Dominique
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L'?ducation De Dominique 3 free porn video
Arriv?e ? la maison Marie prit cong? et me fit une bise sur le front.
Maman me dit alors en se retournant vers moi, tu as vraiment de la
chance d'avoir trouv? une fille comme elle. Elle est vraiment amoureuse
de toi et veut ton bonheur.
Le reste de la semaine, Marie me serra de pr?s, ne me laissant
pratiquement aucune opportunit? d'?carts mais en ?change, elle ?tait
plus douce et c?line avec moi. Le dernier jour, ? la fin des cours,
elle m'emmena dans une salle de classe vide, me prit les mains, me les
attacha avec une corde et apr?s, me retourna et se mit ? m'embrasser et
? me caresser l'entrejambe comme cela se m?lait en moi, bonheur, douleur
et frustration. M?lange exquis qu'elle maniait ? la perfection. Au
bout d'un quart d'heure, elle s'arr?ta, rajusta ma tenue, rajusta la
sienne, prit ? nouveau une tripe feuille de journal et remplit
compl?tement ma bouche et non contente, elle prit une bande de tape
transparent qui scella mes l?vres. Elle se servit de son ?charpe pour
la dissimuler. Nous sort?mes de l'enceinte et elle m'accompagna jusqu'?
la voiture de Lise. Elles se firent la bise, Lise lui demanda si comme
convenu, elle viendrait mardi prochain. Oui bien sur et voil?, je te
rends mon amoureux, prends en soin en lui faisant un clin d'?il, je l'ai
d?j? pr?par? pour son retour. Elle me fit la bise et me murmura un je
t'aime profond qui r?chauffe le c?ur. Je la vis s'?loigner, j'aurais
voulu l'appeler mais d?j? ma s?ur red?marrait.
Le mardi, tant attendu, arriva et exceptionnellement, je n'?tais pas
entrav?, sorte de r?compense de ma m?re. J'allai ouvrir la porte ?
Marie et elle fut surprise que ce soit moi, elle me fit un petit bisou
mais apr?s que je l'aie d?barrass?e, me demanda pourquoi je ne portais
aucunes entraves. Ma m?re l'entendit et lui dit que c'?tait une mesure
exceptionnelle du fait de ma venue. Elle la remercia de cette charmante
attention mais qu'il ne fallait surtout pas d?roger aux r?gles parce
qu'elle venait. Elle remit un ?norme bouquet de fleurs ? ma m?re. Sur
cet entrefait, mes s?urs arriv?rent et elles s'install?rent au salon
pour parler. Je me joignis ? elles et Marie de dire, je suis g?n?e de
le voir ainsi car je sais que ce n'est pas l'habitude. Beth se leva,
m'emmena avec elle et ce n'est que correctement entrav? et ba?llonn? que
nous les rejoignons. Je m'installe pr?s de Marie qui satisfaite,
reprend sa conversation tout en posant de temps ? autre sa main sur mes
cuisses gain?es de nylon.
Le toucher de sa main m'?lectrise et me r?conforte par contre, je le fus
moins par certaines des ses paroles.
Maintenant, je souhaiterais ?voquer quelques probl?mes avec Dominique si
vous le voulez bien.
En premier lieu, les probl?mes nutritionnels. Je remarque que
Dominique, ? l'?cole, mange des sucreries, des chips, des frites et
donc, cela nuit ? son ?quilibre. Ma m?re me regarda de son regard
d?sapprobateur que je connaissais et moi, je rougissais. J'ai d?j?
constat? que vous lui mettiez de temps ? autre, surtout chez vous, un
corset, serait-il possible qu'il le porte le plus souvent possible car
alli? au fait que je pourrais veiller ? ?viter ses ?carts, il
retrouverait bien vite une taille plus correcte. Tout le monde
approuva.
En second lieu, ses lectures. L?, toutes elles r?agirent en disant
qu'elles veillaient ? cela. Marie ne se d?mont?t pas, elle ajouta, j'en
suis certaine mais ? l'?cole, d'autres filles lui apportent des revues
masculines inconvenantes pour une demoiselle. Il en a un stock dans son
casier. Je pense qu'il doit en avoir ramen?e quelques unes pour les
cong?s. Elle se retourna vers moi et me dit, tu veux bien aller les
chercher mon amour. Devant les regards f?ch?s de toutes, je me levai et
revint quelques minutes plus tard avec trois revues que je d?posai sur
la table. Ma m?re se pencha, les examina et Beth, en se levant les prit
pour les jeter dans l'?tre. Marie reprit en disant qu'elle a une
solution pour les deux probl?mes.
Cela vient du fait, qu'en bonne m?re, vous lui donnez de l'argent de
poche mais que lui, le d?pense sans r?fl?chir. On pourrait ?viter cela
si, avec votre accord, dor?navant vous ne lui en donniez plus du tout.
Je pourrais m'occuper de payer pour lui pendant la semaine et, quand
nous nous verrions, je vous remettrais l'?tat des d?penses avec les
justificatifs.
Dernier point, Internet, j'ai d?j? eu l'occasion de voir qu'il avait des
documents inopportuns puis?s sur le Net. Si vous le souhaitez, j'ai une
connaissance qui pourrait param?trer correctement son PC pour qu'il en
ait un usage correct ainsi que pour les chats.
Ma m?re me fixant droit dans les yeux, lui r?pondit par l'affirmative et
mes s?urs en ?taient enchant?es. Je pense, qu'entre nous, il y a une
confiance et je n'ai pas besoin des justificatifs, simplement tu
m'indiques le total des d?penses. En tout cas, je suis heureuse en tant
que m?re que mon fils ait trouv? une fille aussi s?rieuse et
attentionn?e que toi. En agissant de concert, je suis persuad?e que
nous parviendrons ? le maintenir dans le droit chemin.
Marie la remercia une nouvelle fois pour la confiance et la gentillesse
que ma m?re lui t?moignait mais elle avait encore quelques petites
choses ? voir.
Je trouve que les traits de Dominique, sur certains points, sont encore
tr?s masculins et j'aimerais les att?nuer et augmenter d'autres. Tout
cela bien entendu, sous la surveillance ?troite d'une amie m?decin.
Elle conclut par j'esp?re que vous ne pensez que je suis trop intrusive
dans votre famille et plus sp?cialement dans l'?ducation de Dominique
mais si je r?sume, nous le faisons toute dans son int?r?t et par amour
pour lui.
Ma m?re ?voqua les relations intimes qu'elle souhaiterait avoir. De ce
c?t?-l?, j'en ai parl? avec Dominique, les choses sont claires, rien
avant le mariage car quelle preuve d'amour cela repr?sente pour elle.
Anne prit la parole en approuvant pleinement ses demandes et qu'elle
n'aurait jamais esp?rer que son petit fr?re puisse rencontrer une fille
qui l'aimerait autant.
Lise et Beth acquiesc?rent et, ?taient admiratives du d?vouement dont
elle faisait preuve.
Ma m?re se leva et, pendant que nous pr?parons le go?ter, pourquoi vous
n'en profiteriez pour allez profiter de la propri?t?. Marie m'enfila la
cape et m'?ta mon ba?llon et nous sort?mes.
Pour la premi?re fois, elle me demanda mon avis sur la nouvelle
direction que prenait notre relation et les initiatives qu'elle venait
de prendre.
Devant tant de franchise, je lui dis que j'?tais heureux de notre
relation mais j'?tais surpris de sa s?v?rit?. Elle me r?pondit par le
fait que moi, je percevais cela comme de la s?v?rit? mais ce n'?tait que
de l'amour et que tout ?tait fait pour que je me sente bien.
Etant dans une partie de la propri?t? ou l'on ne nous voyait plus, elle
m'embrassa longuement et tendrement. Entre deux baisers, je lui
susurrai que je l'aimais. Son visage s'empourpra et me dit, merci mon
amour, c'est la premi?re fois que tu me le dis.
Avant de me replacer mon ba?llon, elle m'embrassa et nous rejoign?mes la
maison.
Le surlendemain de No?l, j'?tais invit? ? rencontrer la m?re de Marie.
J'?tais angoiss? rien qu'? cette pens?e car, c'?tait la premi?re
personne, en dehors de la famille, que je rencontrerais qui conna?t ma
r?elle identit?.
Afin de faire la meilleure impression possible, j'enfile un tailleur
bleu, un chemisier de satin blanc, des collants bleu opaque et prends
soin de mes cheveux. A l'heure dite, ma s?ur Anne me d?pose devant la
maison de Marie, elle reste devant tant que je ne suis pas rentr?e dans
la maison. En effet, je ne suis pas entrav? et ceci pour la premi?re
fois depuis des mois.
Anne m'accueille radieuse, me d?barrasse de ma cape, me complimente pour
mon ?l?gance mais remarque que je ne porte aucune entraves ce qui la
d?range.
Ne voulant pas faire patienter sa maman, elle m'emm?ne directement dans
le salon ou celle-ci est install?e dans un fauteuil entrain de lire le
journal. A notre entr?e, elle le replie et se l?ve pour venir ? ma
rencontre. La m?re de Marie, Estelle, est une dame du milieu de la
quarantaine, grande, ?lanc?e et tr?s ?l?gante. Elle d?gage une tr?s
forte personnalit? et m'impressionne rien qu'? la voir. Bonjour
Dominique, vient prend place dans le canap? que je puisse faire ta
connaissance car Marie n'arr?te pas de ma parler de toi. J'aimerais que
tu me parles un peu de toi, de l'avenir et des relations que tu as avec
ma fille. Etant g?n?, ne sachant pas quoi dire, ce que je peux dire, je
rougis, bafouille et devant mon embarras, Marie me dit, Maman conna?t
tout ce qui ? savoir mais elle voudrait l'entendre de ta bouche.
Sur ces paroles, Estelle me dit de me d?contracter et, de bien raconter
mon histoire car de mes paroles d?pend les relations que j'aurai ?
l'avenir avec Marie. Marie me prend la main et c'est ainsi que je me
lance dans mon r?cit. Estelle ne m'interrompt pas mais me fixe, durant
toute mon histoire, dans les yeux comme si elle voulait sonder mon ?me.
A la fin de celui-ci, elle me demande si je suis heureux tant dans ma
vie et dans mes relations avec Marie.
Tout en soutenant son regard, je lui r?ponds deux fois par
l'affirmative.
Bien dit-elle, dor?navant, je te consid?re comme le petit ami de ma
fille et donc, vous pouvez vivre votre relation normalement ce qui
inclut, qu'en sa pr?sence, je dois porter ce que sa fille ou ma famille
me demande de porter. Marie se l?ve toute souriante et va embrasser sa
m?re.
Elle s'?clipse et revient avec une paire de menottes pour les poignets
et une pour les chevilles, qu'elle me place imm?diatement. Marie
m'emm?ne alors visiter la maison et sa chambre.
Elle m'embrasse alors fougueusement en me disant que j'ai ?t? formidable
tant j'ai ?t? spontan? et sinc?re. Ma maman a surement ?t? d'ailleurs
?t? sensible ? cela. Tu vois, ce n'?tait pas aussi terrible que cela.
Je lui avoue alors que je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie et que
sa maman m'impressionne beaucoup. Allons la rejoindre car avant que tu
ne partes, on va prendre une petite collation. De retour au salon, du
th? et des biscuits, nous attendent.
Je n'aime pas le th? mais sa maman nous en fait l'?loge pour ses
bienfaits et n'osant pas la contrarier, je le bois et Marie, me sourit
car elle conna?t mes go?ts.
L'apr?s-midi prenant fin, Estelle me dit que j'?tais le bienvenu chez
elle et qu'elle esp?rait donc me voir plus souvent. Je la remerciai
beaucoup pour son accueil et pour sa gentillesse, que je ne souhaite pas
l'importuner. Elle dit alors, d'un ton assez sec, tu ne m'importuneras
que le jour ou tu importuneras ma fille. Marie dit alors, tu dois te
pr?parer car tu dois repartir. Elle demande ? sa maman, si elle a finit
avec le journal, elle prend alors trois feuilles du journal qu'elle
m'enfourne dans la bouche. Je suis g?n? car elle le fait devant sa
maman mais celle-ci ne dit rien. Elle d?fait mes menottes, me fait
passer les mains dans le dos qu'elle attache avec une corde. Elle en
fait de m?me avec mes coudes, ce qui m'oblige ? redresser la poitrine.
Marie s'absente quelques instants et pendant ce temps, Estelle me dit
alors, ? l'avenir, je souhaite que vous suiviez les pr?ceptes de votre
m?re et de Marie et donc, en ma pr?sence, je veux que vous soyez entrav?
et ba?llonn? si tel n'?tait pas le cas, je m'en chargerais. Marie
revient avec le tape transparent, en d?coupe deux bandes qu'elle
m'applique convenablement. Elle s'adresse alors ? Marie, il faudra que
tu te procures des entraves ainsi que des ba?llons adapt?s quand
Dominique vient ? la maison et n'h?site pas ? prendre du mat?riel
efficace car l?, je constate que ce n'est que de l'amateurisme. Tu sais
bien que je ne l'aime pas, pour bien faire les choses, il faut le bon
mat?riel.
On sonne ? la porte, Marie m'aide ? me lever, je salue la maman et me
dirige vers l'entr?e ou Marie me mit la cape. Anne m'attend et en me
voyant, sourit car me voyant entrav?, elle a comprit que tout s'est bien
pass?. Marie dit alors ? Anne, pour le rendez-vous chez le m?decin,
c'est le 3 janvier. C'est bien not? lui r?ponds Anne, Maman vous
accompagnera. D?part de la maison. Elles se font la bise et nous
repartons vers la maison.
Les f?tes de fin d'ann?e se pass?rent dans la joie et je re?us un
pendentif de Marie ou il ?tait grav? son pr?nom.
Le 3 janvier, nous nous rend?mes chez le m?decin, recommand? par Marie,
une dame d'une quarantaine d'ann?es. Marie lui exposa le fait qu'elle
souhaitait que ma poitrine grossisse, que ma voix mue un peu mais que
mon sexe masculin reste op?rationnel. La doctoresse pose alors des
questions sur le traitement que ma m?re m'a fait suivre. Elle lui dit
alors que c'?tait parfait et si elle ?tait d'accord, le traitement
allait ?voluer. Maman acquies?a, la doctoresse prescrit alors deux
types d'hormones diff?rentes, sans risque pour la sant? et la virilit?
sexuelle, pour le reste tout allait ?voluer progressivement et les
premiers changements se feront dans les trois mois.
En sortant du cabinet, voulant dire quelque chose, Marie m'interrompit
et se saisissant du journal, me fit enfourner trois feuilles, nous
n'?tions m?me pas sortis de la salle d'attente.
Elle me pla?a ?galement sous ma cape, les menottes avec mes mains dans
le dos.
Elle me dit, si c'est pour te plaindre, alors que l'on vient de
consacrer une partie de notre journ?e pour ton bien, il vaut mieux que
tu gardes le silence et c'est ainsi que nous sommes rentr?s ? la maison.
Elle avait convenu avec Maman, que dimanche, la veille de la rentr?e,
j'aille passer l'apr?s-midi chez elle afin de pr?parer la rentr?e et
parce qu'elle souhaitait en discuter avec moi.
Angelica
- 25.10.2020
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