The Patriarchy of America
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HISTOIRES DU PATRIARCAT
INTRODUCTION : UN MONDE NOUVEAU
Dans un univers parallèle au nôtre, ou, qui sait, dans le nôtredans quelques années, le Patriarcat a été rétabli.Du moins, c'est ce qui est dit officiellement. Mais en fait, jamais, au coursde l'histoire connue, les femmes n'ont été maintenues dans uneposition aussi inférieure : non seulement le droit de vote leura été très vite retiré, puis peu à peu tousleurs autres droits, mais elles sont considérées toute leur viecomme des mineures incapables de gérer leur vie, à qui touteinitiative est interdite, et dont par conséquent on exige une obéissancetotale.
En principe, chacune doit avoir un tuteur qui signe pour elle un contrat detravail, s'il l'a autorisée à travailler, gère ses biens,si elle en a, et doit donner son autorisation pour toute décision dequelque importance. Il est supposé aussi la défendre, si nécessaire.En fait, il dirige toute sa vie. En général, c'est le pèreou le mari qui joue ce rôle, parfois un frère, mais si une femmen'en a pas, ou si pour une raison quelconque, ils ne peuvent ou ne veulentpas prendre cette responsabilité, un autre homme peut s'en charger.Avoir un tuteur n'est en principe pas obligatoire, mais une femme qui n'ena pas est fortement handicapée dans toutes sortes de situations. Siles autorités estiment que c'est nécessaire, elles peuvent enimposer un.
Dans tous les domaines, il est admis sans discussion que l'homme domine, etque la femme se soumet. Malgré tout, il arrive que quelques rares femmes,particulièrement brillantes, réussissent professionnellementet puissent accéder à des postes relativement importants, maiselles ont en général de la peine à se faire respecter,et leur salaire reste minime. Il leur faut faire preuve de beaucoup de compétenceet d'habilité pour se maintenir dans un environnement toujours hostile,et il suffit de très peu pour qu'elles soient rétrogradéesou licenciées, et aucun syndicat ne les défendra.
En principe, la virginité est valorisée, mais étant donné lasoumission qu'on exige d'elles, peu de jeunes filles le restent longtemps.L'adultère de la femme, quand il ne se produit pas sur l'ordre du mari,ce qui peut arriver, est condamné par la loi, et peut justifier unerépudiation. L'homosexualité féminine est un crime grave,car c'est perçu comme une manière de nier la dépendance à l'égarddes hommes
En même temps que ce retour à un âge d'or patriarcal mythique,mais maintenant devenu bien réel, toujours dans l'idée du rétablissementd'anciennes coutumes supposées et en réaction contre le laxismedu passé récent, le principe, et la pratique, des châtimentscorporels ont été adoptés, théoriquement pour tous(un reste des errements du passé), mais en fait il est extrêmementrare qu'un homme en subisse. S'il doit être condamné, on prononceraplutôt une peine d'amende, de prison, ou d'un travail d'intérêtgénéral, alors qu'une femme sera presque toujours condamnée à laflagellation.
En famille, les enfants, garçons et filles, et aussi bien sûrl'épouse, sont souvent fessés ou fouettés. Mais à lapuberté les garçons en sont définitivement dispensés,et alors il est habituel qu'ils assistent ou même participent aux punitionsde leurs s?urs. Ainsi, est fréquent de voir un gamin de quatorze ansfouetter une jeune fille de vingt. Parfois même, mais c'est plus rare,un chef de famille peut charger un de ses fils de châtier sa mère.Les filles, bien sûr, savent qu'elles pourront être ainsi puniestoute leur vie, par leur père puis par leur mari, peut-être parleur patron ou par quiconque aura autorité sur elles, c'est-à-dire à peuprès tous les hommes. Leur seule consolation, si c'en est une, c'estde se dire qu'elles pourront à leur tour, si leur époux les yautorise, corriger leurs enfants et peut-être, plus tard, leurs belles-filles.C'est leur destin, elles doivent l'accepter, et les rares qui renâclentsont rapidement, et durement, ramenées à la raison.
Dans les entreprises, les châtiments corporels permettent de maintenirune discipline stricte et un travail efficace du personnel féminin,dont on redoute toujours l'irresponsabilité ou l'incompétence.Les plus grandes sociétés et les administrations ont un servicespécialisé, dans les autres c'est le patron ou un cadre qui s'encharge, à moins qu'ils n'aient recours à une entreprise de punition,comme il s'en développe de plus en plus, dont c'est l'activité d'assurerdes châtiments efficaces, et qui offrent leurs services professionnelsaux entreprises, mais aussi parfois à des familles, à des écolesou entre autres, à des clubs sportifs ayant des équipes féminines.
Les châtiments corporels ont officiellement remplacé la prisonou même des amendes dans bien des cas, mais, comme je l'ai dit, celas'applique presque exclusivement aux femmes. Ils sont souvent administrésen privé, dans les locaux du tribunal où la sentence a été prononcée,et où des salles sont aménagées pour cela. Toutefois,dans les cas graves, ce châtiment est public, et c'est un spectacle trèscouru. Ce sont les hommes, bien sûr, qui y assistent le plus volontiers,se faisant parfois accompagner par leur femme ou leurs filles, pour renforcerleur conscience et leur crainte de ce qui peut leur arriver. Certains punisseurs,que le langage courant appelle des exécuteurs ou des tourmenteurs, oumême des bourreaux, deviennent de véritables vedettes, on apprécienon seulement leur sévérité, leur habilité dansle maniement du fouet ou d'autres instruments, mais aussi la finesse avec laquelleils savent humilier les condamnées qui leur sont confiées etl'imagination dont ils font preuve dans la manière de les lier et deles exposer.
Toute la vie quotidienne est donc marquée à la fois par la dominationmasculine et par la pratique des châtiments corporels, ce qui entraîne évidemmentde nouvelles relations entre les hommes et les femmes. Toutefois, la plupartdes sentiments qui nous motivent, l'amour, le désir, la jalousie, lacupidité, la vanité, la recherche du prestige, la volonté depuissance, gardent la même importance que dans notre société,même s'ils se manifestent et se satisfont parfois de façon différente,et si les tendances masculines à la domination, que plus rien ne vientbrider, sont poussées à leur maximum, dans des conditions quirendent aisée et légitime leur satisfaction.
Quelques récits retraçant des épisodes significatifsde la vie sous le Patriarcat nous en montreront différents aspects, à lafois très proches et très éloignés de nous.
LES EPREUVES D'UNE JEUNE VEUVE
Ça faisait un peu plus de six mois que Marianne était veuve,et elle sortait à peine de la dépression qui l'avait frappéeaprès la mort accidentelle de son mari. Il était si gentil, sitendre. Certes, il savait être sévère quand il le fallait,le martinet n'était jamais très loin, mais il n'en abusait pas,et Marianne y était habituée depuis son enfance ; ses parentsavaient été très durs, et encore plus son jeune frèrequi, elle en était sûre, prenait plaisir à la punir chaquefois qu'il en avait l'occasion ou qu'il trouvait un prétexte. Elle avaiteu de la chance, elle n'avait pas perdu son emploi à la mort de sonmari, son patron avait accepté de prolonger son contrat de travail,ce qu'il n'était pas obligé de faire, puisque, comme c'est larègle, tout contrat de travail concernant une femme est un contrat établientre le tuteur de celle-ci et l'employeur, par lequel le premier met à ladisposition du second, moyennant salaire, le travail de sa pupille. Elle n'avaitdonc pas de soucis d'argent, mais elle trouvait difficile de gérer tonsles aspects pratiques de sa vie : l'éducation des femmes, certainsdisent leurs dispositions génétiques, ne les y préparentpas.
La veille au soir, elle avait trouvé à son courrier une lettrela convoquant à l'antenne du Bureau des Affaires Familiales de son quartier.Elle frissonna : ce bureau était l'organisme officiel chargé deveiller à l'application dans la vie quotidienne des principes du Patriarcat.Que lui voulait-on ? Elle pensait être en règle, mais ellesavait bien qu'une femme sans tuteur n'a aucun moyen de se défendrecontre des abus de pouvoir. Elle obtint de son patron l'autorisation de s'yrendre, contre l'engagement de remplacer les heures ainsi perdues.
Prudente, elle arriva en avance : on ne plaisante pas avec le tout-puissantBureau. Dans la salle d'attente se trouvait déjà un couple, prochesde la quarantaine tous les deux. La femme se tenait très raide, pâle,visiblement inquiète. L'homme, probablement son mari, semblait plusdétendu. On vint les appeler, la femme semblait réticente, maisl'homme le poussa à travers la porte. Ils revinrent environ une vingtainede minutes plus tard. La femme semblait encore plus sombre, et baissait latête. L'homme était toujours aussi serein, avec un légersourire.
Ce fut le tour de Marianne qui tendit sa convocation à l'homme derrièrele bureau. Il la regarda et prit un dossier qu'il ouvrit et parcourut un instant..
-Vous êtes Marianne Martin, 28 ans, veuve, sans tuteur.
Elle confirma.
-En six mois, vous avez été deux fois à découvert à votrebanque, vous avez payé le téléphone avec une semaine deretard, et vous n'avez pas encore rempli votre déclaration de revenus.Irresponsable !
-Je sais, monsieur, je fais ce que je peux, mais je suis dépassée?
-Je sais, les femmes sont par nature incapables de gérer leurs finances.Mais ça ne vous excuse pas, et ne vous dispense pas d'être punie.Levez-vous!
Marianne hésita, se doutant de ce qui allait lui arriver Mais son éducation,et sa crainte devant ce représentant de l'autorité la firentobéir. L'homme sortit d'un placard un longue baquette, dont il vérifial'élasticité en la courbant et en la regardant se détendre.Marianne trembla, elle avait bien connu cet instrument, un des favoris de sonpère. Son mari ne l'avait jamais utilisée, et depuis longtempselle n'y avait plus pensé. Et maintenant, comme autrefois, elle allaits'abattre sur ses fesses.
Du bout de la baguette, l'homme lui montra le bureau. Il n'eut pas besoinde dire plus, elle se courba jusqu'à ce que sa poitrine touche le plateaude la table et tendit les bras pour s'agripper à l'autre bout. Calmement,l'homme leva le bas de la robe de Marianne, le coinça dans la ceinture,et baissa sa culotte à mi-cuisses. Il posa une main sur ses reins pourla maintenir et très vite frappa les fesses offertes. Elle serra lesdents, réussit à ne pas crier. Il attendit un instant et frappatrois fois à la suite. Cette fois, elle cria et ne put s'empêcherd'agiter les jambes. Il frappa encore deux fois deux coups et lui dit de serhabiller. Elle se redressa en se frottant les fesses, le visage couvert delarmes. L'homme le regardait froidement :
-Un tuteur vous sera attribué et vous prendra en main. Vous avez undouble de la clé de votre logement ?
-Oui, la clé de mon mari.
-Vous l'apporterez ici demain à midi au plus tard. C'est pour votretuteur, qui doit pouvoir venir chez vous quand il le juge nécessaire.
Marianne rougit à cette idée, mais dit qu'elle le ferait. Quepouvait-elle faire d'autre ?
Pendant trois jours, Marianne attendit avec inquiétude son tuteur,cet inconnu qui aurait tellement de pouvoir sur elle. Elle regrettait de n'avoirpas trouvé elle-même un tuteur gentil, qui aurait eu à c?urde la défendre. Bien sûr, il aurait exigé en retour sesfaveurs, mais ça pouvait ne pas lui déplaire. Une de ses amies,divorcée, avait comme tuteur un homme marié qui géraitefficacement ses problèmes courants, et qui l'utilisait de temps entemps pour satisfaire des besoins pour lesquels ni sa femme ni son employée(il est commerçant) ne suffisaient. L'arrangement semblait les satisfairetous les deux. Plus exactement, il satisfaisait pleinement le tuteur, l'amiele considérant comme un moindre mal, d'autres tuteurs se montrant plusexigeants et pas toujours aussi utiles.
Enfin, une nuit, alors qu'elle venait de s'endormir, un bruit la réveilla.Un homme entra dans la chambre, chercha l'interrupteur, alluma. C'étaitun homme jeune, elle ne lui donna pas plus de vingt-cinq ans. Petit, il avaitun air froid et sérieux. Il s'assit. Avant que Marianne puisse réagir,il se présenta :
-Je viens d'être désigné comme votre tuteur. Levez-vous !
Elle obéit, par réflexe, et elle savait qu'elle y avait intérêt.Elle chercha à prendre de quoi se couvrir, elle ne portait qu'une chemisede nuit légère, mais il l'arrêta d'un geste.
-Quand j'arrive, vous vous mettez debout immédiatement, vous ne bougezplus, et vous ne parlez que pour répondre à mes questions. Compris ?
Marianne hocha la tête. Il répéta : -Compris ?
-Oui, Monsieur, oui.
-Je me suis occupé de vos problèmes. A la banque d'abord : à partird'aujourd'hui, c'est moi qui gérerai votre compte, c'est maintenantmoi qui ai la signature. Quand vous aurez besoin d'argent, vous me le demanderez,et je verrai si c'est justifié. Voici mon numéro.
Marianne réprima un sanglot. Jamais son mari n'avait pris de tellesmesures, et pourtant il lui fallait les accepter. Il continuait :
-J'ai vu votre patron, votre contrat est renouvelé, c'est moi qui l'aisigné. Je lui ai donné l'autorisation de vous baiser quand ilen a envie, pour moi ce droit devrait faire partie de l'autorité detout employeur. (Marianne se dit que la plupart des employeurs n'attendaientpas d'y être autorisés pour user de ce droit, mais elle ne dit évidemmentrien).
L'homme poursuivait :-Je lui aussi donné mon plein accord, sansaucune réserve, pour qu'il vous punisse comme il le juge bon, ce qu'ilne semblait pas faire souvent.
Maintenant, les larmes de Marianne coulaient abondamment : elle comprenaitque sa vie venait de basculer sans recours. Cet homme la contrôleraittotalement, elle ne pouvait en avoir aucun doute, et son attitude montraitqu'elle ne pouvait attendre de lui ni sympathie, ni indulgence.
-Allongez-vous sur le ventre et troussez-vous !
Le calme de la voix, comme s'il s'agissait de la requête la plus banale,la terrifia, et elle s'empressa d'obéir, présentant ses fessesencore marquées par la baguette du fonctionnaire du Bureau. Elle regardal'homme du coin de l'?il. Il retirait lentement sa ceinture. Très vite,il l'abattit sur les fesses nues, plusieurs fois de suite, si vite que Marianneen perdit le compte. Elle cria. Il arrêta enfin, et remit tranquillementsa ceinture. Elle osa demander : -Pourquoi ? Pourquoi ? Je? jen'ai rien fait.
-Pour vous faire comprendre qui est le maître.
Il partit sans rien dire d'autre, la laissant en pleurs, et pas seulement à causede la douleur de ses fesses.
*****
Le lendemain, elle arriva au travail très inquiète. Son patron,qui avait été jusqu'alors plutôt de bonne composition,le resterait-il après les incitations du tuteur ? Pendant l'annéequ'elle avait passée dans cette moyenne entreprise il ne l'avait fesséeque sept fois, et jamais fouettée, ce qui était faire preuved'une mansuétude assez exceptionnelle. Ses amies qui travaillaient commeelle étaient plus souvent fouettées, parfois injustement prétendaient-ellesquand elles étaient sûres qu'on ne pouvait pas les entendre. Unefemme ne doit jamais se risquer à critiquer un homme, toutes l'avaientcompris dès leur enfance. Son patron, encouragé par son tuteur,deviendrait-il aussi sévère que la plupart de ses collègues ?Aucun homme ne veut être considéré comme indulgent, signede faiblesse voire, horreur, d'un tempérament efféminé.
Pendant une semaine, rien ne se passa. Il ne parla pas de la punir, et netenta pas de profiter de son droit de cuissage. Mais tout à coup, toutbascula. Au téléphone, il lui ordonna sèchement de venirimmédiatement. Marianne trembla ; elle savait qu'elle avait commisune erreur quelques jours auparavant, et se doutait qu'une sanction l'attendait.Mais ce n'était pas une erreur trop grave, et elle espérait que,comme les autres fois, elle s'en tirerait avec une simple fessée.
A sa surprise, deux hommes étaient assis dans le bureau quand ellearriva. La patron ne lui laissa pas le temps de s'asseoir, et prit tout desuite un ton sévère :
-Vous avez commis une grave erreur avec la commande de la société ASC,ce qui leur a causé beaucoup de tort, et par contrecoup à nousaussi. Ces messieurs la représentent, et ils réclament réparation.J'ai fait ce que j'ai pu pour compenser les effets de votre légèreté,mais vous aussi vous devez payer. Vous serez donc punie, comme il est normal.Mais puisque ce sont eux les premiers lésés, il est juste quece soient eux qui se chargent de votre châtiment, d'autant plus qu'ilsont un service de punition très performant. Monsieur, ajouta-t-il endésignant les plus âgé des deux hommes, en est le directeur,et voici son adjoint, je leur fais confiance. Ils sont compétents etsauront s'occuper de vous comme il convient. Vous allez donc les suivre, etils vous ramèneront quand ils jugeront votre punition suffisante. Unechose encore : en accord avec le contrat de travail signé par votretuteur, j'ai transféré la totalité de mes droits patronaux à lasociété ASC pour la durée de votre présence chezeux.
Marianne frissonna en réalisant tout ce que ce discours impliquait.Elle savait bien que son erreur ne justifiait de telles mesures, mais ellejugea plus prudent de ne pas le dire. On ne l'écouterait pas, si cen'est pour conclure qu'elle méritait une punition supplémentaire.En fait, son patron la livrait à ces hommes comme un cadeau d'entrepriseou peut-être une prime ajoutée à la signature d'un contrat.Son erreur n'était qu'un prétexte. Elle n'était pour euxqu'un objet pouvant au mieux avoir une certaine valeur d'échange. Certes,elle avait déjà entendu parler de transactions de ce genre, maisn'y avait guère pris garde, pensant qu'il s'agissait de cas exceptionnels.Et maintenant? Elle sentit des larmes couler sur ses joues.
Les deux hommes se levèrent et venaient vers elle. Sans un mot, celuique son patron avait désigné comme l'adjoint lui prit les bras,les ramena en arrière et passa des menottes à ses poignets. Puis,très vite, il lui scella les lèvres avec une sorte de sparadrapnoir. Il s'apprêtait à prendre congé du patron quand sonchef l'arrêta : -Encore un détail ! Il ouvrit la blousede Marianne et baissa son soutien-gorge, découvrant complètementles seins. Le patron approuva d'un signe de tête, en souriant. Ils sesaluèrent cordialement, chacun prit un des bras de Marianne et ils l'entraînèrenthors du bureau.
Jusqu'à la sortie, Marianne le savait bien, les couloirs étaientlongs, et le personnel ou des visiteurs y passaient souvent Elle serait doncvue dans cette tenue humiliante, et se doutait que ses deux accompagnateursne feraient rien pour l'éviter, bien au contraire. Et en effet ellecroisa plusieurs personnes, connues ou inconnues. Toutes le regardèrent,les hommes avec un intérêt évident, les femmes avec gêneet parfois pitié, inquiétude aussi, sachant bien que çapourrait leur arriver. De temps en temps, les deux hommes ralentissaient quandils passaient devant un homme qui semblait particulièrement intéressé,pour qu'il puisse bien regarder ses seins nus.
Au parking, ils la menèrent vers une voiture, la firent monter à l'arrièreet le chef du service attacha une de ses chevilles à un anneau scellé auplancher. C'était évidemment inutile, elle n'avait aucun moyende s'enfuir, mais cela contribuait à la faire se sentir encore plusdominée. En chemin, il discutaient gaiement, évoquant des punitionsrécentes qu'ils avaient fait subir à diverses employées,leurs cris, leurs pleurs et leurs supplications, qui les avaient bien amusés,et aussi leur corps dont ils semblaient avoir largement usé. L'entrainavec lequel ils bavardaient ne pouvait qu'accabler encore plus Marianne, quisavait bien que bientôt ce serait elle qui subirait les sévicesqu'ils évoquaient joyeusement
De nouveau un parking, les interminables couloirs, les regards curieux oulibidineux. Trois fois, ils s'arrêtèrent pour converser avec deshommes qui passaient, à qui ils expliquaient ce qu'était Marianneen termes très crus qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions.Ils arrivèrent enfin au Service de Discipline, comme l'annonçaitune plaque sur la porte. A l'intérieur, une jeune femme, secrétaireou hôtesse, était assise derrière un bureau, devant un écran.Elle portait une robe largement décolletée qui laissait voirune balafre qui semblait aller d'une épaule à l'autre, justeau dessus des seins. Punition justifiée, ou moyen de contribuer à mettreen condition celles qui venaient ou qu'on amenait se faire punir ?
Ils firent asseoir Marianne, lui enchaînèrent de nouveau unecheville comme dans la voiture, et la laissèrent là sans explication.La jeune femme tapait sur son clavier sans sembler s'occuper d'elle. Mais aprèsquelques minutes elle lui demanda : -C'est vous qu'on prête à lasociété ? Elle ne semblait pas avoir de doute sur le faitque la faute n'était qu'un prétexte. ?Je vous souhaite que lePrésident vous demande, c'est le moins dur. Quoi que? ajouta-t-elleaprès un moment de réflexion.
Juste à ce moment, le chef revint : -Que disais-tu ?
La jeune femme pâlit ?Mais? rien? juste quelques mots? rien d'important.
Elle semblait terrorisée. L'homme reprit : -Tu resteras après18 heures.
La femme poussa un cri et tomba à genoux : -Non? pitié? pasde nouveau? pas de nouveau? non, je vous en supplie ! Monsieur, je seraitrès gentille?je ferai tout ce que vous voudrez?tout? s'il vous plait?pas ça?non?!
Elle s'accrochait aux jambes de l'homme, une de ses mains cherchait son sexe,probablement espérant le rendre moins sévère en l'excitantet en le satisfaisant. Mais il la repoussa : -Sotte, tu sais bien queje peux te prendre quand j'en ai envie, alors n'espère pas m'attendriren m'offrant ce que j'ai de toutes façons ! Il réfléchitun instant : -Et tu seras punie en plus pour avoir offert ce qui ne t'appartientpas ! N'oublie pas : à 18 heures !
Elle resta à terre, pleurant bruyamment. Sans plus s'occuper d'elle,l'homme délivra la cheville de Marianne, lui prit le bras et l'emmenavers la porte d'où il était venu. La salle où ils arrivèrent étaitimpressionnante : les murs étaient noirs, les quelques meublesrouge sang. La première chose que remarqua Marianne, ce fut une croixen X contre un mur, puis un chevalet. Des chaînes pendaient un peu partoutdu plafond, terminées par des anneaux de cuir ou d'acier. Au mur étaientaccrochés des fouets et des cravaches. Il la laissa regarder, le tempspour elle de s'imprégner de cette atmosphère sinistre.
Il lui retira les menottes. ?Déshabillez-vous entièrement !
Elle s'empressa d'obéir, se doutant qu'ils seraient impitoyables s'ilsen avaient un prétexte. Elle retira rapidement ses vêtements, évitantde sembler vouloir les aguicher. Dès qu'elle fut nue, l'adjoint pritses vêtements et les mit avec sa montre dans un carton où il inscrivitson nom. Puis, sans qu'ils aient eu besoin de se concerter, ils la saisirentet la retournèrent, la tête en bas. Surprise, elle voulut pousserun cri, mais le sparadrap qui lui scellait a bouche l'empêcha d'émettreautre chose qu'un faible gémissement. Le chef saisit une de ses chevillespendant que son adjoint la maintenait la tête en bas. Il l'attacha à unechaîne qui pendant du plafond, terminée par un anneau de cuirqui referma sur la cheville. Ils la lâchèrent, la laissant sebalancer, ses mains ne touchant pas le sol. Marianne tenta de refermer sescuisses, vainement. Mais très vite elle abandonna ses futiles tentativesde préserver sa pudeur : un cercle de feu entoura sa taille. Lesdeux hommes avaient pris chacun un long fouet à une seule lanière,et au premier coup le fouet avait entouré sa taille. Très vite,l'autre la fouetta à son tour, et ils continuèrent, la frappantalternativement, l'un devant, l'autre derrière elle. La flagellationse prolongea, Marianne ne savait plus depuis combien de temps ni combien decoups elle avait reçus. Un des hommes abandonna enfin son fouet et saisitla jambe libre, qu'il écarta largement. L'autre abattit immédiatementson fouet sur la vulve ainsi exposée. Marianne émit un son rauque,c'est tout ce qui lui était possible. Il frappa encore deux fois. Ellene pouvait toujours pas crier, mais gémissait et pleurait. Ils arrêtèrentenfin, la détachèrent, la soutenant pour qu'elle ne tombe pastrop brutalement.
Ils la posèrent assez délicatement par terre. Le simple contactdu sol sur sa peau zébrée lui sembla insupportable. Elle avaitmaintenant les mains libres, et tenta de retirer le sparadrap. Elle voulaitau moins pouvoir crier, peut-être parler, supplier? Mais un des hommesvit son geste et claqua la main qui se dirigeait vers la bouche. ?Tu n'y touchespas, ou on te remet les menottes !
Pendant quelques minutes, ils semblèrent se désintéresserd'elle, parlant et buvant de la bière. Marianne tenta de se lever, mais,trop épuisée, elle retomba sur le sol dur. Le téléphonesonna -Bonjour, monsieur le Président? oui, elle est là? non,elle a été seulement fouettée? Bien sûr, on vousl'amène tout de suite. Au revoir, Monsieur le Président.
Le chef raccrocha. ?Le patron la veut tout de suite. On continuera plus tard.
Ils mirent Marianne sur ses pieds ; -Allons, tu vas avoir le privilègede voir le grand patron ! Quelle chance !
Elle tremblait, ses jambes avaient de la peine à la supporter. Ilsdurent presque la porter jusque chez le Président. Le trajet fut encoreplus pénible qu'avant. Cette fois, elle était complètementnue, son corps portait, bien visibles, les marques de la récente flagellationet son maquillage n'était plus que des traînées noiressur ses joues. De nouveau, on la regarda, les hommes avec désir ou amusement,les femmes avec crainte ou pitié.
Le Président était un homme d'une soixantaine d'années,légèrement corpulent. Il se leva et salua ses deux employéset regarda Marianne de bas en haut.
-Je vois que vous l'avez bien traitée. Posez-la là, ajouta-t-ilen désignant un fauteuil, et ôtez-moi ce sparadrap, une bouche çapeut toujours servir. Et il faut qu'elle puisse s'exprimer.
L'adjoint obtempéra, et enleva d'un coup le sparadrap, ce qui fit pousserun cri de douleur à Marianne, mais elle était contente de pouvoirparler. Elle restait toutefois inquiète : que voulait dire le Présidenten parlant de la laisser s'exprimer ? Sûrement pas la laisser protestercontre ce traitement injuste? Les deux hommes la soulevèrent et la posèrentdans le fauteuil, et lui ouvrirent les jambes pour les poser sur les accoudoirs,l'exposant de façon particulièrement obscène. Le Présidentapprouva d'un signe de tête, et leur dit qu'il appellerait quand il auraitterminé avec elle.
Dès qu'ils furent partis, il s'assit en face d'elle et commença à l'interrogersur sa vie, son travail. Au début, Marianne fut désarçonnéepar ces questions, et le ton plutôt bienveillant avec lequel elles étaientposées, mais elle finit par se détendre et répondre facilement.Après une quinzaine de minutes, elle était tellement en confiancequ'elle oublia où elle était et se laissa aller à baisseret serrer les jambes. Il réagit immédiatement, se leva pour lagifler :
-T'ai-je dit de bouger ? Tu oublies ce que tu es et où tu es !
Il lui remit brutalement les jambes en place, et claqua plusieurs fois sonsexe que rien ne protégeait. Elle cria, mais il ne sembla pas l'entendre.Avec une force étonnante pour un homme de son âge, il la soulevaet la courba sur le dossier du fauteuil. Sa croupe était maintenantbien présentée, et il la cravacha plusieurs fois. Elle hurla,tenta de s'échapper, mais il la maintenait avec suffisamment de vigueurpour qu'il puisse la flageller autant qu'il en avait envie. Quand il fut satisfait,et qu'il sentit la jeune femme matée, pleurant sans plus se débattre,il ouvrit sa braguette, écarta les fesses offertes et tenta de la sodomiser.Quand elle comprit ce qu'il voulait, Marianne retrouva des forces et se contorsionnatant qu'elle pouvait pour tenter d'échapper à cette pénétrationqu'elle n'avait encore jamais subie.
-Faudra-t-il que je rappelle le service de discipline ? Tu ne connaispas encore toutes leurs possibilités, et toute rébellion estvite réglée par eux. N'oublie pas que je suis ton supérieuret que tu me dois obéissance !
Malgré les efforts de Marianne, il avait réussi à poserson gland sur son anus et commençait à forcer l'entrée.La menace, ajoutée à l'éducation qui l'avait habituée à sesoumettre, avait eu l'effet voulu, et elle avait renoncé à s'opposer,se contentant de pleurer. Mais elle hurla quand il la pénétra,ce qui renforça encore l'érection du Président. Il pritson temps, peinant au début à cause de l'étroitesse duconduit. Peu à peu, il put aller et venir relativement facilement, provoquantchaque fois un cri de la jeune femme. Après un moment qui sembla trèslong à Marianne, il se retira et éjacula sur ses fesses. Il laclaqua deux fois, avec force, et retourna à son bureau, la laissantcourbée inconfortablement sur le dossier, n'osant pas bouger.
Il prit le téléphone : -J'ai terminé avec la fille,vous pouvez la reprendre, mais dans quarante minutes il y a comité dedirection dans la salle de réunion. Il serait bon qu'elle y soit, çamettra un peu de variété. La dernière fois, on manquaitde chair fraîche.
L'adjoint arriva très rapidement. Le Président le regarda à peine,ne levant la tête de ses dossiers que pour lui rappeler que « lafille » devrait être dans la salle de réunion, prêtequand les membres de la direction y arriveraient. En sortant du bureau, l'adjointplaqua les mains sur les fesses de Marianne pour la pousser dans le couloir,mais les retira vite avec une expression de dégoût en sentantle sperme du Président qui n'était pas encore sec. Il essuyases doigts sur les seins de la jeune femme, et lui dit de vite se laver :-Tu es dégoûtante, on ne peut pas te remettre comme çaaux Directeurs. Il la fit entrer dans une salle de douche, et resta à laregarder pendant qu'elle se nettoyait, faisant la grimace quand elle touchaitles marques du fouet ou de la cravache. Un instant, elle avait espéré qu'ilse montrerait discret et se détournerait, mais elle fut vite détrompée :il ne la quitta pas des yeux un instant, même quand elle voulut alleraux toilettes, dont il lui interdit de fermer la porte.
La salle de réunion était vaste, avec au milieu une grande tablerectangulaire. A chaque place, il y en avait une vingtaine, un dossier étaitprêt. Tout autour de la salle, le long des murs, se trouvaient des fauteuilsconfortables, et des tables basses où étaient disposésdes verres et des bouteilles de cognac et de whisky. Des hommes en tenue desserveurs s'affairaient à mettre tout en place impeccablement. Troisfemmes étaient debout près du mur, toutes jeunes, et trèsbelles. L'une, qui devait approcher la trentaine, portait le costume de lafemme d'affaires : tailleur noir, jupe aux genoux, escarpins à talonsmodérés, collier de perles, chignon. Les deux autres, plus jeunes,avaient des tenues plus modestes : chemisier et minijupe. Les trois étaientimmobiles, et gardaient la tête base. L'accompagnateur de Marianne lafit placer, elle aussi, près du mur, en lui disant d'attendre, on luidonnerait des ordres comme aux autres. Il ajouta qu'il viendrait la chercherpour la suite, et partit. Elle était extrêmement consciente desa nudité et des marques sur son corps, mais, regardant autour d'elle,elle ne vit rien qui puisse l'aider, ni même lui donner des indicationssur ce qui allait se passer. De toute façon, ce serait désagréable, çaelle pouvait en être sûre. Et pour confirmer ses craintes, ellevit les serveurs disposer des cravaches et des martinets sur les tables basses, à côté desbouteilles. Elle frissonna.
Peu à peu, des hommes arrivaient, certainement les membres de la direction.Certains jetaient un regard distrait sur les quatre femmes debout, parfoiss'arrêtant un peu plus sur la nudité de Marianne, puis cherchaientleur place, commençaient à examiner le dossier ou bavardaientavec leur voisin. Le Président arriva, ouvrit la séance, unediscussion sérieuse commença. Marianne ne comprenait pas grand-chose à cequi se discutait. Tout à coup, au milieu d'un exposé trèstechnique, un des hommes se tourna vers la femme élégante etlui, fit signe d'approcher. Elle vint tout de suite. Il lui dit quelques mots,et immédiatement la femme se mit à quatre pattes et se glissasous la table. Peu après, un autre homme appela Marianne, la fit rester à côté delui et lui fouilla le sexe tout en prenant des notes de l'autre main.
Tout à coup, un des hommes poussa un cri : -La garce? elle m'amordu !
Immédiatement, deux serveurs se précipitèrent sous latable et en ressortirent traînant la jeune femme élégantequi se débattait en hurlant : -Pardon?j'ai pas fait exprès?pardon? nooon?pardon? jeferai attention? nooon?
Les deux hommes durent presque la porter pour l'emmener dehors, tellementelle se débattait. Celui qui avait crié leur dit avant qu'ilsne sortent : -Vous la ramènerez quand vous l'aurez punie, ellesera sûrement plus attentive !
Le Président demanda : -Qui est-ce ? Qu'est-ce qu'elle faitchez nous ?
-C'est la chef du service comptabilité.
Il fronça les sourcils, désapprobateur : -On ne peut pasconfier un tel poste à une femme? Ca leur monte à la têteet elles en oublient leurs devoirs. La preuve? Vous la mettrez désormais à l'accueil,elle est assez décorative pour ça, et ne commettez plus la mêmeerreur, remplacez-la par un homme !
Les deux autres jeunes femmes avaient aussi été appeléeset se trouvaient sous la table, mais l'homme qui fouillait Marianne ne la lâchaitpas. Manifestement, il voulait la faire réagir, mais elle étaittrop perturbée par tout ce qui venait de lui arriver, et par sa situationactuelle qui lui faisait tellement honte. Pourtant, après plusieursminutes, son corps commença à réagir. Elle tenta de s'enempêcher, elle serait trop humiliée de jouir devant tous ces hommes.Mais cela faisait longtemps qu'un homme ne l'avait pas touchée, en faitdepuis la mort de son mari, et elle n'avait eu d'autres satisfactions que solitaires.L'homme était habile, et elle ne put résister, elle cria de jouissance.Tous les regards se tournèrent vers elle, en général amusés,un peu méprisants.
Celui qui avait ainsi réussi semblait très content de lui, etil approuva quand un des hommes lui demanda s'il pouvait « lui passerla fille ». Il poussa Marianne vers lui et l'expédia d'uneclaque sur les fesses. Ce que voulait cet autre homme, c'était sa bouche,et il lui dit de passer sous la table. Elle s'empressa d'obéir, et retrouvales deux autres jeunes femmes, qui avaient chacune en bouche un sexe. L'uneavait les seins nus, à genoux, et une main d'homme tordait une des pointes.La femme souffrait visiblement, des larmes coulaient, mais elle continuait à sucerconsciencieusement. L'autre était à quatre pattes, encore vêtue.Au dessus, autour de la table, la discussion se poursuivait.
La braguette de celui qui l'avait poussée sous la table étaitdéjà ouverte et un sexe à moitié dressé ensortait. Ce qu'on attendait d'elle était clair, et malgré sahonte d'être ainsi utilisée, Marianne prit le sexe dans sa bouche.Elle n'avait pas une grande expérience de la fellation, son mari n'en étantpas souvent amateur. Toute jeune, sur le conseil d'une copine, elle avait proposé à sonpremier amoureux de le sucer, dans l'espoir de préserver ainsi sa virginité mais,après avoir profité de sa bouche, il l'avait exigée quandmême et elle avait dû céder après une vigoureusefessée. Même un garçon qui sortait pour la premièrefois avec elle et s'en disait amoureux estimait avoir droit à son obéissanceet savait par quel moyen l'obtenir.
Après ce qui s'était passé quelques minutes plus tôt,elle prit bien garde que ses dents ne touchent pas le sexe. L'homme devaitla trouver trop timide : il lui prit la tête à deux mainset l'obligea à prendre l'organe, qui avait fortement grossi, au fondde la gorge. Elle eut la nausée, hoqueta, mais réussit à continuerconsciencieusement. L'homme guidait maintenant sa tête d'avant en arrière, à sonrythme. Vite, il déchargea, maintenant en place la tête de Mariannepour l'obliger à avaler, ce qu'elle fit avec un haut le c?ur. L'hommela repoussa légèrement du pied, elle n'était plus qu'uninstrument maintenant inutile. Il avait dû montrer des signes de satisfaction,car une main chercha la tête de Marianne, lui saisit les cheveux et latira vers lui. Elle comprit tout de suite ce qu'il voulait, ouvrit elle-mêmela braguette devant elle et en sortit le sexe encore flasque qu'elle prit enbouche et commença à sucer, terrifiée en voyant qu'ilne bandait pas. Il pourrait le lui reprocher, et s'il l'en tenait pour responsable? Ellefrissonna à cette idée. Elle savait que c'est lui qu'on croiraitet elle qu'on punirait. Elle s'activa.
Au dessus de la table, la réunion s'achevait. La porte s'ouvrit, onramenait l'ex-comptable, nue et le corps couvert de marques violacées.Celui qu'elle avait mordu lui dit de recommencer à la sucer, mais cettefois bien en vue de tous. Il se tourna un peu, et les serveurs qui l'avaientramenée la jetèrent à genoux devant lui. Fébrilement,elle tendit les mains vers sa braguette pour montrer sa bonne volonté.Le sexe était dressé, et elle ouvrit largement la bouche, engouffrantce membre considérable. L'homme réclama une des cravaches quin'étaient pas loin, et se tint prêt à frapper. Il jouitvite sur le visage de la femme, lui donna un coup de cravache sur le dos etla repoussa.
Elle trouva vite un nouvel amateur, mais lui ne se contenta pas de sa bouche.Il la courba sur la table et l'enfila d'un coup, tout en disant qu'elle étaitvraiment trop sèche. Sous la table, Marianne avait enfin réussi à fairebander le sexe qu'elle avait en bouche, à moins que ce ne soit la vuede ce corps nu et flagellé qui l'ait excité. L'homme la fit sortiret la prit, elle aussi courbée sur la table. La réunion terminée,les hommes se détendirent en prenant les quatre femmes les unes aprèsles autres et en buvant, certains se stimulant en utilisant les cravaches oules martinets à leur disposition. Marianne, inconnue de ces hommes,fut très demandée, et quand peu à peu tous furent partis,elle avait eu ses trois orifices utilisés elle ne savait plus combiende fois.
Bientôt les quatre femmes, nues, couvertes de sperme et le corps marqué,restèrent seules, ne sachant pas que faire et n'osant prendre aucuneinitiative. Bientôt, les serveurs revinrent et les prirent eux aussi,avant de débarrasser et de nettoyer la salle. Deux d'entre elles purentretrouver leurs vêtements, froissés et un peu déchirés,mais leur permettant de se couvrir et de se sentir à peu prèsdécentes. Marianne et l'ex-comptable ne trouvèrent rien pourcouvrir leur nudité. L'ex-comptable essaya bien de s'envelopper dansla nappe d'une des tables, mais un serveur vint vite la lui reprendre. Un hommevint lui dire que le DRH l'attendait, et qu'elle se dépêche, puisaux deux autres qu'elles pouvaient rentrer, on n'avait plus besoin d'elles.Elles disparurent rapidement. L'ex-comptable se mit à pleurer de nouveau,elle devait se douter de la raison de sa convocation. Elle chercha de nouveaude quoi se couvrir, mais l'homme ne lui en laissa pas le temps.
Il ne restait que Marianne, qui visiblement l'embarrassait : -Qu'est-ceque tu fais ici ? Dans quel service tu travailles ? Marianne bredouillaqu'elle n'était pas de la maison. Le visage de l'homme s'éclaira :-Ah, je vois, c'est toi qu'on a envoyée ici se faire punir, je croisque tu n'as pas fini. Mais en attendant? Il la bascula sur une table et laprit rapidement. Il se rajusta et partit en lui disant ?Attends ici, je suissûr qu'on ne t'oubliera pas !
Marianne resta seule. Elle se sentait souillée, pire, déshumanisée.Elle avait été utilisée par des hommes qui l'avaient à peineregardée, qui ne lui avaient pas parlé, sauf pour lui donnerdes ordres brefs. Son vagin et son anus la brûlaient à force d'avoir été pénétrésplusieurs fois sans préparation. Était-ce cela la vie d'une femmequi n'avait plus de mari pour la protéger ? Elle ne pouvait rienattendre de son tuteur, qui ne voyait certainement aucun inconvénient à cequ'elle soit traitée comme ça. Elle s'assit et pleura, sur cequi venait de lui arriver, et sur ce que serait sa vie désormais.
Des pas s'approchaient : c'était l'adjoint du Service de Discipline.Sans un mot, il la fit lever et l'entraîna une fois de plus le long decouloirs interminables. Le soir approchait, il n'y avait plus grand monde pourla voir, mais maintenant cela lui était presque indifférent.Qu'on regarde son corps nu et marqué, quelle importance ?
Ils arrivèrent au Service de Discipline. L'hôtesse étaittoujours à son bureau, très pâle. L'adjoint lui montral'heure avec un sourire ironique. ?N'oublie pas ! 18 heures ! Il était6h. moins 20. Elle recommença à pleurer. Trois femmes étaientassises, comme dans la salle d'attente d'un médecin. L'adjoint allavers l'une d'elles, une femme d'une quarantaine d'années. ?De nouveauici ? Ca fait pourtant moins de deux semaines qu'on t'a traitée.On a été trop gentils et tu as recommencé ? Soistranquille, cette fois tu ne risqueras pas d'oublier, on va te soigner toutparticulièrement. La femme éclata en sanglots. Les deux autres,plus jeunes, semblaient plus calmes, mais l'une d'elles triturait nerveusementle mouchoir qu'elle portant de temps en temps à ses yeux et qui étaitpresque en lambeaux.
Il fit entrer Marianne dans la salle qu'elle connaissait déjà.Un jeune homme était en train de fouetter une femme attachéenue, sur le dos, à un chevalet. Le chef l'observait et le guidait enformateur consciencieux : -Ca suffit pour les seins. Descends maintenantsur le ventre et les cuisses et termine par trois coups sur la chatte. Dirigemieux les coups, évite de frapper deux fois au même endroit? voilà,c'est mieux, continue comme ça ! A chaque coup la femme hurlait.Marianne brusquement la reconnut : elle avait eu affaire à elledans son travail, c'était alors une personne respectée, représentantun client important. Qu'avait-elle pu faire pour mériter de se retrouverainsi en train de servir de terrain d'expérience à un apprentitortionnaire ? Ou alors, Marianne savait maintenant que c'est possible,peut-être n'avait-elle rien fait de répréhensible, et n'était-ellelà que par le caprice d'un homme.
Le chef abandonna son élève pour venir vers Marianne ?Ton patronveut te voir aujourd'hui même, ce soir. On va te ramener à lui.Ca ne nous laisse pas le temps de terminer ta punition, mais il a dit que cen'est pas grave, on pourra venir te chercher un autre jour et finir le travail.Allons-y !
L'adjoint lui donna ses vêtements, soigneusement emballés. Elleeut de la peine à se rhabiller, le simple contact du tissu étaitinsupportable là où elle avait été le plus fouettée.Elle les mit quand même, trouvant un certain réconfort dans lefait de ne plus être exposée, nue. Cette fois, elle ne fut nimenottée ni bâillonnée, et on lui laissa fermer son corsage,sans plus d'explications qu'avant. Marianne en fut soulagée, mais restaitinquiète ; pourquoi son patron voulait-il la voir ce soir encore ?Elle ne pouvait penser que ce soit pour raccourcir son calvaire, c'étaitvraiment trop peu probable après son attitude de ce matin. Alors, quoi ?
Le retour dans son entreprise fut rapide, l'adjoint était visiblementpressé, et ne perdit pas du temps à humilier Marianne comme ill'avait fait à l'aller, et il se contenta d'enchaîner de nouveausa cheville dans la voiture. A destination, il ne restait pas grand monde,les couloirs étaient presque déserts. Le patron les attendaitdans son bureau, là où la punition avait en fait commencé.C'était il y a quelques heures seulement, mais pour Marianne c'étaittrès loin, une autre époque, quand elle avait encore un peu dedignité. Maintenant?
Le patron la salua vaguement, remercia celui qui l'avait ramenée, etlui dit qu'il l'appellerait pour achever le travail. Une fois seuls, il luidemanda : -Ils t'ont bien marquée ? Partout ? Docile,Marianne se contenta de répondre : -Oui, Monsieur, partout. Ileut l'air satisfait. : -Parfait, nous allons chez moi. Mes fils veulentvoir comment c'est un corps de femme bien châtié. Ils n'ont pasde s?ur, et n'ont donc pas l'occasion d'en voir, juste de temps en temps leurscousines, mais qui sont encore petites. C'est normal qu'ils se posent des questions.Je ne les laisse pas assister aux punitions de leur mère, çane serait pas bien. Mais toi?
C'était clair. Une fois de plus, Marianne se rendit compte qu'ellen'était plus qu'un corps, que ses sentiments n'avaient aucune importance.Arrive-t-il à tous ces hommes qui l'utilisent si facilement de penserqu'elle est un être humain ? Ce n'est surement pas leur problème.Elle ruminait ces tristes pensées, mais à aucun moment n'imaginase révolter. Elle avait reçu une excellente éducation
-Allons, on y va, ce n'est pas le moment de rêver ! La voix dupatron le ramena à la réalité immédiate. Il fallaitqu'elle aille s'exhiber devant des gamins probablement vicieux.
Pendant le trajet en voiture, le patron ne lui adressa pas la parole, et n'essayapas de la toucher. Il se gara devant un pavillon dans une banlieue qui a laréputation d'être riche. Dès qu'ils furent entrés,il appela : -Devinez ce que je vous apporte ! Venez vite !
Deux garçons d'un peu moins de quinze ans dévalèrentles escaliers.
-Cool ! Tu l'as punie aujourd'hui ?
-Pas moi, je l'ai fait punir par des spécialistes, c'est mieux. Marianne,entrez au salon, nous y serons mieux.
La femme du patron était assise et lisait. Quand ils entrèrent,elle regarda Marianne avec un air de dégoût, posa son livre etsortit en disant ?Amusez-vous bien !
-Marianne, déshabillez-vous complètement, que mes garçonspuissent bien vous voir.
Elle obéit comme un automate, comme si elle voulait nier sa situation.En un instant, elle fut nue, et n'eut même pas de réflexe de pudeur.La pudeur, c'était pour le passé. Qu'on la voie nue, qu'on serende compte qu'elle avait été fouettée, quelle importance ?
Le patron la fit tourner lentement pour que ses fils puissent la voir complètement.Mais ça ne leur suffisait pas, il leur fallait toucher. Leur pèreles laissa faire avec un sourire indulgent. Ils passèrent les doigtsassez rudement sur les marquez, indifférents aux gémissementsqu'ils provoquaient. Ils lui écartèrent les cuisses et les fessespour regarder son sexe et son anus, où le plus grand voulut introduireun doigt, constant qu'il était bien étroit. Ils la manipulaientcomme un poupée, riant de ses grimaces quand la douleur devenait tropforte, commentaient entre eux son corps et ses marques sans jamais s'adresser à elle.Après une bonne vingtaine de minutes, leur père leur dit que çasuffisait.
-Encore un peu, supplièrent-ils. ?D'accord, encore cinq minutes, maispas plus. Je suis sûr que vous n'avez pas fini vos devoirs. Le supplicede Marianne continua. Les cinq minutes écoulées, le pèredevint ferme : c'est fini, maintenant vous allez travailler dans votrechambre
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R?duite ? l'?tat d'esclave Pour sauver son mari Chapitre 1 Auteur : Bedo Email : [email protected] - "Que t'es -t-il arriv? qu'est ce que ces marques sur ton visage ? ..." demanda-t-elle affol?e.- "Oui " r?pondis-je m'asseyant tout penaud ? ses cot?s...? J'en prends plein la gueule...? Les gardes les laissent faire...... Il regardant, certains s'en vont lorsque ?a d?marre...... Encore 32 jours et je pourrai sortir....... Tu dois m'aider ch?rie......"- "Je ne crois pas pouvoir le faire.....
Omar ? Premier jour de croisi?re Omar ? Le premier jour de croisi?reCruise Ship ? Day 1Coulybaca / Black Demon *******************************************Cette histoire? se suffit en elle-m?me,Cependant elle est aussi la suite logique de :Omar - Viols lors de la croisi?re inaugurale (Cruise ship captives) ************************************************* Omar Shoron ne pouvait d?sirer meilleur poste que le sien, il ?tait ma?tre d'?quipage sur le navire de croisi?re "Isle of Pleasure".Il avait fait son c...
Cruise Ship Captives Omar - Viols lors de la croisi?re inauguraleCruise Ship Captives Couylybaca / Black Demon Le paquebot de luxe 'Islands of Pleasure" allait partir pour sa premi?re croisi?re, un long p?riple de Charleston aux Bahamas. Cette sortie initiale servait ? tester le navire au plan commercial. Naturellement comme il s'agissait d'une premi?re sortie au d?part de Charleston les passagers ?taient pour la plupart des autochtones. Les dates des croisi?res futures d?pendraient du succ?s de ce voy...
PLEASURES AND SHAME OF A SOCIALITE Viviane est une femme très distinguée, élégante,sûre d'elle et de son charme. Veuve à 33 ans, elle a de nombreuxprétendants, qu'elle tient éloignés avec une gentillesseun peu hautaine. Mais en même temps elle est incapable de s'opposer à celuiqui la traite avec autorité, voire avec une certaine brutalité.Celui-ci peut alors la prendre n'importe quand et n'importe où, se contentantd'ouvrir rapidement ou de baisser les vêtements qui couvrent son sexepour...
„Mesdames et Messieurs nous avons commencé notre descente surl´aéroport de Bruxelles National, veuillez maintenant attachervos ceintures de sécurité !". Claire la maître decabine de ce Boeing 767 charter aux couleurs belges, sortit de son sac a mainun petit miroir et son rouge a lèvre. Elle se reconnut évidemmentet l´instant d´une seconde le vide s´était á nouveauxfait dans sa tête: "quel voyage, comment une telle chose puisse m´êtrearrivée." Elle avait 37 ans, blonde aux cheveux mi-court et...
I was feeling down for quite a few weeks after Janice gave me the shove. I may even have been depressed but being a country lad in those days I didn’t even know what depression was. In the country, there was only happy and sad. If you were happy then that was fine. If you were sad you spent time alone, focused on work and you recovered and of course, in time I recovered.As I came out of the darkness that I was engulfed in it suddenly occurred to me that I had told Carol that I would introduce...
Love StoriesHello everyone.As you can see in my profile I have a thing for my wife telling me about her experiences before we met. Its a turn on for me to hear some of the things she got upto before we met. So i thought I would share some of the stories with you.The men in this story are called Rodney and Byron, I wont tell you myu wifes name but her initial is M, so they all be referred to by their initials only.This story goes back 20 years or so when M was 24, and it was 2 years before I met her.She was...
Everything in me focused on getting home though I couldn’t help checking out each person that stepped on the train.Fatigue slowed my mind down, but the longer I watched people, the more my creativity tried to sit up and took notice. He’s a naughty b**st, my muse. He’s been a bit sluggish though and he made only minimal effort even then.I noticed the little things in my post-work haze. The tightness of her striped skirt that barely covered her ass, the cat-got-the-cream look on his face that...
STORIES By LJ Everyone has a story. You just have to be willing to listen... When I first saw him, I thought he might be grieving. He stood before a grave, head bowed, features lost in the bulk of a shapeless topcoat. Only as I approached did he straighten, turning to face me when I walked directly up to the nearby grave I was still digging. There was no grief on that cold, impassive face that caused me to flinch as I took an involuntary step away from him. His dark eyes...
This is a branching series with a focus on transformation and size changes in stories. Predominantly growing and expanding in some way, but also including shrinking, size draining, size transfer, and any other size play related fun. Size changes can happen any number of ways depending on the path you choose and who is growing and changing. Random growth spurts, stealing size from others, phone apps that let you change sizes, science experiments, medication, ancient jewelry or magic spells, the...
Fetish(...the day before) “So, Brook, I understand you and Will have been around the bush a few times?” Sierra said playfully. “Yeah you could say that” “Oh! I can’t believe my little Will is already growing up! OH! He’s so cute! You’re a lucky girl!” “Yeah, and surprisingly, Will’s really good at it, I mean, I have no one else to base it off of, but he always makes me cum when we do it” “How big is he?” “About this big”, Brook said, holding up her hands about six inches apart,...
Introduction: intros in the name 3. (…the day before) So, Brook, I understand you and Will have been around the bush a few times? Sierra said playfully. Yeah you could say that Oh! I cant believe my little Will is already growing up! OH! Hes so cute! Youre a lucky girl! Yeah, and surprisingly, Wills really good at it, I mean, I have no one else to base it off of, but he always makes me cum when we do it How big is he? About this big, Brook said, holding up her hands about six inches...
I used to date a very sexy filipina back when I was younger who was very promiscuous in her day. She loved getting tons of attention and especially loved it when men wanted her. She was 5'3 120lbs nice ass 34C bra size. This story takes place after knowing her for over a year and realising that she was going to do whatever she wanted. She was already seeing someone new since we had broken up but she would still come over and we would fool around. One night she told me she was going to be very...
Stories of The Relic: The Book of Keilari - Part 3 - The Boy Nobody Wanted By Alexander Kung San Francisco 2010 -Chris' Mind Mind walking was one of the most dangerous of Keliari skills if the mind was a chaotic one. However, Gia felt the risk was well worth it, if only to prove to herself that Christopher was just as bad as all the others that possessed the book. Her skills a bit rusty from lack of use, she appeared 4 feet in the air higher than she wanted and promptly...
HorrorHi disto me vaasu apni sachi ghatna aap ko sunane jaa raha hu ye stories meri bhabhi or mere maa ke saath mere saband kaise bane uske bare me hai or mere maa or bhabhi ke chuchaa bahut mote hai or gaand dono ki same tarah ki hai mere maa ki aje 42 hai or mere bhabhi ki umar 34 hai or me 18 saal ka hu. Ye baat tab ki h jab me maa ko nangi dekh kar pagal ho gaya tha maa bilkul nangi naha rahi thi thabhi se maa ki jaise fig vali orto me jyada interest hai or mere bahut tamana thi ki me bhi...
I am a professional rapist. Now I know what most people are thinking, "What is a professional rapist? That doesn't make any sense." Well, a professional rapist is just what it sounds like, someone who rapes people for money. In other words, people pay me to rape women. They have many different reasons for coming to me: revenge, rage, wanting to break the victim, or just knowing that that woman they see every day has been violated. How does it work? It's simple, really. You...
Stories from a Small Town Police ChiefPart I ? I'm the?police?chief?of a small town in Alabama. The population is about 1,000 people and we don't have too many outsiders moving in. A good portion of the town's income comes from?people on their way to somewhere else?who think it's ok to speed through our town. The town is notorious for its speed traps, but we usually catch at least 20 people each day. I'd like to keep the name of the town a secret for certain reasons which you'll understand...
As a teenager, I lived in a relatively small town. My parents ran a farm, so every Saturday I helped them out on the farm and in return, they paid me a few dollars. This helped me out quite a bit because the job that I had in those days didn’t pay well. Every Saturday night, my old school friend, Dave and I would drive the twenty-five miles to the adjoining town which was a good deal larger than my hometown.Like most teenagers our interests were two-fold, we enjoyed a drink and we sought female...
MILFWithin the MNF universe there ar many and varied beautiful big breasted women for you to enjoy and gawk at. This is a collection of their many adventures and stories trough their day to day, sex filled lives.
Stories of The Relic: The Book of Keilari - Prologue By Alexander Kung Bell Air 1991 Michael Sanderson considered himself a man of wealth and taste, The ultimate connoisseur of the finer things in life. Born into an immensely wealthy family, he truly felt he was entitled to the very best, because he could afford to. "I'm a Sanderson" he chuckled to himself as he walked about his grand estate, "I deserve nothing but the best!" Opening a secret door,he made his way down toward...
HorrorStories of The Relic: The Book of Keilari - Part 2 - The Gift of a name Christopher Kagawa aka Chris Tome is a 23 year old Award winning best selling novelist with a problem, he has lost his passion for his craft. He lives a lonely and reclusive existence with a growing disdain for the outside world and humanity in general. Magically dropped into his lap is a Keliari, a seemingly female vampire who is now bonded to him via a curse. By Alexander Kung San Francisco 2010 Chris...
HorrorStories of The Relic: The Book of Keilari - Part 4 - Ground Rules By Alexander Kung The Quietness of the loft was broken by the soft sounds of whimpering and sobbing. Gia growled as she tossed and turned on the couch unable to sleep soundly. After not being able to sleep for centuries, she found herself haunted by the memories of the cruelty shown to her over the years. But the worst was the memory of how it all began.. ~0~ Venica, Italy 1491 It had all started right after she...
HorrorStories of the Relic: The Book of Keilari -Part 5- Ready and Revelations By Alexander Kung As Denise and Gia get ready for their adventure of San Francisco, Chris learns a bit more about his new house guest San Francisco- 2010 Angelo Seacrest looked out at the beautiful view of the San Francisco bay from his large office in the Trans America Building deep in thought. After many years of fruitless searching, the book of Subjugation was finally in his grasp only to be denied again...
Horrorone time i was at club med with my family when i was in high school....i ended up meeting this older french guy while i was there and he kept slipping me drinks...i hadn't really drank very much before then so i got tipsy pretty quick...he asked me to come back to his room with me he said he had something he wanted toshow me...he must have been about 30 or so...i was 16 and very pretty...i think by then i had had sex with only one person the guy who was my boyfriend at the time and i was very...
Mike smiled at the girl on the couch. She returned an inviting smile and he took a seat at her side, touching her from shoulder to thigh. He had always thought that Susan was the prettiest girl in his class, but he had never worked up the courage to tell her. He turned his face sideways and her face was right there, waiting to be kissed. So he did. He kissed her softly at first and then he moved his lips on hers and then he slipped his tongue in her mouth. He slid his hand across her flat...
I slept soundly until ten o’clock. My dreams were of a beautiful woman with long hair with a ginger tint. We made love many, many times in my mind and the experience was indescribably pleasant. Of course, I awoke rock hard. I closed my eyes to see her in my mind while my hand stroked slowly to relieve some of the pressure that had built up from my dream. “Two sex-starved women in the house and you have to masturbate,” Linda’s voice said. “Ah, I know what you are doing. You are dreaming of her,...
CuckoldIntroduction: First off, Im not sexually attracted to woman, so this is my attempt at a girl+girl story…please dont rip it to shreds!!! As far as the story goes, this one is focused on Lynn as she starts her new life in Seattle….have fun and happy cumming!! Keep in mind, Im a girl, and Im also not a lesbian, so this story may not be up to your full standards…..enjoy Into After Lynn had escaped the clutches of Rev. Greenes cult, her parents immediately came to her side, baring gifts and begging...
Hi, this is Penetrator007 from New Delhi. I am an extremely kinky and dominating male here who enjoys pleasuring and flirting with educated and mature classy women. Let’s get into the story. Simmi Kapoor, 32 is a chirpy and bubbly desi woman from the city of Chandigarh. She is tall at 6 feet 1 with fair peachy skin tone, long curls all the way up to her lower waist with a perfect hourglass figure 36-26-36. Simmi’s 36 inch bust with deep cleavage is perfect for pleasing men by making sure they...
I’d been preparing for the ritual for the last week, and I finally had acquired all my supplies and set up a space in the guest bedroom of my apartment. I had acquired a large vanity mirror through craigslist and put it against one wall of the guest bedroom, and on top of it I arranged my materials for the summoning. I set several cones of incense alit in plates arranged around the room and let their intoxicating scent fill the room. I lit the black candles I had on the vanity and turned off...
I guess I should start by saying that even as a child, I was shy, quiet, reserved. Though, I always wanted to be one of the outgoing girls. They always seemed to have so much fun, smiling at everyone, laughing at all the jokes. I just never had it in me to be anything but the timid girl that sat quietly at her desk. Even during free time, I’d rather read and listen to my music than join in the frolicking of the others. I also had a tendency to keep my distance from others because I was...
I guess I should start by saying that even as a child, I was shy, quiet, reserved. Though, I always wanted to be one of the outgoing girls. They always seemed to have so much fun, smiling at everyone, laughing at all the jokes. I just never had it in me to be anything but the timid girl that sat quietly at her desk. Even during free time, I’d rather read and listen to my music than join in the frolicking of the others. I also had a tendency to keep my distance from others because I was...