Retreads Part DeuxChapter 2
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Ma femme et moi, nous aimons toutes les formes d’amour. Elle est bi et je le suis aussi. Elle se tape des mecs et des nanas. Je fais pareil. Le plus souvent, ces amours «mélangistes» se déroulent à la maison, et nous recevons beaucoup. Et c’est par téléphone que nous faisons nos rencontres... De plus, c'est vraiment donné, 90 centimes la minute, presque le coût d'une communication ordinaire locale. Et c'est grâce à ce numéro vraiment pas cher et sympa que j'ai pu vivre la belle aventure que je vous livre aujourd'hui. Ainsi, nous pouvons organiser des parties fines toutes les semaines, en changeant presque chaque fois de partenaires. L’idéal, c’est de tomber sur un couple bi, pareil au nôtre, ils sont plutôt rares hélas. Car c'est surtout les mecs qui s'y connectent. Ma femme a moins de mal que moi à trouver des partenaires de son sexe, à croire que les hommes assument moins bien leur double nature que les femmes. Il ne faut pas généraliser pour autant.
Là, nous en avons déniché THE couple, enfin plus exactement, c’est moi qui ai trouvé THE man. Je vais vous expliquer pourquoi. Ils se prénomment Igor et Valérie. Ils ont 32 et 30 ans. Valérie nous plaisait, à titre personnel, c’est surtout Igor qui m’intéressait. Je savais qu’il était très bien membré, il l'a précisé au téléphone, et la photo que nous avons reçu le confirmait ! Igor, c’est le prototype du beau mec à grosse bite ! Normalement cet «argument de vente» me laisse à peu près insensible. J’aime les chibres qui ne me déchirent pas et que je peux avaler sans trop forcer, et ma femme partage tout à fait ce point de vue. Avec lui, ce n’est pas pareil. Je suis tombé amoureux de sa grosse queue, et de tout le reste d’ailleurs. Reprenons le fil: après une longue conversation au téléphone, nous avons décidé de nous rencontrer.
Igor et Valérie sont venus à la maison pour le week-end. Quand ils ont débarqué, la forte impression que m’avait déjà fait la photo s’est confirmée. Valérie me plaisait, et son mec encore plus. Après avoir fait mieux connaissance, l’ambiance est vite devenue coquine. Les filles ont commencé à se bécoter devant nous, puis elles se sont carrément mises à faire l’amour. Nous n’allions pas rester spectateurs bien longtemps. J'attendais de savoir si Igor irait rejoindre les filles, ou s'il viendrait directement vers moi.
C'est moi qu’il a choisi. Il a sorti sa queue pour la raidir avec la main, et il l’a tendue dans ma direction, pour m’inviter à en faire usage. Je me suis agenouillé devant lui, l’eau à la bouche. En empalant mon visage dessus, je me suis dit que c’était vraiment un beau morceau. De plus Igor sentait bon. Sa queue avait un petit fumet d’amour qui me plaisait beaucoup. J’ai placé mes deux mains à plat dans les poils de son pubis, et j’ai commencé le va-et-vient de mes lèvres. Igor se crispait peu à peu. Son souffle devenait rauque. Comme j’avais la bouche bien chaude, je suçais de plus en plus intensément. J’allais peut-être le faire gicler. Peu importe. Ce serait même une bonne chose si le bel Igor me donnait son foutre. Cela en priverait les filles.
Les choses se sont passées différemment. Igor a grogné entre ses dents : «J’ai envie de toi,» ce qui signifiait qu’il désirait autre chose que ma bouche. Je lui ai donné mon cul bien volontiers. Il était bien membré et malgré cela sa queue a vite trouvé sa place dans ma rondelle. J’avais tellement envie de la sentir me dilater. Igor était resté debout au dessus de mes reins cambrés, et il poussait sa queue presque à la verticale, en fléchissant bien ses mollets pour me la mettre jusqu’au bout. C’était parfait ! Je gémissais de bonheur, il grognait de plaisir. Entre nous, l’entente avait été immédiatement parfaite. Jalouses, les filles sont venues nous rejoindre pour lancer des commentaires obscènes sur notre accouplement. «Elle te plaît la queue de mon mec ?» m’a demandé Valérie. Les râles que je poussais donnaient la réponse. Et quand ma femme a voulu essayer notre invité, j’avoue que j’ai eu un peu les boules. Certes il me restait Valérie pour me consoler, je connais les goûts des lecteurs de cette revue, je vous épargnerais le récit de notre accouplement.
J’ai remis ça avec Igor lors de la partouze mélangée que nous n’avons pas manqué de nous offrir. Et puis plus tard encore. Ce mec me bouleversait. Je ne saurais dire pourquoi, mais il m’était entré dans la peau. Et pour lui fai fait ce que je n'avais jamais fait avant : j'ai trompé ma femme. Je veux dire que j’ai revu Igor en cachette, en le priant de venir me retrouver sans Valérie. Il a accepté. Le rendez-vous était fixé dans une chambre d’hôtel, tout était clair, je ne cherchais pas à le revoir «en copain». Je voulais qu’il devienne mon amant. C’est d’ailleurs la question qu’Igor m’a posé presque tout de suite. Je lui ai répondu que je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. J’ai cherché à savoir quels étaient ses sentiments à mon égard. Il n’a pas répondu. Enfin pas vraiment. Il a préféré sortir sa queue pour me montrer qu’elle bandait. Cette fois nous étions seuls, donc c’était bien moi qu’il désirait.
Le scénario a été la copie conforme de celui du jour de notre rencontre, je lui ai taillé une super turlutte. Il a tenté d’échapper à ma bouche lorsque le mouvement de mes lèvres est devenu trop craquant. Je l’ai retenu en plaquant mes deux mains à ses fesses poilues et musclées. Igor n’a pas insisté. Il avait compris mon désir et il l’a assouvi en envoyant la sauce sur ma langue. Rien ne pouvait me faire plus plaisir. J’ai savouré la moindre goutte de son sperme, avant de lui adresser un grand sourire. Il m’a traité de «gourmande». C’est pendant un baiser que j’ai compris que nous étions amoureux. J’ai pensé à ma femme. Je me suis dit que j’étais un salaud, ça ne m’a pas empêché de continuer à le caresser.
Mes doigts couraient sur sa musculature. Ma langue suivait le même chemin. Tout naturellement, mes lèvres se sont à nouveau trouvées sur la queue d’Igor. Il m'a dit qu'il voulait me baiser en levrette, "tu sais comme tu fais si souvent avec ta femme". J'ai souri en me mettant en position et en pensant aux nombreuses fois où je l'avais fait jouir à mort à grands coups de queue. Aujourd'hui c'était Igor qui allait me prendre, et je repensais encore à elle au moment où il m'a écarté les fesses à deux mains en me demandant de bien m'ouvrir. Je la revoyais me dire "défonce-moi le cul chéri, je veux te sentir très fort". Comme ma femme j'allais devenir un adepte de la sodomie. Igor m'a fait jouir comme jamais, à grands coups de reins puissants. On a joui presque en même temps avant de s'affaler sur le lit.
On est resté ainsi un moment avant que je ne reprenne l'initiative. Pendant que je le pompais, il a eu un comportement que je n’aurais pas pensé imaginable. Il a sorti son portable pour appeler Valérie. Il ne lui a pas caché que nous étions ensemble dans une chambre d’hôtel, en train de faire l’amour. J’ai eu peur qu'elle lui propose de venir nous rejoindre. Ce n’était pas du son intention. Et quand je l’ai entendu dire : «Je te quitte Valérie,» j’ai failli m’étrangler. Pourtant c’était sérieux. À la fin de la conversation, il m’a tendu son portable. J’ai compris ce qu’il attendait de moi, et j’ai appelé ma propre femme. Tout aussi abruptement qu’Igor, je lui ai annoncé que tout était fini entre nous. Je l’ai entendu sangloter au téléphone. Je me suis répété que j’étais un salaud, je n’ai vraiment rien à reprocher à ma femme, à part de ne plus me faire frémir autant que mon amant. Voilà pourquoi j’ai vite raccroché, pour reprendre, sans un mot de commentaire, ma fellation sur la queue d’Igor.
Depuis ce jour, nous vivons ensemble et je me félicite de ma décision. Il m’aime autant que je l’aime, et si parfois ma femme me manque, je sais que pour rien au monde je ne retournerais auprès d’elle.
Là, nous en avons déniché THE couple, enfin plus exactement, c’est moi qui ai trouvé THE man. Je vais vous expliquer pourquoi. Ils se prénomment Igor et Valérie. Ils ont 32 et 30 ans. Valérie nous plaisait, à titre personnel, c’est surtout Igor qui m’intéressait. Je savais qu’il était très bien membré, il l'a précisé au téléphone, et la photo que nous avons reçu le confirmait ! Igor, c’est le prototype du beau mec à grosse bite ! Normalement cet «argument de vente» me laisse à peu près insensible. J’aime les chibres qui ne me déchirent pas et que je peux avaler sans trop forcer, et ma femme partage tout à fait ce point de vue. Avec lui, ce n’est pas pareil. Je suis tombé amoureux de sa grosse queue, et de tout le reste d’ailleurs. Reprenons le fil: après une longue conversation au téléphone, nous avons décidé de nous rencontrer.
Igor et Valérie sont venus à la maison pour le week-end. Quand ils ont débarqué, la forte impression que m’avait déjà fait la photo s’est confirmée. Valérie me plaisait, et son mec encore plus. Après avoir fait mieux connaissance, l’ambiance est vite devenue coquine. Les filles ont commencé à se bécoter devant nous, puis elles se sont carrément mises à faire l’amour. Nous n’allions pas rester spectateurs bien longtemps. J'attendais de savoir si Igor irait rejoindre les filles, ou s'il viendrait directement vers moi.
C'est moi qu’il a choisi. Il a sorti sa queue pour la raidir avec la main, et il l’a tendue dans ma direction, pour m’inviter à en faire usage. Je me suis agenouillé devant lui, l’eau à la bouche. En empalant mon visage dessus, je me suis dit que c’était vraiment un beau morceau. De plus Igor sentait bon. Sa queue avait un petit fumet d’amour qui me plaisait beaucoup. J’ai placé mes deux mains à plat dans les poils de son pubis, et j’ai commencé le va-et-vient de mes lèvres. Igor se crispait peu à peu. Son souffle devenait rauque. Comme j’avais la bouche bien chaude, je suçais de plus en plus intensément. J’allais peut-être le faire gicler. Peu importe. Ce serait même une bonne chose si le bel Igor me donnait son foutre. Cela en priverait les filles.
Les choses se sont passées différemment. Igor a grogné entre ses dents : «J’ai envie de toi,» ce qui signifiait qu’il désirait autre chose que ma bouche. Je lui ai donné mon cul bien volontiers. Il était bien membré et malgré cela sa queue a vite trouvé sa place dans ma rondelle. J’avais tellement envie de la sentir me dilater. Igor était resté debout au dessus de mes reins cambrés, et il poussait sa queue presque à la verticale, en fléchissant bien ses mollets pour me la mettre jusqu’au bout. C’était parfait ! Je gémissais de bonheur, il grognait de plaisir. Entre nous, l’entente avait été immédiatement parfaite. Jalouses, les filles sont venues nous rejoindre pour lancer des commentaires obscènes sur notre accouplement. «Elle te plaît la queue de mon mec ?» m’a demandé Valérie. Les râles que je poussais donnaient la réponse. Et quand ma femme a voulu essayer notre invité, j’avoue que j’ai eu un peu les boules. Certes il me restait Valérie pour me consoler, je connais les goûts des lecteurs de cette revue, je vous épargnerais le récit de notre accouplement.
J’ai remis ça avec Igor lors de la partouze mélangée que nous n’avons pas manqué de nous offrir. Et puis plus tard encore. Ce mec me bouleversait. Je ne saurais dire pourquoi, mais il m’était entré dans la peau. Et pour lui fai fait ce que je n'avais jamais fait avant : j'ai trompé ma femme. Je veux dire que j’ai revu Igor en cachette, en le priant de venir me retrouver sans Valérie. Il a accepté. Le rendez-vous était fixé dans une chambre d’hôtel, tout était clair, je ne cherchais pas à le revoir «en copain». Je voulais qu’il devienne mon amant. C’est d’ailleurs la question qu’Igor m’a posé presque tout de suite. Je lui ai répondu que je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. J’ai cherché à savoir quels étaient ses sentiments à mon égard. Il n’a pas répondu. Enfin pas vraiment. Il a préféré sortir sa queue pour me montrer qu’elle bandait. Cette fois nous étions seuls, donc c’était bien moi qu’il désirait.
Le scénario a été la copie conforme de celui du jour de notre rencontre, je lui ai taillé une super turlutte. Il a tenté d’échapper à ma bouche lorsque le mouvement de mes lèvres est devenu trop craquant. Je l’ai retenu en plaquant mes deux mains à ses fesses poilues et musclées. Igor n’a pas insisté. Il avait compris mon désir et il l’a assouvi en envoyant la sauce sur ma langue. Rien ne pouvait me faire plus plaisir. J’ai savouré la moindre goutte de son sperme, avant de lui adresser un grand sourire. Il m’a traité de «gourmande». C’est pendant un baiser que j’ai compris que nous étions amoureux. J’ai pensé à ma femme. Je me suis dit que j’étais un salaud, ça ne m’a pas empêché de continuer à le caresser.
Mes doigts couraient sur sa musculature. Ma langue suivait le même chemin. Tout naturellement, mes lèvres se sont à nouveau trouvées sur la queue d’Igor. Il m'a dit qu'il voulait me baiser en levrette, "tu sais comme tu fais si souvent avec ta femme". J'ai souri en me mettant en position et en pensant aux nombreuses fois où je l'avais fait jouir à mort à grands coups de queue. Aujourd'hui c'était Igor qui allait me prendre, et je repensais encore à elle au moment où il m'a écarté les fesses à deux mains en me demandant de bien m'ouvrir. Je la revoyais me dire "défonce-moi le cul chéri, je veux te sentir très fort". Comme ma femme j'allais devenir un adepte de la sodomie. Igor m'a fait jouir comme jamais, à grands coups de reins puissants. On a joui presque en même temps avant de s'affaler sur le lit.
On est resté ainsi un moment avant que je ne reprenne l'initiative. Pendant que je le pompais, il a eu un comportement que je n’aurais pas pensé imaginable. Il a sorti son portable pour appeler Valérie. Il ne lui a pas caché que nous étions ensemble dans une chambre d’hôtel, en train de faire l’amour. J’ai eu peur qu'elle lui propose de venir nous rejoindre. Ce n’était pas du son intention. Et quand je l’ai entendu dire : «Je te quitte Valérie,» j’ai failli m’étrangler. Pourtant c’était sérieux. À la fin de la conversation, il m’a tendu son portable. J’ai compris ce qu’il attendait de moi, et j’ai appelé ma propre femme. Tout aussi abruptement qu’Igor, je lui ai annoncé que tout était fini entre nous. Je l’ai entendu sangloter au téléphone. Je me suis répété que j’étais un salaud, je n’ai vraiment rien à reprocher à ma femme, à part de ne plus me faire frémir autant que mon amant. Voilà pourquoi j’ai vite raccroché, pour reprendre, sans un mot de commentaire, ma fellation sur la queue d’Igor.
Depuis ce jour, nous vivons ensemble et je me félicite de ma décision. Il m’aime autant que je l’aime, et si parfois ma femme me manque, je sais que pour rien au monde je ne retournerais auprès d’elle.
Pansy
- 02.10.2022
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