La Belle et La Bete Belle s Discovery
- 2 years ago
- 32
- 0
Soumis à Ma Belle-mère (3) free porn video
Béatrice inspecte ma féminité
Nous faisions l'amour dés que nous nous voyons dans l'intimité. A 70 ans, il y avait de la part de ma belle-mère une sorte de rage, inconnue d'elle-même, à explorer toujours plus les arcanes de nos sensualités, une soif de tendresse et de jouissance. Nous n'en revenions pas de cette révélation soudaine tant cela nous était inconcevable ainsi que pour nos proches qui ignoraient tout.
Un jour, Béatrice me demanda de m'habiller de mon mieux en femme, tandis qu'elle explorait ma vaste garde-robe. J'entendais depuis la salle de bain où je me préparais ses gloussements moqueurs à chaque objet ou vêtement féminin découvert. De temps à autre, elle venait portant un cintre jusqu'à moi, un sourire narquois aux lèvres:
"- c'est à toi cette robe de soirée ? et cette mini-jupe, elle me parait bien courte. Tu as une collection de sacs à main qui me fait envie. Et quelle collection de chaussures,.. une vraie nana. Es-tu sur que tu es un homme ? etc...".
Bref, ma belle-mère au naturel, inspectrice désagréable et commentatrice péremptoire en chef.
Corinne se montre
Enfin prête, après avoir posé mon fond de teint, mon rouge à lèvre et m'être habillée des pieds à la tête, j'osais enfin apparaître à ses yeux scrutateurs. A l'instant où elle me vit, elle porta sa main à sa bouche, saisie autant par la stupeur de découvrir un double de moi crédible que par sa moquerie à me voir transformé en femme. La connaissant, je n'attendais pas d'autre réaction qu'une stupéfaction dédaigneuse. J'avais choisi parmi mes tenues habituelles, quelque chose de sobre et féminin. J'affectionnais beaucoup le style BCBG et je me montrais portant une jupe descendant aux genoux, un chemisier blanc col Claudine et un gilet beige clair. Mes faux seins et ma perruque complétaient le tableau ainsi que des escarpins noirs à talons bas.
Lingerie pour ma Maîtresse.
Nous décidâmes de faire ensemble des achats de lingerie et quelque vêtements pour Béatrice qui ne portait que des dessous sans aucune fantaisie. Elle avait compris que sa lingerie même standard m'excitait voyant que je portais à mon nez ses culottes de coton, ou léchant devant elle l'entrejambe de ses petites culottes portées et je la complimentais de ses parfums naturels. C'était déjà un jeu de soumission: je la suppliais de me donner sa culotte quand nous nous déshabillions, et nous avions déjà décidé que je porterais le plus souvent possibles à sa suite ses culottes sales, que je cachais sous mon costume de travail.
Nous nous rendîmes dans des grands magasins et renouvelâmes sa lingerie. Ensemble, nous choisîmes toutes sortes de culottes et même des strings ce qui était radicalement nouveau pour elle, qui avait soutenue à ma propre femme, sa fille, que cela faisait pute. Quelques legging noir, jupe simili cuir, chemisiers soyeux plus tard, et nous étions dans la rue, tout excités d'aller faire les premiers essais.
Ordre d'achat par ma belle-mère
Nous fîmes l'amour dés ces achats essayés. Nous étions complètement excités par cette nouvelle étape d'aventure passionnelle. Comme elle le faisait maintenant, Béatrice se présenta à moi nue à quatre pattes sur le lit, après avoir pissé.
"- Lèche-moi, cochon, nettoie ma chatte car je vois que ça te plaît. Tu es vraiment un salaud qui abuse de sa belle-mère et tu vas me le payer".
Ces remontrances m'encouragèrent à aller plus loin. Je plaçai ma bouche sur son anus et lui passai ma langue sur sa rondelle poilue. Elle sursauta dés le 1er contact langue-anus car cela ne lui était jamais arrivé, mais elle resta dans sa position. Longuement, je lui dévorai le cul tandis qu'elle grognait de surprise et de contentement. Une fois nos désirs étanchés, elle me confia qu'elle regardait les sites de domination de soumis, ou des histoires de Xhamster sur la domination, et que ce monde nouveau lui donnait beaucoup d'idées.
"- Jean, comme je vois que tu te soumets à mon désir et à ma volonté avec plaisir, je veux que tu commandes quelques gadgets qui vont pimenter notre relation: tu achèteras un plug (elle prononçait mal ce mot nouveau), des pinces pour les seins et une cage de chasteté. Je préfère que tu choisisses toi-même les objets de ta soumission".
Elle remit ses lunettes sur son nez, me regarda et me gifla sèchement, de manière totalement inattendue, en me demandant si j'étais toujours prêt à l'adorer.
"Oui Béatrice, ma Belle-mère adorée, je suis devenu fou de Vous. Acceptez-moi comme amant soumis à tous Vos désirs les plus fous. Je Vous respecte et Vous aime totalement".
Je la pris dans mes bras et l'embrassai langoureusement.
Nous faisions l'amour dés que nous nous voyons dans l'intimité. A 70 ans, il y avait de la part de ma belle-mère une sorte de rage, inconnue d'elle-même, à explorer toujours plus les arcanes de nos sensualités, une soif de tendresse et de jouissance. Nous n'en revenions pas de cette révélation soudaine tant cela nous était inconcevable ainsi que pour nos proches qui ignoraient tout.
Un jour, Béatrice me demanda de m'habiller de mon mieux en femme, tandis qu'elle explorait ma vaste garde-robe. J'entendais depuis la salle de bain où je me préparais ses gloussements moqueurs à chaque objet ou vêtement féminin découvert. De temps à autre, elle venait portant un cintre jusqu'à moi, un sourire narquois aux lèvres:
"- c'est à toi cette robe de soirée ? et cette mini-jupe, elle me parait bien courte. Tu as une collection de sacs à main qui me fait envie. Et quelle collection de chaussures,.. une vraie nana. Es-tu sur que tu es un homme ? etc...".
Bref, ma belle-mère au naturel, inspectrice désagréable et commentatrice péremptoire en chef.
Corinne se montre
Enfin prête, après avoir posé mon fond de teint, mon rouge à lèvre et m'être habillée des pieds à la tête, j'osais enfin apparaître à ses yeux scrutateurs. A l'instant où elle me vit, elle porta sa main à sa bouche, saisie autant par la stupeur de découvrir un double de moi crédible que par sa moquerie à me voir transformé en femme. La connaissant, je n'attendais pas d'autre réaction qu'une stupéfaction dédaigneuse. J'avais choisi parmi mes tenues habituelles, quelque chose de sobre et féminin. J'affectionnais beaucoup le style BCBG et je me montrais portant une jupe descendant aux genoux, un chemisier blanc col Claudine et un gilet beige clair. Mes faux seins et ma perruque complétaient le tableau ainsi que des escarpins noirs à talons bas.
Lingerie pour ma Maîtresse.
Nous décidâmes de faire ensemble des achats de lingerie et quelque vêtements pour Béatrice qui ne portait que des dessous sans aucune fantaisie. Elle avait compris que sa lingerie même standard m'excitait voyant que je portais à mon nez ses culottes de coton, ou léchant devant elle l'entrejambe de ses petites culottes portées et je la complimentais de ses parfums naturels. C'était déjà un jeu de soumission: je la suppliais de me donner sa culotte quand nous nous déshabillions, et nous avions déjà décidé que je porterais le plus souvent possibles à sa suite ses culottes sales, que je cachais sous mon costume de travail.
Nous nous rendîmes dans des grands magasins et renouvelâmes sa lingerie. Ensemble, nous choisîmes toutes sortes de culottes et même des strings ce qui était radicalement nouveau pour elle, qui avait soutenue à ma propre femme, sa fille, que cela faisait pute. Quelques legging noir, jupe simili cuir, chemisiers soyeux plus tard, et nous étions dans la rue, tout excités d'aller faire les premiers essais.
Ordre d'achat par ma belle-mère
Nous fîmes l'amour dés ces achats essayés. Nous étions complètement excités par cette nouvelle étape d'aventure passionnelle. Comme elle le faisait maintenant, Béatrice se présenta à moi nue à quatre pattes sur le lit, après avoir pissé.
"- Lèche-moi, cochon, nettoie ma chatte car je vois que ça te plaît. Tu es vraiment un salaud qui abuse de sa belle-mère et tu vas me le payer".
Ces remontrances m'encouragèrent à aller plus loin. Je plaçai ma bouche sur son anus et lui passai ma langue sur sa rondelle poilue. Elle sursauta dés le 1er contact langue-anus car cela ne lui était jamais arrivé, mais elle resta dans sa position. Longuement, je lui dévorai le cul tandis qu'elle grognait de surprise et de contentement. Une fois nos désirs étanchés, elle me confia qu'elle regardait les sites de domination de soumis, ou des histoires de Xhamster sur la domination, et que ce monde nouveau lui donnait beaucoup d'idées.
"- Jean, comme je vois que tu te soumets à mon désir et à ma volonté avec plaisir, je veux que tu commandes quelques gadgets qui vont pimenter notre relation: tu achèteras un plug (elle prononçait mal ce mot nouveau), des pinces pour les seins et une cage de chasteté. Je préfère que tu choisisses toi-même les objets de ta soumission".
Elle remit ses lunettes sur son nez, me regarda et me gifla sèchement, de manière totalement inattendue, en me demandant si j'étais toujours prêt à l'adorer.
"Oui Béatrice, ma Belle-mère adorée, je suis devenu fou de Vous. Acceptez-moi comme amant soumis à tous Vos désirs les plus fous. Je Vous respecte et Vous aime totalement".
Je la pris dans mes bras et l'embrassai langoureusement.
Maddy
- 10.10.2022
- 240
- 0
soumission agrave Paris
- 2 years ago
- 125
- 0
Em ph i l agrave m sao acirc y khi b n em l agrave ng i ng t iacute nh
- 3 years ago
- 120
- 0
