurie savait qu'elle ne serait plus jamais la m?me, que l'innocente jeune femme que tant de monde admirait ?tait morte en elle.

La bite tressautant de plaisir de poss?der cette splendide pouliche r?tive, Omar sentait ses couilles s'emplir d'un jus ?pais qu'il ne tarderait pas ? lui injecter au plus profonde de son intimit?.

Que pouvait-il esp?rer de mieux que de la rendre m?re de petits b?tards noirs ? ?... Elle ?tait belle la vie !........ pensa-t-il goguenard.

Il la martelait maintenant ? la vitesse tel un marteau piqueur, il s'ensevelit dans son fourreau et grogna :

-         "Ahhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh ....." jet apr?s jet, il remplissait ? ras bord la chatte asservie de la jeune femme effondr?e.

C'est dans un clapotis r?v?lateur qu'il termina de la baiser, le surplus de foutre s'?coulait? en larges filets du point d'union de leurs deux corps.

Vaincue, d?faite, elle soupirait mis?rablement, son corps tremblait de fa?on irr?pressible alors que l'acide semence de son violeur commen?ait ? caut?riser les plaies de son vagin meurtri.

Tremblante comme une feuille, elle l'implorait :

-         "S'il vous plait .... Tuez loi ..... Tuez moi ..... Je ne veux plus vivre apr?s ?a !....

D'autant plus qu'elle venait de constater effondr?e :

-         "Mon Dieu, il n'a pas mis pas de pr?servatif..... Je devais me faire engrosser au cours de cette croisi?re ..... Mais ..... Mais pas par un noir.... Pas comme ?a !....."

Laurie souhaitait vraiment mourir ? cet instant.

C'est alors qu'il lui empoigna brutalement la nuque, lui tirant la t?te en avant.

Dans le noir, ses l?vres un ?pais gland buta contre ses l?vres ferm?es, alors qu'il insistait la pressant contre son pubis, Laurie r?alisa avec horreur quel acte d?gradant il attendait d'elle.

C'?tait une chose si d?go?tante, si avilissante qu'elle elle avait m?me refus? de se livrer avec son mari, et voila qu'elle frissonnait de tout son corps alors que cet homme qui venait de la violer si vicieusement pr?sentait sa bite ? l'or?e de ses l?vres.

L'estomac secou? de naus?es, tremblante de tous ses membres, elle se sentait mal alors que l'?paisse colonne glissait entre ses l?vres entrouvertes.

Contrainte d'ouvrir la bouche, Laurie eut grand peur de vomir au go?t r?voltant de la grosse colonne de chair qui s'immis?ait entre ses l?vres.

C'?tait si avilissant, elle devait replier sa langue pour faire place ? l'encombrant visiteur, Laurie soupira r?sign?e ? se conformer ? se exigences.

Frissonnante de d?go?t, elle se for?a ? ob?ir ..... Allant m?me jusqu'? titiller de la pointe de la langue son m?at dilat?.

Bais?e en bouche, avalant sa salive ? chaque fois que l'?pais bourgeon explorait son arri?re gorge, Laurie empoigna sa bite au niveau des burnes.

Ce afin d'?viter que ce b?tard ne lui enfonce toute la longueur de sa mentule dans la gorge, au risque de l'?touffer.

Elle aurait voulu mourir apr?s avoir subi cet ignoble? viol et ces actes d?gradants, mais s?rement pas ?touff?e par l'?norme bite noire de son agresseur.

Rel?chant sa bite, Omar t?tonnait dans le noir, ? la recherche de son appareil photo digital qu'il avait dispos? pr?t ? l'emploi, sur une des ?tag?res.

La cam?ra en main, il la tint en l'air et d?clencha le premier flash, un ?clair aveuglant captura l'image de la somptueuse beaut? ? genoux su?ant sa bite qu'elle ?treignait de la main flattant ses burnes.

Pr?t ? ?jaculer de nouveau, il reposa la camera sur l'?tag?re toute proche.

Il crispa sa main sur sa nuque pour pr?venir tout retrait, Omar gloussa lui remplissant la bouche pour se finir en crachant ses derni?res gicl?es sur son visage ?gar?.

-         "Argggggggggggg .... Arggggghhhhhhhhhhh .... " mugit-il lorque la premi?re gicl?e de semence chaude lui embourba la gorge

La bite sortie de sa bouche il la prit ? pleine main et la braqua sur son visage pour lui octroyer un masque facial.

Un nouvel ?clair, cette fois l'image la repr?senterait visage d?goulinant de foutre la grosse bite responsable de ces projections inf?mes bien visible en arri?re plan.

Assise sur le sol de la cabine, le dos appuy? contre le lit Laurie fr?missait de honte.

Soudain un flot de lumi?re, provenant de la porte,? envahit la cabine, clignotant des yeux pour ajuster sa vue, tout ce que vit Laurie de son agresseur noir, c'est une vague silhouette qui quittait la cabine avant de claquer la porte dans son dos, plongeant ?? nouveau la cabine dans l'obscurit? la plus totale.

Il se passa un bon quart d'heure avant que Laurie ne retrouve suffisamment de force pour r?agir, elle se mit alors ? la recherche du commutateur.

La lumi?re allum?e, Laurie vit la porte coulissante qui menait ? la salle de bain. S'appuyant au mur, elle entra dans la salle de bain, c'est alors qu'elle entendit :

-         "Splat ..... Splat ..... Splat ...."

Regardant au sol, elle comprit avec horreur qu'il s'agissait de gouttes de sperme s'?chappant de sa chatte pour tomber au sol.

Sa chatte qui ?tait si ?troite auparavant n'?tait plus qu'un vaste trou b?ant tant l'?norme bite de son violeur l'avait distendue, et son foutre, quasiment ? l'air libre, gouttait litt?ralement au sol.

Elle avala sa salive ? la vue de son reflet dans le miroir, elle rougit de honte en constatant que son visage ?tait couvert d'un entrelacs d'?pais filets de foutre.

Elle se saisit du savon, et se frotta ?nergiquement, mais elle savait qu'elle ne faisait qu'effacer les traces superficielles, il ?tait n?cessaire qu'elle prenne rapidement une douche vaginale pour tenter d'?liminer le foutre qui tapissait son ut?rus fertile, cette menace ?tait bien plus dangereuse.

Elle se saisit d'un serviette et se frotta ?nergiquement avant de sortir de la salle de bain.

Elle devait maintenant retourner dans sa cabine, elle se mit ? la recherche de ses v?tements.

Elle avait oubli? que des gouttes de foutre qui s'?taient ?chapp?es de sa chatte chacun de ses pas, elle glissa sur une flaque de foutre et s'?tala de tout son long ?dans une mare de sperme couvrant le sol.

Jetant un oeil sur elle, elle grin?a des dents et frissonna de d?go?t, alors qu'elle venait tout juste de d?barrasser son corps de ces gluantes souillures, elle avait maintenant les eux pieds enrob?s d'un ?pais film de semence.

Alors qu'elle fr?missait de col?re, dans un r?flexe inconscient, ses sphincters vaginaux se contract?rent expulsant une nu?e de gouttelettes de foutre de sa chatte qui vinrent lui poisser la face interne des cuisses.

Sanglotante, elle retourna dans la salle de bain pour reprendre une douche.

Ayant enfil? sa tenue de jogging sans ses sous-v?tements qu'elle n'avait pas retrouv?, elle se h?ta de quitter la cabine.

Regardant le bouton de porte de sa cabine, elle tourna le dos et remonta sur le pont, il lui fallait se rendre dans la petite boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, elle avait besoin de se procurer une douche vaginale pour se curer le vagin avant qu'il ne soit trop tard.

Elle n'en avait pas emmen? dans on d?sir de se faire engrosser au cours de cette croisi?re, mais elle voulait un enfant de son mari,? et non de celui d'un inf?me violeur noir.

De retour ? son poste sur le pont sup?rieur, Omar la suivait des yeux alors qu'elle s'approchait lentement du garde-fou yeux riv?s sur les flots bleus.

-         "Oh, oh songerait-elle ? en finir !....." r?alisa-t-il soudain.

H?lant rapidement Catherine, une des filles charg?e de l'entretien du pont sup?rieur, Omar l'avisa qu'une passag?re semblait souffrir du mal de mer, il lui conseilla d'aller la remonter.

Il poussa un gros soupir de soulagement en la voyant reprendre son chemin, apr?s avoir convers? quelques minutes avec Catherine, alors qu'elle entrait dans la coursive, Omar s'?loigna de son poste d'observation et choisit une place d'o? il pouvait regarder ce qui se passait dans la coursive, continuant ? ?pier la ravissante beaut? en pleine d?tresse.

En la voyant dispara?tre dans la boutique qui vendait des produits pharmaceutiques, il surit et supposa qu'elle venait se procurer une douche vaginale .... Dans l'espoir d'?viter une grossesse redout?e.

-         "Trop tard, ma douce !...... Omar ne tire pas des cartouches ? blanc !.....Avec la dose de sperme que j'ai d?charg? dans ton ut?rus il y une petite heure !...... Tu ferais mieux de faire des pri?res !...... Eh, eh, eh ...." gloussait-il hilare.

Son soutien-gorge et sa petite culotte entortill?e autour de sa bite la faisait palpiter ? nouveau dans son cale?on, il se marrait sachant qu'elle ?tait nue sous sa tenue de jogging.

-         "Bordel je suis sur que ses t?tons doivent lui br?ler !...." se marrait-il? pensant combien ils devaient la faire souffrir apr?s avoir ?t? suc?s, ?tir?s, maltrait?s, mordill?s de si sauvage fa?on, il voulait justement qu'elle soit meurtrie par leur frottement sur le tissu de son sweat.

Et de fait Laurie grima?ait ? chaque frottement de ses t?tons dard?s contre son sweat, elle avait longuement examin? ses nibards douloureux avant de quitter la salle de bain, affol?e par les traces de morsure qu'elle devrait dissimuler, des ondes de douleur diffusait dans tout son torse alors que ses nichons bleuissaient.

Ses sous-v?tements disparus, des filets de foutre s'?coulant de sa chatte b?ante, Laurie, apr?s s'?tre tamponn? la moule avait du bourrer un gant de toilette dans sa cramouille pour endiguer le flot de foutre tout en en absorbant une bonne part.

Elle n'aurait peut-?tre pas r?sist? ? la tentation de sauter par dessus bord si la gentille jeune femme ne l'avait pas distrait de son attirance morbide pour les flots bleus.

Prudente, Laurie s'?tait procur?e deux flacons de douche vaginale.

L'un pour un usage imm?diat d?s qu'elle serait de retour dans sa cabine, dans l'espoir d'?viter de se retrouver enceinte des oeuvres de son ignoble violeur ... S'il n'?tait pas d?j? trop tard !.....

-         "Mon Dieu ... Viol?e ..... Viol?e et d?shonor?e le jour de notre premier anniversaire de mariage !...... Et peut ?tre m?le engross?e par ce noir que je n'ai m?me pas entrevu ...." frissonna-t-elle horrifi?e.

Si elle se retrouvait enceinte des suites du viol, bien que contre l'avortement en g?n?ral, Laurie r?alisa qu'elle n'aurait pas d'autre choix dans ce cas.

Mais, si elle faisait l'amour avec son mari au cours de cette croisi?re, elle ne parviendrait pas ? savoir qui l'avait mise enceinte.

Le flacon de douche vaginal en rabe lui permettrait d'?viter ce risque, elle esp?rait bien dissuader son mari de faire l'amour, pr?textant ?tre bien trop fatigu?e par la croisi?re ou se servant de tout autre excuse inv?rifiable,... Mais au cas o?.......

Elle ne voulait surtout pas que son mari remarque ses contusions, les bleus ornant son corps et encore moins qu'il constate la b?ance de sa chatte et de son trou du cul derniers t?moignages de son viol.

De retour ? son poste d'observation, Omar surveillait le pont ext?rieur, il sourit en voyant la jeune femme retourner vers le couloir menant aux cabines du pont inf?rieur.

Alors qu'elle s'engouffrait dans le couloir, Omar pensa :

-         "J'esp?re que tu vas souhaiter? un bon anniversaire de mariage ? ton mari, de ma part !....."

Jetant un oeil sur la feuille de r?servation des Walker, il inscrivit en en-t?te Jour 1, 2 photos.

Cela l'aiderait ? se rappeler que les deux premi?res photos prises avec son appareil photo digital ?taient celles de la d?licieuse Laurie Walker.

-         "Oh oui ma ch?re madame Walker? ... Omar t'appellera dans un proche futur, lorsque son bateau fera escale pr?s de chez toi !..... Je suis bien sur que lorsque tu verras les photos de ton viol, tu feras n'importe quoi pour qu'elles ne soient pas diffus?es .... Et pour cela tu viendras me rejoindre dans ma chambre de motel pour y passer avec moi le temps de l'escale du navire !......" conjecturait-il plein d'optimisme.

-         "Oh oui ...... J'en profiterai pour te casser le cul ..... Je suis bien sur que t'es encore vierge du trou de balle !...... " se marrait-il plein d'espoir.

C'est alors qu'Omar forma le projet lucratif qui devait sceller le destin de Laurie :

-         "Hummmm J'ai une bien meilleure id?e .....Je me la faire la premi?re heure et ensuite,? je me ferai des couilles? en or !......"

L'?quipage ?tait constitu? de centaines de matelots de nationalit?s diff?rentes, la majorit? sont des m?les, Omar savait qu'ils paieraient cher pour satisfaire leur lubricit?, par exemple pour se taper une ravissante jeune am?ricaine comme l'adorable madame Walker.

Il avait pris une photo de pied en cap de la somptueuse jeune femme v?tue de sa jolie robe bleue orn?e d'un galon rose sous la poitrine, cette photo montr?e ? l'?quipage provoquerait l'inscription de nombreux clients, elle aurait du boulot pour toute la journ?e.

Si elle la jeune beaut? avait connu les intentions de ce pervers d'Omar, elle serait remont?e sur le pont pour piquer une t?te par dessus bord.

Comme les bateaux regorgeaient de matelots priv?s de jolies femmes, Omar avait programm? un plan extr?mement pervers : tout d'abord il se ferait la somptueuse chienne en la faisant chanter avec les photos, puis il la donnerait en p?ture ? l'?quipage, chacun lui payant son octroi.

Omar se rem?morant ses performances avait d?fini rapidement le temps qui serait allou? aux consommateurs

-         "20 minutes ..... Pour chaque groupe de 5 !...."

-         Quant au prix de la passe, Omar l'avait fix? ? 50 $ pour une branlette ou une ?jaculation sur ses pieds et ses jambes,? et 150 $ pour la baiser en bouche, en con ou en cul ! ?. Ce qui devrait faire 650 $ toutes les 20 minutes !

Omar calcula rapidement :

-         "21 clients ? l'heure ..... Pendant 10 heures d'affil?e ?... Mon Dieu .... Elle va souhaiter se jeter par dessus bord apr?s avoir servi de jouet ? plus de 200 consommateurs en une seule journ?e !...."

FIN

13 janvier 2007

Coulybaca

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Avec l'aimable autorisation de l'auteur Black Demon.

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