Dominique
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L'?ducation De Dominique 5 free porn video
Elle fini sa conversation en me disant que nous nous verrions demain ?
l'?cole.
Je raccrochai donc avec un n?ud ? l'estomac car maintenant, j'allais
devoir affronter ma famille.
Je rejoignis donc ma m?re seule au salon, elle avait une mine grave et je
m'assis en face d'elle.
Elle me demanda directement si j'aimais r?ellement Marie. Je lui
r?pondis que oui et que je ne voyais pas ma vie sans elle. Elle
rench?rit, en es-tu s?r?? Je lui r?pondis ? nouveau et avec v?h?mence
que oui. Alors dit-elle, pourquoi la fais-tu souffrir, pourquoi toujours
vouloir la rendre jalouse, pourquoi ne l'?coutes-tu pas?? Ta vie
actuelle ne te plait-elle pas?car ? par l'?cole, tu as peu de choses ? te
soucier, non??
Je ne sus rien r?pondre car je sais qu'elle a raison et que je le fais
expr?s de provoquer cette situation. Ecoute, continua-t-elle, je ne t'ai
pas ?lev? comme cela et je suis enti?rement d'accord avec Marie quant aux
propositions qu'elle a faite pour t'aider ? avoir une conduite plus
respectueuse vis-?-vis d'elle. A la fin du mois, tu partiras donc au
stage ou nous t'avons inscrit et d'ici l?, nous allons veiller encore
plus intensivement ? ta conduite et, nous serons toutes intransigeantes
face au moindre ?cart.
Cela veut dire que d?s que tu es hors de la maison, tu seras
syst?matiquement ba?llonn?, entrav? et dans la mesure du possible,
aveugl?.
Tu ne peux sortir, tu ne peux t?l?phoner ou prendre contact avec
quelqu'un de l'ext?rieur sans l'avis de l'une de nous en ce y compris
Marie ou sa maman.
Chaque incartade sera sanctionn?e et toute r?cidive s?v?rement punie.
Je me retirai donc dans ma chambre sans mot dire et n'en descendit que
pour le souper ou je n'osai, ?videmment, rien dire.
Le lendemain, d?s que je fus pr?t ? partir, Anne me passa mes menottes
aux poignets ainsi qu'aux chevilles et elle me fit enfourner les feuilles
de journal. Dans la voiture, elle me dit qu'elle n'avait rien pour
m'aveugler mais que d?s ce soir, elle aurait ?t? achet? le n?cessaire.
Je suis d??ue par ton comportement car tu as la chance d'avoir une petite
amie qui t'aime et qui prend soin de toi et toi, tu ne trouves pour la
r?compenser que de la bafouer.
Et voil?, maintenant, tu subis les foudres de toutes. Arriv?s ? l'?cole,
elle me retire mes menottes et c'est la t?te basse que je rejoins Marie.
Elle me fit ? peine la bise tant elle paraissait encore f?ch?e. Toute la
journ?e se passa sans pratiquement aucun ?change de parole. Le soir,
elle me pla?a soigneusement mon ba?llon journal et m'accompagna ? la
voiture d'Anne. A l'int?rieur de celle-ci, elle veilla au placement de
mes entraves et Anne, apr?s avoir plac? sur mes l?vres une bande de tape
transparente, sortit de la bo?te ? gants une paire de lunettes de soleil
et elle montra ? Marie qu'elles ?taient totalement opaques. Marie la
remercia et Anne lui dit, attends ce n'est pas tout, j'ai aussi une paire
de lunettes de natation qui sont peintes et l?, quant il est ? la maison,
on peut lui placer sans le risque qui ne les fassent tomber. Marie
reconnut l'id?e int?ressante mais j'ai trouv? mieux et j'ai command?, d?s
r?ception, je vous montrerai.
La semaine se passa ainsi mais Marie ne d?col?rant pas, les contacts
furent limit?s au minimum mais ma surveillance, par contre, ?tait au
maximum.
Le samedi, maman m'emmena en ville afin d'effectuer quelques emplettes
vestimentaires et, elle m'annon?a que nous les ferions accompagn?es de
Marie. Elle passa par son domicile pour la prendre.
Marie me parut plus radieuse que la veille et elle s'installa ? l'arri?re
pr?s de moi.
Marie montra sa derni?re trouvaille, des lentilles qui lorsqu'on les
portent, font voir flou et donc, cela permet de se d?placer mais ne
permet pas de voir correctement les gens ou les choses.
Elle dit, tu te rends compte qu'ainsi, pour tout le monde, il aura
seulement l'air d'une personne avec une vue d?ficiente. Maman ne put que
reconna?tre l'ing?niosit? des lentilles et que de cette mani?re, on peut
r?ellement le priver de la vue en toute discr?tion.
Marie me les pla?a et vu ma docilit?, elle me fit un bisou sur la joue
mais pour moi, quelle sensation ?trange cela me procure. Distinguer sans
r?ellement voir.
A la sortie de la voiture, elles m'encadr?rent toutes les deux afin que
je ne risque pas de me blesser ou m?me de tomber. Arriv?s pr?s du
magasin de lingerie, maman m'?ta discr?tement mes menottes et Marie mon
ba?llon. Le but ?tait de renouveler mes soutiens-gorge car ma poitrine
?voluait et je devais changer de bonnet. Ce furent, ?videmment, maman et
Marie qui choisirent les mod?les, elles s'int?ress?rent ? un corset et ?
quelques v?tements de nuit. Ne voyant pratiquement rien, je ne pus
?mettre aucun avis sur les choix et pendant que je me rhabillais, elles
se rendirent compte qu'elles avaient oubli? le journal dans la voiture.
Une librairie jouxtant le magasin, Marie sortit et revint promptement
avec un et, ne se souciant de rien ni de personne, entra dans ma cabine
afin de me r?duire au silence. Mes menottes me furent replac?es aussi.
Nous avons alors rejoint maman au comptoir et la vendeuse, pointant les
diff?rents articles, me demanda si j'?tais satisfaite de mes choix.
Etant dans l'incapacit? de r?pondre, maman vint ? mon aide en r?pondant
oui. Nous avons ainsi fait 3 magasins et Marie me tenait par le bras
pour me guider. De retour ? la voiture, elle me pla?a mes menottes aux
chevilles et me pla?a aussi des ?couteurs, y relia son Ipod et la musique
se mit en route, s'y bien que je n'entendais plus rien d'autre qu'elle.
Elle alla s'installer pr?s de maman afin qu'elles puissent discuter
tranquillement.
De retour ? la maison, je fus install? sur une chaise, Marie prit son
foulard et renfor?a mon ba?llon mais elle me retira les lentilles. Il
fallut quelques minutes pour que ma vue redevienne normale.
Elles s'install?rent toutes autour de la table afin de faire le point
avant mon d?part au stage ? la fin de la semaine suivante. Marie v?rifia
que son Ipod fonctionnait toujours et elle augmenta le volume. La
conversation fut comme d'habitude tr?s anim?e car chacune d'elles
souhaitait que ce stage f?t une r?ussite et donc, elles tenaient ? ce que
tous les documents soient remplis convenablement.
Au bout de plus d'une heure, elles eurent termin?s et, Anne vint m'?ter
l'Ipod et mon ba?llon. Maman s'exprima en premier en me demandant si
j'avais conscience de tout le mal qu'elles se donnaient, toutes, pour
moi. Je r?pondis benoitement que non et Marie, ne put que dire, c'est
bien tout le probl?me avec vous, les hommes, vous ne voyez jamais ce que
l'on peut faire pour vous.
Elles discut?rent alors sur le stage qui m'attendait dans l'entreprise et
Marie me briffa sur ce qui m'attendait, sur les r?ponses que l'on
attendait de moi, sur l'importance de l'impression que je pourrais
donner. Apr?s autant de recommandations, j'avais l'impression d'?tre
d?pass? et moi, qui n'avait pas l'habitude de cela puisque j'ai
l'habitude que l'on agisse pour moi, je commence d?j? ? regretter de
devoir m'ex?cuter celui-ci.
Le d?but de la semaine se passait normalement mais plac?e sous une
surveillance de tous les instants. Le mercredi tant redout? arrive, j'ai
une boule dans l'estomac mais en m?me temps, je ne me sens pas bien et
j'ai mal au ventre. Arriv? ? midi, je le dis ? Marie qui se montre
inqui?te mais met cela sur l'angoisse, elle me b?illonne avec les
feuilles du journal, me place mes menottes sous ma cape et nous repartons
chez elle.
A son domicile, elle me retire mon b?illon pour me demander comment je
vais et si je veux manger. Je lui que non et que la douleur ne me quitte
pas.
Tout d'un coup, une douleur fulgurante me prend et je tombe sur le sol.
Marie appelle son m?decin et d?cide de m'?ter les menottes et ma ceinture
de chastet?. Pour ce faire, elle utilise une pince pour sectionner le
cadenas.
Sur ces entrefaits, le m?decin arrive et d'embl?e diagnostique une
p?ritonite. L'op?ration d'urgence s'impose et prend contact avec une
ambulance. Pendant ce temps, Marie t?l?phone ? sa m?re qui lui conseille
de me faire transporter dans une clinique priv?e ou elle conna?t bien la
directrice. Elle appelle ensuite ma maman afin de la pr?venir et lui
dire ou je suis emmen?.
Malgr? la douleur, j'ai bien conscience que Marie n'a pas perdu son sang-
froid et a les choses en main. Elle se montre si douce et si
attentionn?e envers moi qu'? mes yeux, elle est LA femme de ma vie.
L'ambulance nous conduit vers la clinique et durant tout le trajet, elle
me tient la main et me rassure. A la clinique, ma maman est d?j? l?,
transie d'inqui?tude, je la vois ? peine car d?j?, on m'emm?ne vers la
salle d'op?ration.
A mon r?veil, je vois que tout le monde est pr?sent, ma maman, mes s?urs,
ma Marie et sa maman.
Ma s?ur a?n?e prend la parole et dit, que je leur ai, ? toutes, fait une
belle frayeur mais que maintenant tout va bien. Elles ont toutes un
regard attendri et bienveillant, m?me la maman de Marie qui, d'habitude
est si froide et distante. Je la regarde et m'excuse pour les tracas que
je viens de lui procurer mais aussi car je n'ai pas pu me rendre au
rendez-vous. Elle s'exprime pour la premi?re avec une voix douce et me
dit ne pas me tracasser avec tout cela mais plut?t que je retrouve au
plus vite la sant?.
Encore sous l'effet de l'anesth?siant, quelques minutes apr?s, je me
rendormis.
Ce n'est qu'en pleine nuit, je me r?veillai en sursaut, comme si tout
cela n'?tait qu'un mauvais r?ve. En voyant ma chambre d'h?pital, je me
rendis compte que tout cela ?tait vrai et, ma s?ur Anne, pr?sente ? mon
chevet, vint me rassurer.
Au petit matin, avant d'aller ? l'?cole, Marie vint me voir, pour aussi
s'assurer que je me portais bien. J'eus droit ? un baiser plein d'amour.
Elle me d?posa aussi quelques revues f?minines et repartit presque aussi
vite.
Maman arriva juste apr?s et rassur?e de me voir avec des couleurs,
m'annon?a qu'elle allait passer la journ?e avec moi et que cette nuit, ce
serait Beth. Ta sortie est normalement pr?vue samedi et d'ici l?, ne
t'inqui?te pas, il y aura toujours l'une d'entre nous aupr?s de toi.
Pour les soins, c'est une jeune infirmi?re, jolie et pleine de douceurs
qui s'occupe de moi.
Il y a bien longtemps qu'une main f?minine autre que ma m?re a pu toucher
les parties les plus intimes de mon corps. Je ne peux ?viter certaines
r?actions et je rougis. Elle en sourit et, en m'adressant un regard
complice, cela signifie que je vais bien. La blessure est belle, sans
infection et je devrais pouvoir sortir comme pr?vu.
La journ?e me parait longue sans Marie et j'attends avec impatience son
arriv?e. A 18 heures, elle arrive enfin et, j'ai ? nouveau droit ? un
doux baiser. Maman nous laissent et apr?s un autre baiser langoureux,
elle constate que cela ne me laisse pas de marbre.
Pour les soins du soir, c'est une autre infirmi?re mais elle est toute
aussi belle que sa coll?gue.
Elle doit d'ailleurs insist? pour que Marie quitte la chambre, la
jalousie de celle-ci est trop forte mais l'infirmi?re sans se d?partir de
son sourire et de son calme, la met tout simplement hors de la chambre.
Apr?s m'avoir prodigu? les soins, c'est en riant qu'elle sort de ma
chambre.
A peine l'infirmi?re sortie, Marie rentre rouge de col?re mais, pos?ment,
me dit que je suis tout simplement trop beau et trop attirant. Tu
comprends pourquoi je te prot?ge tant car je ne veux pas que l'on te
prenne ? moi. Enfin, dit-elle, si tel est ton souhait aussi.
Je rougis et lui r?pond que c'est mon souhait aussi.
Nous continu?mes donc la soir?e ? papoter et elle m'embrassa ? plusieurs
reprises fougueusement. Beth arriva vers 20h30 pour rester pr?s de moi la
nuit. Elles ?chang?rent quelques mots et dit ? ma s?ur, Dominique use de
son charme aupr?s des infirmi?res et elles n'y sont pas insensibles.
Beth lui dit, ne t'inqui?te pas, il est entre de bonnes mains.
Effectivement, pensai-je, elle est de loin la plus s?v?re et je n'ai
surement pas int?r?t ? essayer quoique ce soit, elle ne tol?re aucun
?cart.
La journ?e de vendredi se passe calmement, avec maman, dans l'attente de
la venue de Marie.
Maman me fait quand m?me la remarque que je parle et que je suis bien
proche des infirmi?res. Comme la veille, vers 18H, Marie arrive,
s'enquiert d'abord de moi, de l'?volution. Elle me donne aussi une
nouvelle revue f?minine dont les sujets sont la fid?lit? et la jalousie.
Elle ajoute lit l? bien car je trouve que le sujet est bien trait?.
Maman repart quelques minutes apr?s. Nous profitons des quelques instants
de tranquillit? pour nous embrasser, Marie passe alors d?licatement ses
doigts sur mon sexe, elle constate imm?diatement que cela ne me laisse
pas indiff?rent. Elle s'en joue, tout en sachant bien contr?ler les
effets. Plaisir et frustration, un savant cocktail mani? avec doigt?.
Nous ?tions en plein baiser lorsque la m?me infirmi?re qu'hier entra pour
les soins. Celle-ci pria Marie de sortir qui s'ex?cuta sans lui adresser
une parole. L'infirmi?re constata mon ?moi ainsi que la revue qui ?tait
bien en ?vidence. Elle sourit et me dit que j'avais une petite amie tr?s
jalouse. J'?tais rouge et ne savait que dire. Elle ajouta qu'elle
esp?rait que ce n'?tait pas trop car c'est dommage ? mon ?ge de ne pas
profiter de la vie. Elle fit ses soins et ses mains allaient bien
souvent fr?ler mes parties intimes. J'?tais encore plus en ?moi par la
douceur et le doigt? de celle-ci. A la fin des soins, elle me dit au
revoir car elle savait que je sortais le lendemain et qu'elle ne me
verrait plus. Elle me donna une carte avec ses coordonn?es si jamais, je
souhaitais sortir une fois avec elle. Je n'osai refuser et j'en ?tais
flatt?. Elle sortit et Marie s'engouffra aussit?t, elle constata que
j'?tais bien rouge et soulevant mon drap, remarqua aussi mon trouble.
Elle ne dit rien mais son regard ainsi que son attitude n'avaient besoin
d'aucune parole. La seule chose qu'elle dit, heureusement demain, tu
sors et tout pourra rentrer dans l'ordre. Anne arriva et, les deux
femmes, qui s'entendent tr?s bien, sortirent de la chambre pour discuter
un peu. Quand elles revinrent, je lisais la revue qu'elle m'avait
apport?e et, je n'eus qu'un petit au revoir. Anne s'installa et nous
avons discut? de choses et d'autres quant en voulant ranger la revue, je
fis tomber la carte de visite de l'infirmi?re, Anne la ramassa et me
demanda ce qu'il en retournait. Ne sachant et n'osant pas r?pondre, elle
me dit que Marie a totalement raison de dire que l'on ne peut te laisser
ainsi car d?s que tu en en as l'opportunit?, tu uses et abuse de ton
charme. Je suis d'accord avec elle et Maman le pense aussi donc, nous
allons continuer ? te maintenir dans le droit chemin et de mani?re ferme.
Maman et Marie arriv?rent ensemble le lendemain matin. Nous attend?mes
la visite du chirurgien pour valider ma sortie.
Avant de pouvoir m'habiller, maman prit alors une nouvelle ceinture de
chastet?, plus contraignante que la pr?c?dente. En effet, celle-ci ?tait
plus recourb?e que la pr?c?dente et ne m'autoriserait plus qu'? faire
pipi assis, il ne m'?tait plus possible de me toucher et il y avait 2
cadenas en m?tal alors que les pr?c?dents ?taient en plastique. D?s
qu'elle fut plac?e, elle remit ? Marie une cl? et me dit, tes s?urs et
moi-m?me la trouvons digne de confiance. Marie la remercia. Je
m'habillai donc avec les habits de fille que l'ont m'avait apport?.
Apr?s avoir enfil? ma cape, maman me pla?a mes menottes. Marie quant ?
elle, prit trois feuilles du journal qu'elle avait apport? et elle me les
pla?a dans la bouche et des bouchons antibruit dans les oreilles. Je dus
m'installer dans la chaise roulante et elles me conduisirent ? la
voiture.
Marie m'aida ? m'installer ? l'arri?re, me pla?a des menottes aux
chevilles, retira son foulard afin de pouvoir m'aveugler et la touche
finale fut le tape qui vint sceller mes l?vres. Elle me remonta la
capuche de ma cape et me passa la ceinture de s?curit?. Durant le trajet
de retour, envelopp? et s?curis? par elle, je savais que je lui
appartiendrais pour toujours.
Arriv? ? la maison, Marie m'?ta juste le foulard et je fus accueilli avec
enthousiasme par mes s?urs. Ce n'est qu'arriv? au salon, que l'on m'?ta
le ba?llon et les bouchons antibruit.
Maman prit la parole en premier, apr?s cet ?pisode, je pense pouvoir dire
au nom de toutes que nous sommes heureuses que tu sois de retour parmi
nous. Evidemment, ton stage a d? ?tre annul? mais apr?s concertation,
nous sommes toutes d'accord que l'on ne peut rel?cher notre vigilance
envers toi. Par ailleurs, en accord et avec le soutien de la th?rapeute,
dans les prochains jours, Marie va te faire pratiquer certaines nouvelles
techniques afin de t'aider ? ne plus faire d'?cart de bonnes conduites.
Certains se passeront chez elle, d'autres ? la maison. Marie s'est tr?s
bien document?e sur le sujet et nous lui faisons une totale confiance.
Les r?gles qui avaient ?t? introduites avant ton hospitalisation sont
toujours en vigueur voire renforc?e. De toute fa?on et en aucun cas, tu
ne peux sortir de la maison, de l'?cole ou de chez Marie sans l'une
d'entre nous. De plus, tu devras imp?rativement porter des menottes et
un ba?llon que l'une de nous t'appliquera. Est-ce clair?? dit-elle en me
d?visageant. Oui bredouillai-je. Puis les conversations se firent plus
guillerettes et, nous sommes pass?s ? table, Anne vint m'?ter mes
menottes. Juste apr?s le repas, elles me furent replac?es et avec Marie,
nous sommes sortis faire quelques pas dans le jardin. Au d?tour d'un
bosquet, elle m'embrasse goulument et me dit ? l'oreille, combien elle
m'aime et combien elle a eu peur pour moi.
Je suis ?mu et heureux d'entendre tout cela. Elle continue en me disant
par contre qu'elle a de plus en plus dur ? supporter que les autres
filles tournent autour de moi et que surtout, j'y pr?te attention. A
chaque ?cart de conduite, elle souffre de plus en plus. Elle me demande
si je suis conscient de cela. Je lui r?ponds que non. Elle me demande
alors si j'accepte de suivre les techniques qu'elle va m'enseigner. Je
lui r?ponds ?videmment que oui. Aussi rench?rit-elle, tu es conscient que
je vais ?tre encore plus attentive ? l'avenir sur toutes tes
fr?quentations et ? la mani?re de me contr?ler. Je ne peux
qu'acquiescer.
Satisfaite de mes r?ponses, nous sommes rentr?s et, me sentant encore un
peu fatigu? par l'op?ration, je partis me reposer dans ma chambre.
Le dimanche et le lundi se pass?rent calmement car, tout le monde
souhaitait que je gu?risse compl?tement et rapidement. Je passais le
plus clair de mon temps dans ma chambre pour ?tudier. Mardi, j'avais
rendez-vous chez le m?decin pour contr?ler la cicatrisation de mes
plaies, avant de sortir, mes menottes furent plac?es ainsi que les
feuilles de journal. Nous sommes pass?s prendre Marie qui ?tait
r?ellement heureuse de me retrouver. Une fois n'est pas coutume, elle
vint s'installer pr?s de moi durant le trajet. Ce n'est que dans la
salle d'attente que l'on me retira entraves et ba?llon.
La doctoresse nous re?ut et, apr?s m'?tre d?shabill?, m'ausculta et ne
put que constater que ma gu?rison ?tait compl?te. Les fils devraient
avoir disparus pour le week-end.
Elle m'interrogea sur l'hygi?ne et le soin que j'apportais ? ma toilette
de mes parties intimes au vu de ma ceinture de chastet?. J'?tais g?n? de
r?pondre et donc, maman r?pondit pour moi, ce qui ne fit qu'accentuer ma
g?ne. Elle regarda ?galement ma poitrine et m'invita ? me rhabiller.
Pendant ce temps, elle discuta avec maman et Marie. Elle me prescrit
donc un nouveau traitement. Dans le couloir pour sortir, mes menottes
furent replac?es ainsi que le ba?llon. A chaque fois que je dois l'?tre,
Marie s'assure que ma bouche est bien remplie car, elle veut pouvoir
contr?ler mes contacts avec les autres.
Nous nous rendons ensuite ? la pharmacie pour acheter le traitement
prescrit mais aussi, Marie demande pour avoir diff?rents tape
chirurgicaux mais aussi des tapes dont la couleur se rapproche de la
peau. La pharmacienne lui en montre et pr?sente son nouveau produit qui
est un tape tr?s r?sistant, hydrofuge que l'on peut faire dispara?tre
sous du maquillage. Maman et Marie se montrent plus qu'int?ress?e et en
ach?te deux bo?tes.
De retour ? la voiture, Marie me place mes menottes aux chevilles, prend
le nouveau tape, d?coupe une bande et me l'applique sur mes l?vres. Elle
prend alors son rouge ? l?vre, le passe sur le tape et redessine le
pourtour de ma bouche. Maman suit ?a avec attention et est stup?faite
par le rendu, Marie aussi.
Viennent ensuite des lentilles totalement opaques qui m'aveuglent tout
aussi efficacement qu'un bandeau mais tellement plus discr?tement.
En dernier, les bouchons anti-bruits qui sont diff?rents des pr?c?dents,
car ils sont en latex et viennent obstruer totalement mes canaux
auditifs.
Je sens la voiture red?marrer, durant le trajet, il y a plusieurs arr?ts
mais dans ma position, j'ignore tout du monde ext?rieur. Nouvel arr?t,
cette fois, Marie me retire mes bouchons et m'aide ? sortir de la
voiture, nous sommes de retour ? la maison. Elle me guide car aveugle,
je suis incapable de me diriger, elle me retire ma cape, me fait asseoir
sur une chaise, je sens alors qu'elle me place un collier assez large au
cou, qui m'oblige ? garder la t?te droite.
Elle me retire mes lentilles et mon ba?llon afin que je puisse boire.
De retour au salon, maman m'annonce que demain, je vais chez Marie la
journ?e compl?te afin de vivre une journ?e de traitement.
Kaylin
- 11.09.2021
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