tre la nouvelle femme de chambre II chapitres 3 et 4
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?tre la nouvelle femme de chambre
1
Je ne sais toujours pas comment c'est possible. Je suis l? devant la
glace, maquill?e et mes longs cheveux retenus en arri?re pour former une
queue de cheval, dans une jupe noire avec un petit tablier ? volants tenu
au dos par un joli n?ud, un chemisier beige sigl? au nom de l'h?tel, des
salom? ? petits talons carr?s aux pieds.
Pourtant, je suis un gar?on. Je ne devrais pas ?tre ici mais en train de
faire la f?te ou de tra?ner mon ennui de cet ?t? qui n'en finit pas. Mais
je dois tout vous expliquer et pour cela revenir au commencement.
Maman ?tait une tr?s belle femme brune. Elle ?tait cependant tr?s pieuse
et autoritaire. Je ne l'avais plus jamais vu que dans de simples robes
noires depuis la mort de papa survenue quand j'?tais encore enfant. Elle
m'avait ?duqu? d'une fa?on tr?s stricte depuis ce d?c?s. Elle m'avait
ainsi forc? ? l'accompagner pendant les trois semaines de sa cure dans
cette petite ville sans appr?ts. Elle avait pr?sent? cette corv?e comme un
cadeau pour avoir r?ussi mon bac. Quel cadeau formidable La seule
activit? de cette ville de province venait en effet des curistes. Imaginez
pour l'essentiel des femmes m?res et fatigu?es par la vie accompagn?es de
quelques vieux beaux aux charmes d?catis. Ce n'?tait donc pas vraiment le
genre d'endroit dont r?ve un jeune homme de 18 ans pour passer ses
vacances.
Maman passait sa cure entre les soins, le repos et quelques rares balades.
C'?tait aussi sa revanche sur la vie que de se faire servir par d'autres
pendant l'unique pause qu'elle se permettait.
J'?tais donc livr?e ? moi-m?me. Pendant les premiers temps j'avais trouv?
de l'attrait pour la t?l?vision. C'?taient les d?buts de Canal+ et l'h?tel
avait un abonnement ce qui me permettait de regarder autant de films que
je voulais dans la salle o? tr?nait le d?codeur. Mais apr?s en avoir
profit? quelques jours un ennui mortel me gagnait de plus en plus.
Je commen?ais donc ? vadrouiller dans les recoins de l'h?tel. Il
regroupait plusieurs anciens immeubles et comportait des secteurs o?
personne ne semblait aller, quasi abandonn?s. Je fouinais donc, cherchant
? ouvrir toutes les portes qui se pr?sentaient ? moi dans l'espoir de tuer
le temps. J'esp?rais tomber sur je ne sais quel tr?sor qui serait rest?
oubli? l? depuis des d?cennies sous la poussi?re du pass?.
Mais la plupart des portes ?taient ferm?es. Et m?me cette chasse ?perdue
semblait donc d?sesp?r?e. Cette apr?s-midi l?, j'essayais d'explorer les
derniers endroits que je n'avais encore eu le temps d'explorer. Et
subitement, la troisi?me porte que j'essayais de forcer s'ouvrit sur une
minuscule pi?ce. Elle ?tait pauvrement meubl?e d'une armoire, d'une
coiffeuse et d'une chaise. Rien de bien folichon ... sauf qu'? bien y
regarder, sur le dossier de cette chaise une jupe noire ?tait pos?e.
Je fermais la porte apr?s avoir jet? un regard derri?re moi de peur d'?tre
surpris ici. Mais les lieux ?taient d?serts. Je n'h?sitais qu'un bref
instant et me d?pouillais de mon short mais ne fis qu'abaisser ma petite
culotte (car oui je portais une petite culotte comme la fille que j'avais
toujours su ?tre). J'en profitais pour remonter ma petite verge aussi loin
que possible entre mes jambes apr?s avoir cach? mes bourses en les
poussant dans mon ventre, avant de remettre ma culotte sur mes fesses.
Puis je me glissait dans le d?licieux fourreau de la jupe qui enserrait
mes hanches. Je me vis dans le miroir de l'armoire. Une jeune femme dont
les seins n'auraient pas encore pouss?s. Je me trouvais mignonne et
prenais des poses toujours plus lascives. J'?tais si bien ...
Soudain la porte s'ouvrit sur une jeune femme blonde en jeans et top rose.
- Et bien C'est pas trop t?t. Enfin une rempla?ante pour St?phanie
Elle me tendit la main pour me saluer.
- Au fait bonjour. Je m'appelles Marie et toi, c'est quoi ton pr?nom?
J'?tais stup?faite d'avoir ?t? surprise ainsi habill?e. Sans r?fl?chir je
lui r?pondis en prenant ma voix la plus douce.
- Je m'appelles Mathilde.
- Enchant?e Mathilde. Tu dois faire du 40, je penses.
Marie ouvris l'armoire et me tendis une paire de chaussures ? ma pointure,
accompagn?e d'une chemisier et d'un tablier.
Elle commen?a alors ? se d?v?tir, ne gardant que sa culotte en coton et
son soutien-gorge.
- Ne reste pas plant?e l? comme une godiche. Fini vite de te changer que
je te montres ce que nous devons faire.
J'?tais p?trifi?e mais sa voix d?cid?e et son ton ferme me rappelais ceux
de maman. Je lui ob?is donc d'instinct et commen?ais ? retirer mon T-shirt
sous lequel je ne portais rien.
- Incroyable Tu n'as pas encore presque pas de poitrine. Mais tu as quel
?ge?
- Je ... Je ... Je...
Je bafouillais de peur qu'elle ne comprenne qui j'?tais et ne fasse
?clater un scandale.
- J'ai compris. Tu n'as pas encore 16 ans et tu as mentis sur ton ?ge pour
travailler.
- Oui, c'est ?a, je n'ai que 14 ans. Ne dis rien ? personne s'il te pla?t.
J'avais bondi sur la perche qu'elle m'avais tendue. Il est vrai qu'avec
ma petite taille (1,65 m), mes fesses bien rondes et ma poitrine un peu
grasse, je pouvais passer pour une adolescente pr?-pub?re.
- Il faudra que je te passe un soutien-gorge de croissance, ma ch?rie.
Parce qu'ici ?a ne se fait pas d'?tre top-less. L'h?tel a sa r?putation ?
d?fendre.
Maintenant actives et fais-toi aussi une queue de cheval comme moi. Ici,
c'est la coiffure obligatoire des bonniches.
Montres-moi. Tournes sur toi-m?me. Impeccable. Enfin presque ...
Viens ici ma belle que je te mettes un peu de rouge ? l?vres et de fard ?
paupi?res. Il faut que tu fasses attention ? ses d?tails si tu veux rester
ici. Voil? tu es parfaite.
J'?tais parfaite oui. Dans le miroir, l'image qui m'?tait renvoy?e ?tais
celle d'une femme de chambre. J'?tais stup?faite, troubl?e, heureuse
aussi. Marie avait fait de moi sa coll?gue en quelques minutes. Sauf que
maintenant, j'?tais coinc?e dans cet uniforme.
- Allez, suis-moi Mathilde. On a plein de chambres ? nettoyer!
2
Marie venait juste de me transformer en femme de chambre sans se douter
que j'?tais un gar?on. Elle m'entra?nais maintenant derri?re elle ?
travers les couloirs de l'h?tel vers notre premi?re chambre. Je trottais ?
ses c?t?s, heureuse de savoir d?j? depuis longtemps marcher avec des
talons. J'ai oubli? de le pr?ciser - mais qui ne s'en douterait - j'adore
les v?tements f?minins et le temps de notre marche, mon esprit vagabondait
en se souvenant de mes premi?res exp?riences de travestissement.
Lorsque j'avais 12 ans j'?tais tomb?e en explorant le grenier ? la
recherche de jouets sur une grande malle remplie par toutes les robes, les
jupes et les fonds de robes en nylon que maman avait abandonn? ?
l'int?rieur. Toutes ?taient color?es, jaunes, rouges, vertes, ? pois ou ?
rayures, comme c'?tait la mode dans sa jeunesse. Elle en avait fait son
deuil et ne portait plus que ses ?ternelles robes noires de veuve depuis
le d?c?s de papa.
Je ne sais ce qui m'avait pris mais j'avais ?t? troubl?e en caressant un
des fonds de robe. Je l'avais pris avant de revenir discr?tement dans ma
chambre. Apr?s m'?tre prestement d?shabill?e, je l'avais enfil?e en
tremblant de plaisir, comme une deuxi?me peau. J'en frissonnais de bonheur
et allais m'observer dans une glace. Avec mes cheveux longs, la seule
toquade que maman m'avais pass?e, mes doux yeux bleus, ma petite taille
et ma faible corpulence, j'avais l'impression de voir une petite fille.
Cela me plaisait. Je me trouvais mignonne.
Le soir venu, je dormis dans cette tenue comme s'il s'agissait d'une
nuisette. Je retournais par la suite tr?s souvent me servir dans le coffre
au tr?sor et je jouais pendant des heures ? changer de tenue et ? devenir
la femme de mes r?ves.
Maman travaillait ? l'ext?rieur comme femme de m?nage et ne souhaitait pas
s'occuper de tout ? la maison. Je la rempla?ais donc dans ces t?ches de
nettoyage et d'entretien. Un jour qu'elle en avais pour plusieurs heures
de m?nages ? l'autre bout de la ville, j'en profitais pour fureter dans
l'armoire de sa chambre. Cach?e sous une pile de draps, j'y d?couvris une
splendide parure noire (bas coutures noir, porte-jarretelles, culotte et
soutien-gorge en satin noir). N'ayant aucune pilosit?, je rev?tis en
tremblant ces dessous si troublants. Je fis attention avec les bas pour ne
pas les filer. Ils ?taient d'une finesse exquise et j'ajustais la couture
sur ma jambe du mieux que mon inexp?rience me le permis. Je pris ensuite
un des fonds de robe en nylon et une des robes de maman, noirs bien s?r,
et les rev?tait. Puis j'allais chausser ses seuls escarpins ? petit talon
(5 cm tout de m?me). Par chance nous faisions encore la m?me pointure. Je
me tenais en ?quilibre pr?caire et mis un bon quart d'heure ? m'habituer ?
marcher avec eux, ? force d'aller-retour devant le miroir de son armoire.
Petit ? petit je pris de l'assurance, commen?ais ? laisser mes hanches
rouler, avan?ant mes pieds l'un devant l'autre sur une m?me ligne
imaginaire, m'observant, troubl?e d'?tre si belle et f?minine.
Comble du bonheur, je me souvins alors que maman avait laiss? son rouge ?
l?vres et du mascara dans la salle de bains. Elle ne s'en servait qu'une
fois par semaine lorsqu'elle se faisait belle pour aller d?poser un
bouquet de fleurs sur la tombe de papa et prier pour le repos de son ?me.
Je compris subitement ? qui ?tait destin? la splendide parure que je
portais. Je l'avais observ? si souvent dans ce rituel. Je l'imitais et
soulignais mon regard de cils immenses. Puis je mettais le rouge ? l?vres
dont la texture cr?meuse me fit frisonner. Un soup?on de son parfum sur
mes poignets et dans le creux de mon cou. Mes sens ?taient submerg?s de
bonheur et de f?minit?.
Je retournais au miroir ainsi fard?e. Avec mes longs cheveux bruns
encadrant mon visage, je croyais voir s'avancer une version plus jeune de
ma m?re, comme une tante ou une s?ur que je n'aurais jamais eues. J'?tais
au paradis, j'?tais femme. Je ne m'?tais jamais sentie aussi bien.
Soudain la sonnette retentit. Que faire? J'?tais prise au pi?ge ... Je
pris alors mon courage ? deux mains et d?cidait d'aller au moins voir qui
me d?rangeait dans mes r?veries ?veill?es.
Je regardais ? travers l'?illeton. C'?tait le facteur qui amenait un
colis. Je ne pouvais le laisser partir sinon maman croirais que j'?tais
partie de la maison et me punirais s?v?rement. Mes fesses en cuisaient
d'avance. Prenant une grande respiration, j'ouvrais la porte et du bout
des l?vres, saluait timidement le postier. Avec un grand sourire, il me
tendit le colis et le r?c?piss? que je signais d'un gribouillis
ind?chiffrable. Puis me souhaitant une belle journ?e, il me dit au revoir
en me demandant de saluer ma s?ur (ma m?re donc!) pour lui. Il ne m'avais
pas reconnu et me prenais pour une femme! J'?tais flatt?e et troubl?e. Je
r?pondis par un adieu crisp? et claquait la porte. Mes jambes tremblaient
et je mis plusieurs minutes ? me calmer. J'avais faillit mouiller ma
petite culotte de peur (enfin la culotte de maman), comme une petite
fille. Mais il ne m'avais pas reconnu.
Je vaquais un peu ? quelques t?ches m?nag?res, toujours v?tue comme la
femme que je ressentais au fonds de moi, faisant expr?s de passer tr?s
souvent dans le miroir pour m'observer. Mon sourire illuminait mon visage.
J'?tais plus heureuse que je ne l'avais jamais ?t?. Je sentis soudain dans
ma culotte que ma petite verge se sentait ? l'?troit. A force de passages
je m'?tais excit?e toute seule comme une petite gourde.
Je vins m'asseoir sur le lit de maman et enlevait sa robe. Je soulevais le
fonds de robe puis doucement baissait ma (sa!) culotte. Ma petite verge se
dressait du haut de ses quelques centim?tres. Elle ?tait toute dure et je
ne l'avais encore jamais vu ainsi. Je trouvais les bons gestes toute seule
et me caressait d?licatement puis de plus en plus vite, excit?e comme
jamais. Je ressentais sur le haut de mes jambes les attaches du porte-
jarretelles qui tendaient les bas. Mon c?ur frappait si fort dans ma
poitrine, contre le soutien-gorge dont le satin aga?ait la pointe de mes
t?tons soudain si durs, les ?rigeant d'excitation. Je haletais de plaisir
comme une jeune fille qui d?couvre son corps pour la premi?re fois.
Soudain ce fut une explosion, un geyser sorti du sommet de mon organe
jaillit si haut qu'il finit sa course dans ma bouche grande ouverte par un
cri de plaisir. Je venais de jouir pour la premi?re fois et de go?ter ma
liqueur intime par la m?me occasion. J'?tais folle d'inqui?tude ne
comprenant ce qui m'?tait arriv?. De peur aussi de t?cher les v?tements de
ma m?re, je l?chais mes doigts avec ma langue, prenant plaisir ? d?guster
les derni?res gouttes sucr?es de mon nectar. J'?tais ivre de bonheur.
J'?tais femme. J'?tais moi.
Becky
- 09.11.2020
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The Angry Whore Book 1Chapter 25 La Nouvelle Orleans
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