tre la nouvelle femme de chambre
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?tre La Nouvelle Femme De Chambre II (chapitres 3 Et 4) free porn video
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Marie venait juste de me transformer en femme de chambre sans se douter
que j'?tais un gar?on. Elle m'entra?nais maintenant derri?re elle ?
travers les couloirs de l'h?tel vers la premi?re chambre dont nous
devions nous occuper. Je trottais ? ses c?t?s, heureuse de savoir depuis
longtemps d?j? marcher avec des talons. Mon esprit vagabondait en se
souvenant de mes premi?res exp?riences de travestissement.
Je dus vite revenir ? la r?alit?. En l'absence de St?phanie, Marie
devait revenir l'apr?s-midi pour finir de nettoyer les chambres de sa
coll?gue. Celle-ci en avait eu marre de ce boulot et l'avait abandonn?
sans pr?venir.
Heureusement que j'avais l'habitude de faire le m?nage chez nous. Nous
encha?nions les chambres en passant l'aspirateur et en changeant draps
et serviettes. Je pris vite le coup de main et Marie ne pouvait que se
f?liciter de m'avoir trouv?.
Nous ?tions en train de passer d'une chambre ? l'autre quand la
directrice nous surpris. C'?tait une dame d'une cinquantaine d'ann?es,
que j'avais toujours vu dans des tailleurs jupe qui mettaient ses belles
jambes et ses courbes toutes de f?minit? en valeur. Ces yeux bleus
rayonnaient ? la fois d'une autorit? naturelle et d'une formidable
douceur maternelle.
Zut! Comment allais-je pouvoir justifier ma pr?sence?
- Bonjour mesdemoiselles. Marie, je constate que vous avez pu trouver
quelqu'un pour remplacer St?phanie.
- Oui Madame Mauriac. Mathilde est tr?s comp?tente et nous aurons
bient?t fini les derni?res chambres.
- Bien Marie. Expliquez lui comment nous fonctionnons pour ces petits
jobs d'?t? et tout ira bien. Bonne journ?e mesdemoiselles.
A peine Mme Mauriac eut elle tourn? les talons que Marie me fit un clin
d'?il puis se rapprocha de moi pour me chuchoter ? l'oreille.
- Je me fiches de savoir comment tu as appris qu'une place ?tait libre,
l'important c'est que tu sois ici ? m'aider. En prime, comme tu vois,
ton ?ge n'a aucune importance ici. Tout le travail est d?j? au noir ...
Allez, c'est pas tout ?a. Au boulot! Il nous reste encore quelques
chambres ? faire.
Plus nous avancions, plus j'esp?rais enfin en finir avec cette situation
des plus scabreuses. Autant j'adorais porter ma tenue de bonniche,
autant ma peur d'?tre d?couverte me rendait folle.
Je me rendis soudain compte que nous nous dirigions vers le secteur de
l'h?tel o? ma m?re avait sa chambre. Je me souvins alors qu'elle s'?tait
plaint au d?jeuner que personne n'?tait venu changer les serviettes le
matin et qu'elle trouvait cela inadmissible au prix du s?jour.
Piti?, mon dieu. Faites que nous n'ayons pas ? aller l?. Piti?, piti? ...
Mais mes pri?res muettes n'obtinrent nulle mis?ricorde. Nous allions bel
et bien vers la chambre 31, celle de ma m?re.
Ouf! Maman ne semblait pas l?. Sans doute partie faire une ballade.
Vite! Vite en finir. Je volais litt?ralement ? travers la pi?ce et Marie
?tait stup?faite de ma rapidit?.
- Calme toi Mathilde. Cette chambre est la derni?re de la journ?e.
Soudain la porte s'ouvrit et une silhouette noire s'encadra dans
l'ouverture. Maman ?tait l?!
- Eh bien! Il en aura fallu du temps pour qu'on s'occupe du m?nage
aujourd'hui ...
- D?sol? Madame. Nous ?tions en sous-effectif et nous nous excusons pour
le d?rangement occasionn?. Comme nous venons de finir, nous vous
laissons au calme. Bonne fin d'apr?s-midi Madame.
Marie avait r?ussi ? la calmer un peu mais je voyais bien que l'orage
grondait dans les yeux de maman.
- Attendez un peu que je fasse le tour pour voir si tout est bien propre
et rang?.
Mmoui. On va dire que ?a va ... C'est correct ... Mais j'exige que demain ce
soit fait ? l'heure, d?s le matin, que je n'ai pas ? faire ma sieste
dans des draps froiss?s. Compris mesdemoiselles!
Son regard inquisiteur se porta vers Marie puis vers moi qui telle une
petite souris avait essay? de me faire la plus petite et discr?te
possible en me cachant derri?re ma coll?gue d'un jour.
- C'est compris jeune fille, r?p?ta-t-elle en insistant sur le dernier
mot et en me fixant ?trangement.
Mon Dieu, elle m'a reconnue. J'en suis s?re, elle m'a reconnue. Je suis
fichue. Mon c?ur manqua un ou deux battements et je faillit m'effondrer.
Mes jambes ne me portaient presque plus. Marie me tira hors de la
chambre en r?it?rant ses excuses puis me tra?na dans le couloir vers
notre vestiaire de fortune.
- Eh bien, celle l?, c'est pas une tendre. Je plains ses enfants!
J'?tais dans un ?tat pitoyable mais donnais le change au maximum.
J'enlevais ma tenue de femme de chambre et la rangeait dans l'armoire
puis remettait mon short et mon T-shirt. Deux bises ? Marie pour se dire
au revoir.
- A demain. Je te ram?nerais un de mes vieux soutifs.
- Oui ... A demain (et puis quoi encore, demain je ne reviendrais pas, une
fois m'a suffit!)
Je ne savais pas comment faire maintenant. Je pris mon courage ? deux
mains et me d?cidais ? revenir affronter l'orage. Je soufflais un grand
coup avant d'entrer dans la chambre puis y p?n?trais.
- Tiens tiens. Te voil? enfin. O? ?tais-tu en vadrouille, mon ch?ri? Je
t'ai cherch? partout pour que tu m'accompagnes pendant ma promenade et
je ne te trouvais nulle part dans l'h?tel. Ni ? la r?ception, ni dans
les salons, ni devant la t?l?. Je commen?ais ? m'inqui?ter. Allez viens,
on y va tout de suite.
Tout en la suivant contrainte et forc?e, j'esp?rais qu'elle ne m'avait
pas reconnue. Sa vue avait baiss? ces derniers temps. Peut-?tre avais-je
?chapp? au pire ...
Sortant de l'h?tel, nous nous dirige?mes vers le centre ville puis la
principale rue commer?ante. Ma m?re l?chait les vitrines en prenant son
temps. Sans pr?venir, elle me poussa soudain ? entrer dans un petit
salon de coiffure pour dames vide de clientes et s'adressa ? la
patronne.
- Bonjour. Pourriez vous vous occupez de ma fille? Elle ne fait aucun
effort pour s'occuper de sa chevelure et je n'en puis plus.
- Bonjour Madame. Mademoiselle.
Un coup de coude de ma m?re et je r?ponds de ma voix la plus douce.
- Bonjour Madame.
- Bien. J'ai un rendez-vous qui viens juste de s'annuler donc je peux la
prendre tout de suite.
Voudriez vous que je lui fasse une couleur ou juste une coupe et une
permanente?
- Il est vrai qu'elle a grandi. Oui. Je pense qu'elle m?rite qu'on lui
fasse sa premi?re couleur. Je suis s?re qu'elle sera adorable en blonde.
J'?tais stup?faite. Elle m'avait reconnue tout ? l'heure et avait d?j?
choisit ma punition.
Elle chuchota ? mon oreille.
- Je ne savais pas que j'avais une fille et pr?te ? prendre ma
succession comme femme de m?nage qui plus est. Je n'?tais pas tout ?
fait sure quand tu ?tais dans ton uniforme ... mais quand tu es revenue
parfum?e, avec la m?me queue de cheval et encore maquill?e, je n'ai plus
eu le moindre doute, ma ch?rie.
Zut, j'avais oubli? ces ? d?tails ? et Marie ne m'avait pas pr?venue. Je
devais ?tre tellement naturelle ainsi fard?e et pour elle j'?tais
d'?vidence une jeune fille, sa nouvelle coll?gue. Maintenant mon
?tourderie allait se payer cher. Mon esprit partait en vrille ... Mon
Dieu, maman veut que je soit transform?e en une jeune fille blonde.
J'?tais abattue. Je ne pourrais cacher ? personne mon ?tat et c'?tait
maman qui voulait me pr?senter ? tout le monde comme sa fille.
- Bien, faites au mieux. Je vous la laisse. Je vais faire quelques
courses et je reviens.
- Jeune fille venez ici. Commen?ons tout de suite. ?a va prendre du
temps
[...]
Deux heures plus tard, lorsque maman revint j'?tais une parfaite jeune
fille blonde. En la voyant arriver avec plusieurs sacs de boutiques de
v?tements ? la main, je compris pourtant vite que mon calvaire ne
faisait que commencer.
- Puisque je t'ai offert ta premi?re coupe de femme, il te faut les
v?tements qui vont avec et pas tes habits de gar?on manqu?e.
S'adressant ? la patronne
- Madame, pourriez vous s'il vous pla?t me pr?tez votre arri?re-salle
afin que ma fille s'y change?
- Bien sur. La cliente est reine ici!
Et nous voil? dans l'arri?re-boutique remplie de piles de linges et de
cartons de laque et de shampoing.
- Allez! 'te-moi tes frusques tout de suite.
J'enlevais mon T-shirt et mon short. Maman fut ravie de voir ma petite
culotte en dentelles (fruit d'un larcin sur l'?tendoir ? linge d'une
jolie voisine ...)
- Eh bien. Je vois que ma fille a du go?t.
Puis poursuivant en baissant la voix
- Au fait, comment t'appelles tu?
- Heu ... Mathilde, maman
- Comme c'est charmant. Un joli pr?nom pour une jolie fille.
Maintenant, mets tout ?a!
Tout ?a c'?tait un soutien-gorge de formation avec des coussinets
int?gr?s et ? effet pigeonnant, une robe l?g?re bleue et fleurie dont le
corsage mettait en valeur ma nouvelle poitrine et une paire de
splendides escarpins blancs ouverts et avec des talons de 6 cm de haut.
En quelque instants, j'?tais devenue une magnifique jeune fille et maman
m'emmena devant les miroirs pour que je puisse m'admirer. Les notes
florales de mon parfum, les touches de maquillage sur mon visage
maintenant encadr? de boucles blondes, ma robe volant avec gr?ce autour
de mes jambes, enserrant ma taille et effleurant ma peau, mes escarpins
sur lesquels je me tenais avec gr?ce, mes fesses sur?lev?es par leur
hauteur. J'?tais si mignonne que je faillit en pleurer de joie.
Maman ressentit mon ?motion et elle que j'avais toujours connue si dure
depuis la mort de papa me pris dans ses bras pour me c?liner et
m'embrasser.
- Je suis si heureuse d'avoir une fille aussi belle. Tu es splendide
Mathilde!
- Et maintenant, revenons ? l'h?tel, ma ch?rie.
- Mais maman, je ...
- Ne discute pas. Sinon tu seras punie!
- Bien maman.
Je baissais la t?te, honteuse. Je n'avais jamais ?t? comme une femme
dehors. J'allais pourtant devoir d?buter dans une rue tr?s passante et
je tremblais de peur. Maman dut comprendre ma frayeur car elle me
soutint du bras pour sortir du salon de coiffure. Mais aucun scandale,
personne ne se moquait de moi. Je pris donc petit ? petit confiance et
commen?ais ? me comporter avec une d?marche et une gestuelle de plus en
plus f?minine, si naturelle pour moi qui avait tant parad? devant des
miroirs ? la maison. Je roulais mes hanches de fa?on provocante, les
bras serr?s le long des hanches et les poignets cass?s. Je souriais ? la
vie comme toutes les belles jeunes femmes. Je ne me rendais pas compte
de l'effet que je provoquais jusqu'? ce que je sente les regards des
hommes se faire de plus en plus insistants sur mes charmes. J'?tais ? la
fois fi?re de provoquer ce d?sir masculin qui gonflait puissamment
l'avant des pantalons et terrifi?e des cons?quences potentielles. Que
pourrait me faire ces hommes si j'?tais seule, sans maman. Ma peur
redoubla ... mais mon d?sir aussi. Dans ma petite culotte, ma minuscule
verge durcissait et mouillait. Heureusement l'h?tel n'?tait pas loin.
Apr?s ?tre rentr?es par une discr?te porte qui donnait sur l'arri?re, ma
m?re me reconduisit dans ma chambre.
- Ma ch?rie, je t'ai aussi achet? un sandwich. Tu ne peux pas venir
manger ce soir dans la salle du restaurant. Tout le monde s'attend ?
voir mon fils et pas ma fille. Il faudra m?me que tu restes ici jusqu'?
demain matin. Tu n'as qu'? te reposer et m?me vite dormir. Tu vas devoir
te lever t?t demain matin, n'oublies pas que tu es la nouvelle femme de
chambre. Avant de te coucher, n'oublies pas non plus de te d?maquiller.
- Oui maman.
- C'est l'heure du souper. Je te laisse ma ch?rie. Tiens, voil? un
dernier cadeau pour ma fille.
Je pris le paquet qu'elle me tendait.
- Merci maman. Bon app?tit.
Nous nous embrass?mes et je restais seule, encore toute boulevers?e de
cette journ?e incroyable.
J'ouvris mon cadeau. C'?tait une magnifique nuisette blanche en nylon.
Je m'empressais d'?ter ma robe, mes escarpins et mon premier soutien-
gorge. Puis je passais la nuisette. Elle ?tait splendide et caressait ma
peau de sa fra?cheur. Ma petite verge r?agit en mouillant de nouveau le
fond de ma culotte. Je repensais ? tous les derniers ?v?nements et
baissait ma petite culotte en retroussant la nuisette. Je me caressais,
r?veuse. Soudain me revint le souvenir du regard des hommes que j'avais
crois? dans la rue, de leur d?sir tendu vers ma f?minit?. J'?tais de
nouveau troubl?e. Ils avaient appr?ci? la beaut? de Mathilde. Ils
auraient m?me voulu l'embrasser, la caresser, la tenir dans leurs bras
puissants et peut-?tre faire d'elle une petite amie. Mon trouble
s'accroissait ? mesure des fantasmes de plus en plus crus qui
remplissait ma t?te de linotte. Je me caressais de plus en plus vite,
mouillant de salive mon index pour caresser avec d?licatesse mon petit
trou. Un sursaut de d?sir et mon doigt me p?n?tra, m'arrachant un
g?missement de plaisir. Il allait et venait dans mon intimit? et ma
plainte se fit plus aigu? comme celle de la jeune vierge que j'?tais.
- Oh. Oh. Oh. Oui. Oui. Ouiiiii. Oooh, c'est si bon!
Ma petite verge se tendit encore un peu plus, se cabra et tira droit
dans ma bouche ouverte par le plaisir. Je go?tais mon miel sucr? et amer
puis l?chait mes doigts pour ne perdre aucun goutte de ce nectar divin
ni m?me du go?t un peu plus fort qui parfumait mon index. J'?tais ivre
de f?minit? et de bonheur et ?puis?e par toutes ces derni?res heures.
Prenant ? peine le temps de remonter ma petite culotte, je m'endormis
dans ma douce nuisette et r?vait toute la nuit de ma nouvelle f?minit?
et des hommes qui la d?sirait si fort.
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Prise par surprise en train d'essayer une jupe, j'ai ?t? entra?n?e dans
un processus me f?minisant toujours plus. En une seule apr?s-midi, Marie
m'a transform? en femme de chambre puis ma m?re m'a fait teindre en
blonde et devenir sa nouvelle fille, Mathilde. En m'endormant je ne
pouvais m?me pas imaginer ce que l'avenir allait me r?server.
- R?veille-toi, la belle au bois dormant. R?veille-toi, Mathilde. Il est
l'heure que tu te pr?pares pour aller travailler.
Maman me caressait doucement l'?paule en me ramenant de mes doux r?ves
?rotiques.
- D?p?che-toi ma ch?rie. Il est cinq heures du matin. Tu dois vite te
laver et t'habiller pour rejoindre ta nouvelle coll?gue.
Mon Dieu. Ce n'?tait pas un r?ve. J'?tais Mathilde, la nouvelle femme de
chambre de l'h?tel.
Comme une automate je faisais une rapide toilette puis rev?tait la tenue
que ma m?re m'avait pr?par?e. Une petite culotte blanche avec un mignon
petit n?ud rose, un soutien-gorge push-up assorti, une mini-jupe en jean
rose, un top noir ?chancr? et des ballerines. Encore des achats fait la
veille pendant ma s?ance de coiffure.
J'embrassais ma m?re avant de partir.
- Merci maman. Merci de ne pas m'avoir accept?e comme ta fille et de
m'avoir offert tous ces v?tements.
- Je t'aime ma ch?rie. File maintenant.
Je rejoignais rapidement le vestiaire o? tout avait d?but?. La porte en
?tait ouvert et une femme corpulente finissait visiblement de s'y
changer.
Prenant mon courage ? deux mains, je me pr?sentais ? elle.
- Bonjour, je suis Mathilde, la nouvelle femme de chambre.
- Bonjour Mathilde. Moi, c'est Ingrid. Enchant?e de faire ta
connaissance.
Joignant le geste ? la parole elle me prit dans ses bras et m'embrassa
comme du bon pain sur les deux joues.
Je commen?ais alors ? me changer dans ma tenue de travail et me rendis
compte qu'elle restait l? ? m'observer d'un regard inquisiteur alors
qu'elle ?tait d?j? pr?te.
- Tu es tr?s mignonne Mathilde. J'aime voir de jeunes filles rejoindre
notre ?quipe et nous soulager dans nos t?ches. Nous ne sommes que cinq
pour apporter les petits-d?jeuners et nettoyer toutes les chambres.
- Euh, merci, c'est gentil.
Sur ces entrefaites Marie arriva et Ingrid s'?chappa en m'adressant un
clin d'?il ?grillard.
- M?fies-toi d'elle Mathilde, me pr?vint Marie. Ingrid est parfois tr?s
collante, si tu vois ce que je veux dire ...
Mais au fait, tu t'est achet? un soutif, et un push-up en plus. ?a te
fait une belle poitrine.
Je ne savais plus o? me mettre et rougis comme la jeune pucelle que
j'?tais.
Une fois ma tenue de bonniche rev?tue, Marie me conduisis vers mes
premi?res chambres.
- Pour aujourd'hui, je n'ai pas le temps de t'expliquer pour les petits-
d?j. Tu te contentes de faire les chambres 60 ? 90. Je suis s?re que tu
te d?brouilleras tr?s bien toute seule. Moi je file je dois apporter mes
petits-d?j et les tiens.
Zut. Je n'avais pas encore pu manger et mon ventre commen?ait d?j? ?
gargouiller. Tant pis.
Devant la masse de travail ? faire, je m'activais, r?curais les douches,
changeais les draps et les serviettes. J'en profitais aussi pour enfin
appr?cier les sensations que me procurait ma tenue. Le glissement de la
jupe sur mes jambes, la tension des bretelles du soutien-gorge me
rendait si heureuse de profiter de ma nouvelle f?minit? que j'avan?ais
vite. Bient?t il ne me restait plus ? m'occuper que d'une derni?re
chambre.
Je vis alors Ingrid avancer dans le couloir.
- Coucou Mathilde. J'ai fini de mon c?t? et je suis venu te donner un
coup de main. Mme Joliot est partie ce matin. Il nous faut faire le
nettoyage ? fond pour Mme Martinez qui arrive cet apr?s-midi.
Nous entr?mes donc toutes deux dans la chambre 60 et je m'avan?ais vers
le lit pour enlever les draps. Ingrid avait d?j? referm? la porte
derri?re nous et elle me poussa prestement sur le lit. Sans me laisser
le temps de r?agir elle vint s'asseoir sur moi, m'?crasant de ses
nombreux kilos qui d?bordaient sur sa poitrine, sur son ventre et sur
ses hanches.
- Ma petite Mathilde, tu m'as tellement excit?e tout ? l'heure que je
n'ai pas cess? de penser ? toi et surtout ? ta petite bouche d'amour.
Elle m'embrassa alors ? pleine bouche avec de gros baisers mouill?s sur
mes l?vres. Je sentis bient?t sa langue tenter de se forcer un passage
ente elle. J'avais si peur qu'elle ne d?couvre mon petit secret que je
me laissais faire et ouvrit ma bouche. Mon premier french kiss avec une
femme ... qui me prenait pour sa proie lesbienne.
Si Ingrid avait ?t? brutale dans son premier contact, sa langue et ses
l?vres ?taient d'une douceur sans pareille et nos souffles se m?l?rent
dans des g?missements f?minins. Je ne savais plus o? j'en ?tais quand
Ingrid rel?cha soudain son ?treinte. Glissant ses mains sous sa jupe
elle en retira une culotte noire en dentelle puis vint imm?diatement
s'?tendre ? c?t? de moi et repris ses baisers mais cette fois dans mon
cou. Ses mains ne restaient pas inactives et commen?aient ? caresser mes
bras, mes hanches ...
Craignant qu'elles ne viennent me surprendre entre mes jambes, je
compris qu'il ne me restait qu'une seule solution, m'occuper d'Ingrid
pour qu'elle me laisse plus tranquille. Je commen?ais donc aussi ? la
caresser mais directement entre ses jambes l? o? un minou soigneusement
?pil? et mouill?e de plaisir s'ouvrit sous mes doigts innocents.
- Oui Mathilde. Oui, caresse ma fente ma petite cochonne. Oui comme ?a.
Oh c'est bon.
Je croyais m'en tirer ? mon compte mais les mains d'Ingrid continuait ?
s'activer en massant mes ? seins ? et mes fesses. Mes doigts trouv?rent
heureusement son gros bourgeon qui vibra de bonheur ? ce contact.
- Plus fort, Mathilde. Donne moi ta langue au chat ma ch?rie.
Plongeant sur l'occasion ma t?te descendit le long de son corps
sculptural. Je respirais son parfum de femme et devins comme folle de
d?sir ? la prise de cet aphrodisiaque. Ma bouche s'ouvrit et ma langue
vint l?cher le plaisir humide d'Ingrid qui g?missait de plus belle. Quel
bonheur de savourer sa blessure secr?te qui mouillait de plus en plus.
Ma langue l?chait, lapait comme celle d'un chiot, s'enroulait autour de
son clito qui saillait comme un petit gland. Ma bouche embrassait chaque
repli de peau, su?otant son clitoris comme le plus savoureux bonbon du
monde. Mes l?vres s'abreuvaient ? ses l?vres intimes.
Je ne sais comment l'id?e me vint aussi de descendre plus bas pendant
que mes doigts continuaient ? tripoter son gros bourgeon et ? aller et
venir dans sa vulve tremp?e. Un parfum plus musqu? m'attendait mais ma
langue tourna et piqua et comme une feuille d'amour et sut s'ouvrir un
?troit chemin dans la plus belle rose du monde.
Ingrid n'en pouvait plus et jouissait ? grand cris au risque de nous
faire rep?rer. Je plaquais une de mes mains sur sa bouche pendant que la
mienne revenu ? son chat pu y go?ter le miel liquide que cette v?nus
callipyge y faisait couler de plaisir. Mon ventre vide se d?lectait de
ce nectar divin qui ne semblait jamais cesser de se d?verser.
Ingrid s'apaisant et reprenant son souffle, je pus enfin sortir ma t?te
enferm?e depuis de longues minutes entre ses cuisses puissantes. En un
?clair je vis alors Marie, les yeux exorbit?s, la main entre ses cuisses
... qui me voyant sortie imm?diatement en claquant la porte derri?re
elle.
Je fon?ait ? sa suite en oubliant Ingrid mais ne pu rattraper Marie
alors qu'elle fuyait l'h?tel en courant, sans se changer. Le visage
couvert du plaisir d'Ingrid, je ne me voyais pas la suivre et rejoint le
vestiaire pour me d?barbouiller et me changer prestement de ma tenue de
femme de chambre et redevenir une jeune fille ? ordinaire ?. Je me
r?fugiais ensuite dans la chambre de ma m?re.
Elle m'y attendait avec mon petit-d?jeuner qu'elle avait soigneusement
gard? pour moi. Je le d?vorais mais ?puis?e par toutes mes ?motions et
par mon r?veil si matinal pour la marmotte que j'?tais, je m'effondrais
sur le lit pour une sieste bien m?rit?e. Mes r?ves furent perturb?s par
une Ingrid me poursuivant dans ses ardeurs, finissant par me trousser,
descendre ma petite culotte sur mes jambes et ne trouvant pas mon
clitoris ? son go?t lesbien par me prodiguer une savoureuse feuille de
rose de sa douce langue. Un tel bonheur me submergea et je jouis en
mouillant ma petite culotte de mon miel intime ce qui provoqua mon
r?veil. L?chant cette offrande en l'amenant ? ma bouche avec mes doigts
puis en la savourant sur le coton de ma culotte, je songeais que je
n'?tais plus tout ? fait pucelle et que les joies de la d?couverte de
l'amour et du sexe rendaient mon ?t? si ennuyeux de plus en plus
int?ressant. Quel bonheur d'?tre une jeune femme!
Dottie
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The Angry Whore Book 1Chapter 25 La Nouvelle Orleans
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