De Haut En Bas - Part 3 free porn video

-- Les ouvri?res -- La fin de journ?e arriva, Cyndie et Chantal purent allez se changer dans le vestiaire des ouvri?res. Le vestiaire ?tait crade et il y trainait une forte odeur de femme en sueur. Les autres ouvri?res les regardaient avec total indiff?rence. Cyndie et Chantal ?coutaient les conversations des autres : l'une d'elle raconta ses probl?mes de surendettement, une autre de ses crises de d?pression tandis qu'une autre racontait vulgairement ses histoires de cul o? elle se faisait sodomiser. Bien qu'avant ce type de conversation sur la condition de vie de leurs employ?s n'?tait pas leur principal pr?ocupation, cela commencaient ? les inqui?ter sur les galeres qu'elles allaient bient?t rencontrer, mais curieusement, elles n'etaient aussi pas choqu?es par les histoire sexuel de leurs coll?gues, pirent elles se sentaient encore plus humides entre leurs jambes bien grasses, que lorsqu'elles avaient leurs anciens corps de secr?taires, l'id?e de devenir des grosses cochonnes avides de sexes commencaient ? emerger dans leur esprits et les faire flipper. Un frisson parcoura leur corps et ils continu?rent de s'habiller en essayant de ne plus y penser. Cyndie et Chantal se mirent ? poil et furent alors humilier de voir leur nouveau physique devant le miroir. Leurs poitrines superbes avait laiss? place ? des gros seins diformes qui commen?aient ? tomber, avec plein de vergitures ? force de grossir et des regimes infructueux inflig?s ? ces corps mal entretnue. Leurs chatte, couverte de poils collant de cyprine, ?taient n?glig?es probablement n'ayant pas eu l'occasion de voir une bite depuis un bon moment. Leurs ventres ?taient ? pr?sent couverts de bourelets disgracieux, et leurs cuisses de cellulites, on y voyait tout comme leur sein des vergitures tellement ces corps, leurs corps maintenant, etaient laiss?s ? un total abandon de renoncer ? plaire ? la gente masculine. Elles all?rent vite prendre une douche ayant la satisfaction de se d?barrasser de cette horrible odeur de sueur pensant que comme ?a cette laideur pourrait peut etre disparaitre mais rien ne se produisit, seule la grasse s'en all?re. Ayant finis tout en etant debit?es, elles cherch?rent leurs v?tements et leurs sacs dans leur casier. Elles mirent alors ces v?tements correspondant au go?t de ces deux grosses vaches qu'elles etaient maintenant devenues. Chantal portait un vieux jean et un haut violet du plus mauvais gout. Cyndie, quand ? elle, portait un pantalon rose moulant ridicule et un tee shirt bleu. Elles trouv?rent dans leur sac une bouteille de vodka et un quatre quart bas prix presque p?rim?. Il ?tait vendredi soir et les ouvri?res ?taient en week end. On les appela ensuite ? rejoindre le bus pour rentrer en direction de Dunkerque. Dans le bus, Cyndie et Chantal faisait un ?tat des lieux de leur nouvelle situation de merde : -? Putain mais Alex, c'est un cauchemar, quelle connerie, j'arrive pas ? croire qu'on est devenues ces grosses vaches de merdes d'ouvri?res et qu'on habite ? pr?sent ? Dunkerque. ?. -? Oui Arnaud, c'est encore pire qu'avant, fait chier, file moi cette putain de bouteille de vodka, j'ai envie de picoler pour me remettre, na... ?. Cyndie bu goulument ? la bouteille le tiers de la bouteille et dit alors : -? Rrraaah!... ?a fait du bien putain bordel de merde... ?. Chantal de son c?t? sortit alors le quatre quart du sac et s'empiffra ? grande bouche de la moiti? sans s'en rendre compte, les miettes restantes sur son haut pouvait en temoigner. Le bus arriva a Dunkerque ? 9h du soir o? il pleuvait un peu , faisait nuit o? le d?cor ?tait sombre et d?primant. Elles mouraient de faim et cherchaient un endroit pour manger. Elles regard?rent autour d'elles et virent une saladerie, un buffalo grill et une pizzeria. Puis un peu plus loin, se trouvait un Mac Do. -? Oh putain! regarde Alex ?, dit Chantal. -? Oui, J'ai trop envie de me taper des doubles cheese bien gras ? m'en faire peter le bide, allons y Arnaud?, r?pondit alors Cyndie. Cyndie et Chantal avaient alors du mal ? r?aliser qu'elles avaient envie de s'empiffrer de cette malbouffe remplit de lipides et de graisse satur?e, alors qu'elles d?testaient cela il n'y encore pas tr?s longtemps. Elles entr?rent dans le Mac Do puis se dirig?rent vers la file d'attente. A l'int?rieur, uniquement des ados et des jeunes parents accompagn?s de leurs enfants, ?taient pr?sents. Elles avaient l'impression d'?tre les plus vieilles du restaurant. Elles ?taient arriv?es devant la jeune serveuse qui dit alors : -? Bonjour Mesdames, que voulez vous? ?. Elles eurent alors une nouvelle humiliation. Auparavant, les gens les appelait Mademoiselle mais ? pr?sent on les appelait Madame ? cause de leur ?ge. Chantal dit alors : -? 2 menus "maxi best of" big Mac frite, bi?re et un Royal deluxe ?. -? Pour moi, 1 menu "maxi best of" Mc Chiken, potatoes, bi?re et 2 Royals cheese ?, dit ensuite Cyndie se surprenant ? avoir de la bave aux l?vres. La vendeuse fut un peu etonn?e de les voir commander tant de nourritures, puis les servit. Au moment o? la serveuse donna l'addition ? Cyndie et Chantal, Chantal tendit un billet et r?alisa qu'elle ne savait m?me plus faire un soustraction en v?rifiant la monnaie que lui avait tendit la vendeuse, compl?tement humili?e d'avoir perdu toutes ses comp?tences intellectuelles, quand elle ?tait encore Alex, il impressionnait les gens ? faire des multiplications ? 3 chiffres de t?te, depuis plus rien, elle fit tout de m?me semblant de v?rifier histoire de ne pas passer pour une conne puis dit : -? OK c'est bon ?. Elles all?rent alors s'assoir ? une table puis s'empiffrerent de leurs hamburgers, frites et bi?res, sans se dire un mot, comme si ce moment ?tait le plus sacr? pour leur estomat de "manger" en silence, apr?s chaque bouch? une bonne rasade de biere pour faire couler le tout, ce cirque incessant entre mastication et glutition ?tait aussi bruyant que dans une porcherie, ce qui fit retourner plus d'une t?te dans leur direction. Cyndie et Chantal entendirent un jeune couple parler en les voyant : -? Tu vois ch?ri, tu me dis que je suis un peu forte mais j'ai de la marge... ?. -? Oui c'est vrai mon amour, ne deviens jamais comme ca par piti?. ?. Un peu plus loin, un couple ayant 3 gosses dirent alors : -? Marie, regarde les dames... Si tu continues ? manger comme ?a des hamburgers, tu deviendras aussi grosse et moche qu'elles... ?. -? Oh non! pas ?a maman, je veux pas devenir comme ?a. ?. Cyndie et Chantal se mirent ? rougir d'entendre toutes ces remarques et de r?aliser l'image qu'elles donnaient autour d'elles, mais ne purent s'emp?cher d'arreter de manger goulument. Peu apr?s, elles avaient fini leur repas et se retenaient d'aller se resservir un Big Mac et une bi?re. Chantal sortit alors un r?t ?norme, qui ne manqua pas de provoquer un rire d?bile de Cyndie, mais qui fit fuir les voisin d'a c?t?, elles se rendirent compte toutes deux de leur immondise et des femmes grossi?res qu'elles ?taient devenues, la honte et la g?ne se voyaient de plus en plus sur leurs visages en plus de leur age et de leur fatigue, des larmes commenc?rent ? remplir leurs yeux au fur et ? mesure de cette prise de conscience, mais en reprenant leurs souffles savaient qu'elles ne pourraient rien y changer et s'y resigni?rent pour aller de l'avant. Elles regard?rent ensuite dans leur papier afin de d?couvrir leur nouveau logement. Elles apprirent alors qu'elles habitaient ? pr?sent toutes les deux 71 rue du d?sespoir ? Dunkerque. Elles sortirent du Mc Do puis se rendirent ? pied ? cette adresse. Une heure plus tard, elles arriv?rent enfin ? leur destination, compl?tement en sueur d'avoir fait cet effort physique avec leur corps en surpoids. -? Putain, enfin, j'en peux plus, J'ai le cul et les aisselles tremp?s tellement cette marche m'a fais transpirer et essoufler, pourtant avant c'?tait facile, mais maintenant avec ce corps de merde... fais chier ?, dit Cyndie se rendant compte qu'aucun regime ne pourrais lui redonner la ligne qu'elle avait avant et l'endurance sportive pour parfaire une telle marche, grosse elle est, grosse elle le resterait. Quand ? Chantal, elle avait alors du mal ? r?aliser ? quel point Cyndie parlait de plus en plus si vulgairement, il en ?tait de m?me pour elle mais c'est comme si elle avait toujours parl? comme ?a, cela ne lui paraisait pas ?trange, tout en regardant le num?ro de la rue et ?cartillant les yeux en les levant face ? leur nouveau logement. C'?tait un vieil immeuble d?labr? dans un quartier mal fam?, frapp?es de stuppeur,elles regard?rent encore attentivement leur adresse sur leur papier, mais nul doutes c'?tait bien l?, leurs yeux se croiss?rent et elles essuy?rent ensemble les larmes qui remont?rent, elles se prirent la main comme pour se donner du courage sur ce qu'elles allaient encore decouvrirent, ce qui ne mis pas longtemps quand la porte de l'entr?e de l'immeuble se referm?rent derriere elles, en face des escaliers, pas d'ascenseur et 4 ?tages ? monter pour arriver chez elles, soupire, d?saroie et souffrance ?taient de la partie ? chaque marche jusqu'? leur appartement. Enfin arriv?es, vid?es, crachant et tousant toute les cigarettes fum?es dans la journ?, elles ouvrirent alors la porte. Le mur ?taient tapiss? d'un papier peint violet grasseux, sans aucune d?coration, Il y trainait une horrible odeur m?langeant transpiration, cigarettes et alcool. Au sol trainait une bouteille de Pastis et des paquets de chips vides. Le mobilier ?tait simple : une table et des chaises, une commode, une table de cuisson, un frigo, une banquette clic-clac, une table basse et une petite t?l?. La pi?ce d'? c?t? ?tait la salle de bain qui faisait aussi toilette. Des culottes sales et des soutifs trainaient par terre. Sur le lavabo ?taient dispos? de la cr?me anti-ride et des produits de coloration pour les cheveux. Cyndie et Chantal cherch?rent ensuite les chambres. Elles constat?rent qu'il n'y en avait qu'une ?tant donn? que c'?tait un petit 2 pi?ces. L'une d'entre elle allait devoir dormir sur le clic-clac et Cyndie se d?voua, trop fatigu? par leur journ?e et cette marche endiabl? pour sa masse corporelle, du moment qu'elle pourrait dormir, Cyndie et Chantal se dirig?rent vers celui-ci et s'y ?croull?rent, compl?tement ?puis?es mais aussi totalement d?moralis?s de leur d?ch?ance perp?tuelle depuis leur nouvelle transformation dans ces affreux corps. Puis elles s'endormirent ensemble sans se deshabiller, sans se laver, m?me chantal n'avait pas eu le courage de se relever pour se rendre dans la chambre, toutes deux ronfl?rent rapidement et bruyamment. Le lendemain matin, Cyndie ouvrit les yeux alors qu'elle ?tait en train de faire un r?ve se voyant encore Julie l'h?tesse, se faisant draguer par un beau mec au travail, elle se sentait devenir humide mais plus qu'avant et sa voix g?missante ne lui ?tait pas famili?re. En ouvrant les yeux elle se demanda o? elle ?tait, en voyant cette horrible tapisserie, elle se demandait aussi d'ou venait cette odeur de transpiration qui lui pris le nez, puis vit Chantal ? c?t? encore en train de dormir, son gros cul d?passant de son jean : -? Oh non, c'est pas possible, c'?tait pas un cauchemar tout ?a? ?. Elle r?veilla alors Chantal dont la graisse bougeait au fur et ? mesure qu'elle la secoua qui dit alors en se r?veillant enfin : -? O? je suis? Pourquoi ?a pue autant autour de moi? Qu'est ce que je fous avec cette merde d'ouvri?re de Cyndie? O? est Julie? Enfin Arnaud? ?. -? C'est moi Sarah...heu Alex, je suis Arnaud et tu es autant une merde d'ouvri?re que moi, Alex ?. Chantal toucha alors ses seins ?normes et ses bourrelets au ventre puis compris et se rappela qu'elle n'?tait plus Sarah mais bel et bien Chantal. -? Bon je vais me doucher... J'en peux plus de puer la sueur et la moule comme ?a putain de merde ?, dit Cyndie. Elle fut un peu surprise de dire des choses si vulgaire comme ca, puis chercha alors des fringues au hasard dans la commode, ils ?taient tous aussi moches, mais pris ce qui lui venait et alla dans la salle de bain et se fit couler une bonne douche bien chaude, ?trangement en se lavant et en prenant ses gros seins en pleine mains, elle decouvrit qu'eux ceux-ci ?taient plus sensible que ses anciens seins, l'eau camoufla en plus de la crasse la cyprine qui coulait doucement des ses jambes grasse. Une fois finis, s?ch?e et habill?e, elle regarda son visage un peu rid? et avait encore du mal ? r?aliser que c'?tait le sien alors qu'il n'y a pas si longtemps, elle ?tait Julie, la veille encore, et pire elle ?tait Arnaud, ce jeune multimilliardaire beau, riche et puissant. Puis toucha ses bourrelets et se mit ? chialer. Pendant ce temps, Chantal regardait alors sur la table basse ? c?t? de la banquette clic-clac. Elle vit notamment des revues pour maigrir et un rendez vous chez le psy pour d?pression nerveuse et s'?croula en sanglot, dure ?tait la r?alit?, sa r?alit?. Une fois remis elle se lava ? son tour et s'habilla ? son tour difficillement, elle ne comprenait toujours pas cette persistence qu'ont les femmes ? s'habiller avec des v?tements moulant tout en luttant avec son jean. Il ?tait samedi et les 2 femmes se demandaient ce qu'elles allaient faire de leur journ?e. Elles fum?rent une cigarette en guisse de petit d?jeuner, ne pouvant pas r?sister en les voyant, se sentant trop en manque physiquement. Elles all?rent ensuite dans le frigo voir ce qu'elle pouvait se mettre sous la dent mourant de faim malgr? le repas gras et copieux de la veille. Mais celui ci ?tait d?sesp?r?ment vide. Elles d?cid?rent alors d'aller dans le supermarch? leader price qu'elles avaient vu dans le quartier, hier, en arrivant. Arriv? au supermarch?, elles prirent un caddie puis commenc?rent leurs courses. Au passage, un gosse se jeta sur le caddie qu'?tais en train de pousser Chantal. La m?re arriva puis hurla : -? Tu peux pas faire attention esp?ce de grosse truie ? ?. -? Putain de merde... mais comment elle me parle cette conne, j'y crois pas, c'est m?me pas moi... mais d?gage sale pouffe avec ton mioche ?. La femme s'en alla jetant un regard noir ? Chantal, qui ?tait en m?me temps furieuse de se faire traiter ainsi et humili?e de ne rien avoir ? trouv? d'autre ? dire que ces paroles vulgaires pour se d?fendre. Cyndie et Chantal pass?rent le rayon fruits et l?gumes avec un totale indiff?rence. Elles pass?rent ensuite dans le rayon conserve o? elles prirent des boites de cassoulet et de choucroute garnie puis se dirig?rent au rayon sucrerie, Elles ne purent alors se retenir de prendre plein de chocolat, des bonbons et des g?teaux. Elles entendirent un couple passer dirent alors : -? C'est pas comme ?a qu'elles vont maigrir les 2 l?, ha ha ha ! ?. -? hi hi hi ! Quels gros tas, j'esp?re ne jamais devenir comme ?a ?. Cyndie et Chantal, une nouvelle fois humili?es de l'image qu'elles donnaient d'elles, continu?rent leur course. Elles pass?rent au rayon surgel? pour prendre des pizza et des nuggets de poulet bas prix. Elles pass?rent alors au rayon alcool puis ne purent se retenir de prendre de la bi?re, une bouteille de pastis, une de whisky et 2 de vodka. Elle se dirig?rent alors vers la caisse. En rentrant chez elles, elle pass?rent au bureau de tabac du coin acheter des cartouches de gitanes puis se dirigerent vers leur petit appartement. Il ?tait 15 heures et Cyndie et Chantal d?vor?rent leur boite de cassoulet r?chauff?e au micro-onde ? moiti? froide. Satisfaites d'?tre remplies de leur repas, elles se grill?rent une clope puis all?rent se vautrer devant la t?l?, bi?res ? la main. Elles pass?rent ainsi l'apres midi ? regarder la saison de "sous le soleil" en dvd en buvant de la vodka, en se gavant de g?teaux au chocolat et de popcorn. Elles se surprirent elles m?me de leur r?flexion de temps : -? Putain ce que j'aimerais bien avoir son corps ?, dit Chantal. -? Ce mec me fait mouiller grave la foufoune ?, dit Cyndie un peu plus tard, qui ayant eu trop chaud avait retirer haut et soutif, elle ne pouvait pas s'empecher de se caresser les seins, voulant r?it?rer le bien etre sentis pendant sa douche ce matin. A 2 heures du matin, elles avaient fini la saison enti?re. Elles r?chauff?rent des pizzas surgel?es au micro-onde qu'elles mang?rent en 10 minutes puis all?rent se coucher, encore plus grasse que la veille de part leur grande activit? de cette journ?e.. Le lendemain matin, Chantal se r?veilla alors qu'elle ?tait en plein r?ve, ?tant encore Arnaud en train de se faire sucer par une candidate qu'il ?tait en train de recruter. Mais en ouvrant les yeux et en voyant cette chambre horriblement d?cor?e et des posters de johnny hallyday au mur, elle r?alisa que cela n'?tait qu'un r?ve en touchant son sexe humide et qu'il ?tait bien ? pr?sent Chantal, cette vieille brune d?color? au gros seins. Il ?tait d?j? midi et les 2 femmes aval?rent une boite de choucroute garnie puis se d?cid?rent de sortir se changer les id?es, en allant au cin?ma. Elles regard?rent ce qu'il passait : un film d'action, un film romantique, un thriller, et un chef d'?uvre cin?matographique un peu dur ? comprendre, ayant r?colt? plusieurs oscar et qui ?tait en VO. Auparavant, lorsqu'elles ?taient Arnaud et Alex, elles auraient tout de suite choisi le chef d'?uvre cin?matographique mais ? pr?sent qu'elle ne savait m?me pas dire "bonjour" en anglais et que le sujet ne les int?ressaient gu?re, elles ?limin?rent ce choix et h?sit?rent entre le film d'action, o? le mec baraqu?, h?ro du film les excitait un peu physiquement, et le film romantique "Elle s'appelle Rudy" avec Antonio Banderas. A l'hunanimit?, elles choisirent le film romantique. A la caisse , il y avait que des couples, dont beaucoup d'ado, et les gens les regardaient d'un regard un peu moqueur. Elles entendirent les gens parler et dire des remarques ? propos d'elles comme : "Ha ha ! regarde les grosses gouines qui sont venues ensemble" ou "hi hi ! mon dieu qu'elles sont ont l'air ringardes avec leurs fringues" Cyndie ne put alors s'emp?cher de dire : -? Mais vos gueules bande de connard de merde ?. Et Chantal d'ajouter : -? Ouais, on vous emmerde tous, bande de con ?. Les gens autour ne purent s'emp?cher de se marrer de voir ces deux vieilles femmes s'enerver en disant de telles vulgarit?s pour se d?fendre. Cyndie et Chantal se sentirent alors humili?es puis se mirent ? rougir. Elles finirent finalement par s'installer dans la salle et le film commen?a. Partout autour d'elles, les couples se serraient la main et s'embrass?rent langoureusement. Elles se sentirent alors extr?mement frustr?e et jalouses, mais bizarrement non pas des mecs, mais des filles qui avaient avec elles de charmants compagnons, tandis que elles ?taient seules et tristes. Une fois le film termin?. Cyndie et Chantal se dirig?rent alors sur le chemin sur retour retrouver seules leur appartement minable. Elles ne purent au passage de se prendre deux ?clairs au chocolat chacune dans la boulangerie d'en face, pour se consoler et s'assirent sur un banc ? c?t? puis s'empiffr?rent, en se mettant plein de cr?me sur elles, devant les passants un peu d?gout?s du spectacle Deux jeunes filles qui passaient dirent alors : -? Hi hi! regarde moi ces grosses truies ?. -? C'est clair qu'est ce qu'elles ont l'air d?gueulasses et repoussante ces deux grosses pouffes ?. -? Non mais la ferme sales gouines de merde, allez vous faire foutre, connasses ?. Les deux jeunes filles s'en all?rent tout en se marrant de regarder Cyndie et Chantal. Elles rest?rent assises un peu sur le banc ? regarder les passants dans la rue. Elles se surprirent alors ? regarder les mecs et d'avoir des envies un peu cochonnes. -? Mate moi ce petit cul ?, dit Cyndie en se mordant les levres. -? Putain je me le ferai bien ce petit con ?, repondit Chantal en lechant sensuellement ses doigts encore plien de cr?me au chocolat. -? J'aimerai bien sentir sa queue dans ma chatte, hum, oui, pas toi ma grosse salope? ?, questionna Cyndie. -? Arr?te, connasse, je commence ? mouiller gr?ve rien que d'y penser ?, lui repondit Chantal en se trimoussant sur le banc tellement sa chatte la d?mangeait. Cyndie et Chantal commen?aient d?j? ? ressentir des attirances pour les mecs lorsqu'elles ?taient Julie et Sarah mais leur comportement avait chang?. Auparavant, elles aimaient juste profiter de leur physique afin d'exciter les mecs en leur montrant leur jolie cul, mouiller leurs petites chatte et se carreser par la suite en pensant ? la frustration qu'elles avaient g?n?rer en se refusant ? eux et ? ses bites dr?ss?es devant elles et au plaisir et ravages qu'elle pouvaient faire en limant leurs petits trous, mais pour autant elles se refusaient ? baiser. Mais ? pr?sent c'?tait plus un jeux, elles n'avaient plus qu'en t?te de se faire baiser, limer le con avec une bonne grosses bite et elles ne pensaient qu'a ?a, ? en saliver. Plus tard, en rentrant, elles crois?rent deux mecs charmants dans la rue. Elles leur firent un sourire puis dirent ? tour de role :: -? Salut beaux mecs, nous c'est Cyndie et Chantal, Ca vous dit de prendre une bi?re avec nous? ?, -? Puis on pourrait ensuite aller baiser. J'ai la moule tremp?e rien que de penser ? vos grosses queues ?. -? Non mais je r?ve... regarde moi ces grosses morues excit?es qui esp?rent se faire baiser par des beaux mecs comme nous. Comme si on allait ?tre int?ress?s par des bonnes femmes comme ?a, vieilles et laides. Et quelles tenues de merde elles portent mon dieu quel gout de chiotte... Allez viens on se tire... ?. Cyndie dit alors ? Chantal : -? Putain mais t'a vu comme on s'en fait renvoyer chier? ?. -? Ouais.... Tu sais quoi Arnaud? je finis par regretter qu'on n'en ai pas plus profiter lorsqu'on ?tait Julie et Sarah et encore d?sirables pour se faire baiser... Je crois qu'on a pas finis d'en chier pour satisfaire nos envies de sexe ? pr?sent avec ces nouveaux physiques de merde... ?. Cyndie et Chantal finirent par arriver chez elles. Elles burent des pastis pour l'ap?ro en fumant clopes sur clopes et en se gavant de chips tout en regardant le juste prix, puis all?rent regarder ce qu'il y avait dans le frigo. Elles se r?chauff?rent des hamburgers surgel?s puis all?rent se laver et se coucher, sachant qu'elles devraient se lever ? 4h30 du matin pour aller au travail. Le soir Cyndie, qui n'en pouvait plus d'avoir la chatte tremp?e, ? force de penser aux deux beaux gosses de tout ? l'heure, ne pu resister de se masturber pour se faire jouir avant de s'endormir. C'?tant mise ? poils, elle abr?gea rapidement les pr?liminaires de caresser ses gros seins, pour aller directement l? o? son plaisirs lui donnait le plus d'envie, sa chatte. Elle fit plus connaissance de son sexe au trou b?ant et tremp?e que dans sa douche en mettant un miroir par terre, elle vit mieux son gros boutons qui lui servait de clitoris et l'entr?e grande ouverte de son jardin secret ruisselant de d?sirs. Cette chatte n'avait rien avoir avec celle qu'elle avait en ?tant Julie, elle ruisselait plus comme une fontaine constante et etait plus sensible, elle lui fallit pas longtemps, juste en effleurant des bouts des doigts, apr?s l'avoir d?gager de son capuchons, son gros clito, pour g?mir de plaisir en hurlant sans retenue et de par de grandes convulsions avec des jets de cyprines, jouir comme jamais elle avait pu le faire depuis qu'elle etait devenue une femme. En s'evanouissant de plaisir, elle n'a pas eu le temps de r?aliser que ce corps bien que moche ? ces yeux et aux autres, ?tait des plus receptifs, plus sensibles et que cela aura beaucoup de conc?quences pour la cochonnes nymphomaniac qu'elle devenait en le decouvrant petit ? petit. Apr?s s'?tre donc faites jouir vite fait, elle reprit conscience, des larmes dans le yeux en prenant consience qu"elle se perdait de plus en plus dans sa f?minit?, que le beau Arnaud qu'elle connaissait s'en allait au loin au fur et ? mesure. C'est en pleure qu'elle alla se servir une bi?re dans le frigo qu'elle but cul sec pour noyer son chagrin et d?sespoir, elle se dit alors ? quel point sa situation ?tait pourrie en se disant qu'auparavant, lorsqu'elle ?tait Arnaud, elle baisait des filles superbes et finissait avec du champagne en ayant termin? de faire l'amour et qu'elle en etait r?duit ? faire ?a. Puis elle alla alors se recoucher dans son clic-clac en entendant Chantal ronfler dans sa chambre dont le sommeil n'avait nullement ?t? d?rang? par tout ce bazard. Il ?tait 4 heures 30 du matin et le r?veil sonna. Ayant du mal ? ouvrir les yeux ? une heure si matinal. C'est vrai que lorsqu'elles ?taient encore Arnaud et Alex, elles dormaient jusqu'? 9 heures du matin, mais l?, finis la belle vie, il fallait bosser dure et de bonne heure. Cyndie et Chantal train?rent au lit encore un peu. A 5 heures, elles finirent par se lever, horrifi?es, de voir la sale t?te qu'elles avaient dans le miroir en allant dans la salle de bain, mais aussi de leurs corps boudin?s, quelques soit les fringues qu'elles pouvaient mettre il y aurait toujours de la graisse qui d?passerait et plus leurs v?tements ?taient s?r?s et plus c'?tait le cas. Elle prirent leur petit d?jeuner vite fait, fum?rent une clope, puis se rendirent enfin au travail.L'usine ?tait ? 1 heure de chez elle ? pied, soit environ 6 km. Comme elles ?taient ? la bourre, elles se mirent ? courir mais il leur fallait faire des pauses non seulement par manque de souffle ? cause de la clope mais aussi et surtout pour leur poitrines enormes qui gigottaient en se balan?ant dans tous les sens, cela les g?naient fortement et les firent souffrir ? chaques enjamb?es. Elles arriv?rent finalement ? l'usine ? 7h15, soit 15 minutes en retard et d?j? en sueur. Elles reconnurent Fabienne, cette ouvri?re qu'ils avaient promus chef d'?quipe il y a peu. ils savaient que c'?tait une salope qui aimait engueuler et diminuer les autres ouvri?res, en leur donnant des ordres, mais ils s'en foutaient compl?tement auparavant, ?tant loin de tout ?a et du moment que l'usine marchait. Mais ? pr?sent, la situation avait chang?, c'?tait elle leur responsable ? pr?sent, elles allaient bient?t d?couvrir leur douleur de l'avoir comme chef et ce qu'elle r?servait ? ses subalternes, surtout les ouvri?res comme elles, vieilles, moches, grosses, vulgaires et... en retard : -? Alors bande de grosses feignasses... C'est ? cette heure ci que vous arrivez? Cyndie et Chantal, d?p?chez vous d'allez mettre votre tenue et au boulot, je vous ai ? l'?il je vous pr?viens... Et vous finirez 15 minutes plus tard que les autres pour rattraper votre retard pour la peine.?. Cyndie et Chantal all?rent dans les vestiaires et mirent leurs tenues d'ouvri?res, qui, souvenez-vous ?taient compos? d'un pantalon en jean et d'un debardeur blanc, tenue tr?s sexiste choisie par ces deux anciens comp?res et patrons, Arnaud et Alex. -? Putain mais regarde moi ? quoi on ressemble Alex... ?. -? Ouais on est vraiment habill?es comme des merdes, Arnaud... Pff, Bon allez courage, faut qu'on y aille ? pr?sent sinon cette pouffe de Fabienne va nous souler grave... ?. Elles se mirent alors au travail dans l'usine, n'?tant rien de plus que des ouvri?res parmis tant d'autres. Le boulot ?tait monotone, fatiguant et rebarbatif, il fallait qu'elles v?rifient le contenu et emballent des paquets, rapidement. Et, avec cela, Fabienne, leur chien de garde, qui ?tait toujours dans leurs dos ? les surveiller et les engueuler au moindre faux pas, tout en aboyant ces ordres. Ainsi, elles entendirent des remarques du genres "Allez Plus vite Cyndie l'empot?e", "Mais fait attention en emballant esp?ce d'idiote, on te demande pas grand chose mais fait le correctement" Il ?tait 10 heures et c'?tait la pause. Cyndie et Chantal se pr?cipit?rent dehors pour fumer une clope puis se rendirent ? la salle de repos prendre un caf?, ? defaut d'une bonne bi?re. Elles ?cout?rent alors les conversations autour d'elles, de leur d?sormais coll?gues :: -? Si si, je te jure, 23 cm, je te dit pas ce qu'il m'a mis ce salaud... ?. -? Hum... je t'envie... ?. -? Oui il m'a promis de m'?pouser et que j'allais en finir avec ce boulot de merde d'ouvri?re... ?. -? Quelle chance... ?. Elles all?rent ? la machine puis prirent des barres chocolat?es dont elles s'empiffr?rent en vitesse, avant de rapidement retourner ? leur boulot en voyant au loin arriver Fabienne. A midi, la pause d?jeuner arriva, Cyndie et Chantal all?rent ? la cantine. Elles attendirent leur tour puis se l?ch?rent leurs l?vres charnues en voyant la bouffes arriver dans leur gamelles, du hachi parmentier. Elles s'assirent, puis mang?rent leur repas de bon app?tit bien que cette cantine ?tait loin d'?tre le 4 ?toiles de leur vie d'avant, pire elle ?tait dans la ligne de mire du service d'hygi?ne, mais grace au bagchiche vers? par ses patrons, n'avais jamais ?t? inqui?t?. Elles se rendirent ensuite dans les toilettes boire discr?tement quelques rasades de Whisky qu'elles avaient pris dans leur sac histoire de finir leur repas, puis se remirent au travail, bien gaie et remplie. La journ?e passa et arriva enfin l'heure o? Cyndie et Chantal purent enfin rentrer chez elles. Arriv?es dans leur petit appartement, elles prirent un douche pour enlever l'horrible odeur de sueur qu'elles avaient. Elles prirent un pastis puis se mirent ? table o? elles bouff?rent des chickens de poulet frie et des frites avec du ketchup. Elles regard?rent une famille en or et les emmissions avant le JT, puis all?rent se coucher, van?es de leur journ?e. Le lendemain, Chantal, compl?tement en manque ? 11 heures du matin, fut surprise en train de fumer une clope discr?tement en plein travail. Mais malheureusement pour elle, Fabienne, qui ?tait toujours dans le coin ? la surveiller s'en rendit compte : -? Feignasse... Que je t'y reprenne encore une fois et tu vas le payer Chantal ?. Alex se sentit extr?mement humili? de se faire ainsi insulter par cette femme qui anciennement pour lui est tout en bas de l'?chelle sociale mais dont il ne pouvait pas r?pondre ?tant maintenant sa sup?rieur hi?rarchique. Trois journ?es passa ainsi et Cyndie et Chantal commen?aient ? s'habituer ? leur vie, un travail d'ouvri?re r?p?titif, et dont les seuls plaisirs, qu'elles avaient, ?taient l'alcool, la cigarette, et les s?ries d?biles ? la t?l? le soir qui les faisaient mouiller en voyant des beaux mecs, viriles et muscl?s. A la fin de la journ?e, avant de partir du vestiaire, apr?s d'?tre chang?es, elles virent les femmes de m?nages arriver, une asiatique et une femme venant des pays de l'est. N'ayant pas perdu leur vieille habitude et leur gout pour l'humiliation, elles se sentirent sup?rieures face ? elles et leurs dire alors : -? Allez nettoyez ce merdier sans discuter sales merde de femmes de m?nage ?, dit Cyndie. -? Ouais on est peut ?tre des ouvri?res mais vous ?tes que des bonniches ? la con ?. Les deux filles avaient du mal ? comprendre Cyndie et Chantal surtout ? cause de leur expression si vulgaire puis dirent simplement : -? Nous pas trop comprendre vous mesdames, nous femmes de manages pas trop parler francais d?sol?es... ?. Cyndie et Chantal se marr?rent puis s'en all?rent de l'usine. En rentrant ce soir la, elle d?cid?rent de se faire une folie et d'aller dans un resto de leur quartier. C'?tait un resto mal tenue et grasseux, mais le menus, gras, et pas cher les s?duisirent. Elles eurent alors la m?me pens?e, elles se revoy?rent en Arnaud et Alex, ? d?guster des langoustines dans un restaurant de luxe sur les Champs Elys?es. Elles entr?rent dans le restaurants o? les principaux clients ?taient des routiers et des ivrognes. La serveuse les invit?rent ensuite ? s'assoir et ? commander. Elles prirent des pieds de porcs en sauces et un ragout de b?uf, le tout avec des frites et un vin de table tr?s bas de gamme, en attendant leurs plats, elles demand?rent comme ap?ritif un double whisky servir avec des chips molles. Durant le repas, un black seul d'environ 25 ans, ? la table d'? cot?, les regardait avec attention et n'arr?tait pas de les divisager avec un large sourrire qui montrait ses dents d'une blancheur immacul?es. A la fin de repas, il se leva et s'assit ? leur table. Il leur dit alors : -? Bonsoir Mesdames, je vous ai ?cout? discr?tement ? table parlant de vos envies de sexe. Alors je me permet de vous proposer mes services de Gigolo. J'ai un sexe de 23 cm et suis la pour vous servir, mesdames?. Cyndie et Chantal se regard?rent. Pourquoi n'envoyaient elles pas chier cet homme? Etait-il possible qu'elles soient attir?es par cette proposition? Etaient-elles trop en manque de sexe au point de d'?tre si excit?es ? l'id?e de voir la grosse bite de ce black? Sans trop comprendre leur r?action, elles discut?rent le prix puis invit?rent le black chez elles. En chemin leur envie et d?sir, de se faire prendre par cet homme ? grande et grosse queue, ne cessaient de grandir ? tel point que leur corps tout entier bouillonnait et leur chatte ruisselaitent ? grande eaux que l'on aurait bu boire directement ? la source, d?s leur arriver ? leur appartement, elles se mirent ? poils rapidement en jetant et apparpillant leur v?tement partout et en firent de m?me pour ceux de leur sauveur sans m?nagement, voir sauvagement, l'embrassant et le lechant de haut en bas, puis le pous?rent avec rapidit? sur le clic-clac rest? d?pli?. Cyndie commen?a ? se mettre ? quatre pattes devant cette ?norme queue chocolat, en ecartant ses l?vres si humides de ses doigts qu'elles lib?r?rent des flots de mouille qui coulaient par la suite le long de ses jambes grassoul?tes, pour se faire ainsi prendre en levrette en g?missant par le grand black qui la traitait au passage de grosse salope. Pendant ce temps l?, Chantal regardait la sc?ne nue, en se caressant ses gros seins, tirant sur ces enomes t?tons, d'o? sortit du lait, et de son autres mains se titilait le clito glissant furtivement un ou deux doigts dans sa chatte d?j? largement ouverte et loin d'?tre aride, au vu de la flaque au sol. En voyant ainsi Cyndie la bouche grande ouverte en hurlant son plaisir comme une chienne, Chantal eu ? ce moment la, sans trop savoir pourquoi, elle repensa ? Arnaud, en costume HUGO BOSS, en train de faire un beau discours devant les employ?s d'un ton ferme, en hurlant les derni?re consignes ? suivre, tel un dictateur, mais le flash s'?vanouisant elle ne vit en face d'elle qu'une grosse truie de blonde qui g?missait, en baissant les yeux elle vit ses doigts dans son minou et le son de sa voix qui haletait aussi, lui confirma que leur cauchemar ?tais encore bien r?el et qu'ils ?taient toujours ces grosses en laides connes d'ouvri?res. Cyndie hurla d'un seul coup : -? Aah putain... Ouiii je jouis... que c'est bon ?. Chantal dit alors : -? A moi, ? moi Bordel... Ram?ne ta grosse queue mon beau et met la moi profonde dans ma chatte, connard ?. Cyndie assista ? la sc?ne ? son tour, regardant Chantal en train de s'empaler le sexe sur le black avec des vas et viens rapide et profond. Pendant que ces grosses miches bougeaient de haut en bas, en suivant le mouvement de ce rod?o endiabl?, Cyndie avait du mal ? s'imaginer que cette grosse vache ?tait Alex, ce respectueux et beau gosse lorsqu'elle l'entenda s'?crier : -? Oh ouii... Encore, encore... humm j'ai la chatte si tremp?e... Putain... Je sens... Que je vais... Jouiiir... Ouiii...?. Cyndie ne pu s'empecher de jouir aussi en m?me temps ne s'?tant pas rendu compte, perdu dans ses pens?es, qu'elle se doigtait aussi hardement en suivant leur rythme de leur folle chevauch?e. Elle sauta sur le clic-clac les rejoindre, pour de nouveau monter ce bel ?talon ? grosse queue, et cela ne s'arr?ta pas de toute la nuit, en interchangeant les position, se caressant, se lechant et jouissant sans aucune retenue. Une fois apr?s avoir finit de baiser Cyndie et Chantal, et surtout de satisfaire totalement leur gros app?tit sexuel, le black s'en alla, il les laissa ainsi nues, vid?es et tremp?es, entre sueur, mouilles et spermes, elles s'endormirent, satisfaites de s'?tre faites sauter, bien qu'humili?es d'en ?tre r?duit ? avoir fait ?a au plus profond d'elles, au plus profond de ce qui leur restait encore de mascunalit?, se voyant dans leurs songes en tant qu'Arnaud et Alex, s'?loigner et s'effacer de plus en plus, pour ne laisser que Cyndie et Chantal, deux grosse cochonnes avides de sexes, des larmes couillaient de leur yeux malgr? elles, par plaisir? par d?gout? ou les deux? Le cours de leur vie mis?rable continua et continua encore dans cette routine inint?ressante, et les jours pass?rent encore et encore sans changement, jusqu'? ce jour. Nous ?tions jeudi, c'?tait la pause de midi, Cyndie et Chantal, qui voulaient souffler un peu et surtout ne pas entendre Fabienne les engueuler parce qu'elles avaient mal mis un emballage ou qu'elles n'allaient pas assez vite par rapport aux autres ouvri?res, se grill?rent une clope dehors loin de tout ?a, lorsqu'elles virent le gros moustachu qui s'approchait d'elles.