Mon oncle
En ce temps-là j'étais espiègle. On ne me tenait pas. Cependant jen'avais vu venir le coup du mariage. Mon mari et moi nous avions voulufaire plaisir et comme pour nous débarrasser on avait dit oui décidés audébut de l'été de faire la fête. De toute façon on n'y couperait pas.Tous les copains nous avons chacun invité à leur mariage. Le cercle serefermait inéluctablement sur nous. Nous prîmes cela en bonne part. Jene regrette rien hormis qu'on aurait pu attendre encore quelques années.Je...