Les F?minisatrices 1 - Nicole free porn video

Nicole Les f?minisatrices - Episode 1 Ma vie changea l'ann?e de mes quinze ans. Depuis que mon p?re ?tait parti, je vivais seul avec ma m?re dans un petit appartement. Maman n'?tait pas souvent ? la maison. Elle travaillait ? la caisse d'un supermarch?, et comme son salaire ?tait insuffisant, elle faisait le m?nage pour des personnes ?g?es. J'?tais donc souvent livr? ? moi-m?me, et je d?sesp?rais ma m?re en faisant l'?cole buissonni?re et en participant souvent ? des actes de petite d?linquance. A cette ?poque, je faisais partie d'une petite bande de copains. J'?tais petit, et ma pubert? ne semblait pas d?cid?e ? d?buter. Je compensais ma petite taille et ma voix d'enfant par mon comportement. J'?tais devenu un peu le leader de la bande parce que toujours le premier ? avoir les pires id?es de blagues et de b?tises ? faire. C'?tait la fin de l'hiver, et il faisait encore froid dehors. Comme tr?s souvent dans cette saison, nous "tra?nions" au centre commercial avec les copains. Nous passions devant une boutique de luxe quand nous v?mes en sortir trois filles superbes avec de nombreux paquets. Voyant ces trois filles, je ne pus m'emp?cher de faire le malin devant les copains. Je ne me souviens plus exactement de ce que je dis ? ce moment. Cela devait quelque chose du style: "Alors, les poules de luxe, on fait son shopping?" En g?n?ral, avec les copains, on riait beaucoup de voir les filles ? qui l'on s'adressait ainsi baisser la t?te et s'?loigner en acc?l?rant le pas. Nous nous sentions forts, et ?a nous amusait ?norm?ment... Mais ce jour l?, les filles se sont arr?t?es, nous ont regard? pendant un moment en chuchotant et en souriant. J'?tais d?j? tr?s ?tonn? parce qu'elles ne semblaient pas avoir peur de nous, mais quand la plus grande s'approcha avec un sourire carnassier, et en me fixant dans les yeux, j'?tais abasourdi. Elle s'arr?ta ? quelques centim?tres de moi, me toisa pendant quelques secondes, puis dit, d'une voix pleine d'assurance: "Tu sais que tu es tr?s mignon, toi? Si seulement tu n'?tais pas un petit con de macho, je pourrais faire quelque chose de toi!" Mes copains riaient en me poussant ? lui r?pondre, mais j'?tais compl?tement d?stabilis? par son assurance. Je commen?ais n?anmoins ? baragouiner: "Ah oui? Et qu..." Elle m'interrompit en m'embrassant ? pleine bouche! J'?tais compl?tement paralys? par la surprise. Apr?s ce baiser inoubliable, elle me fixa avec un sourire, et ajouta: "Si tu ?tais gentil, tu pourrais en avoir beaucoup plus... Mais comme tu n'es qu'un insignifiant petit macho, c'?tait la premi?re et la derni?re fois que tu pouvais m'approcher!" Tandis que les filles s'?loignaient, les copains me regardaient bouche b?e. Ils semblaient attendre une de mes blagues habituelles... Mais je restais t?tanis? par ce qui venait de se produire. J'essayais bien de trouver quelque chose d'amusant ? dire, mais j'?tais ?tourdi par ce baiser. J'avais d?j? embrass? quelques filles, mais l?, c'?tait diff?rent. C'?tait la premi?re fois la premi?re fois qu'une fille m'embrassait en me dominant ainsi. A cette ?poque, je ne l'aurais jamais admis devant les copains, mais j'?tais tr?s troubl? par cette situation. Je crois que j'?tais instantan?ment tomb? amoureux de cette fille. Je mis plusieurs longues minutes ? retrouver la parole, et les copains ne se g?n?rent pas pour se moquer de moi. Ce soir l?, je mis longtemps ? trouver le sommeil. Je restais terriblement troubl? par cette aventure. Dans les jours qui suivirent, je retournais souvent au centre commercial, seul, devant la boutique o? s'?tait produite cette extraordinaire rencontre. Cette fille m'obs?dait. Je voulais la revoir... Et en m?me temps j'?tais effray? par cette id?e. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, mais j'?tais s?r que je devais la revoir. Mais comment la retrouver? Je ne connaissais ni son nom, ni son adresse... Peut ?tre n'?tait elle-m?me pas de la r?gion? Peut ?tre ?tait-elle simplement de passage. Malheureusement, elle ne revint pas dans cette boutique. Au bout de quelques jours, j'avais renonc? ? la retrouver. J'?tais seul en ville, ? r?vasser devant une boutique de jeux vid?o, quand j'entendis des voix de filles derri?re moi. "Oh, mais c'est notre petit macho de l'autre jour!" "Tu es s?re?" "Oh oui! Je n'oublie jamais quelqu'un que j'embrasse! Et surtout, je n'oublie pas un aussi joli petit cul!" Elles ?clat?rent de rire quand je me retournais. C'?taient les trois filles de l'autre jour! Je restai immobile quand la plus grande s'approcha doucement de moi. "Eh bien, tu ne trouves rien de dr?le ? nous dire? Tu es seul? Sans tes copains pour rire ? tes blagues de petit macho?" Je bredouillai un timide: "Je ne suis pas un macho... Je..." S'amusant de mon trouble, elle m'interrompit et me demanda, comme si c'?tait la chose la plus naturelle qui soit?: "Nous allons faire un peu de shopping, tu veux nous accompagner ?" Cette fille me fascinait, je fus simplement capable d'opiner de la t?te. "Au fait, quel est ton nom? Moi, c'est Agathe, et voici mes s?urs Alexie et D?borah." "En... Enchant?, moi c'est Nicolas." Bredouillais-je, compl?tement surpris par ce qui m'arrivait. En marchant ? leurs cot?s, je pus observer ces trois filles superbes, et faire leur connaissance. Agathe, celle qui m'avait embrass?, ?tait une superbe brune aux cheveux boucl?s. Ses yeux verts au regard ? la fois doux et s?v?re me fascinaient. Elle portait un tailleur pantalon de grande marque et quelques bijoux. Elle ?tait plus grande que moi, et avec ses chaussures ? talons aiguilles, elle me dominait quasiment d'une t?te. Elle avait dix-huit ans, et semblait beaucoup s'int?resser ? moi. J'?tais ? la fois surpris et heureux de ses questions. Comment une fille si belle, qui devait avoir tous les hommes ? ses pieds, pouvait-elle simplement jeter un regard sur moi? J'?tais compl?tement sous le charme et je trottinais ? ses cot?s comme un petit gar?on suivant sa maman. La deuxi?me fille se pr?nommait D?borah. Elle ?tait l'a?n?e, avait vingt ans et ressemblait beaucoup ? sa s?ur, ? part quelques m?ches de cheveux qui avaient des reflets roux. Elle portait quant ? elle un ensemble en jean incrust? de strass, avec des bottines ? talons. Alexie, la plus jeune, avait seize ans. Au premier abord, elle me sembla la plus r?serv?e. Elle ne dit quasiment rien pendant que nous marchions. Elle semblait beaucoup plus f?minine que ses s?urs. Ses cheveux longs et raides ?taient blonds d?color?s. Son maquillage ?tait un peu plus voyant, tout en restant tr?s d?cent. Elle portait ?norm?ment de bijoux, boucles d'oreilles, colliers, bagues, bracelets, piercing au nombril... Elle ?tait la seule en jupe. Son regard bleu inquisiteur me transper?ait ? chaque fois que je le croisais. Elle semblait chercher ? m'?valuer ? chaque instant. Nous sommes all?s dans plusieurs boutiques de v?tements. Elles s'amus?rent ? essayer ?norm?ment de choses... Et en achet?rent certaines. A chaque essayage, Agathe me demandait si je la trouvais jolie dans cet ensemble ou sexy dans cette robe printani?re. Bien souvent, je n'?tais capable que d'approuver d'un signe de t?te, ce qui ne semblait pas beaucoup la satisfaire. Alors qu'elle ?tait entrain de se changer dans une cabine d'essayage. D?borah s'approcha de moi et me demanda: "Ca ne te plait pas d'?tre avec nous ?" "Si, si, bien s?r!" "Alors, tu devrais montrer plus d'enthousiasme. Dis quelque chose! ... Quand Agathe va sortir de la cabine, tu devrais lui faire des compliments!" "Je..." "Allons, ne sois pas timide! Ce n'est pas si difficile de dire ? une fille qu'on la trouve jolie!" Quand Agathe ressortit, portant une robe de soir?e vert ?meraude, j'eus une inspiration soudaine en disant: "Oh, la couleur de cette robe est joliment assortie ? tes yeux!" Agathe semble touch?e par le compliment et vint imm?diatement me faire une bise sur la joue, avant de se tourner vers la vendeuse en disant qu'elle prendrait cette robe. D?borah s'approcha de moi et me chuchota: "Tu vois? Ce n'est pas si difficile!" Je lui r?pondis en chuchotant moi aussi: "Mouais... J'ai entendu ?a dans un film que j'ai regard? l'autre jour avec m'man..." D?borah ria, tout en me pr?cisant que je devais continuer ainsi. Apr?s quelques magasins, dont trois boutiques de chaussures, je me retrouvais dans le r?le du porteur de paquets. Je me rendais compte qu'elles se servaient de moi, mais en m?me temps, je me sentais bien avec elles. Nous nous arr?t?mes dans un caf? pour faire une pause et prendre un chocolat chaud. Agathe me posait ?norm?ment de questions sur moi, sur ma m?re... Je lui demandai soudain pourquoi elle s'int?ressait tant ? moi. Elle me r?pondit avec un naturel qui me d?sarma: "Tu es craquant, je voudrais que tu sois mon petit ami!" Puis elle m'embrassa sur la bouche. "Tu veux bien ?" Compl?tement sous le charme, je bredouillais un oui timide, et la laissais m'embrasser encore une fois. Elle continua: "Attention! Je ne supporte pas les petits machos! Je crois qu'au fond, tu n'en es pas un... Mais il faudra me le prouver!" "Je... Oui, comment ?" "D'abord, il faudra m'ob?ir! Je ne laisserais jamais un m?le diriger ma vie! ... Mais tu n'auras pas ? le regretter!" Ajouta t'elle en m'embrassant encore une fois. J'?tais estomaqu? par la s?v?rit? du ton qu'elle employait, mais en m?me temps, j'?tais ravi qu'une telle fille s'int?resse autant ? moi. Je r?pondis en rougissant: "T... Tout ce que tu voudras... Agathe..." Apr?s avoir fait un clin d'?il complice ? ses s?urs - clin d'?il dont je ne comprendrais la vraie signification que des semaines plus tard - elle se pencha encore une fois vers moi pour m'embrasser, avant de demander l'addition au serveur. Apr?s la pause-caf?, nous continu?mes l'apr?s-midi de shopping. Les trois s?urs m'emmen?rent dans une boutique dans laquelle je n'aurais jamais imagin? entrer un jour: une boutique de lingerie! J'?tais comme dans un r?ve. J'?tais entour? de dentelles, de frous- frous... Les filles firent quelques essayages, mais sans me les montrer cette fois... sauf Agathe, qui me demanda de la rejoindre dans sa cabine. Elle portait un ensemble bustier, culotte, porte-jarretelles et bas d'un blanc virginal. Elle me demanda ce que j'en pensais... Mais cette fois, je fus incapable de dire un seul mot. Je me voyais dans le miroir, devant cette fille sublime ? demi nue. J'?tais rouge et je transpirais beaucoup, de plus l'importante d?formation de mon pantalon parlait pour moi. Amus?e de mon trouble, Agathe me souffla ? l'oreille en ma caressant l'entrejambe: "Je vois que ?a te plais! Je vais prendre cet ensemble... Et je ne le porterais que pour toi!" C'?tait incroyable! J'?jaculais imm?diatement dans mon pantalon, en ne pouvant pas r?primer un petit cri de plaisir et d'?tonnement. Avec une grande assurance, Agathe m'embrassa, puis me dit: "Contente que ?a te plaise!" Puis dans un petit rire, elle ajouta en chuchotant: "Baisses ton pantalon, tu ne peux pas rester comme ?a, avec ton cale?on tremp?..." Honteux, je m'ex?cutai devant elle. Elle regarda mon cale?on mouill? et mes jambes nues, puis me dit: "Il faudra changer tout ?a! D'abord je d?teste les gar?ons qui portent des cale?ons... et puis tes jambes sont un peu trop poilues ? mon go?t..." "Qu'est ce que je devrais faire? Me raser les jambes ?" Demandais-je ?tonn?, tout en n'imaginant pas une seule seconde le faire r?ellement. Elle me r?pondit avec un sourire: "C'est bien de le proposer, beaucoup de gar?ons sont g?n?s ? cette id?e... Oui, bien entendu qu'il faudra te raser les jambes!" L'espace d'un instant, je restais sans voix, puis elle ajouta en me caressant la t?te: "Il faudrait aussi te laisser pousser les cheveux!" Elle disait cela avec tant de naturel que je me contentais d'approuver, sans vraiment r?aliser qu'elle ne plaisantait pas. Je n'avais pas encore compris ce qui m'arrivait quand elle sortit de la cabine en disant assez fort pour que tout le monde l'entende dans la boutique: "Enl?ves ton cale?on, il est mouill?, je vais te trouver de quoi le remplacer!" Je restais sous le choc et n'osais bouger. Elle revint quelques minutes plus tard avec des petites culottes f?minines. "Je... Je ne peux pas porter ?a!" "Mais si, tu le peux, et tu vas porter ces petites culottes! J'aime beaucoup quand mes petits amis se laissent aller ? exprimer un peu la f?minit? qui est en eux... Je veux que tu portes ce genre de dessous tous les jours... fais le pour moi, s'il te pla?t!" J'allais remonter mon pantalon et essayer de me sauver quand elle m'embrassa une nouvelle fois, en commen?ant ? baisser mon cale?on. Vaincu, je la laissais faire, et je me retrouvais nu devant elle. Elle chuchota en riant doucement: "Oh, mais elle n'est pas tr?s grande!" Puis, comprenant qu'elle venait de dire quelque chose de blessant, elle ajouta: "C'est beaucoup plus mignon comme ?a! Je d?teste les trop gros engins... Ils me font mal." Ses sous-entendus me laissaient esp?rer que bient?t, je pourrais faire l'amour ? cette fille sublime. Je renon?ais donc ? lutter, et j'enfilais la petite culotte blanche, bord?e de dentelle qu'elle me tendait. "Tr?s joli! Et puis si tu portes ce genre de dessous, je suis s?re que tu n'oseras pas me tromper avec une autre fille!" Ajouta t'elle avec un petit clin d'?il. Plus tard, apr?s une derni?re boutique de chaussures, j'accompagnais les trois s?urs (en portant tous leurs paquets) jusqu'? un parking o? Agathe avait gar? sa voiture. Voyant ce magnifique v?hicule de marque allemande, je demandais ? ma nouvelle petite amie: "C'est la voiture de tes parents ?" "Non, non, c'est la mienne! Nous avons la chance d'avoir une famille tr?s ais?e! Bien! Montes dans la voiture, je te ram?ne chez toi!" Sur le chemin, je pensais ? l'immense chance que j'avais: j'avais une nouvelle petite amie, sublimement belle... Et riche! Si elle avait quelques fantaisies, comme me faire porter des petites culottes de femmes, je me disais en souriant que je pourrais assez bien supporter cette situation. Arriv?s chez moi, Agathe m'accompagna jusqu'? l'appartement. Ma m?re ?tait l?. Elle fut tr?s surprise quand je lui pr?sentais Agathe, ma "petite amie". Tr?s vite, Agathe sembla se sentir tr?s ? l'aise avec ma m?re. Elles discut?rent un petit moment entre elles pendant que j'allais ranger mes nouvelles petites culottes dans ma chambre. Tr?s vite, Agathe repartit, sans oublier de m'embrasser - ses s?urs l'attendaient dans la voiture - et ma m?re se tourna vers moi, tr?s ?tonn?e: "Elle a l'air d'?tre une jeune fille tr?s bien! Je crois que tu as beaucoup de chance... Mais n'est-elle pas un peu trop ?g?e pour toi ?" Devant ma m?re, je retrouvais toute mon assurance et je r?pondis: "Je crois que je l'aime, maman! C'est ce qui compte! Tu ne crois pas ?" "Oui, oui, ?videmment..." R?pondit-elle avec un sourire en levant les yeux au ciel. Quelques jours plus tard, Agathe et moi sommes all?s au cin?ma tous les deux... Notre premi?re sortie! Ce matin l?, en prenant ma douche, je me rasais les jambes comme elle me l'avait demand?. C'?tait une sensation ?trange de porter mon pantalon sur ma peau nue... Quand je retrouvais Agathe, je lui parlais de mes sensations, mais une fois de plus, elle me fit oublier mes doutes en m'embrassant. Dans les semaines qui suivirent, Agathe et moi avons pass? beaucoup de notre temps libre ensemble. A chaque fois, elle v?rifiait que je portait une petite culotte et que mes jambes ?taient lisses. Pendant cette p?riode, je suis retourn? r?guli?rement au coll?ge, et j'ai arr?t? de voir ma bande de copains. Agathe m'influen?ait ?norm?ment, et voyant cela, ma m?re ?tait ravie. Un jour, Agathe m'entra?na dans une bijouterie, o? elle me fit percer les oreilles, et m'offrit une paire de boucles d'oreilles. Quand elle me ramena chez moi ce soir l?, ma m?re n'eut pas le temps d'exprimer son ?tonnement. Elle fut interrompue par Agathe qui nous dit: "Maman souhaite vous rencontrer toutes les deux... Pardon Nicolas... Je voulais dire tous les deux. Elle souhaiterait vous inviter ? d?jeuner dimanche prochain!" Tr?s ?tonn?e, maman accepta imm?diatement... Elle m'expliqua apr?s le d?part d'Agathe qu'elle se posait beaucoup de questions sur ma petite amie, et que cette invitation serait certainement un bon moyen d'y r?pondre. Le dimanche suivant, maman avait mit sa jolie robe, et elle me fit mettre le costume que j'avais port? une seule fois pour ma communion. A l'?poque, il ?tait trop grand pour moi, et ce jour l?, il ?tait d?j? presque trop petit. Je tirais sans arr?t sur les manches de la veste qui remontaient tout le long de mes bras. Nous pr?mes le bus pour nous rendre chez Agathe. Il fallut changer plusieurs fois de bus pour finalement arriver dans un quartier r?sidentiel devant un grand portail derri?re lequel on voyait un immense jardin. "Tu es s?r que c'est ici ?" Me demanda ma m?re. "Je ne sais pas... Si! Regarde! C'est bien son nom de famille, l? sur la sonnette!" Nous sonn?mes, et apr?s quelques secondes, une voix f?minine r?pondit ? l'interphone. Apr?s que nous nous ?tions pr?sent?s, le portail s'ouvrit et la voix de l'interphone dit: "Suivez le chemin, la maison est au bout!" Nous avons march? le long d'un chemin recouvert de gravier et bord? d'une pelouse, de massifs de fleurs et de bouquets d'arbres pendant plusieurs minutes avant de voir une immense maison derri?re une ligne d'arbres. Devant la porte de la maison, trois femmes nous attendaient. Agathe, une femme ayant environ a quarantaine, v?tue d'un tailleur de grande marque, et une bonne en tenue de soubrette. Quand elle nous vit, la ma?tresse de maison s'avan?a vers nous: "Bonjour! Vous ?tes ? pieds ?" Ma m?re r?pondit, en semblant g?n?e de faire face ? quelqu'un d'apparemment aussi riche: "Oui, nous sommes venus en bus... c'est plus simple... Euh bonjour, merci de votre invitation!" "Si j'avais su, je vous aurais fait envoyer une voiture! Au retour, faites-moi plaisir et acceptez que je vous fasse ramener." "Euh, oui merci madame... " "Allons, pas de chichis entre nous, appelez moi Doria!" Elle s'avan?a et fit le plus simplement du monde la bise ? maman, ce qui eu pour effet de la d?tendre un peu, puis elle se tourna vers moi: "Et voici donc Nicolas, Oh oui, Agathe avait raison! Tu es tr?s mignon! Tu as vraiment du potentiel..." Puis elle nous invita ? entrer dans la maison en me poussant vers sa fille qui vint m'embrasser. Toujours un peu g?n?e par tant de luxe, maman nous suivit dans la maison. Peu apr?s, nous ?tions install?s ? table quand je remarquais que parmi les convives, j'?tais le seul gar?on. Doria ?tait assise en bout de table, maman ?tait ? sa droite, et moi, ? sa gauche. Agathe vint s'asseoir ? cot? de moi, et Alexie s'assit ? cot? de sa s?ur. D?borah quant ? elle ?tait install?e ? cot? de maman, avec Michelle, une jolie brune aux cheveux courts qu'elle pr?senta comme sa compagne. Doria demanda ? maman: "J'esp?re que vous n'?tes pas choqu?e... D?borah a toujours pr?f?r? les filles aux gar?ons..." "Non, non, pas du tout... De nos jours je crois que chacun doit pouvoir faire ce qu'il veut... Je... Je me demande parfois si je ne devrais pas essayer. J'ai ?t? si souvent d??ue par les hommes, notamment par le p?re de Nicolas!" R?pondit ma m?re en riant... Je ne sais pas si elle plaisantait quand elle disait qu'elle voudrait "essayer" mais Doria posa imm?diatement sa main sur la sienne. Maman rougit l?g?rement avant de doucement retirer sa main en souriant. Yvette, la bonne, fit le service, et je savourais pleinement ce savoureux d?jeuner. Je ne me souviens pas avoir mang? d'aussi bonnes choses avant ce jour! Doria et maman pass?rent presque tout le repas ? discuter de moi, de mes go?ts, des inqui?tudes de ma m?re concernant mon comportement et mes faibles r?sultats scolaires... Avant ma rencontre avec Agathe. Mais je n'?coutais que tr?s distraitement parce qu'Agathe passa tout le repas ? me caresser le haut de la cuisse ou ? me toucher du pied sous la table. De leur cot?, D?borah et Michelle se comportaient comme deux amoureuses, totalement isol?es du monde. Alexie resta silencieuse pendant tout le repas. Vers la fin du repas, alors que j'?tais entrain de savourer une cr?me glac?e avec un coulis de framboises, une caresse d'Agathe se fit plus insistante et me fit renverser mon dessert sur mes genoux. Maman me gronda imm?diatement: "Nicolas! Ton beau costume! Tu pourrais faire attention!" "Mais mam..." "Mon dieu, on n'arrivera jamais ? nettoyer de telles taches!" Doria intervint: "Allons, allons, ce n'est pas grave, nous allons nettoyer ?a tout de suite... Allons Nicolas! Tu vas retirer tes v?tements et les donner ? Yvette. Je suis s?re qu'elle parviendra ? faire dispara?tre ces taches tant qu'elles sont encore fra?ches!" "Mais, je ne peux pas me d?shabiller ici, devant tout le monde..." "Bien entendu, Agathe va te montrer la salle de bains... Et Alexie, vas voir dans tes affaires s'il y a quelque chose que Nicolas pourrait porter en attendant. Il a environ la m?me taille que toi!" C'est ainsi que peu apr?s, je me retrouvais en petite culotte dans la salle de bains. Agathe ?tait avec moi, elle me caressait et m'embrassait, et elle parvint une fois de plus ? m'?ter toute g?ne. Elle commen?a ? me masturber, mais elle fut interrompue par Alexie qui frappait ? la porte. Elle m'apportait un short noir et un chemisier blanc. En cachant ma quasi-nudit? derri?re une serviette, je protestais: "Mais, je ne peux pas porter ?a! Tu n'as pas un pantalon?" Elle me r?pondit assez s?chement: "Je n'aime pas les pantalons, c'est ce que j'ai de plus "masculin" ? te pr?ter!" "Et toi, Agathe, tu n'aurais pas un pantalon ? me pr?ter?" "Mais, tu vois bien que je n'ai pas du tout la m?me taille que toi! Allons, ne fais pas l'enfant! Ce n'est que provisoire... Et ainsi, tu me montreras tes jolies jambes!" Ajouta Agathe en riant. Peu apr?s, nous retourn?rent au salon. J'?tais anxieux de montrer mes jambes ?pil?es ? tout le monde, et surtout ? ma m?re. Mais elle ne sembla pas y pr?ter attention. Je fus choqu? de voir que Doria s'?tait approch? d'elle, qu'elle lui avait pris la main, et qu'elles se parlaient doucement. Je n'entendais pas ce qu'elles se disaient, mais je voyais maman rougir l?g?rement. Agathe m'entra?na ? l'ext?rieur, dans le jardin, je devrais dire dans le parc, tellement la propri?t? ?tait immense. Elle me montra une piscine, disant qu'on pourrait se baigner d?s que le temps serait plus chaud. J'?tais ?merveill?, mais je l'interrompis en d?signant mes jambes nues: "A propos de temps plus chaud, je suis d?sol? mais je pr?f?re rentrer, j'ai un peu froid..." "Oh, mais j'aimerais bien qu'on se prom?ne un peu... J'ai une id?e! Suis-moi!" Nous sommes retourn?s dans la salle de bains, o? elle me demanda d'enlever le short avant de sortir. Je m'ex?cutai en l'attendant... Peut ?tre avait-elle quand m?me un pantalon ? ma taille? Elle revint et me tendit quelque chose que je mis quelques longues secondes ? reconna?tre... C'?tait un collant fin, de couleur chair! "Mais... Mais je ne peux..." "Mais si! Tu verras, c'est tellement agr?able ? porter! Et tu n'auras plus aussi froid!" "Mais..." Voyant que je n'?tais pas pr?t ? accepter de porter le collant, Agathe retira son chemisier et son soutien-gorge, me montrant pour la premi?re fois sa magnifique poitrine. Elle s'approcha doucement, murmurant: "Ils te plaisent? Tu veux les caresser?" En tremblant, je posais ma main droite sur son sein gauche. Sa poitrine ?tait si ferme, si bien proportionn?e, si parfaite... J'?tais tr?s ? l'?troit dans ma petite culotte. Elle s'approcha jusqu'? se pencher ? mon oreille droite, murmurant: "Mmmmh, c'est agr?able, oui, caresses moi les seins..." Entre deux soupirs, elle commen?a ? me l?cher et mordiller l'oreille. Elle me faisait d?couvrir des sensations in?dites et tr?s agr?ables... Je devrais dire: tr?s excitantes... Elle continua ? murmurer ? mon oreille: "J'adorerais te voir porter ce collant, je suis s?re qu'il t'ira tr?s bien!" "Mmmmh, je... Oh... Oui, tout ce que tu veux!" "Je vais t'avouer quelque chose: je suis un peu perverse! Tu aimes les filles perverses?" "Oooh, oui, je... J'aime les filles perverses!" Elle me rendait fou! J'?tais pr?t ? faire n'importe quoi pour elle. "Je suis une petite perverse. J'aime bien les gar?ons eff?min?s... J'aime bien les gar?ons qui portent des sous-v?tements f?minins... J'adore les travestis!" J'aurais sans doute ?t? choqu? par une telle r?v?lation dans d'autres circonstances, mais l?, mon excitation ?tait telle que je me sentais capable de tout accepter de sa part. "Est-ce que tu m'aimes?" Me demanda t'elle dans un murmure. "Oh, oui! Je t'aime!" "Tu veux bien ?tre mon petit travesti ch?ri?" "Ooooh, tout ce que tu veux!" "La premi?re fois que nous ferons l'amour... Tr?s bient?t... Tu seras habill? en fille!" J'approuvais d'un signe de t?te, je me mordais les l?vres pour ne pas crier. J'?tais au bord de la jouissance, sans m?me qu'elle n'ai touch? mon sexe! Elle finit par en approcher sa main, me baissa d?licatement la culotte, et une br?ve caresse suffit ? me faire ?jaculer! Peu apr?s, j'?tais rhabill?, portant cette fois le collant. Un peu honteux, j'?tais oblig? d'admettre que c'?tait tr?s fin, tr?s agr?able ? porter. Nous ressort?mes nous promener dans le parc. Me tenant par la main, elle me fit visiter l'immensit? de la propri?t?. Pendant la promenade, je fus tr?s troubl? par la sensation de porter un collant fin. Je sentais la fra?cheur du vent contre mes jambes, mais j'?tais ?tonn? de ne plus avoir froid. Je fis part de mes sensations ? Agathe, qui me r?pondit: "Tu vois? C'est tr?s agr?able ? porter, je te l'avais dit! ... C'est encore mieux avec une jupe!" "Une jupe? Tu... Tu veux dire que tu ?tais s?rieuse quand tu disais que tu voulais que je devienne un travesti?" Je commen?ais ? ?tre tr?s intrigu? par cette id?e. Elle me regarda en souriant, sentant certainement mon trouble. "Tu as envie d'essayer tout de suite?" "Essayer?" "Oui, essayer une jupe?" "Je... Je ne sais pas..." Elle n'attendit pas la fin de ma r?ponse et me tira par la main vers la maison. Elle me fit monter ? l'?tage, frappa bri?vement ? la porte d'une chambre, puis m'entra?na ? l'int?rieur. C'?tait la chambre d'Alexie. Elle ?tait l?, allong?e sur son lit, entrain de "tchater" sur son ordinateur portable. En ouvrant un immense dressing-room, et sans attendre de r?ponse, Agathe demanda ? sa s?ur: "Tu permets qu'on t'emprunte encore quelques affaires?" Alexie se contenta de grogner un: "Ouais!" Puis grommela quelque chose qui ressemblait ?: "Tu vas un peu vite en besogne!" Je n'eus pas le temps de me demander ce qu'elle voulait dire. Une mini- jupe en jean rempla?a aussit?t mon short. Puis Agathe me poussa devant un grand miroir. Je vis devant moi une fille un peu bizarre... Une fille sans seins, et pas maquill?e, mais incontestablement une fille! Je n'eus pas le temps de comprendre ce que je voyais. On frappa ? la porte, puis la porte s'ouvrit sur Doria, suivie de maman. Doria semblait faire visiter la maison ? ma m?re. Elle dit en entrant: "Et ici, c'est la chambre de ma plus jeune... " Elle s'interrompis bri?vement en me voyant, puis s'exclama en souriant: "Oh, cette jupe te va ? ravir! Tes jambes sont tr?s jolies, Nicole!" Je restais paralys? par cette situation, ne relevant m?me pas que Doria venait de f?miniser mon pr?nom. Maman sembla choqu?e en me voyant. Pendant un court instant, ce fut le silence dans la pi?ce. Puis Doria passa son bras autour de la taille de maman, puis l'embrassa sur la joue. "Allons, remets-toi! Elles ne font que jouer! Ce n'est pas de grave! Viens! Je crois que je dois te montrer quelque chose!" Elle entra?na maman hors de la pi?ce. Je ne sais pas ce qui m'avait choqu? le plus: le fait d'avoir ?t? surpris, habill? en fille devant ma m?re; les rapports me qui semblaient soudain tr?s intimes entre maman et Doria; ou simplement le fait que je me sentais incroyablement bien en jupe! J'?tais encore sous le choc quand Agathe me poussa vers une coiffeuse, me fit m'asseoir, et commen?a ? sortir des ustensiles de maquillage. Elle ?tait d?j? entrain de me mettre du fond de teint lorsque je compris ce qu'elle faisait. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne protestais pas cette fois ci. Elle me fit un maquillage rapide et discret. J'observais ma transformation devant la glace. Mes yeux ?taient mis en valeur par deux traits noirs, mes l?vres d'un rose brillant me semblaient ?tre une invitation au baiser... Je m'admirais dans la glace pendant qu'Agathe me retirait mes chaussures de gar?on, puis me faisait mettre une paire de ballerines blanches... Un peu trop grandes pour moi. Peu apr?s, Agathe m'entra?na vers le salon. Je la suivais en perdant une ballerine quasiment ? chaque pas, ce qui la faisait rire: "Il faudra absolument t'acheter des chaussures ? ta taille!" "Mais... Ce n'est qu'un jeu! On ne va tout de m?me pas m'acheter des chaussures de fille?" "On verra!" Elle continuait ? rire de mon embarras quand nous arriv?mes au salon. Nos deux m?res ?taient l?, assises sur un divan. Quand je repense ? cet instant, je me souviens que maman ne sembla pas ?tonn?e de voir ma tenue. Doria se leva, s'approcha de moi, se retourna vers ma m?re et demanda: "Et bien? Ne trouves-tu pas ta fille jolie?" "Je... Oui..." "Alors dis-lui! Dis-lui qu'elle est jolie!" "Tu... Tu es tr?s jolie, Nicole!" J'?tais abasourdi par ce que maman venait de dire. Je restais immobile, rougissant et sans voix. Maman se leva, s'approcha doucement de moi, me pris dans ses bras, et r?p?ta: "Tu es tr?s jolie Nicole... Je t'aime, tu sais?" C'?tait incroyable! Maman semblait accepter que je sois habill? en fille... et elle venait de me dire qu'elle m'aimait... Je ne pus pas retenir une larme de couler: maman ne m'avait jamais dit qu'elle m'aimait! Peu apr?s, ma m?re se retourna vers Doria, la remerciant pour son invitation, et me dit d'aller me changer, parce qu'il fallait rentrer ? la maison. Doria vint faire la bise ? maman, et me dit de garder ces v?tements, parce que mon costume n'?tait pas encore sec. Puis elle se dirigea vers un interphone, donnant l'ordre de pr?parer la voiture pour nous ramener. Peu apr?s, sur le perron, Agathe m'embrassa longuement pendant que j'entendais Doria et ma m?re murmurer: "A bient?t, et penses ? ma proposition!" "Je ne sais pas, je ne crois pas que ce soit bien!" "Prends le temps d'y r?fl?chir! Tu verras, tu ne le regretteras pas!" A ce moment l?, je ne savais pas qu'elles parlaient de mon avenir... D'un changement radical dans ma vie... Apr?s de longues embrassades, nous montions dans la voiture avec chauffeur. Sur le chemin du retour, nous sommes rest?s silencieux. J'?tais un peu g?n? d'?tre ? l'ext?rieur habill? en fille et maquill?, m?me si c'?tait ? l'abri d'un v?hicule, et maman semblait songeuse. Curieusement, ce soir l?, je mis longtemps avant me d?shabiller et me d?maquiller. J'?tais g?n? d'?tre dans cette tenue, et en m?me temps, je me sentais merveilleusement bien... Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, mais j'?tais s?r d'une chose: j'?tais pr?t ? faire n'importe quoi pour Agathe! Le lendemain, apr?s une journ?e "normale" au coll?ge, ma m?re m'accueillit assez froidement. "Assois-toi, il faut qu'on parle!" Elle employait le ton qu'elle utilisait d'habitude quand j'avais fait une ?norme b?tise. "Nicolas, j'ai beaucoup r?fl?chi... Je n'ai presque pas dormi de la nuit... Tu ne dois plus voir cette fille!" "Agathe?" "Oui! Agathe! Tu ne dois plus la voir!" "Quoi? Mais pourquoi? Je l'aime, Je..." "C'est comme ?a! Je suis ta m?re et tu vas m'ob?ir!" C'en ?tait trop, je me mis ? crier, mais une claque de ma m?re m'arr?ta imm?diatement. C'?tait la premi?re fois qu'elle me giflait! Je restais assis, silencieux, sentant une chaleur douloureuse sur ma joue. J'essayais de trouver quelque chose ? dire, mais seules des larmes de rage coulaient le long de mes joues. Pendant la nuit, je pris mon t?l?phone portable, tout l'argent liquide que je trouvais dans l'appartement, et partais, bien d?cid? ? ne pas revenir. Le lendemain, j'appelais ma bande de copains, et nous nous retrouv?mes sur le terrain vague qui nous servait de base. Je ne me souviens pas vraiment des suites de la nuit qui suivit. Fred, le plus ?g? d'entre nous, avait ramen? de la vodka et des joints... Cette nuit l?, je bus de l'alcool et je fumais de la drogue pour la premi?re fois de ma vie. Je ne sais pas ce qui s'est pass? apr?s. Je me r?veillais avec une terrible migraine et un mal de dos insupportable. J'?tais allong? par terre, sur un sol en b?ton, dans une pi?ce ferm?e par des grilles. Un m?lange d'odeurs de vomis et d'urine m'?c?urait... Je mis plusieurs minutes ? comprendre que j'?tais dans la cellule de d?grisement d'un poste de police... Que s'?tait-il pass?? Un policier vint ouvrir la porte de la cellule, me pris par le bras, et m'emmena vers un bureau: "Ca y est, tu es r?veill?! Le chef va enfin pouvoir t'interroger ? ton tour! Ca fait deux jours que tu dors!" Deux jours? Il y avait deux jours que j'?tais l?? Je ne comprenais rien. Dans un bureau, je fus interrog? par un policier en civil qui me parlait d'un vol de voiture, de vandalisme... Je n'arrivais qu'? lui dire que je ne me souvenais de rien... Il m'annon?a que j'allais passer devant un juge en comparution imm?diate cet apr?s-midi l?. J'?tais toujours dans un ?tat semi-comateux quand je fus pr?sent? devant le juge. Ma m?re ?tait l?, et elle me pr?senta une jeune femme comme mon avocate. Le juge r?p?ta l'histoire du vol de voiture, du vandalisme... L'avocate parla ? son tour, utilisant des mots compliqu?s, mais je compris des bribes de phrases comme: "C'?tait la premi?re fois... Ca ne se reproduira pas..." Le juge semblait peu convaincu, et maman pleurait, puis enfin mon avocate dit: "Madame Doria M. se porte garante de ce jeune homme! J'ai ici un document sign? de sa main!" Le juge examina quelques instants le document, puis il dit: "Tr?s bien, jeune homme, je vous laisse entre les mains de madame M.... Vous ?tes libre! Mais je vous conseille vivement de ne plus revoir votre bande de copains... et de ne plus faire de b?tises... Sinon..." "Oui, Monsieur le juge, merci Monsieur le juge..." En sortant, ma m?re me prit par la main comme un petit gar?on, me demandant: "Pourquoi as-tu fais ?a?" "J'en sais rien, j'?tais en col?re, tu ne voulais plus que je revoie Agathe..." "C'est vraiment ce que tu veux? Revoir ton Agathe?" "Oui maman!" "Bien, c'est ce que je craignais... Tu l'auras voulu! J'en ai assez de tes b?tises, je ne le souhaitais pas, mais je crois que je dois accepter la proposition de Doria!" "Quelle proposition?" Je n'eus pas de r?ponse, elle ne dit plus rien avant notre arriv?e chez nous. Elle semblait tr?s ?mue. J'?tais conscient de lui avoir fait tr?s mal. A peine rentr?s, elle me poussa vers la salle de bain et me fit me d?shabiller: "Pour commencer, tu vas te doucher... Et savonnes toi bien! Tu sens vraiment trop mauvais!" Peu apr?s, je sortais de la salle de bain avec une serviette autour de ma taille, et je fus surpris de voir ma m?re en compagnie de Doria. Maman ?tait au bord des larmes, et Dorai la serrait dans ses bras. Elle lui chuchotait des mots destin?s ? la rassurer: "Tu verras, tout se passera bien. Fais moi confiance... Tu n'auras pas ? le regretter!" Maman essuya une larme, puis se tourna vers moi, l'air s?v?re: "Doria a eu la gentillesse de se porter garante pour toi. Tu es maintenant sous sa responsabilit?, il faudra lui ob?ir!" Son ton ?tait si ferme que je ne r?pondis rien, je me contentais de baisser les yeux. Doria s'avan?a, m'embrassa sur la joue, et me dit avec beaucoup de tendresse: "Tu as fait de grosses b?tises... Mais je suis certaine que tu les regrettes!" "Oui, madame." "Est ce que tu aimes vraiment Agathe?" "Oui, madame!" J'avais toujours les yeux baiss?s... Moi qui ?tait un peu le leader de ma bande de copains, j'?tais tr?s intimid? par cette femme... Et je sentais que si je voulais revoir Agathe, je ne pouvais pas me permettre de d?cevoir Doria. Elle continua, non sans avoir jet? un regard ? ma m?re: "Pour commencer, il faut que tu comprennes que si tu veux qu'Agathe soit ta copine, il te faudra changer... Radicalement!" "Euh, oui, bien s?r madame, je ne ferais plus de b?tises!" Elle eu un petit rire et continua: "Je ne parle pas seulement de ta d?linquance... " Puis, apr?s un silence pendant lequel elle semblait me jauger: "Pour commencer, tu vas habiter chez moi... Avec Agathe!" Mon c?ur bondit de joie en entendant ses mots. Elle continua: "Le coll?ge, c'est fini pour toi. Tu resteras ? la maison sous la surveillance d'Yvette pendant la journ?e, elle te servira de pr?ceptrice pour apprendre tout ce que tu devras savoir!" "Oui madame." "A la prochaine rentr?e scolaire, tu iras dans un lyc?e priv?, dans la classe d'Alexie... Je me chargerais de tous les financements!" "Je... Oui madame... Mais pourquoi faites vous ?a?" "Parce que Agathe t'aime, et que je veux le bonheur de ma fille! Et maintenant, habilles toi et suis moi!" Je lui ob?is et la suivais, non sans avoir embrass? maman. A peine arriv?s chez Doria, Yvette s'occupa de moi: "Pour commencer, suivez moi dans la salle de bain!" "Mais je viens de prendre une douche!" Doria intervint: "Pas de discussion! A moins que tu pr?f?res retourner chez ta m?re... Et ne jamais revoir Agathe!" "Non, non... D'accord, je vous suis, Yvette." Dans la salle de bains, un bain moussant et parfum? m'attendait. Yvette me fit me d?shabiller et mit tous mes v?tements dans un sac poubelle. "Mais qu'allez-vous faire de mes affaires?" "Tu n'en auras plus besoin! Allez! A l'eau! Je reviens pour vous aider!" Et elle sortit, emportant mes affaires. Quand elle revint, elle s'occupa de moi. J'?tais surpris, et je discutais ? chaque ?tape, essayant de me soustraire ? ce traitement. Yvette me rasa tout le corps, me lava, puis me s?cha . Personne ne s'?tait jamais occup? de moi de cette mani?re. Apr?s m'avoir s?ch? le corps, Yvette me fit allonger sur une table et commen?a ? me masser avec une incroyable douceur. C'?tait tr?s agr?able, et je ne pus pas m'emp?cher d'avoir une ?rection. Yvette sourit, et me chuchota: "Il vous faudra patienter un peu... jusqu'? ce soir et le retour de mademoiselle Agathe de l'universit?..." Cette promesse d'une soir?e chaude avec Agathe m'excita encore plus... Et me d?cida ? ?tre docile et ? ne plus poser de questions. Apr?s le massage, j'?tais dans un ?tat second quand je suivais Yvette, envelopp? dans un peignoir rose, jusqu'? un fauteuil de coiffure. Malgr? mes cheveux relativement courts, elle me fit une coiffure de fille, bouclant quelques m?ches avec un fer ? friser. Apr?s la coiffure, Yvette s'occupa de mon visage. Elle commen?a par m'?piler l?g?rement les sourcils. La douleur me r?veilla, et r?veilla aussi mes doutes... Je la laissai n?anmoins faire. Une fois mes sourcils affin?s, elle me maquilla. En voyant mon visage se transformer peu ? peu dans le miroir, j'?tais tr?s troubl?. Le maquillage ?tait discret, et pourtant me donnait l'apparence d'une jeune fille de mon ?ge. Yvette me laissa quelques instants seul. Je me regardais dans le miroir, cherchant sans la trouver la moindre trace de virilit? dans mon image. Quand Yvette revint, ses bras ?taient charg?s de v?tements: "Bien, passons ? l'habillage, mademoiselle Nicole!" A ses mots, j'eu envie de me plaindre, de dire que j'?tais un gar?on... Mais, voyant mon visage si f?minin, je ne pouvais rien dire. Yvette me fit essayer plusieurs tenues, se d?cidant finalement sur la plus os?e, disant: "Pour une premi?re nuit avec mademoiselle Agathe, il faut que vous soyez la plus d?sirable possible!" Je me retrouvais donc entrav? dans une gu?pi?re en dentelle blanche, dont les jarretelles tendaient des bas blancs. Une petite culotte assortie cachait avec beaucoup de difficult?s mon sexe, toujours en ?rection. Yvette me fit ensuite enfiler une petite robe blanche, elle aussi bord?e de dentelles, et une paire de ballerines blanches. Apr?s m'avoir pass? quelques bijoux en argent, Yvette m'entra?na vers le salon, disant: "A cette heure, mademoiselle Agathe devrait ?tre revenue! Allons la rejoindre... et souriez!" A ce moment l?, je n'?tais plus excit?, mais le trac me faisait mal au ventre. Doria et Agathe ?taient dans le salon. Doria se contenta de sourire en voyant la surprise de sa fille. Agathe n'?tait pas au courant des derniers ?v?nements et elle eu les larmes aux yeux en me voyant: "Nicole! Tu es l?!... Oh, tu es vraiment tr?s belle!" "Merci, je... Je ne sais pas si..." "Chut, laisses moi t'admirer... Tu es superbe! Et le blanc te va si bien!... Une vraie pucelle! Je sentais bien que tu serais magnifique en fille!" Elle me regarda pendant un long moment, me faisant tourner sur moi-m?me, puis vint m'embrasser avec une fougue que je ne lui connaissais pas. Doria intervint en riant: "Allons, allons, Agathe, calmes toi un peu! C'est vrai qu'elle est sexy, ta petite amie, mais il faudra patienter un peu... C'est l'heure de d?ner!" Avant le repas pendant lequel Yvette fit le service, Doria me donna trois pilules et un verre d'eau. Ne sachant pas de quoi il s'agissait, je jetais un regard interrogatif ? Agathe, qui me dit le plus naturellement du monde: "D?p?ches toi d'avaler ces vitamines, ma ch?rie!" Confiant, je m'ex?cutais. A un moment, pendant le d?ner, Agathe se pencha vers moi et chuchota ? mon oreille: "Ma ch?rie, tu te souviens? Je t'avais dit que la premi?re fois que nous ferons l'amour, tu serais en fille!" A ce moment, j'avalais de travers et je fus pris d'une quinte de toux. J'esp?rais un jour faire l'amour avec Agathe depuis notre premi?re rencontre... Mais maintenant que le moment semblait arriv?, le trac me submergeait. Je ne pus pas finir mon assiette. Tr?s vite apr?s le repas, Agathe m'entra?na vers sa chambre. Elle me fit m'allonger sur son lit en m'embrassant. C'?tait une situation incroyable. Elle se positionna au dessus de moi, et me d?shabilla lentement en m'embrassant sur tout le corps. J'?tais totalement passif, j'avais vraiment l'impression d'?tre une fille, et Agathe ?tait dans la position de l'homme. Malgr? mon trac intense, sa bouche et ses mains expertes eurent t?t fait de me faire retrouver une ?rection sur laquelle elle se jeta avec avidit?. Cette premi?re nuit d'amour avec elle fut merveilleuse... Et j'?tais pr?t ? tout pour qu'il y en ait beaucoup d'autres. J'acceptais, au moins provisoirement, de rester en fille sans discuter, et la semaine se termina dans une certaine routine. Je restais seul dans la maison avec Yvette pendant la journ?e. Doria travaillait et ses filles ?taient dans leurs ?tablissements scolaires respectifs. Le matin, j'aidais Yvette ? faire le m?nage, v?tu comme elle d'une tenue de soubrette. Elle corrigeait continuellement ma d?marche ou ma mani?re de me tenir pour qu'elles deviennent plus f?minines. L'apr?s-midi, elle m'aidait ? r?viser mes le?ons, me poussant ? am?liorer mon niveau scolaire. Vers dix-sept heures, elle me faisait prendre un bain, me pomponnait et m'habillait car il fallait que je soit "pr?te" avant le retour de "mademoiselle Agathe". Le soir, nous mangions "toutes" ensemble et je passais la nuit avec Agathe. A chaque repas, je prenais des "vitamines", ne sachant pas ce qu'?taient r?ellement ces pilules. Le dimanche suivant, je revis maman pour la premi?re fois depuis que Doria ?tait venue me chercher. Quand elle me vit, habill? en robe, maquill?, coiff? comme une fille, elle me prit dans ses bras en disant: "Oh ma ch?rie, tu es si jolie!" Maman semblait soudain me consid?rer comme une fille, elle aussi. Je n'avais pas encore totalement compris ce qui m'attendait, alors je r?pondis: "Merci... Mais je suis toujours ton fils Nicolas... M?me si, pour plaire ? Agathe, je serais sans doute souvent d?guis? ainsi!" Maman me regarda un moment dans les yeux avec un air tr?s s?rieux, puis elle me dit: "Ma ch?rie, tu n'as pas encore compris? Ce n'est pas un d?guisement! C'est ta nouvelle vie! Tu vas vivre totalement en fille! C'est bien pour cela que tu prends des hormones!" Soudain, je compris tout: La perversion d'Agathe, qui ne voulait pas seulement faire de moi un travesti, mais me transformer le plus compl?tement possible en fille; les pilules que Doria me faisait prendre; la r?action de ma m?re quand Doria lui avait expliqu? ce qu'elle avait l'intention de faire de moi... Je compris pourquoi, dans un premier temps, maman voulait m'interdire de revoir Agathe... Pourquoi elle semblait avoir finalement accept? ? regrets l'id?e de Doria de me f?miniser... J'?tais boulevers?. Je ne savais plus o? j'en ?tais. Je passais les heures qui suivirent ? r?fl?chir, et ? ?tre un peu distant avec tout le monde, m?me Agathe... A la fin de la journ?e, alors que j'?tais seul dans la cuisine avec Yvette, j'osais lui demander conseil. J'avais l'impression que je pouvais lui faire confiance, j'?tais devenu tr?s complice avec elle durant la semaine. Je lui parlais de tout: mon amour pour Agathe et l'envie de lui plaire, mais aussi mon angoisse ? l'id?e de devenir une fille. Elle m'?couta avec beaucoup d'attention de patience, puis finit par dire: "Allons, il ne faut pas te poser tant de questions. Tu es heureuse avec Agathe? Alors laisses toi aller et profites en!" "Oui, mais... Les hormones... Devenir une fille... C'est compl?tement dingue!... non?" "Je comprends ton angoisse, mais tu verras, tu vas adorer ?tre une fille!" "C'est facile ? dire pour vous, Yvette, vous ?tes une femme..." Yvette m'interrompit, souleva simplement sa robe pour me faire voir une bosse qui d?formait sa petite culotte: "Tu vois, tu n'es pas seule... Tu serais surprise si tu savais tout..." Je restais bouche b?e devant cette vision: "Mais, que... Comment?..." "Je suis Yvette, la bonne, mais officiellement, je suis Yves M., le mari de Doria!" La suite des aventures de Nicole, et l'histoire d'Yvette dans le deuxi?me ?pisode des "F?minisatrices" Petit Pierre