Mon Week-end Chez Monica free porn video

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Chapitre 1 Sur la sc?ne, une brune voluptueuse faisait valser ses ?normes seins nus au son de la musique disco. Sans beaucoup de gr?ce, en fait, mais le public n'en demandait pas tant. Moi non plus, il faut l'avouer : plut?t timide en de tels endroits, j'?tais terr? dans un coin sombre de la salle, les yeux riv?s sur le spectacle de la danse scabreuse, sans oser regarder les autres clients, mais sans chercher pour autant ? cacher la formidable ?rection que provoquait en moi la danse des chairs, sur la sc?ne. Mais ce qui me fascinait le plus, chez Dame Molly, au del? de sa vulgarit? sans r?serve, presque insolente, c'?tait la formidable beaut? de ce corps. Une taille fine qui accentuait le d?coup? de ses ?normes seins et ses hanches g?n?reuses; une peau merveilleusement velout?e; des cuisses fermes qui s'enfermaient dans un bas de filet rouge ?voquant les douceurs de quelque bordel de contes pour adultes... Et un visage dont le maquillage, un peu trop prononc?, accentuait le caract?re envo?tant. Elle enleva son slip d'un geste brusque et se retrouva nue au centre de la sc?ne. Puis elle ?carta l?g?rement les jambes. Entre ses cuisses, une masse de chair encore un peu molle surgit aussit?t. Dame Molly commen?a ? frotter son propre p?nis avec volupt? et il prit des proportions ?tonnantes. La musique ?tait soudainement devenue plus langoureuse et je me sentis d?faillir ? la vue de cette femme au sexe viril. Jamais je n'ai souhait? avec autant de force go?ter ? un sexe d'homme. Jamais n'ai-je souhait? avec autant de h?te laisser glisser ma langue le long de la veine gonfl?e d'un p?nis, embrasser avec tendresse les peaux pliss?es d'un scrotum, sentir sous mon palais les pulsations d'un testicule et laisser enfin entrer l'organe avec force, avec violence, jusqu'au fond de ma gorge, pour y d?poser le liquide de l'amour. Monica a d? lire le d?sir dans les tremblements de mon corps. Elle s'est assise ? ma table. { Vous aimez cette fausse femme? } - { Oui... M... } J'?tais absolument confus. Ce n'?tait pas ma premi?re visite ? ce bar de travestis, mais c'?tait la premi?re fois qu'on m'y abordait. Et Je ne savais gu?re, ? ce moment, si j'avais affaire ? un homme ou une femme; l'incertitude me troublait. { Je m'appelle Monica, et j'aime les hommes dociles } qu'elle me dit, sans attendre vraiment de r?ponse. { Et vous? Vous aimez les travelos? } - { Oui... Et les femmes dominantes aussi. } *** ?a y est. Subjugu? par cette femme directe, j'avais avou? d?s l'abord un fantasme enferm? jusque l? au plus profond de moi. Monica n'attendit gu?re d'autre confidence. Avec assurance, elle sortit de son sac une paire de menottes, et sans m?me que j'aie pu saisir le sens de son geste, je me retrouvai les poignets li?s derri?re le dossier de ma chaise. Mon univers venait de basculer. Je sentais que rien ne serait jamais plus pareil. { Tu t'appelles comment, esclave? } - { Claude } - { T'as int?r?t ? te laisser faire, Claude ch?ri, parce que quand je suis f?ch?e, je deviens m?chante; mais si tu es docile, ta ma?tresse Monica saura ?tre g?n?reuse. } Il ?tait ?vident que j'allais ?tre docile. Devant cette femme tr?s belle, au visage plut?t doux, mais au regard de glace, je me sentais sans d?fense. Et c'est comme ?a que je l'ai laiss?e m'entra?ner, fermement mais sans rudesse, vers les toilettes pour femmes, fr?quent?es surtout, en un tel endroit, par les androgynes soucieux de parfaire le contour de leurs l?vres, de remettre un peu de poudre, de replacer une perruque glissante. L?, dans la lumi?re crue des lavabos, devant un miroir indiscret, je l'ai vu sortir de son sac un rasoir fin et sa trousse de maquillage. En quelques minutes, elle avait effac? de mon visage toute trace du m?le et elle s'affairait maintenant ? appliquer du fond de teint sur ma peau, du rouge sur mes l?vres, puis du mascara sur mes cils. Je la regardais agir, passif comme je ne l'avais jamais ?t?, envelopp? dans un tendre frisson. Elle portait des bottes de cuir noir, ? talons ?troits, juste un peu trop hauts pour ?tre confortables, mais se d?pla?ait avec aisance. Sa robe droite, toute sage, d'un rose d?licieusement romantique, aurait sugg?r? la douceur, si des ?paules un peu fortes, et quelques accessoires provocants de cuir et de m?tal ne l'avaient transform?e en tenue de combat. Ses l?vres ?taient du m?me rose, comme le tour de ses yeux. Sur son front, un bandeau rose et noir s'harmonisait avec le reste. { D?sormais, tu va t'appeler Claudia, quand tu seras avec moi }, me dit-elle en terminant son ?uvre d'art. Quand elle eut rang? ses fards, elle me fit signe de la suivre. Je traversai derri?re elle la salle encore sombre, jusque dans la rue, en silence, le visage peint et les mains menott?es dans le dos, sous les regards amus?s des passants, heureusement dispers?s ? cette heure tardive. J'ai baiss? les yeux au sol pour ne pas laisser para?tre ma honte, puis je me suis engouffr? dans l'auto de Monica. Elle d?fit l'agrafe de mon pantalon et m'ordonna avec une voix s?che de me d?v?tir compl?tement. Menott? comme j'?tais, la chose me fut difficile. Je la sentais, ? mes c?t?, go?ter avec d?lices mes mis?rables contorsions. Mais elle appr?cia surtout, lorsque mon pantalon glissa sur la moquette, de d?couvrir le slip de soie transparent, les jarretelles et les bas de nylon qui me tenaient lieu de dessous. { Oh wow ! Je pense que j'ai frapp? le gros lot. Ma fabrication de Claudia sera bien plus simple que je l'imaginais ! } Sous le masque de maquillage qu'elle m'avait compos?, je me sentis rougir. Certes, il m'arrivait souvent de rev?tir, sous mes v?tements d'homme, de tels dessous f?minins. Je crois m?me que je ne m'?tais pas achet? un seul sous-v?tement masculin depuis quatre ou cinq ans ! Mais jamais, jusqu'ici, on ne m'avait vu ainsi. J'?tais humili?? et ravi pourtant que mon secret le plus intime soit enfin partag?. Sous le regard de cette ?trang?re, tout ridicule que je puisse para?tre, je me sentais d?sirable malgr? tout. Et je sentis mon p?nis se gonfler lentement, augmentant ? la fois ma honte et ma satisfaction. Monica ne fit pas de commentaire, mais son regard r?probateur m'indiquait clairement qu'elle jugeait ce gonflement tout ? fait ind?cent. *** Dix minutes plus tard, j'?tais en face de chez elle, et c'est toujours menott?, en slip translucide d'o? mon p?nis d?bordait largement, en bas de nylon et en jarretelles, que Monica me fit traverser la rue, d?serte heureusement cette fois, et p?n?trer dans son rez-de-chauss?e. Elle me fit signe de m'asseoir, d?fit mes menottes, enleva mon t-shirt, embrassa avec tendresse mes pauvres seins d'homme en ?rection timide, puis disparut quelques minutes dans sa chambre. Quand elle revint, elle portait toujours ses bottes aux talons trop effil?s, mais avait troqu? sa robe rose plut?t sage pour un slip de cuir noir serti de clous mena?ants, une gu?pi?re de lycra noir qui lui enserrait d?licieusement la taille, et des gants de cuir souple, dont la peau noire se prolongeait presque jusqu'aux ?paules. Elle m'offrit un verre de liquide dor? que je crus ?tre du champagne, jusqu'au moment o? je l'approchai de ma bouche et d?couvrit avec surprise qu'il s'agissait d'urine. J'eus un mouvement de r?pulsion et ?loignai le verre de mes l?vres. - { Allez, Claudia. Ce n'est pas poli de lever le nez sur ce que ta ma?tresse te donne. Surtout que je te l'ai pr?par? avec amour ! } - { Mais... Je... } - { Claudia, reprit-elle s?chement cette fois. Sois une fille bien ?lev?e et bois ce que je t'offre sans rechigner. Sinon, il me faudra te dompter, et tu finiras par boire de toute fa?on. } Je levai doucement le verre ? mes l?vres, et en fit couler un peu dans ma bouche. L'odeur ?tait tenace et le go?t ? la fois ?cre et sal?. j'eus un l?ger haut le c?ur, mais je n'avais pas le choix. Je pris d'une seule lamp?e tout le contenu du verre comme pour traverser le plus rapidement ce mauvais moment. - { Brave petite Claudia. Tu viens de r?ussir le premier test. Mais ? l'avenir, il faudra toujours m'ob?ir avec le sourire. Pas avec cette affreuse grimace. } - { Bien, madame ! } Monica me fit passer dans une chambre et me demanda de troquer mes chaussures d'homme pour une paire de souliers ? talons de dix centim?tres, bien trop petits pour mes pieds. J'eu du mal ? les enfiler. Puis, je fis quelques pas d'essai et parvins sans trop de peine mais sans ?l?gance ? conserver mon ?quilibre. La vue dans un miroir de cet homme en talons hauts et en bas de nylon, avec son slip translucide et le torse nu, le visage maquill? avec un l?ger exc?s, eut l'effet d'un choc ?lectrique sur mon p?nis qui acheva de bander compl?tement. Monica feignit de ne rien remarquer, me tendit un soutien gorges et deux proth?ses mammaires, puis une robe de bonne, en lycra noir, avec des bordures et un tablier de dentelles. { Quand tu viendras chez moi, ?a sera ton uniforme. Maintenant, marche devant moi. Fais les cent pas. Je veux voir comment tu te d?brouilles avec les souliers. } Au d?but, la meurtrissure de ces souliers trop ?troits me parut supportable, mais elle allait d?sormais s'accro?tre tout au long de la nuit au point d'engourdir compl?tement mes pieds vers le matin. Car je n'allais pas avoir de r?pit. Monica fixa en effet mes poignets sur deux anneaux, dispos?s sur le mur ? 1 m?tre 80 du sol, et me for?a ? m'accroupir, jambes pli?es et bras tendus. Mon visage se trouva ainsi ? la hauteur de son pubis. Elle d?grafa son slip de cuir. - { L?ches-moi, esclave. L?ches-moi fort. Fais-moi jouir avec ta langue, petite garce. Et que ?a soit bon, parce que sinon, c'est le fouet. T'entends petite conne? } Elle venait de troquer son ton amical pour celui de l'insulte. Je sentis brusquement toute la f?rocit? de cette femme, mais il ?tait trop tard. Je n'avais d'autre choix que d'ob?ir. Sans grande retenue d'ailleurs, moi qui ai toujours beaucoup aim? caresser les chattes avec ma bouche... N'emp?che que les insultes et les menaces qu'elle ne cessait de me prof?rer, tout le temps de ma { c?l?bration } ne facilitaient pas la d?tente. J'?tais crisp? par la peur. Elle ?carta ses jambes et vint coller sa touffe brun roux contre mes l?vres. Je tendis la langue, et sentit l'humidit? de son clitoris. L'odeur ?tait envo?tante. Comme je cherchais ? exciter les l?vres humides de son sexe, je la sentis se mettre en mouvement, pressant par saccades son clitoris contre ma langue tendue. Avec ses mains derri?re ma nuque, elle vint presser ma t?te plus fortement contre elle, m'emp?chant presque de respirer. Je me sentais r?duit ? l'?tat d'objet sexuel, jouet sans d?fense qu'elle manipulait avec expertise. L'exercice me parut d'abord excitant. Mais il dura une bonne quinzaine de minutes, pendant lesquelles la tension sur mes poignets accroch?s au mur et la douleur de mes pieds enferm?s dans leur ?tau de cuir finirent par mobiliser toute mon attention. Je d?sesp?rais qu'elle vienne enfin, et que les volutes de la satisfaction lui fassent rel?cher la pression de moins en moins tendre qu'elle exer?ait sur mon corps meurtri. - { T'aimes-?a, hien, p'tite garce? Tu paierais cher pour me planter ton p?nis de merde dans ma fente? Mais t'auras pas ce plaisir ! J'ai d'autres projets, pour toi, ma petite ch?rie ! } Elle rel?cha enfin son ?treinte, mais elle n'en avait pas pour autant fini avec ma bouche. Se retournant de 180 degr?s, elle me pr?senta la fente de ses fesses. { Ta langue, salope, j'la veux dans mon cul. T'entends? Le plus loin possible dans mon cul. } Elle approcha de ma bouche la porte ?troite de son anus. Aurais-je d? le trouver r?pugnant? Je pr?f?rai ne pas y penser et fit ce qu'elle m'avait ordonn?. Le tendis la langue. { Oui!... Ouuuuiii! Oh quelle belle pute tu fais, salope. Allez entre ! Entre! Dans mon cul. Mais entre, que j'te dis, p'tite conne ! } J'essayais de mon mieux de p?n?trer le trou rose et serr? qu'elle pressait sur ma bouche. Mais j'avais la langue meurtrie des efforts faits, auparavant, ? son autre orifice. Elle pressa un peu plus ses fesses sur mon visage, coinc? contre le mur. Je fis un douloureux effort pour tendre encore plus ma langue et je sentis enfin s'ouvrir l'orifice. { Aaaah ! Ca y est ! T'es un ange Claudia ! } Elle me tenait serr? contre elle avec une main, et se masturbait avec l'autre, en dandinant son fessier sur ma langue tendue, compress?e par son anus, au fond duquel je sentais l'humidit? chaude de ses muqueuses. Jamais je n'avais connu de contact aussi intime avec l'int?rieur d'un corps de femme. Jamais je ne m'?tais senti aussi humili?, sans d?fense, marionnette inconfortable d'une b?te en chaleur. Bon Dieu ! Qu'attendait-elle pour venir? Combien de temps allait durer ce supplice d?cadent? { Tu sais, si tu fais bien ces choses, un jour je te permettrai de l?cher aussi mes amies. Ta petite langue de suceuse va faire fureur, Claudia. Ooohh Oui ! Continue ! } Puis soudain, son corps s'anima de mouvements saccad?s. L'orgasme venait enfin m'annoncer la lib?ration. Les mouvements prirent de l'ampleur, comme des vagues dont je ressentais les derniers reflux jusque dans le sphincter qui m'enserrait la langue. Ses respirations se firent plus lentes, jusqu'au rel?chement de tous ses muscles. Alors, la jouissance consomm?e, elle s'?loigna avec m?pris de ma bouche, remit son slip. { Maintenant, dit-elle froidement, il faut dormir, Claudia, parce que demain, tu as tout le m?nage ? faire, sans oublier les services personnels qu'il faudra me rendre. } Elle quitta ainsi la chambre, et je r?alisai sur le champ qu'elle avait d?cid? de me laisser passer la nuit, accroupi avec les poignets li?s au mur. Avec quelques contorsions, il me fut possible de me lever, mais le progr?s ?tait mince : j'en avais pour quelques heures ? souffrir, adoss? ? un mur, immobile, mont? sur des chaussures trop petites, les pieds de plus en plus engourdis de douleur... Combien de fois avais-je d?j? v?cu en r?ve des situations de ce genre? Des centaines, sans doute. Et ? chaque fois, le fantasme me conduisait rapidement ? l'?rection et ? l'orgasme. La r?alit? ?tait moins agr?able. Inconfortable, souffrant des pieds et des poignets, ?puis? mais incapable de trouver une position pour dormir, je n'arrivais gu?re ? appr?cier le potentiel ?rotique de la situation. Et pendant des heures de plus en plus intol?rables, j'attendis que Monica veuille bien se lever. *** Elle le fit heureusement assez t?t, vers 7 h 30 environ. Lorsqu'elle ouvrit la porte de ma chambre, v?tue d'un peignoir translucide, je vis pour la premi?re fois ses seins nus et sentis l'odeur de son parfum. Mon p?nis ne tarda pas ? r?agir. Elle regarda l'organe et lan?a, d'un ton r?probateur: { Eh, p'tite pute, c'est pas encore l'heure des plaisirs. Faut travailler, ma gueuse. Y a un lavage ? faire, et mon d?jeuner. J'ai vu ce que tu valais comme suceuse; maintenant, faut que tu me montres ce que tu vaux comme esclave. Et puis tu sais que t'es pas tr?s f?minine, quand t'es band?e dans ton slip. } Elle attendit, quatre ou cinq secondes ? peine, mais comme mon organe continuait ? prendre du volume, devant le spectacle de son corps nu sous mes yeux, elle sortit rapidement de je ne sais o? une cravache de cuir, et fouetta l'organe avec violence. - { Aaarrgh!... } - { Tais-toi, fatigante. ? l'avenir, quand je te dirai de ne pas bander, faudra m'ob?ir. Je baissai les yeux, r?sign?. Elle en profita pour m'ass?ner un nouveau coup de cravache, sur les cuisses, cette fois. Je refr?nai avec peine un nouveau cri. - { Qu'est-ce qu'on dit, quand sa ma?tresse nous apprend le bon comportement des filles en soci?t?? } - { Merci, madame. } - { Voil? ! Tu vois que c'est pas compliqu? ! } *** J'eus droit ? trois longues heures de m?nage. Toujours juch? sur mes talons trop hauts, les pieds ? l'?tau dans ce cuir trop ?troit, je sentais une douleur atroce ? chaque pulsation de mon sang, comme si les veines voulaient ?clater entre mes chairs et ossements compress?s. Monica vaquait ? ses occupations diverses, mais venait avec r?gularit? s'assurer que je ne trichais pas. { Tu n'auras aucun repos avant de m'avoir fait jouir, et moi seule d?ciderai quand. Alors, t'es aussi bien de t'y faire ma pauvre petite. } Puis, elle ajouta, avec un ton faussement compatissant : { Tu sais, je te regarde, Claudia, et j'ai piti?. il y a des millions de femmes comme toi, dans le monde, qui sont r?duites ? l'esclavage. Mais elles, elles ne l'ont pas choisi. Elles sont n?e femmes. Toi, c'est par choix que tu vivras ce qu'elles doivent encore subir. Appelons ?a un supplice... expiatoire. } Vers la fin de l'avant-midi, Monica vint me chercher dans le boudoir o? j'achevais de passer l'aspirateur. Elle portait un { jump suit } de soie noire aux jambes et aux manches tr?s amples, avec un d?collet? profond qui laissait entrevoir une camisole de dentelle rouge couvrant ? peine la moiti? de ses seins. Elle venait de refaire son maquillage, plut?t discret, mais soulignant le double caract?re de son visage, m?lange de s?duction et de f?rocit?. Je ne lui adressai qu'un tr?s bref regard. La douleur ? mes pieds ?tait devenue insupportable. Elle vit que j'avais les larmes aux yeux. - { Qu'est-ce qui ne va pas, petite? T'as les bleus? Tu t'ennuies de ta m?re? } - { Non, madame... Ce sont mes pieds ! Ils sont en feu. } - { Oh. Tu t'y habitueras, ma fille. Des millions de femmes, dans le monde, ont souffert comme ?a, pour faire plaisir aux hommes. Alors, tu peux bien endurer quelques heures de plus. Et puis, tu verras. Apr?s quelques jours, tes os vont se tasser. Tu te sentiras de plus en plus ? l'aise dans ces souliers. Il faudra m?me diminuer encore un peu la pointure, sans doute. } Elle parlait de quelques jours, avec de la malice dans son regard. Jusque l?, j'avais cru ? un jeu, cruel et envo?tant ? la fois. Ma situation prenait soudainement une autre allure. Mais combien de temps comptait-elle me tenir ainsi en captivit?? J'osai le lui demander. - { Qu'as-tu ? faire de si important, petite pute? Tu veux aller promener ta queue ind?cente dans les bars de travelos, et faire rire de toi parce que, entre nous, personne ne t'a jamais entra?n?e ? devenir femme? Tu veux continuer ? fantasmer sur des danseuses sans raffinement et succomber en fin de compte aux charmes du premier petit maquereau venu qui te transformera en putain et te fera faire le trottoir rue Saint-Laurent. Allons ! Sois s?rieuse ! Tu veux finir drogu?e, vieillie pr?matur?ment ou m?me sid?enne? } { Moi, je t'offre au contraire la chance inou?e de vivre ? plein temps comme l'esclave exclusive de Madame Monica. Tu auras les plus belles robes, les maquillages les plus sophistiqu?s, autant de bijoux que tu en d?sires. Je t'enseignerai tous les charmes de la f?minit?. Tu apprendras ? ?tre soumise, mais aussi ? s?duire. Tu seras au nombre des femmes les plus recherch?es en ville. Tu seras dress?e pour donner le plaisir comme pas une autre ne sait le faire et pour accepter la souffrance avec tant d'exaltation que tu ne pourras plus t'en passer. Tu verras ! Tu n'auras plus ? te pr?occuper de l'avenir. Avec une seule chose ? faire, une seule condition : ?tre docile. Ob?ir aux moindres caprices de ta ma?tresse. Me faire jouir, et faire jouir les hommes et les femmes qui fr?quentent ma demeure. Ca ne te plait pas, ce destin remarquable? } - { M...Mais... J'ai mon travail... Je? } - { Ta gueule, petite effront?e, reprit-elle avec rage. Je t'offres le paradis et tu l?ves le nez. Tu m'insultes, conasse ! Alors tu sais ce que tu vas recevoir, comme punition? Le fouet ! Le fouet jusqu'? ce que tu me supplies de cesser, jusqu'? ce que tu me promettes de rester. Je vais te faire regretter ton insolence et pour te faire pardonner, tu imploreras ta ma?tresse, pour qu'elle te laisse l?cher son beau petit cul jusqu'? ce que ta langue saigne. } Elle me tourna le dos, et prit la direction de sa chambre, en me lan?ant un { suis-moi } si sec qu'il ne tol?rait aucune r?sistance. Je n'avais gu?re la force de lui r?sister, de toute fa?on. Comme si mon costume de bonne et ces souliers qui meurtrissaient ma chair constituaient d?sormais plus qu'un d?guisement, mais une v?ritable seconde personnalit?, enrobant et emprisonnant tout ce que j'?tais par ailleurs. J'?tais devenue totalement soumise. de En entrant dans la chambre, je fus abasourdie par le luxe. Lit ? baldaquins, douillette couverte dentelles, draperies somptueuses, miroirs. { ?a t'impressionne, n'est-ce pas, petite sotte? T'aimerais bien dormir ici avec ta ma?tresse Monica, non? Allez ! D?shabilles- toi ! } Pendant qu'elle m'aidait ? enlever ma robe, je parvins avec peine ? enlever les chaussures ?tau qui me torturaient depuis la veille. Quel soulagement, mais quelle atroce douleur, en m?me temps, que ce brusque rel?chement des ossements, en libert? retrouv?e ! Elle me fit enlever mes bas, mon porte-jarretelles et le soutien gorges rembourr? qu'elle m'avait pr?t? la veille. Quand je fus nu comme un ver, elle me fit accroupir sur le dossier d'une chaise, attacha mes deux poignets ? ses pattes avant et mes deux chevilles ? l'arri?re. Et dans mon orifice anal, brandi, pr?t ? recevoir le fouet, elle enfon?a lentement mais sans v?ritables pr?cautions, un formidable godemich? de latex. Mon cul ?tait vierge et la douleur me fit presque hurler. Elle m'ordonna de me taire et, par assurance sans doute, pla?a sa main devant ma bouche. Je sentis mon anus r?sister ? la brutale intromission de ce sexe de latex rigide. Alors le godemich? se laissa refouler, puis, comme une vague, reprit l'assaut avec une pression accrue. La douleur fut terrible. Ce fut comme un d?chirement atroce au niveau de mon sphincter anal, mais je parvins ? garder silence. Les larmes qui mouill?rent alors mes yeux furent le seul t?moignage de la douleur du viol. Une fois l'orifice ouvert, par contre, la br?lure fit place ? une ?trange sensation de pl?nitude, ? mesure que le gland de latex caressait mes parois de plus en plus profondes. Je me sentis ridicule de m'?tre laiss?e attacher dans cette position vuln?rable, et de subir ainsi ce viol de mon orifice culier. Mais il ?tait trop tard. Et je n'avais d?sormais d'autre choix que d'attendre le fouet. Pourquoi m'?tre ainsi laiss?e faire? Il me vint pour la premi?re fois ? l'id?e que j'?tais probablement plus forte que cette femme cruelle, au corps d?licat, somme toute. Alors, pourquoi cette d?tresse et cette soumission? Combien de fois aurais-je pu m'?chapper depuis le matin? J'entendis le fouet claquer faiblement dans l'air de la pi?ce. Pourquoi ?tais-je devenue si soumise? { forte }, { soumise }? Voil? que je parlais spontan?ment de moi au f?minin. Je sentis que j'?tais en train de vivre une transformation beaucoup plus brutale que je ne l'avais d'abord cru. Non, je n'avais pas voulu fuir ma tortionnaire. Non, le fouet ne me faisait pas peur; je le d?sirais m?me, je crois. Oui, je r?vais du moment o? Monica m'accorderait son pardon et me prendrait dans ses bras pour me consoler. - { Combien de coups tu m?rites, Claudia ch?rie? } demanda-t-elle, presque avec douceur. - { Vingt, madame. J'ai ?t? une mauvaise fille. } - { J'aime ton attitude, maintenant. J'aurais envie de te laisser filer pour cette fois, mais je pense qu'il est bon que tu go?tes ? mon fouet, pour la prochaine fois o? tu auras des sautes d'humeur. Ou aussi parce que, des fois, il m'arrivera d'avoir envie de te frapper sans raison. Alors, tu dois apprendre ? recevoir les coups avec le sourire et me remercier ensuite. Mais 20, c'est trop, ma ch?rie. Pour la premi?re fois, tu ne le supporterais pas. Disons une dizaine? } J'entendis la lani?re siffler dans l'air de la pi?ce et sentis mes deux fesses se d?chirer d'un coup sec. Je n'eus pas le temps de retenir mon cri qu'un second sifflement vint marquer une seconde d?chirure. La br?lure se r?pandit sur tous le bas de mon dos, puis jusque dans mon cerveau ou tout se mit ? d?raper. { Nnnooonnn ! Aaahh ! Meeerde ! Nonnn ! } Une troisi?me d?chirure, puis une autre. Je sentis alors mon p?nis se dresser, ridicule, entre les barreaux de la chaise, et je ne pus retenir une formidable pouss?e de sperme. ?jaculation pr?coce, violente et d?sesp?r?e, dans un tel m?lange de douleur, d'angoisse et de jouissance. J'encaissai encore deux coups du fouet. Je crois que j'ai d? perdre vaguement connaissance, bien que je m'entendis crier encore, d'une voix ?trangement aigu?, comme si je la voulais f?minine : { Monica. Arr?tez ! Ma?tresse ! Je vous aime ! Piti?... Je ferai ce que vous voulez. Je suis votre esclave. Arr?tez... Non ! Non ! Continuez, plut?t. J'en veux d'autres. Ouii! Frappez. Je suis votre esclave. } Le supplice prit fin. Monica d?tacha mes jambes et mes poignets. { Mais tu as ?jacul?, petite stupide ! Qui t'en avais donn? la permission? Et t'as sali ma chaise, mon tapis ! C'est pas tr?s f?minin, ?a. Si t'apprends pas ? te retenir, va falloir un jour te couper la queue. Ca serait dommage non? Car c'est beau un p?nis dans une culotte de dentelle transparente. Allez. L?ches-moi tout ce sperme. Je veux pas un cerne sur ma chaise, et plus rien sur le tapis. Et attention ! si je vois la moindre trace de rouge sur le tapis, on recommence avec le fouet ! } - { Bien madame ! } r?pondis-je, en commen?ant ? l?cher mon propre sperme sur le si?ge. Pendant une fraction de seconde, l'odeur me parut repoussante; mais comme pour l'urine de Monica que j'avais d? boire la veille, je savais qu'il me fallait ex?cuter ses ordres. Et je trouvais dans cette situation de soumission totale une certaine extase. J'eus soudain envie de ce sperme, comme d'une r?compense d?licieuse. Je m'imaginai en train de sucer quelque p?nis engorg?, en me demandant si Monica allait un jour m'initier au plaisir de la fellation. - { Tu aimes ?a? } - { Hmmm. } - { T'es aussi bien d'aimer ?a car dans les prochaines semaines, tu vas avoir un entra?nement intensif : une vraie esclave doit savoir sucer autant un sexe d'homme que de femme. Et toi encore plus que toute autre. Puisque tu poss?des encore ton sexe d'homme, tu devrais savoir mieux que toute femme comment plaire ? ces messieurs, non? Alors, j'ai l'intention d'inviter bien des hommes qui paieront cher pour t'initier ? la nouvelle vie de prostitu?e de luxe ! } Je me remis ? pleurer. Ma ma?tresse venait de briser mes derni?res r?sistances. Le projet qu'elle entretenait ? mon sujet ne m'attirait en rien. J'?tais catastroph?e. Comme ces putains qu'on voit dans les films, incapables de r?sister au chantage de leur souteneur. Je savais qu'elle allait me demander de faire des choses immondes et que j'allais ob?ir. Je savais que je les ferais, la plupart du temps, sans go?t, sans passion, avec rien d'autre que l'?c?urement, la honte de moi. Et que je n'allais pourtant rien pouvoir refuser ? cette femme araign?e qui m'avait envelopp?e dans sa toile. Je pleurais. Je me sentais victime honteuse, vuln?rable, soumise... et nue. Elle dut comprendre mon regard de panique : elle ouvrit une large garde-robe, et me tendit quelques fringues aux couleurs remarquables. Je fus si envo?t?e par la robe qu'elle fit choir sur le lit, que j'en oubliai un peu ma d?tresse. - { Allez, Claudia. Cesse de pleurer. Tu vas voir. Tout va tr?s bien se passer. Ce soir, je te sors. On va te faire belle. Tous les hommes vont te d?sirer, et les femmes vont ?tre jalouses de toi. On va au restaurant. Mais il faut d'abord que je te pr?pare. On va enlever tous tes poils. On va huiler ta peau. Tu vas ?tre parfum?e, maquill?e et v?tue comme une princesse. Tu le m?rites bien ! } - { Oh merci, Madame ! } r?pondis-ce avec cette m?me voix f?minine qui m'avait tant surprise sous le fouet, mais qui me paraissait dor?navant comme la preuve qu'au plus profond de moi, tout mon corps s'?tait soumis; jusqu'? mes cordes vocales qui rendaient d?sormais tribut ? ce que ma ma?tresse Monica avait fait de moi : une femme docile, pr?te aux plus grandes souffrances et aux plus abjectes humiliations, et ne r?vant en ?change que de sortir au plein jour, au bras de l'?tre qui me dominerait, pourvu que je sois bien v?tue et d?sirable sous le regard des autres. *** Monica m'aida ? appliquer une cr?me ?pilatoire sur l'ensemble de mon corps. Pendant que j'attendais, assise sagement sur une chaise droite, elle affina jusqu'? l'exc?s le trac? de mes sourcils. Je n'avais pas de miroir, mais je devinais le caract?re irr?versible de la transformation qu'elle m'imposait ainsi. Comment pourrais-je, si elle d?cidait de me lib?rer, affronter mon univers d'homme avec ces sourcils trop fins, arqu?s comme ceux d'une cover-girl? Puis, avec un soin de cosm?ticienne professionnelle, elle m'appliqua des faux cils, des boucles d'oreille et un maquillage qui me parut juste un peu trop g?n?reux. Elle me fit ensuite passer dans la salle de bain, retira la cr?me s?ch?e de ma peau d?sormais ?trangement lisse. Elle me tendit un corset noir, ? l'?vidence trop ?troit pour ma taille. Elle commen?a ? en lacer les cordons ? l'arri?re, au niveau de mes reins. ? chaque fois qu'elle serrait un ?illet, je sentais comme un ?tau de fer se refermer un peu plus autour de ma taille. Quelle impression agr?able pourtant que de savoir son corps ainsi emprisonn?, pris en charge, prot?g? en somme par ce v?tement ?rotique aux accents victoriens, sous lequel tant de femmes, dans l'histoire, ont accept? de souffrir ! - { Prend une grande respiration... Maintenant, vide tout ton air, et rentre le ventre compl?tement... Voil? ! C'est beau ! } Elle serra les derniers ?illets, en appuyant son genoux au centre de mon dos. Quand je voulus reprendre mon souffle, ?a m'?tait devenu impossible. J'allais d?faillir. ? peine puis-je aspirer un mince filet d'air. Tout mon torse ?tait d?sormais prisonnier, comme un seul bloc rigide, sous un ?tau de torture. { Un jour, mon bel ange, quand ton corps aura ?pous? les formes de ce corset, tu pourras y respirer ? l'aise. Ca te fera comme une seconde peau. Mais l?, tu as un bon dix centim?tres ? perdre au tour de taille ! } Puis ce furent les bas, une culotte de dentelle d?licieusement ?rotique, les faux seins et le soutien gorges, puis la robe magnifique que j'avais entrevue sur le lit. C'?tait un long fuseau de soie bleue, descendant aux chevilles, mais fendu sur le c?t?, laissant para?tre ? chaque pas jusqu'? l'emprise de mes bas. Pendant qu'elle ajustait une longue perruque toute en ondulations brun orang?, je vis dans un des miroirs de sa chambre cette superbe femme fatale que j'?tais devenue. Elle remarqua mon ?merveillement. - { Tu aimes? } - { Oh Monica ! C'est merveilleux ! Comment avez-vous pu faire de moi une si belle femme? Vous ?tes une vraie f?e ! } - { Maintenant, j'ai une mauvaise nouvelle. Il te faudra remettre ces souliers qui te font tant souffrir. } - { Oh je m'en fous, Monica ! Apr?s ce que vous venez de faire de moi, je vais faire tout ce que vous me demandez. } Elle me demanda ensuite de m'agenouiller devant elle, d'enfouir ma t?te dans sa touffe et de l?cher son clitoris. La man?uvre s'av?ra fort difficile, avec ce corset qui me serrait le corps. Ma rigidit? maladroite amusa Monica. { Pauvre Claudia ! C'est dommage que je pr?f?re les tailles de gu?pe aux rondeurs. Tu as mal choisi ta ma?tresse ! } Au bout d'une demi-heure, apr?s qu'elle eut joui, je crois, elle me demanda de l'attendre dans le hall. Elle savait bien qu'accoutr?e comme je l'?tais, je n'allais pas fuir. En fait, j'aurais pu, sans doute. J'y ai song? en tout cas. Mais j'?tais encore sous l'envo?tement de la femme. Comment aurais-je pu vivre sans ?tre all? jusqu'au bout de ce voyage ?rotique au c?ur de l'enfer? Nous ?tions en plein apr?s midi. Je n'avais rien mang? depuis la veille. Et le corset inconfortable qui m'enserrait le torse m'emp?chait de respirer autrement qu'en petites lamp?es maladives. Je me sentais ?tourdie. Je m'habituais heureusement aux souliers, dont les talons aiguilles de dix centim?tres m'apparaissaient d?sormais d'une hauteur confortable. Mes ossements s'?taient conform?s aux contraintes des chaussures qui me meurtrissaient beaucoup moins les pieds. En attendant Monica, je fis les cent pas et me retrouvai devant un miroir. Sauf pour le rouge autour des l?vres, d?fra?chi par les caresses orales que Monica venait de m'exiger, j'avais devant moi l'image d'une femme superbe. Et cette vision ?rotique de celle que j'?tais devenue provoqua une nouvelle ?rection. Une bosse r?v?latrice fit saillie au milieu du fourreau, d?formant la puret? des lignes de cette magnifique robe droite. Je fis un effort pour replier ma queue entre les jambes, mais Monica, qui descendait l'escalier ? ce moment pr?cis, vit le geste et me gronda : { Qui t'a permis de te toucher, petite vicieuse? } Je me retournai vers elle, pour qu'elle puisse voir la d?formation disgracieuse de ma robe. { C'est que je n'ai rien pour cacher cela ! } - { Ma pauvre fille, si j'avais voulu cacher ton sexe d'homme, j'aurais pu l'enfermer plus solidement dans un harnais ou dans une cage. Si je l'ai laiss? libre, c'est que je veux que tu apprennes ? mieux contr?ler ton organe. Et puis, le moment venu, si jamais il te prend envie de s?duire quelques proies, mieux vaut qu'ils sachent au plus t?t ? quelle petite d?g?n?r?e ils ont affaire. Sinon, la violence d'un homme tromp? peut devenir dangereuse, crois-moi ! Alors, t'es mieux de porter ton sexe en ?vidence ! } Monica s'?tait v?tue d'une robe blanche sans manches, aux plis amples, ? la jupe courte, comme la tunique d'une vestale grecque. Elle portait des sandales l?g?res ? talons hauts et des accessoires de m?tal d?licats. Une fille sage en apparence. Cela contrastait avec ma tenue ? la fois raffin?e et provocante, avec cette jupe fendue tr?s haut et mon maquillage manifestement ?rotique qu'elle s'empressa de rafra?chir. L'ensemble de mon corps se pr?sentait comme une invitation sexuelle claire alors que le sien, au contraire, ?tait d'une pudeur exemplaire. { Ce soir, petite fille, c'est toi qui va servir d'app?t. Je veux que les hommes te regardent, te d?sirent. } Je me sentais effectivement d?sirable. Et je per?us comme un ?clair d'envie dans le regard de Monica. { Mais il est trop t?t pour sortir maintenant, reprit-elle. J'ai encore quelque pr?paration ? te faire subir. } Elle me poussa avec douceur dans la pi?ce qui m'avait servi de chambre ? coucher (bien que le mot { coucher } soit abusif : j'y avais pass? la nuit debout, adoss?e au mur), me fit ?carter les jambes, en pliant le tronc vers l'avant, les paumes appos?es sur le mur. J'ai compris que j'aurais droit ? la p?n?tration compl?te lorsque je la vis lever sa tunique, et apposer sur son sexe un godemich? ? courroie, qu'elle attacha solidement en place. { Si jamais nous faisions, ce soir, d'adorables rencontres, Claudia ch?rie, il serait dommage que ta petite chatte culi?re refuse de s'ouvrir. Alors, on va pr?parer le passage, maintenant. } Elle approcha d'abord de ma bouche son p?nis de latex. En me penchant un peu plus (ce qui ne fut pas facile, avec ce corset trop rigide qui m'emprisonnait toujours), je parvins ? enfoncer la proth?se entre mes l?vres, puis au fond de ma gorge. - { Vas-y avec ta salive, ma jouisseuse, car ?a sera ta seule lubrification, } me dit-elle, en commen?ant ? retirer tranquillement le membre synth?tique. uis elle vint se placer derri?re moi et m'enfon?a son p?nis dans l'anus. Je sentis la m?me douleur, la m?me br?lure que j'avais exp?riment?e plus t?t, juste avant ma flagellation. Comme si le trou de mon cul refusait encore de s'ouvrir. Mais pourquoi n'avait-elle pas pris le temps de rel?cher mes muscles avec des caresses? Si j'ai, une fois, d?test? cette femme cruelle et sensuelle, c'est bien ? ce moment, alors qu'elle poussait de toutes ses forces sur mon anus en flammes, que je sentais pr?t ? d?chirer sous la pression. Mais il s'ouvrit soudain, et je la sentis p?n?trer d'un seul coup jusqu'au fond. Choc ?lectrique d'une violence insupportable. La douleur monta par vagues le long de ma colonne. Et pendant qu'elle faisait l'aller- retour dans mon cul d?fonc?, s'excitant elle-m?me, du m?me coup, jusqu'? l'orgasme, j'eus comme un coup de barre au ventre. C'?tait le stress de mes muscles emprisonn?s dans ce corset d?moniaque, la position inconfortable de mes jambes tendues, et cette p?n?tration trop subite qui bousculait tout ? l'int?rieur de mon corps cintr?... et ? l'int?rieur de ma t?te surtout. Oui ! Je venais d'?tre viol?e une seconde fois en quelques heures. Le geste de Monica avait la m?me brusquerie, la m?me haine. Je me remis ? pleurer, et sentis mon corps trembler en grandes vagues incontr?lables. Monica n'en poursuivit pas moins son man?ge, va-et-vient jusqu'? l'orgasme, puis retira lentement l'objet de mes tortures et se laissa choir sur une chaise, d?tendue, en s'achevant avec les doigts. Je m'effondrai sur le sol, vid?e, tremblante, en larmes, honteuse, comme le sont toujours les femmes viol?es. Chapitre 2 Elle arr?ta l'automobile sur une rue achaland?e. C'?tait la fin de l'apr?s midi et les terrasses ?taient remplies de jeunes gens rieurs. Monica me fit signe de sortir. Panique! Il me fallait cette fois affronter, en plein jour, le regard de dizaines de passants, de milliers de fl?neurs. J'eus un instant d'h?sitation; je l'entendis chuchoter, comme si elle ne se parlait qu'? elle-m?me: { si tu ne te d?cides pas, ?a sera un coup de fouet... ?a sera deux coups de fouet... ?a sera... }. J'ouvris la porte et fis l'effort de me lever. Effort p?nible, dois-je dire, avec ce corset paralysant, cette jupe fendue jusqu'? l'ind?cence et ces souliers sur lesquels il me fallut aussit?t retrouver l'?quilibre. Je refermai la porte derri?re moi. Elle s'?tira pour la verrouiller, et j'eus la crainte, pour un instant ? peine, qu'elle ne red?marre et m'abandonne ? cette foule mena?ante. Elle n'en fit rien. Elle sortit ? son tour, me fit signe de la rejoindre sur le trottoir et nous primes la direction sud, bras dessus bras dessous, comme deux copines en goguette, ou deux prostitu?es ?voluant vers leur bande de trottoir, vers leur lieu de travail. La pr?sence de Monica ? mes c?t?s ?tait comme une bou?e contre la panique. Rarement n'ai-je eu autant besoin de la pr?sence d'une femme pour me soutenir. C'?tait mon bapt?me de foule, ma premi?re sortie travestie, mon inauguration au monde de la femme publique. Des sentiments mixtes se bousculaient dans ma t?te : la fiert? de montrer ? tous ce corps qui, pour la premi?re fois, ?tait ce qu'il avait si souvent r?v? d'?tre; la peur d'?tre reconnue, d?nonc?e, bafou?e; la s?curit? que me procurait cette femme splendide et cruelle, marchant ? mes c?t?s; et la peur de l'irr?versible o? je sentais qu'elle m'entra?nait. Et par dessous tout, le cocktail de douleurs diffuses qui agressaient ce corps model? contre-nature, ?crasement des os des pieds, enserrement du ventre et du torse jusqu'? g?ner la respiration, br?lures ? l'anus... *** Dans le restaurant tr?s chic o? elle m'emmena finalement, grand service, champagne, musique douce et chandelles, je ne pus gu?re commander qu'une entr?e. Le corset m'?touffait ? un point tel qu'apr?s quelques gorg?es de vin et deux ou trois bouch?es, j'avais l'impression d'avoir aval? comme un goinfre. C'?tait pourtant mon premier repas de la journ?e, et il ?tait pr?s de 6 heures! Elle me raconta des bribes de sa vie de ma?tresse professionnelle. Comment, apr?s des ?tudes coll?giales pourtant brillantes, elle laissa l'?cole pour vivre avec un homme riche, qui l'initia progressivement aux pratiques ?rotiques bizarres. Elle fut un temps son esclave consentante, puis d?couvrit peu ? peu qu'en fait, c'?tait elle qui contr?lait le jeu. Elle eut t?t fait de renverser les r?les, et le mari puissant devint assez rapidement, dans l'intimit? du foyer, la p?le copie d'un homme, servante hermaphrodite, totalement au service de son esclave d'hier. C'est lui qui amena ? la maison les premiers amants de Monica. ? chaque fois, il feignait de quitter pour affaires, se retirait en fait dans sa chambre, rev?tait son costume de bonniche, r?apparaissait sous se d?guisement et assistait sous ce r?le de servante aux pr?liminaires amoureux de son ?pouse avec l'autre. Au d?but, ce jeu sinistre l'attristait. Elle voulut changer les r?gles du jeu. Il la supplia, lui offrit des bijoux, lui promit des ch?teaux, tout, pour maintenir ce rapport dont il sortait humili?. Un jour, sans pr?venir, le mari la quitta. La jalousie avait-elle eu raison de sa soumission? O? avait-il trouv? ailleurs une ma?tresse plus exigeante? C'est ainsi en tout cas qu'elle se retrouva seule, et d?couvrit qu'elle avait pris go?t ? ces jeux ?rotiques, ? cette pr?sence permanente d'un homme fa?onn? femme par sa seule volont?, ? l'ivresse du pouvoir absolu sur cet ?tre transform?. Elle fit une nouvelle conqu?te, puis une autre encore. Mais cette vie co?te cher. C'est ainsi qu'elle commen?a ? monnayer ses charmes, en s'arrangeant pour ne jamais avoir ? payer elle-m?me de son corps. Ses amantes-esclaves allaient d?sormais travailler pour elle. Et j'allais ?tre du nombre! Puis, elle me laissa parler de moi. Elle apprit que j'?tais c?libataire, donc disponible, conclut-elle. Puis que j'?tais journaliste ? la pige, que je travaillais surtout ? la maison, par t?l?phone, ce qui l'amena ? penser que je pourrais bien conserver mon emploi, mon r?seau de contacts, pour un temps du moins, avant d'assumer pleinement mon nouveau r?le d'esclave. Elle confronta nos go?ts au cin?ma, en musique, en politique m?me, et finit par ?tablir ? mon sujet un verdict fort positif. - { Tu sais, Claudia, tu es une brave fille. Je te parais dure, sans doute, mais je suis une ma?tresse compr?hensive. Ce que tu vas vivre avec moi est unique. Des fois, tu auras honte, peut-?tre; tu te demanderas pourquoi tu fais tout ?a. Mais petit ? petit, tu r?aliseras que cette seconde nature que je suis en train d'?veiller en toi, elle est d?j? pr?sente, l?, dans ta t?te. Mais il fallait une femme exceptionnelle comme moi pour te la r?v?ler. } - { J'ai peur de votre discours, madame Monica. J'ai peur parce que malgr? ces souliers qui me torturent, malgr? ce corset qui m'?touffe, malgr? cette g?ne insoutenable lorsque les autres hommes me regardent dans ce restaurant, malgr? tout ?a, je suis bien. Et je n'ai pas envie de vous quitter. Alors je me demande si ce n'est pas comme pour le chemin de l'enfer, dans les petits cat?chismes de notre enfance : une fois qu'on y entre, c'?tait, disaient-ils, comme une longue glissade sans fin, toujours plus souffrante... jusque... } - { Il ne faut pas que tu aies peur, ma petite Claudia ch?rie. Bien s?r, tu vas souffrir parfois. Et tu vas m'en vouloir aussi, pas n?cessairement pour la souffrance, d'ailleurs. Mais tu vas pouvoir vivre sans angoisse tes perversions les plus abjectes. Sans angoisse, parce que tu n'auras jamais ? d?cider. Juste ob?ir ! Et cette possibilit? de se d?charger de toute responsabilit? sur ta ma?tresse, tu vas voir, ?a n'a pas de prix. Si tu ?tais n? femme, comme moi, il y aurait quelque chose de tordu dans une telle ob?issance. Elle ne serait que le reflet d'une culture qui nous exploite. Mais chez toi, Claudia, la servilit? est noble parce qu'elle est choisie. } - { Vous me laissez vraiment le choix, madame? } Il y eut un silence : { Oui, ma petite Claudia, mais pas tout de suite. Ce soir, nous irons dans un { salon } que je fr?quente. Nous y l?verons tes premiers clients. C'est sans risque. Seulement des gens que je connais et qui savent quel genre de femmes je leur am?ne. Des gens aux go?ts bizarre, mais ils sont safe, c?t? m?dical. Et puis je serai l? avec toi. Je veux superviser tes d?buts. Apr?s, quand tu leur auras rendu tous les services sexuels qu'ils auront demand?s, nous rentrerons chez moi. Tu devras encore boire mon urine, je te pr?viens, et me faire jouir comme hier. Et tu passeras encore une fois la nuit attach?e, mais je suis s?re que cette fois, ?puis?e comme tu l'es, tu trouveras le moyen de dormir... } { Demain, poursuivit-elle, c'est dimanche, et je re?ois deux vieux clients ? domicile. Je leur ai promis une surprise, et ma surprise, c'est toi, ma petite Claudia ! C'est pour ?a que je suis all?e te chercher dans ce bar de travelos, hier soir. C'est pour eux que j'ai commenc? ta transformation. Ils m'ont demand? une novice ! Tu devras nous servir toute la journ?e. Et j'aime autant te dire tout de suite que ce sont deux boucs, ces deux l?. Attends-toi ? devoir les sucer quatre ou cinq fois chacun. Et ton petit cul va en conna?tre de toutes les couleurs demain. Je vais peut-?tre te faire passer la nuit avec un godemich?, d'ailleurs, pour leur ouvrir le passage. } { Je ne sais pas quand ils vont partir. Mais apr?s seulement, je te rends tes fringues de m?les si tu veux, et tu pourras me quitter. Dimanche soir. Pas avant! ? ce moment l?, tu auras le choix de rester chez moi comme esclave, de retourner chez toi, mais en femme, avec le droit de revenir quand tu veux, ou d'effacer tout le week-end et rentrer chez toi bien sagement dans tes fringues d'homme, cet homme ordinaire, un peu minable, celui que j'ai connu hier, l'homme qui passait ses soir?es dans les bars de travelos ? r?ver sans oser. Oui, je te laisserai le choix, mais tu verras qu'on ne renonce pas facilement ? la perversion. Tu ne seras plus jamais capable de vivre comme avant, Claudia. Je te regarde, et je sais qu'il est d?j? trop tard. Tu es d?j? devenue Claudia, mon esclave sexuelle ! } Ce qu'elle venait de me dire me faisait profond?ment peur : mon initiation ce soir, cette terrible nuit en perspective, puis cette journ?e d'esclavage o? j'allais devenir le jouet sexuel de deux obs?d?s de la baise. Plus que de la peur, en fait : de la r?pulsion! Et pourtant, je me sentis fondre devant le regard presque tendre qu'elle me fit, lorsqu'elle m'annon?a que je n'allais sans doute pas ?tre capable de la quitter. Une journ?e seulement ! Et elle avait raison : j'?tais devenue Claudia. Je me suis mise ? pleurer. - { Allez ! Ne pleures pas, Claudia. Ton maquillage va couler ! } - { J'ai peur. } - { T'as peur de quoi? Pas de moi, j'esp?re? } - { J'ai peur...hhnnff? de ne pas... pouvoir... partir! De ne pas vouloir ! } - { Bien s?r que tu ne voudras pas... Tu serais bien folle ! Allez, essuie tes larmes et regarde-moi dans les yeux. Et ?coute bien ce que je te dis. Tu es devenue Claudia, femme, esclave, et objet sexuel. Il est trop tard pour revenir en arri?re. Et si tu l'es devenue si vite, c'est que cette Claudia dormait d?j? au fond de toi. C'est elle qui t'a tra?n?e dans ce bar minable o? je t'ai trouv?e, hier. Et t'?tais d?j? moiti? en femme, sous tes v?tements d'hommes. Je l'invente pas ?a ! } - { Non, bien s?r. } - { Alors, r?pond-moi honn?tement. Tu es l?, assise devant moi, et tu fais une tr?s belle femme. Regarde les deux hommes, ? la table voisine : ils n'ont pas cess? de te regarder depuis une heure. C'est pas moi qu'ils regardent, c'est toi, parce que, arrang?e comme tu l'es, ma petite, tu d?gages un sacr? aura de sexualit? ouverte. Alors dis-moi : quand tu te sais regard?e comme ?a, est-ce que ?a te fait paniquer, ou que ?a t'exite? } - { ?a m'excite; c'est bien s?r... } - { Regarde-les, les deux, l?, ? c?t?. } J'ai tourn? la t?te vers eux. Ils me regardaient eux aussi. Alors, l'envie de pleurer m'a comme pass? d'un seul coup. Je leur ai souri. Presque trop. J'ai eu un peu honte de ce racolage ?vident ? l'exc?s, mais j'avais follement envie de s?duire. Et sans pouvoir m'en emp?cher, j'ai baiss? le regard vers leurs pantalons. Ils ?taient tous deux band?s. Entre mes jambes, je me sentis bander ? mon tour. Mais c'est curieusement dans mon cul, l? o? Monica avait ins?r? le godemich? cet apr?s-midi l?, que je per?us comme une bouff?e de chaleur. { Merde, dis-je en me retournant vers Monica, je suis en train de d?velopper des r?flexes de femme. Je te jure : j'ai jamais ?t? attir?e par des gars, sauf les travestis... Et bien l?, je vois ces deux l?, et je me sens toute dr?le ? l'int?rieur. J'aimerais ?a avoir un vagin. J'aimerais ?a qu'ils me caressent les seins. } - { Y rien de dr?le dans ?a, Claudia. T'es une femme-objet, au plus profond de toi. Et en tant que femme-objet, t'as le droit de te laisser aller, parce que ton ?tat, tu l'as choisi. T'es devenue une vraie obs?d?e sexuelle, ma petite garce. Alors regarde toi en face, et accepte ton destin. Et y a pas de honte ? avoir. C'est un destin enviable, que je te permettrai de vivre jusqu'? l'extase ! } - { Monica !... J'ai peur de pas savoir... J'ai peur de sombrer... Vas- tu me prot?ger? Vas-tu rester avec moi? } lui demandai-je avec une panique ?vidente dans le regard. La panique de celle qui ne comprend plus ce qui lui arrive. Un large sourire illumina son visage. Je ne l'avais pas encore vue aussi accueillante, et aussi mena?ante en m?me temps, tant la satisfaction qui ?manait de ce sourire marquait son triomphe total. { Oui je vais t'aider. Oui je vais rester pr?s de toi. Mais c'est tout. Pour le reste, je n'ai absolument pas ? te consulter. Tout ce que je te dis de faire, tu le fais sur-le-champ, sinon c'est le fouet. Compris? } - { Compris. } - { Mais pour cette fois, je veux bien te consulter, ma petite, parce que c'est ta soir?e. Ces deux hommes, ? c?t?, est-ce que tu les trouves beaux? } - { Oui, tr?s beaux... } - { Est-ce que tu les d?sires? } - { Je sais pas... } - { Allez, Claudia ! Tu mens. Regarde ton p?nis. Tu br?les de d?sir... } - { ...Oui. Peut-?tre, madame. Mais j'ai peur. } - { Bon ! Je penses pas que le risque soit bien grand de baiser avec ces deux-l?, ma petite Claudia. On n'est pas dans un bar gai, et je sais que ces gars n'en sont pas. Alors si tu veux bien, au lieu d'aller dans le bar o? je pr?voyais r?colter tes premiers clients, on va ramasser ces deux oiseaux. C'est-?-dire que TU vas les ramasser. T'as d?j? commenc? ? les exciter; ?a, ?a se voit. T'as qu'? pas l?cher, et ils tombent direct dans ton filet ! Tu marches? } - { ... } Elle balaya mon h?sitation d'un revers de la main : { ?coutes-moi bien. Je vais te laisser quelques minutes. Je vais aller ? la salle d'eau, me refaire une beaut?. T'en as pour cinq minutes toute seule. Mais tu l?ches pas ces deux-l?. Et tu gardes ton sourire de tant?t. Alors, ils vont vouloir s'asseoir avec toi, et tu leur dit { oui }. Et je veux que tu les excites pour vrai. Te g?nes pas pour mettre ta main sur leur queue. } - { Mais s'ils veulent faire la m?me chose avec moi, me caresser l'entrejambes? } - { ?a, je m'en charge, d?s mon retour. Mais fie-toi ? mon exp?rience. Ce soir, tu vas te faire les dents sur ces deux mecs, et ils vont payer le magot pour explorer ton petit cul... } - { ... } - { Claudia ch?rie, mon esclave, bienvenue dans ton nouveau m?tier de prostitu?e de luxe chez madame Monica. } *** Lorsque Monica fut partie, je me sentie affreusement seule. Abandonn?e dans un gouffre immense. Elle m'avait jusqu'ici servi d'enveloppe protectrice. Femme fatale, au sexe ambigu, mi-vamp mi-folle de cabaret, j'avais au moins Monica, ma compagne aux allures sages, comme pr?texte et comme chaperon. Je me retrouvais soudainement ? port?e de tous les regards, poule ridicule offerte aux sarcasmes des clients de ce restaurant trop chic. ?tais-je vraiment d?sirable, comme Monica l'affirmait? Je risquai timidement un regard du c?t? des deux hommes, ? la table voisine. - { Vous n'avez pas beaucoup mang?, madame, me lan?a le premier. Vous n'aimez pas la table de ce restaurant? } C'?tait un jeune homme ? la barbe courte, aux cheveux lisses, et au costume trois pi?ces plut?t terne, genre repr?sentant de commerce. - { Je n'avais pas tr?s faim... Et puis je suis au r?gime }, r?pondis- je, en m'effor?ant d'adoucir ma voix, et en esp?rant que le fond de teint saurait cacher le rougissement de mon visage. - { Vous ne voulez pas vous joindre ? nous? On pourrait faire connaissance. } L'?ternit? dura quelques secondes, d'une totale confusion. Qu'allais-je faire? Une fois de plus, Monica avait eu raison. Il avait suffi qu'elle se l?ve pour que les deux mecs m'invitent ? leur table. Le reste du sc?nario allait se d?rouler sur un mode aussi pr?visible. Ils voudraient coucher avec moi, et ma ma?tresse allait me pousser dans leurs bras. Mais merde ! J'?tais encore ?quip?e de ce sexe d'homme, honteusement raide sous ma robe o? il formerait une saillie si jamais j'osais me lever. Et si j'arrivais habilement ? leur dissimuler la chose, combien de temps pourrait durer le subterfuge? Et puis, plus fondamentalement encore, ?tais-je, moi, pr?te ? accepter ce r?le de prostitu?e que Monica m'avait confi?. Jusqu'ici, j'avais ?t? poss?d?e par cette femme d?moniaque, incapable de m'affranchir de ces exigences. Et le destin effroyable qu'elle esquissait pour moi, je le vivais en fantasme, et me laissais s?duire. Mais voil? que le fantasme prenait forme. Deux hommes m'invitaient ? leur table avec le seul d?sir de me sauter. Et si j'acceptais l'invitation, si Monica me retrouvait parmi eux, il n'y aurait plus aucune sortie possible. Elle allait, d?s son retour, reprendre le contr?le total de mes gestes, de mes d?sirs, de mon corps. Et j'allais ob?ir, jusqu'? faire tout ce que ces hommes allaient vouloir. Mais comment allaient-ils r?agir en d?couvrant qui j'?tais? J'ai regard? la porte du restaurant, J'ai compt? les pas qu'il me faudrait pour fuir. Je me suis lev?e. Mes souliers m'ont fait affreusement mal. J'ai cru que j'allais d?faillir. J'ai tout de m?me eu le r?flexe de placer ma sacoche sur le devant de ma robe, pour cacher ce qui pourrait trahir mon sexe... Puis je me suis ? nouveau sentie d?sirable. Alors je me suis retourn?e vers les deux hommes, leur ai souri et me suis assise ? leur table. D?licieux vertige. J'avais une fois de plus c?d?, en sachant que d?s le retour de Monica, le pi?ge serait d?finitivement scell?. L'irr?parable ?tait commis. J'allais donc, ce soir, subir mon initiation comme prostitu?e ! Mais comment leur faire savoir la v?rit?? Ne la connaissaient-ils pas d?j?, en fait? Assise entre ces deux hommes, aux arri?res pens?es ?videntes, j'?tais proche de la panique! Pourvu que Monica revienne rapidement ! - { Mon nom, c'est Robert, me dit le barbu qui m'avait invit?. Lui, c'est Dan. Un agent d'assurances, et un bon copain ? moi. Et vous, votre nom? } - { Je m'appelle Claudia. Ma copine, c'est Monica. } - { Vous savez que vous ?tes une dr?le de femme? reprit Robert. Vous avez l'air toute timide, et pourtant, votre mani?re de vous v?tir, votre allure, sont, comment dirais-je... attirantes, quoi ! Vous faites quoi, dans la vie? } - { Oh ! pas grand chose... Secr?taire particuli?re. } J'avais dit la premi?re chose qui m'?tait venue ? l'esprit. { Secr?taire }. Symbole social de la femme soumise, sans int?r?t propre, qui n'existe que par la gr?ce de l'autre, mais qui fait, en secret, tout le travail. - { Et votre copine? } - { C'est ma patronne. Elle est bien, non? } - { Vous aussi, vous savez, } r?pondit l'autre, volontairement charmeur. Il y eut quelques secondes de silence. De malaise. Puis, ils se mirent ? parler de leur boulot, comme le font tous les hommes, lorsqu'ils ne savent quoi dire. Et de leurs charmes. Orgueil soigneusement cultiv? du dragueur, discours qui ne trompe personne, mais qui s?duit pourtant, parce qu'il meuble les silences. Et parce que les phrases d?licieusement vides masquent ? demi les mouvements d'approche des corps qu'elles servent ? favoriser. Invasion douce mais insistante du regard, de l'?paule, de la main baladeuse. Confuse, je r?pondais des banalit?s, toute absorb?e ? observer cette man?uvre, pour la premi?re fois dans la peau de la cible. Et je compris de l'int?rieur ce qui, du point de vue de l'observateur neutre, m'?tait toujours paru incompr?hensible : pourquoi les filles, dans les bars, sont-elles si facilement s?duites par des discours aussi fats? La r?ponse est simple. Comme femme, je d?sirais ces deux hommes. Je les ?coutais ? peine, mais les vibrations de leurs voix alternantes me les rendaient d?sirables. La s?duction jouait ? fond. Ils n'?taient pas d?sagr?ables, au fond, et seule la crainte de laisser para?tre mon sexe, maladroitement compress? entre mes jambes, m'emp?chait de c?der d?s lors ? leurs avances. Comment allaient-ils r?agir? Quand Monica reviendrait-elle prendre en charge la suite de la soir?e? Je sentis brusquement monter en moi la panique. Et si Monica ?tait partie? Si elle m'avait abandonn?e ? ces deux hommes, sans d?fense, avec leur col?re comme derni?re humiliation lorsqu'ils comprendraient la supercherie! Regard d?sesp?r? vers la salle d'eau... juste au moment o?, quel soulagement, Monica reparut. - { Ah ! Vous avez fait connaissance? Je me disais aussi que ?a ne tarderait pas, avec les regards que vous lui jetiez pendant le repas, } lan?a-t-elle d'entr?e de jeu. - { Qu'est-ce que vous voulez? On est des hommes. On n'est pas insensible ? la beaut? de votre secr?taire, } r?pondit celui qui s'appelait Robert. - { Secr?taire? C'est ce qu'elles vous a racont?? Allez, Claudia ch?rie, t'es trop modeste, reprit-elle avec une malice ?vidente dans le regard. Claudia est mon amante. La plus d?licieuse baiseuse que j'ai eue. } La remarque, trop crue, eut l'effet d'une douche froide. Robert balbutia quelque platitude, puis se retourna vers Dan. ?change de regards d??us. Des lesbiennes, pens?rent-ils. Quelle malchance! Mais Monica ne leur laissa gu?re le temps de tirer quelque conclusion. { Vous aimeriez que je vous la passe? Pour ce soir? Jusqu'? 2 heures, disons? } - { Vous ne lui demandez pas son avis, ? elle? } r?pondit Dan, un peu surpris de l'offre. - { Elle est d'accord. Elle en salive depuis le d?but du repas. Depuis qu'elle vous a vu entrer ici qu'elle en bande. Et croyez-moi : quand elle est en chaleur, y a pas mieux qu'elle. } - { Et vous craignez pas qu'on vous l'ab?me, votre petite amie? } - { Elle adore ?a ! Plus c'est cru, plus ?a lui fait mal, et plus elle jouit, la petite. N'est-ce pas, Claudia ch?rie? } Robert se tourna vers moi. 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On n'a pas parl? de prix. } - { Ah ! parce que... vous la louez? } - { Si on veut, oui. } - { Combien? } - { Vous ?tes deux? Cent dollars chacun, ?a serait deux cents... Alors disons 175. Et vous pouvez lui faire tout ce que vous voulez, jusqu'? 2 heures. Ca vous va? } - { Cent soixante quinze dollars ! Dis donc, vous la donnez pas ! } - { ?coutez-moi bien, les beaux. Elle fera tout ce que vous lui demandez. Tout. C'est pas tous les jours que ?a vous tombe dessus. Aucune inhibition, la petite ! L'esclave parfaite ! Alors, le prix, c'est une aubaine que je vous fais; je vous prie de me croire. } Ils se regard?rent, puis de nouveau vers Monica : { Bon ! C'est d'accord. } - { Et puis je vous laisse la facture du resto. Profitez-en : Claudia n'a presque rien mang?. } Monica se leva, pendant que les deux hommes comptaient les dollars qu'ils allaient lui laisser. Nouvelle mont?e d'angoisse. Elle ne leur avait rien dit. 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Et puis il y avait la douleur, de plus en plus forte ? chaque pas; j'ai cru que j'allais perdre connaissance, ? cause des souliers, bien s?r, qui meurtrissaient de nouveau mes pieds, mais surtout ? cause du corset qui enserrait ma taille et rendait p?nible la moindre respiration. Or Dan et Robert marchaient d'un pas rapide et j'avais peine ? les suivre sans d?faillir. - { Allez! Grouilles-toi. On n'a pas toute la nuit ! } C'est qu'ils ?taient press?s, les gars, de profiter au maximum de cette { d?g?n?r?e } dont ils avaient possession pour trois heures ? peine. { D?g?n?r?e }, c'est le nom qu'ils m'avaient donn?, sur le ton d'un m?p

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Defloration of Monica

Monica was my close friend. We used to be friends right from our school days. We used to share all secrets between us. I got married first with one of my classmates whom I loved. He was a strong virile man. We went to Mumbai after marriage. Monica came to Mumbai to spend some time with us. All three of us were almost same age and had a very nice time together. We were totally free and open in our talks and had no inhibitions touching each other. Since the apartment was small with only one...

3 years ago
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The Fender Bender a short story

I was creeping in Atlanta rush hour traffic, desperate to get home. It had been a long day. All I wanted was to get on my couch and watch ‘Blue Bloods’. It was sweltering hot, my car thermometer read ninety-eight degrees. I had the air condition on full blast. It didn’t really stop the sun from beating down on my skin. I was sick of the stop and go traffic on the connector. “Come on people.” I yelled, honking my horn. I had a major presentation at work and I didn’t think I did too well on...

3 years ago
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Harmonica

I was only there because I was a witness to the accident. I had dropped off a clothing donation down at the nearby collection site and was approaching the train tracks when the lights started flashing, the bell started ringing and the arms slowly dropped. Actually, I probably could had darted across before the gates got low enough to impede me but I played it safe and stopped, noticing that two cars traveling in the opposite direction zipped through. Since I wasn’t in a hurry I shrugged it...

2 years ago
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Blame It On Monica

Well, I couldn’t blame it on anyone else!I mean, there I was, off on a course for a few days, staying in a sleepy little archetypal English village. Next door was a pub, next to that was the church, dating from the 1100s, next to that another pub. One called the Swan, the other the George and Dragon. The Bed & Breakfast overlooked the village green - more typically English would be quite impossible to imagine. Except that the housekeeper in my old English Guest-house was actually Hungarian....

Mature
3 years ago
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My Crazy Life 5 Tammy Wendy Brenda First Half

Sometimes, egos are good things. You can ride high on the wave of a growing ego, but you better watch for the breakers at the shore! This is a long story of how I built my ego up, flaunted it around, and then crashed back to reality.=== Tammy:My wife met Michael at an infamous "Sue and Lyle" house party. He is a smaller dark-skinned man with a giant cock. At five-feet-six-inches, he was only a couple inches taller than my wife. His cock may, in fact, be longer than mine, but on his frame, it...

True
3 years ago
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My Crazy Life 5 Tammy Wendy Brenda First Half

Sometimes, egos are good things. You can ride high on the wave of a growing ego, but you better watch for the breakers at the shore! This is a long story of how I built my ego up, flaunted it around, and then crashed back to reality.=== Tammy:My wife met Michael at an infamous "Sue and Lyle" house party. He is a smaller dark-skinned man with a giant cock. At five-feet-six-inches, he was only a couple inches taller than my wife. His cock may, in fact, be longer than mine, but on his frame, it...

True
3 years ago
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13 Genders Gender 3

13 Genders: Gender 3 By Monsta My name is Aubrey Lawson, and I am a 32 year old woman. Well, I still consider myself a woman, if that means anything. I'm not exactly female in the traditional sense of course, but our society is still very much framed in the old gender binaries despite, well, everything. In any case, I was a woman before all this started and I still look like a woman now, so, I guess I choose to continue to be a woman. For the past 6 years I've been working as an...

3 years ago
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13 Genders Gender 1

13 Genders: Gender 1 By Monsta I watched as the barista wrote my name on a cup with a worn out sharpie. The cup wasn't the size I had asked and paid for, but since it was a bigger size I didn't mention it. Aside from the free size upgrade, I was also grateful she spelled Olivia correctly. I've never seen Olivia spelled with an "e" outside of Starbucks. In fact, I'm fairly sure one time I got a cup with a "k" in my name somewhere. As I watched the young olive skinned woman go about...

1 year ago
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PLEASURE ISLAND THE POOLSIDE ENCOUNTER Chapter 3B WendyWendell Tells You How It Is

PLEASURE ISLAND: THE POOLSIDE ENCOUNTER Chapter 3B Wendy/Wendell? Tells You How It Is Both? You spin the word around in the hazy glow of your mind blowing orgasm with a strange blonde man that took you from an alley, bound you, and then fucked you. He'd just taken your virginity (at least in this body) by rape. Instead of outrage all that you could feel was the mixture of your cum and his mixing as it trickled out of your now used pussy. The only regret that you had was not giving your...

1 year ago
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Letter from Santa Monica

LETTER FROM SANTA MONICADear Shoeblossom:I go into Grandpa’s room, worried because I know he’s upset with me—I’m a bad girl, and deserve to be punished! I’m wearing my drop-seat pink Dr. Denton footie pajamas, and Gramps looks very displeased with me.?Nipper? he says, as I climb in his lap, ?You’ve been touching yourself and having impure thoughts, and Grandpa doesn’t like that.? Grandpa takes up his big wooden hairbrush, and I protest, crying that I’ve been a good girl. Oh no please no.But...

4 years ago
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Ladies LodgeChapter 7 A Kidnapping Gwendoline is beaten up

After over two hours of holding the same position in the cold afternoon air Harriet was beginning to regret not taking advantage of Gwendoline's kindness in getting her out of the assignment. It was not a comfortable pose at all, involving as it did keeping one foot raised almost off the ground with only the tip of her big toe on the ground and almost all her weight on the other. One hand was resting lightly on her hip and the other touching her breast, which Jim assured her looked fine...

4 years ago
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13 Genders Gender 2

The window air conditioner started squealing around 3am, and it woke me up. I went over and banged on it a few times and it seemed to stop. I crawled back into bed and my wife Tina snuggled up to me from behind and draped her arm over me. "We need to get that replaced," she mumbled sleepily. "Yeah," I said, "I'll probably head to Home Depot tomorrow and..." She interrupted me and said, "Don't worry about it hun. I'll take care of it." She gave me a kiss on my neck, just under my...

4 years ago
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Mondo s Clan

I am Mondo when my story began I was 16 years old. My Father was killed by a cave bear 5 years earlier and my Mother was claimed by Grog.... Grog hates me. The men are gathering for a hunt, we are traveling to a summer camp and need to have meat for the trek. Grog kicks me because he says I am too slow..... soon , very soon I will challenge him. He says my big feet make me clumsy. The men are ready to hunt and the Head man Tondor calls us to move out. Lateen has spotted a herd...

3 years ago
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Anything For Georgetown Part nineHoulihan has sex with Monica

She stripped down to nothing. Houlihan wasn’t thinking of anything except ravishing her flesh, because she had infuriated him. Had disobeyed him. He brought out the paddle and feather, and had her lay across his desk, as before. He started at her ankles, this time, slowly drawing the feather up and down her legs. This time, he brushed his fingertips and the feather up the insides of her legs. She moaned. It was all about gentle ovals, inching ever higher, ever so slowly. He stood up and...

Spanking
2 years ago
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First Lust With Monica

Hello friends, this is my first story. as i am a regular reader of iss and i really enjoy the stories available on it in which some of stories are true but some may be imaginary. i dont want to take much time of you, but before writing my FIRST TIME SEX STORY i want to explain myself. i am a person who is good in looking neither very handsome nor very bad, i am physically fit and can give pleasure to any girl. my email id is n you can search me on FB by same email id. This is the story when i...

2 years ago
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Fucked Girlfriend8217s Bestfriend In Oyo Room

Hi friends! My name is Divine and I’m here with another story and I hope you will like this one. This happened last week. I’m in last year of my graduation and fortunately, I have a girlfriend since second year. So, coming to the story. The name of the girl in this story is Vaishnavi. She is my girlfriend’s bestfriend and they are like sisters. One day, my girlfriend and I were casually talking and I asked my her to have sex with me. But she said I won’t do it till marriage. I tried to convince...

3 years ago
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Fender Bender

Lainey’s fingers dashed across the phone screen. She hit send on her message and began to type out another lengthy response before Dylan could reply. That bastard had spent the better part of her shift at the coffee shop arguing with her over text. The fact that she was now driving home did not stop the argument. It was now in full swing now.Lainey had called him out for flirting with his coworker. She found the text messages to prove it. Of course, she should not have been snooping in his...

Spanking
1 year ago
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Lamont and The Preachers Wife

Lamont always had a big problem. Well, sometimes it was a problem but most of the times it was a blessing. At nineteen years old, he was 6 foot tall with smooth, dark brown skin, low cut black hair, a trimmed goatee and beard, and two hundred pounds of muscle from weightlifting and playing football. Lamont’s problem was he had a hard time finding underwear to fit. His muscular ass wasn’t the problem, or his thick legs. It was his dick. When his dick was completely soft, it was a legit six and a...

Cheating Wifes
2 years ago
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Mrs Cavendish

Preface: I apologise for posting a second unfinished story here (the other being 'Model') but this is another story that I made good progress with and then due to pressure of work have had to stop temporarily. If you like this, or Model please let me know - it will help me decide which one to finish first (or even to start another one). Mrs Cavendish by Paula Hanson (email: [email protected]) Prologue I left school that hot summer three years ago. I was only sixteen at...

2 years ago
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Cavendish Enlightened

Cavendish rubbed at his erection through his pants as he led Beatrice through to the hidden parlour beyond the covert door, eyeing the oaken stairs which led up to the comfortable room that he’d entertained her in last week. It had been she who’d recommended the venue, following his acquaintance of her through a fetishist club he’d been introduced to, and he was more than satisfied with the arrangement, his cock erecting all week in anticipation. She knelt below him, naked and on a silver...

4 years ago
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Lamont and the Preachers Wife

Lamont always had a big problem. Well, sometimes it was a problem but most of the times it was a blessing. At nineteen years old, he was 6 foot tall with smooth, dark brown skin, low cut black hair, a trimmed goatee and beard, and two hundred pounds of muscle from weightlifting and playing football. Lamont's problem was he had a hard time finding underwear to fit. His muscular ass wasn't the problem, or his thick legs. It was his dick. When his dick was completely soft, it was a legit six...

2 years ago
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Blame It on Monica

Well I couldn't blame it on anyone else! I mean, there I was off on a course for a few days, staying in a sleepy little archetypal English village. Next door was a pub, next to that was the church, dating from the 1100's, next to that another pub. One called the Swan, the other the George and Dragon. The bed & breakfast overlooked the village green — more typically English would be quite impossible to imagine. Except that the housekeeper in my old English Guest-house was actually...

3 years ago
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Mehendi On Vidya8217s Hands

Hello Friends, this is Shravan from Mangalore, Karnataka and presently working in Bangalore. The following new story of mine is Completely a FICTION and is not inspired from real life. I hope you will like it and please do send your feedbacks to Enjoy my Latest Fiction Story……. The incident i am going to narrate to you all happened during my cousin’s wedding function in my village. The function was attended by all my family members. I had put leave from my work for 10 days and attended the...

2 years ago
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Femdom story Wendell and how he got that way by

These stories are favourites of mine and would like to share. Wendell would never forget the time he met Diana. Just eighteen years old, but street-wise and self-assured as a Mafia kingpin, she was sitting at a small table by the dressing room, leaning back in her chair with her legs kicked open wide. She was laughing with another dancer about something and smoking a cigarette. He’d always remember her white knee-high leather boots and white boy-cut panties and white lace bra; how tight her...

1 year ago
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The Futas MindControlling Panties Chapter 8 Futa Enjoys the Reverends Wife and Daughter

Chapter Eight: Futa Enjoys the Reverend's Wife and Daughter By mypenname3000 Copyright 2020 Note: Thanks to Alex for beta reading this! Mildred Dean I smiled at the trembling Christabella Tuft. The reverend's daughter stood shell-shock at the debauchery she found in her living room. I stood naked. Her mother, Elouise, had her tongue licking up the last of the pussy juices from my cumming pussy. My futa-dick thrust over her head, the tip buried in the mouth of Mrs. Quick, my MILF...

3 years ago
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Futa Daughters Naughty Temptation 14 FutaDaughter Enjoys the Reverends Wife

Chapter Fourteen: Futa-Daughter Enjoys the Reverend's Wife By mypenname3000 Copyright 2020 Note: Thanks to Alex for beta reading this! Madeline Marlow “You're like Sky?” Helena Matthews said, this look of lust flashing over her face. “The Lord sent you a futa-cock to please married women. To give them the pleasure their husbands do not provide.” One of Spice's favorite lies, Grace the Futa-Angel whispered in my mind. You need to correct her. “That's right,” I said. “A futa-angel...

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